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26/07/2015

A force...

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« Win the “yes” needs the “no” to win against the “no” » !

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Hu hu hu hu hu hu hu ! 

 


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Raffarinade

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25/07/2015

Buddy Guy & Beth Hart : "What You Gonna Do About Me ?"

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Beth Hart

Buddy Guy

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On ne va pas vous le répéter sans cesse : c'est une Religion d'Amour, de Tolérance et de Paix...

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WikiLeaks. Comment l’Arabie Saoudite promeut l’islamisme à l’échelle planétaire

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- Par Philippe Mischkowsky pour Courrier International -

The New York Times a trié et vérifié 60 000 câbles diplomatiques saoudiens révélés par WikiLeaks. Conclusion : le royaume wahhabite a mis en place un redoutable système de prosélytisme à échelle planétaire pour faire la promotion d’un islamisme rigoriste.

Depuis des dizaines d’années, l’Arabie Saoudite injecte "des milliards de pétrodollars dans des organisations islamiques à travers le monde, pratiquant une diplomatie du chéquier", révèle le journal américain New York Times.

Pour arriver à cette conclusion, le journal a trié et analysé 60 000 documents diplomatiques saoudiens dont les fuites ont été orchestrées par le site WikiLeaks. Le SaoudiLeaks ne fait que commencer. D’autres informations pourraient être bientôt révélées : WikiLeaks a révélé que quelque 400 000 autres documents étaient en attente de publication.

On sait que l’une des priorités de Riyad est de répandre une vision rigoriste de l’islam sunnite. Ce que l’on sait moins, c’est que l’Arabie Saoudite investit également énormément d’argent pour combattre son principal ennemi : l’Iran chiite.

"[Les Saoudiens] craignaient que la levée des sanctions internationales contre l’Iran après la signature de l’accord nucléaire [le 16 juillet] donne davantage de moyens à Téhéran pour soutenir des groupes [chiites et pro-iraniens]. Mais les documents révèlent une compétition qui va bien au-delà, avec de profondes racines idéologico-religieuses", écrit le quotidien américain.

Un soft power efficace C’est tout un système d’influence que les autorités saoudiennes ont mis en place et financé par l’argent des pétrodollars, montre l’enquête du quotidien américain. Riyad a notamment accordé des moyens financiers à des prédicateurs à l’étranger, construit des mosquées, des écoles, des centres et soutenu des campagnes pour "contrer des responsables et des médias à l’étranger qui étaient susceptibles de s’opposer à l’agenda du Royaume".

"Dans la seule région du Kerala [en Inde], les Saoudiens ont donné 4,5 millions de riyals [1,1 million d’euros] à différents organismes", rapporte par exemple le site India TV en réaction aux informations révélées par Wikileaks.

De même, le quotidien de Toronto The Globe and Mail a relevé un "don de 211 000 dollars canadiens [150 000 euros] à une école d’Ottawa et un autre de 134 000 dollars [96 000 euros] à une école de Mississauga" gérée par la Muslim Association of Canada, qui gère également des mosquées et d’autres écoles.

Si les sommes peuvent paraître relativement modestes pour chacun des cas pris isolément, elles deviennent énormes une fois additionnées les unes aux autres. Tout le mérite du New York Times est précisément d’avoir fait cette addition. "Il s’agit de milliers et de milliers d’organisations militantes et religieuses (...) directement ou indirectement financées par eux", explique Usama Hasan, chercheur en études islamiques à la fondation Quilliam à Londres, cité par le journal.

L’organisation mise en place consistait globalement à identifier les personnalités et les associations étrangères à aider ou financer. "Le ministère des Affaires étrangères transmettait les demandes de financement à des officiels de Riyad, parfois les services de renseignements donnaient leur accord après examen des bénéficiaires potentiels et la Ligue islamique mondiale contribuait à avoir une stratégie coordonnée, tandis que les diplomates saoudiens supervisaient le projet à travers le monde", explique encore le New York Times.

Les pays concernés ne sont pas seulement ceux du Moyen-Orient où la lutte fait rage entre l’Arabie Saoudite et l’Iran pour l’influence régionale, mais aussi les pays africains, notamment le Mali, où des acteurs locaux ont fait référence à la "menace du chiisme iranien" pour appuyer leurs demandes de fonds auprès des Saoudiens. "La peur de l’influence chiite allait jusqu’à englober des pays dotés de minorités musulmanes aussi réduites qu’en Chine. Aux Philippines, où seulement 5 % de la population est musulmane, des documents présentent également des propositions pour ‘restreindre l’influence iranienne’."

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SOURCE : COURRIER INTERNATIONAL

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A la guerre comme à la guerre !

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- Par Benoît Rayski, pour ATLANTICO -

"Si tu fermes pas ta gueule, on te la fait à la Merah", la Marseillaise du groupe de rap "3 Zone"...

Jamais autant de haine n’avait été distillée en un laps de temps aussi court. Un clip "made in banlieue" de quelques minutes.

Toutes les nations, tous les peuples ont leurs chants guerriers. La France, pour ne parler que d’elle, a la Marseillaise, promettant un sort peu enviable à ceux qui viennent « dans nos campagnes [...] égorger nos fils et nos compagnes ». Elle a aussi le Chant des partisans où grenades et dynamite sont convoquées pour chasser l’occupant nazi. Dans les deux cas, la France était envahie.

Mais qui a envahi les « jeunes » du groupe 3 Zone ? Et quel occupant est venu prendre possession de leurs HLM ? Quelqu’un veut-il les égorger, les tuer ? Pourtant c’est bien un chant de guerre qu’ils entonnent dans leur dernier clip, « Kadhafi ». La guerre avec des battes de base-ball et des flingues. On entend : « Si tu fermes pas ta gueule, on te la fait à la Merah ! » Merah est ce héros, leur héros, qui froidement, à bout portