31/03/2011
Thin Lizzy : Roisin Dubh (Black Rose) - A Rock Legend
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Phil Lynott était de père noir et de mère irlandaise catholique. Mais avant tout, il était fier de son sang celte... et il le chantait avec dévotion et patriotisme. De plus, Phil était cultivé, grand lecteur et fin connaisseur de la mythologie celtique. Et il est bon de savoir que "Black Rose" était également un terme qu'utilisaient les irlandais pour évoquer l'Irlande libre au temps où l'occupant anglais interdisait que l'on parle du pays en tant qu'état souverain. En plus, il aimait la Guiness, n'évitait pas la baston et, plus que tout, respectait avec amour sa maman. Le macho type. Romantique avec les femmes et dur avec ses ennemis. Une overdose de "speedball" l'a emporté trop tôt. Quelle merde la came ! Il est célébré, aujourd'hui, 25 ans après sa mort comme un musicien et poète irlandais de premier ordre. Un héros.
Tell me the legends of long ago
When the kings and queens would dance in the realm of the Black Rose
Play me their melodies I want to know
So I can teach my children, oh
Pray tell me the story of young Cuchulainn Oh tell me the story of the Queen of this land Where the mountains of Mourne come down to the sea Oh Shenandoah I hear you calling Oh Tell me the legends of long ago My Roisin Dubh is my one and only true love Ah sure, Brendan where have you Behan ? But Van is the man As Shaw, Sean I was born and reared there
Where the Mountains of Mourne come down to the sea Is such a long, long way from Tipperary Roisin Dubh (Black Rose) - A Rock Legend Oui, je sais, ça emmerde les racialistes... mais moi j'emmerde les racialistes... et comme vous pouvez le voir sur la photo, Phil aussi les emmerdait.
How his eyes were dark his expression sullen
And how he'd fight and always won
And how they cried when he was fallen
And how her sons died at her own hand
And how fools obey commands
Oh tell me the legends of long ago
Will she no come back to me
Will she no come back to me
Far away you rolling river
All down the mountain side
All around the green heather
go lassie go
When the kings and queens would dance in the realms of the Black Rose
Play me their melodies so I might know
So I can tell my children, oh
It was a joy that Joyce brought to me
While William Butler waits
And Oscar, he's going Wilde
Looking for a girl with green eyes
My dark Rosaleen is my only colleen
That Georgie knows Best
Starvation once again
Drinking whiskey in the jar-o
Synge's Playboy of the Western World
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28/03/2011
Le groupe King's X debarque en France.
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Piqûre de rappel : En concert le Mercredi 13 Avril 2011 à Savigny Le Temple
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25/03/2011
Foo Figthers : Rope
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Nouveau single... l'album arrive.
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10/03/2011
Frank Zappa, le conservateur pragmatique
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"Dans son autobiographie, Zappa consacre un chapitre à ses vues théoriques et pratiques sur la musique… et quatre chapitres à la vie politique des États-Unis d’Amérique. Il plaide notamment pour une nette séparation de l’Église et de l’État (que prévoit d’ailleurs la constitution des Etats-Unis) ainsi que pour une réforme de la fiscalité, de l’éducation, de la défense et de la politique étrangère de manière à éliminer les passe-droits des plus riches, à gérer le bien commun de manière rationnelle et à réduire le poids de l’État sur les citoyens.
Paradoxalement, il refuse d’adhérer à quelque structure collective que ce soit, qu’il s’agisse d’une formation politique ou d’une association professionnelle de musiciens. « Si Zappa émet une critique radicale de la société américaine, il ne prône aucune révolution et n’adhère à aucun projet politique, souligne Marc-André Gagnon, un essayiste québécois. Il ne cherche qu’à résister aux restrictions que la norme sociale tente d’imposer à sa liberté de composer.(16) »
L’universitaire américain Kelly Fisher Lowe ajoute : « Zappa était la quintessence du petit homme d’affaires quasilibertarien . Il a le sentiment que le rôle de l’État est de créer un espace où tout le monde (dans son cas, l’artiste) puisse être libre de faire ce dont il a envie (dans son cas, créer).(17) » Zappa est sans aucun doute un nihiliste, ce qui ne l’empêche pas de croire sincèrement à l’american dream : il est convaincu qu’un travail passionné, intègre et soutenu finira par porter ses fruits, surtout s’il n’est pas entravé par de grandes organisations qui contrôlent le marché.(18)
Dans le contexte nord-américain, la pensée politique de Zappa est assez singulière. Bien qu’il se montre sensible à certains idéaux de gauche, il se comporte de manière très individualiste. Comme bien des Américains, il se méfie instinctivement de l’État, mais il redoute aussi (et ici sa pensée est plus originale) le pouvoir des grandes entreprises, notamment des multinationales du divertissement. Son système politico-économique de prédilection, qu’il qualifie de « conservatisme pragmatique », repose sur la cellule familiale et de petites entreprises indépendantes encadrées par un État-nation aussi discret, rationnel et efficace que possible, exempt de toute trace d’idéologie.
Zappa plaide en fait pour la réconciliation de ce qui, aux Etats-Unis, appartient aux extrêmes : la liberté de l’individu, qui doit demeurer inaliénable (« je crois que les gens ont le droit de décider de leur destin. Un être s’appartient »(19)), et la justice sociale. « Une nation n’est réellement puissante que lorsque tout le monde récolte une part du gâteau. Je dis bien : tout le monde », souligne-t-il en 1988 à propos de l’économie de son pays. (20)
16. Marc-André Gagnon, « Frank Zappa : un intellectuel ‘’spécifique’’ », Conjonctures n°29, Montréal, printemps-été 1999, p. 140.
17. Kelly Fisher Lowe, op. cit., p.88.
18. Sur l’american dream et Zappa, voir Kelly Fisher Lowe, ibid.., p. 13 et suivantes.
19. Frank Zappa, Peter Occhiogrosso, op. cit., p. 344.
20. Ibid, p. 336
« Le petit wazoo, initiation rapide, efficace et sans douleur à l’œuvre de Frank Zappa » Jean-Sébastien Marsan
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06/03/2011
Diamond Head : Canterbury
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Lorsque les anglicans martyrisèrent les catholiques de Canterbury... Par le groupe Diamond Head...
Blessed stand I, he has in fear
Yield to despair,
Four swords drawn, sworn to Kings,
A will that they share,
Oh to die for martyrdom,
Wash the wind martyrdom, with blood,
In Canterbury, oh, oh, in Canterbury.
She's settled as evil,
As a plague to destroy old Canterbury,
Bear witness to malady,
For here the chords that will make history,
Oh mystery.
They say 'strike him down!'
'strike him down !'
His 'strife stirred France' repaid by those
Who'll raise their hearts
To spite the people of Canterbury.
Ethereal Cathedral,
Your voice, the voice of Canterbury,
Resist your temptations
And look to the wind, for conspiracies, ooh Infamy !
They say 'strike him down !'
'strike him down !'
Let stone and oak decay the crown.
Who'll raise their hearts
To spite the people of Canterbury.
When her dead breath has numbered the land,
And Barons will rule as they planned.
Oh Cathedral you've died !
Oh Cathedral you lied !
The sins of our Fathers,
You are here with me,
Can we forgive you ?
For the fall of Canterbury
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05/03/2011
Radiohead : Lotus Flower
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Toujours aussi déjantés et créatifs... au-dessus du lot...
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04/03/2011
Alphabeat : Fascination...
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Pour bien commencer cette journée... un peu de légèreté... un soleil Pop... une bulle de Bubble Gum...
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06/02/2011
Gary Moore, rest in peace
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29/01/2011
Jimi Hendrix : All Along The Watchtower
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Pearl Jam : Alive
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01/01/2011
Moa : "Bulldozer"
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L'ex chanteuse du groupe Meldrum, Moa Holmsten... avec son nouveau projet musical de déglinguée underground. Just love it !
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Meldrum : "Purge"
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28/12/2010
Joe Jackson... Anthrax... : Got the time...
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Joe Jackson : Got the time
Les gars d'Anthrax connaissent leurs "classics"...
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23/12/2010
The Sparks : This Town Ain't Big Enough For Both Of Us
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Brillant !
Et plus de 30 piges après les Sparks brillent toujours...
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04/12/2010
ZZ TOP : SUCK MY BLUES !
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Les bobos peuvent aller se faire foutre. Voici les républicains les plus COOLS de l'Univers. Personne, en matière de Coolitude authentique ne leur arrive à la cheville. Sachez que je suis très sérieux quand je raconte mes conneries. Et j'emmerde les démocrâtes démocrassouillards obamaniaques.
Deux morceaux, ici, à la chaîne... "She's Just Killing Me" ... et "Vincent Price Blues" . Enjoy you Mofos !
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08/10/2010
Il fut un temps où Dieu, heureux, dansait en Europe...
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Il fut un temps où Dieu, heureux, dansait en Europe... Et Bach s'en faisait l'écho...
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04/10/2010
La petite histoire des rockers de droite
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Bob Dylan contre la guerre au Vietnam, The Clash contre le gouvernement Thatcher, JoeyStarr contre le gros Eric Raoult : au nom d'une croyance populaire trop répandue, le rock roulerait majoritairement à gauche. Sauf que, derrière certaines idoles des jeunes d'hier et d'aujourd'hui se cachent parfois de bons vieux conservateurs. Peut-on être rock et kiffer les pages saumon du Figaro?
À première vue, le rock roule à gauche. Il y a eu les protest songs, Woodstock et la foire fourmillante et communautaire, les éructations vitupérantes de Jello Biafra, les appels à la paix de Lennon, les rassemblements du 21 avril 2002, « We Are The World », le flower power, la dénonciation de l'Angleterre thatchérienne, le hardcore US du début des années 80, les Inrocks en avant-postes auto-désignés du combat « culturel » antisarkosyste. Aux Etats-Unis, chaque élection est l'occasion d'un nouveau compagnonnage entre entertainment et Parti démocrate. Sans compter l'aréopage de zazous, voyous, androgynes, artistes maudits, rebelles, érotomanes déréglés, toxicos qui peuplent le monde du rock. Quand on est tout ça à la fois, on a plus de chances de se sentir à l'aise du côté des gauchos, des babos, même des bobos et libéraux libertaires que des défenseurs du terroir, du port d'armes, de l'interdiction de l'avortement, ou des adeptes du tea party aux Etats-Unis.
Pourtant, l'histoire est plus compliquée. On a assisté, dès les débuts du rock, à des dérapages plus ou moins contrôlés de nos différentes idoles. Dans une édition de juin 2006, le journal conservateur de référence aux Etats-Unis, the National Review, s'est livré à un exercice amusant de catalogage des morceaux qui peuvent aider le réactionnaire friand de bon son à sortir de sa solitude politique. On y répertorie tous les thèmes chers à la droite.
D'abord, l'épuisement fiscal du rocker, quand, avec l'âge, la prospérité amène à revoir ses priorités. C'est le « Taxman » de 1966, ras-le-bol libéral et anti-distributif de George Harrison, sur l'album Revolver.
Beatles : Taxman
La désillusion contrerévolutionnaire, avec « Won't Get Fooled Again » des Who, qualifiée de « chanson la plus conservatrice de l'histoire du rock » par National Review,
The Who : Won't get fooled again
ou « Revolution », encore des Beatles.
Beatles : Revolution
A noter, aussi, les titres qui chantent le Sud « white trash », « hillbilly », rural et réactionnaire, avec « Sweet Home Alabama » de Lynyrd Skynyrd ou « The Night They Drove Old Dixie Down », par The Band. Les chants bellicistes, comme « Don't Tread on Me », par Metallica, en soutien des Etats-Unis contre l'Irak de la première guerre du Golfe, ou, le « Neighborhood Bully » de Dylan, sur Infidels, en 1983, en soutien d'Israël deux ans après le bombardement d'une centrale nucléaire en Irak.
LYNYRD SKYNYRD « Sweet Home Alabama »
The Band : The night they drove old Dixie down
Metallica : Don't tread on me
Particularité anglo-saxonne : les chansons « prolife », comme « Brick » par Ben Folds Five,
Ben Folds : Five brick
« Abortion », de Kid Rock
Kid Rock : abortion
ou « The Icicle Melts » par les les Cranberries.
Cranberries : The Icicle Melts
Pas mal de chansons pro-famille aussi : « Stay Together for the Kids » par Blink 182,
Blink 182 : Stay together for the kids
et même, avant ça, « Wouldn't it Be Nice » des Beach Boys, ode pro-mariage et pro-abstinence à une vie hétéropatriarchale simple et sans heurts.
Beach Boys : Wouldn't it Be Nice
Quelques chansons qui dénoncent l'esprit de repentance du monde occidental blanc « Get Over It » des Eagles,
The Eagles : Get Over It
voire le controversé « Guilty of Being White » de Minor Threat, pourtant toujours marqué très à gauche et punk.
Minor Threat : Guilty of Being White
Quelques titres culturellement conservateurs, qui dénoncent la décadence littéraire et poétique de l'époque, avec « Rime of the Ancient Mariner » d'Iron Maiden
Iron Maiden : The Rime of the ancient mariner - part 1/2
Iron Maiden : The Rime of the ancient mariner - part 2/2
ou « 20th Century Man » par les Kinks qui préfèrent Rembrandt, Titien, de Vinci ou Gainsborough aux peintres modernes.
The Kinks : 20th Century Man
Les grands rockers de droite viennent souvent du hard et metal : James Hetfield de Metallica, favorable au port d'armes, Dave Mustaine, Metallica puis Megadeth, devenu chrétien pratiquant, Gene Simmons, de Kiss, connu pour ses remarques controversées à propos de l'Islam, C.C. Deville de Poison, ou encore Alice Cooper. Il y a les idoles pop conservatrices gnangnan, comme Britney Spears ou Jessica Simpson, un peu comme Clara Morgane est sarkozyste chez nous. Mais les champions officiels du conservatisme rock aux Etats-Unis sont Kid Rock et Ted Nugent, pratiquement inconnu de notre côté de l'Atlantique, mais dont les shows sont des grands rassemblements patriotiques, pro-armes, pro-chasse, défendant de la peine de mort. Il y a enfin le cas moins connu des punks conservateurs, menés par Johnny Ramone, pro-Bush et libertarien, c'est-à-dire hostile à l'intervention de l'Etat, ce qui n'est pas forcément contradictoire avec la culture Do it yourself, opposée aux institutions et au système.
La France a bien sûr ses rockers ou chanteurs de droite. On pensera évidemment à Sardou (« Les Ricains », « Je suis pour», « Le temps des colonies », « Le France »). Mais pendant longtemps, surtout avec Mitterrand, la variété française file des noces tranquilles avec l'antiracisme, l'humanisme et le multiculturalisme. C'était le cas, par exemple, de Renaud (« Tonton, laisse pas béton ») ou Balavoine. En France, le rocker de droite, c'est Johnny Halliday, dont on peut suivre le destin météorique des années 60 jusqu'à aujourd'hui, pour comprendre les modifications d'une figure pop en même temps que son influence sur la construction des clivages politiques.
Comme le dit l'historien Yves Santamaria, dans Johnny, sociologie d'un chanteur, Johnny est à la fois « le chanteur des pauvres et des seconds couteaux », une « figure de la jet-set, (incarnant) une marginalisation par rapport au parcours scolaire érigé en norme », « franchouillard », mais pro-américain, parfois prosioniste, au moins dans les années 60 quand Israël avait le statut de victime héroïque et n'était pas encore perçue comme entité coloniale, critique à propos d'une fiscalité jugée excessive et méfiant à propos de la culture des élites, en dépit de références à Hemingway ou d'un bout de route dans les années 80 avec Godard et Nathalie Baye.
A la fin du XXème siècle, « il incarne le volet droitier de l'alternance politique », (Santamaria), la France qui gagne, même si ça n'est pas forcément celle qui se lève tôt. Il réalise la synthèse entre une France mondialisée, friquée, mobile, décomplexée par rapport à l'argent et la dépense, sceptique face à la haute culture (et au moins la Princesse de Clèves) et une autre France populaire, passionnée par son pays, volontiers cocardière et jugée « beauf » par les élites culturelles. En somme, ce caractère hybride de Johnny Halliday, c'est exactement la synthèse politique réalisée par Sarkozy en 2007, qui ressemble à celle de Nixon aux Etats-Unis dans les années 60, entre les milieux populaires conservateurs du Sud et les élites financières du Nord-Est. Avec l'alternance, c'est Johnny Halliday, qui incarne la révolution politique de l'élection de Nicolas Sarkozy, un peu comme si l'élection de 2007 était la revanche des neuilléens en 4X4 et des patrons de bar de province, tous deux blancs, avec « Quelque chose de Tennessee » dans l'autoradio, sur les bourgeois de centre-gauche, les profs et les professions intellectuelles dragués par Jack Lang.
TEXTE: Antoine Roos
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07/09/2010
Laurent Rossi et les Guitares Daguet
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Après vous avoir donné des nouvelles du Rev', y'a pas d'raison qu'j'vous cause pas d'un autre passionné, mon pote Laurent Rossi. Non, pas le fils de Tino, Laurent Rossi, le frère de Bro' Vince mon frère des 1000 et 1 guerres psychiques. Je sais, vous n'en avez rien à foutre et, à dire vrai, je cherche pas à vous cassez les bonbons avec ma fratrie, mais... comment dire... Bro' Vince on se connaît depuis 1972, nous avions 7 ans et notre amitié est indéfectible depuis. Et quand nous étions deux satanés branleurs, à tirer des plans sur la comète, en dignes branleurs que nous étions (j'insiste), y'avait le frangin de Bro' Vince, qu'avait 5 piges de plus que nous et qui, moi, m'impressionnait beaucoup. Parce que si vous voulez, y'a Jimi Hendrix et Jimmy Page, y'a Johnny Winter et Stevie Ray Vaughan... et puis y'a Laurent Rossi. Quand je l'ai vu et entendu jouer pour la première fois je devais avoir 14 piges, un truc comme ça. Et bien je suis rentré à la maison, ce soir-là, avec des notes incisives plein la tête, des larsens dévastateurs, des rhythmiques funky dans le corps entier et des wha wha dégueulantes plein la cervelle, de l'électricité parcourant mon système nerveux. Je me suis dit : "Mec, tu vas te sortir les doigts du cul et tu vas jouer au lieu de faire juste ton pseudo-Johnny Ramone !" Et l'histoire, autant vous le dire, a suivi son cours.
Mais, amis lecteurs, tout ceci n'est qu'un prétexte pour vous parler de Laurent Rossi, certes, guitariste talentueux qui gagne à être connu, mais surtout des Guitares Daguet, un luthier bien de chez nous, Made in France, dont la qualité des instruments concurrence largement celle des anglo-saxons. Pourquoi ? Parce que c'est fabriqué avec amour. Cherchez pas à comprendre si vous n'aimez pas les guitares.
Et c'est Laurent Rossi, justement, qui en fait la promotion, ici, sur ces deux petits films fort sympathiques. Il y va doucement, là, il se la raconte pas. Il veut juste faire la pub d'un luthier qui le mérite. Mais vous pouvez également faire un saut sur la page Myspace du groupe au sein duquel officient Laurent et Bro' Vince, WOLFONI ! Yes ! Comme le dit si bien Bro' Vince : Enjoy !
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30/08/2010
Jocelyn Pook
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Penchez-vous sur le cas de Jocelyn Pook qui est, indiscutablement, avec Lisa Gerrard, une femme compositeur qui fait honneur à son sexe. Vous reconnaîtrez certaines musiques si vous êtes cinéphile.
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29/08/2010
Dans la Caverne du Révérend du Rock...
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Des nouvelles du Rev'. Après l'aventure King Size, The Rev' a quitté Peter Night Soul Deliverance, non sans avoir enregistré un magnifique album avant, dont je vous parlerai bientôt, et le groupe Margerin. Mais pourquoi donc ? Et bien pour se lancer dans une nouvelle aventure.
Consultez les chroniques du Rev'. Chanson du jour ou Cinéma. That's serious business.
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19/08/2010
UNCLE TUPELO : Satan, your kingdom must come down
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Satan, your kingdom must come down
Satan, your kingdom must come down
I heard the voice of Jesus say
Satan, your kingdom must come down
Gonna pray until they tear your kingdom down
Gonna pray until they tear your kingdom down
I heard the voice of Jesus say
Satan, your kingdom must come down
Gonna shout until they tear your kingdom down
Gonna shout until they tear your kingdom down
I heard the voice of Jesus say
Satan, your kingdom must come down
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11/08/2010
Blindside : Pitiful
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Je les avais déjà évoqués il y a un bon moment (plusieurs années ? Je ne sais plus...) mais l'envie me prend de vous offrir le mp3 de ce morceau emblématique.
Blindside est un groupe de Metal Scandinave. Jusque là tout baigne. Mais ils sont chrétiens, ce qui est plus surprenant. Cela ne les a pas empêchés de rencontrer un grand succès en Suède et aux alentours... et même de se construire son public dans les pays anglo-saxons. Si vous pratiquez l'anglais, je vous laisse juge de cette superbe chanson...
as I recall when my stomach turned
and I was hiding away from myself
away from you
like nothing (but something) was terribly wrong
and I admit that I was only waiting for the right time (night time)
the right moment for you to look away
(though you never did I pretended for a while)
so I could walk where I don't belong
I remember every word you said
come back in time come back
and I remember I'd soon be dead
pitiful so pitiful
but I know as they hammered those nails
into your beautiful hands
your eyes they tried to search for mine
but I look away
now your eyes are the only thing that can save me
I'm still afraid of them piercin'
you're breaking into my prison
just pretended for a while
my soul is dying and I won't look away
I remember every word you said
come back in time come back
and I remember I'd soon be dead
pitiful so pitiful
pitiful
pitiful
pitiful
pitiful
so pitiful
and I remember every word you said
this time I won't look away
and I remember every word you said
and this time I won't look away
and I remember every word you said
come back in time come back
and I remember I'd soon be dead
pitiful so pitiful
and I remember every word you said (pitiful)
come back in time come back (pitiful)
and I remember I'd soon be dead (pitiful)
pitiful so pitiful
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09/08/2010
Deftones : Rocket Skates
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
You're red, soaking wet.
I'm right next to you.
You're red, soaking wet.
Lets writhe, let me see you trip.
One move that will keep you wet.
Let's fall in a long sadistic trance.
Put the keys in our hands.
Guns. Razors. Knives.
(Fuck with me)
Guns. Razors. Knives
You're red soaking wet.
I'm right next to you.
You're red, soaking wet.
Lets sail in this sea of charms.
Lets drown underneath the stars.
Lets drink with our weapons in our hands.
Lets sleep in this trance.
Guns. Razors. Knives.
(Fuck with me)
Guns. Razors. Knives
You're red soaking wet.
I'm right next to you.
You're red soaking wet.
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Je vous souhaite un bon trip...
18:26 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Deftones : Diamond Eyes
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
To the edge 'till we all get off
I will take you away with me
Once and for all
Time will see us realign
Diamonds reign across the sky
Shower me into the same
Realm
Calculate I'll embrace hold on
(Come with me now)
Right away outer space with me
Once and for all
Time will see us realign
Diamonds reign across the sky
Shower me into the same
Realm
Time will see us realign
Diamonds reign across the sky
I will lead us to the same
Realm
When the coffin shakes
And the needle breaks
Come right away with me
Come on you're sick ?
Once and for all
Time will see us realign
Diamonds reign across the sky
Shower me into the same realm
Time will lead us to the same realm
I will lead us to the same realm
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Chino Moreno : "I don't like listening to people's problems -- I like music. Music has been smothered with that complaining since the early-'90s. It gets old. Instead of going to the opposite side of the spectrum and listening to Black Eyed Peas, which is just straight silly, I choose to listen to more instrumental music. I do very little singing about myself on this record. I love songs where I can totally take myself out of being human. I can sing about really odd things, and they don't necessarily have to pertain to me at all. It paints a picture. Those are the kind of lyrics I grew up with -- like The Cure. Really visual images and no storytelling."
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Il faut croire que le Verbe lui joue des tours... laisse glisser, ici et là, des fulgurances dont il ne doit pas même mesurer la portée.
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Vers la Limite jusqu'à ce que nous soyons tous enlevés
Je t'emmenerai au loin avec moi
Une fois et pour toutes
Le temps nous verra nous réaligner
Les diamants règnent à travers le ciel
Me lavant dans le même
Royaume
Prémédite, j'étreindrai, attends
(Viens avec moi maintenant)
Tout de suite hors de l'espace avec moi
Une fois et pour toutes.
Le temps nous verra nous réaligner
Les diamants règnent à travers le ciel
Me lavant dans le même
Royaume
Le temps nous verra nous réaligner
Les diamants règnent à travers le ciel
Je nous emmènerai dans le même
Royaume
Quand le cercueil tremble
Et l'aiguille casse
Viens tout de suite avec moi
Viens tu es malade
Une fois et pour toutes
Le temps nous verra nous réaligner
Les diamants règnent à travers le ciel
Me lavant dans le même Royaume
Le temps nous emmenera dans le même Royaume
Je nous emmènerai dans le même Royaume
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Nébuleuse MWC 922, enregistrée par les télescopes Palomar et Keck.
Comment se fait-il que cette nébuleuse ait une forme carrée ? Personne ne le sait vraiment.
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" Et il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d'auprès de Dieu, ayant la gloire de Dieu. Son éclat était semblable à celui d'une pierre très précieuse, d'une pierre de jaspe transparente comme du cristal. Elle avait une grande et haute muraille. Elle avait douze portes, et sur les portes douze anges, et des noms écrits, ceux des douze tribus des fils d'Israël : à l'orient trois portes, au nord trois portes, au midi trois portes, et à l'occident trois portes. La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les douze noms des douze apôtres de l'agneau. Celui qui me parlait avait pour mesure un roseau d'or, afin de mesurer la ville, ses portes et sa muraille. La ville avait la forme d'un carré, et sa longueur était égale à sa largeur. Il mesura la ville avec le roseau, et trouva douze mille stades; la longueur, la largeur et la hauteur en étaient égales. Il mesura la muraille, et trouva cent quarante-quatre coudées, mesure d'homme, qui était celle de l'ange ". Sainte Bible, Apocalypse 21 : 10-17
" [...] La muraille était construite en jaspe, et la ville était d'or pur, semblable à du verre pur. Les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de pierres précieuses de toute espèce : le premier fondement était de jaspe, le second de saphir, le troisième de calcédoine, le quatrième d'émeraude, le cinquième de sardonyx, le sixième de sardoine, le septième de chrysolithe, le huitième de béryl, le neuvième de topaze, le dixième de chrysoprase, le onzième d'hyacinthe, le douzième d'améthyste. Les douze portes étaient douze perles; chaque porte était d'une seule perle. La place de la ville était d'or pur, comme du verre transparent... " Sainte Bible, Apocalypse 21 : 18-21
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Les signes s'amusent de nous...
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Deftones : Minerva
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I get all...numb
When she sings it's over
Such a strange numb
And it brings my knees to the earth
And God bless you all
For the song you saved us...
You're the same...numb
When you sing it's over
Such a strange numb
It could bring back peace to the earth
So God bless you all
For the song you saved us...oh...
For the hearts you break, everytime you moan...
I get all...numb
We're the same... numb
And it brings our knees to the earth
So God bless you all
For the song you saved us... oh...
For the hearts you break, everytime you moan
And God bless you all on the earth...
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Je deviens... engourdi
Quand elle chante c'est fini
Si étrangement engourdi
Et ça me fait poser mes genoux à terre
Et que dieu vous bénisse tous
Pour la chanson qui nous a sauvés...
Tu es comme moi... engourdi
Quand tu chantes c'est fini
Si étrangement engourdi
Cela pourrait ramener la paix sur terre
Et que dieu vous bénisse tous
Pour la chanson qui nous a sauvés... oh...
Pour les coeurs que tu brises
A chaque fois que tu gémis...
Je deviens... paralysé
Nous sommes pareils... paralysé
Et ça nous fait poser genoux à terre
Et que dieu vous bénisse tous
Pour la chanson qui nous a sauvés... oh...
Pour les coeurs que tu brises
A chaque fois que tu gémis
Et que dieu vous bénisse tous sur terre...
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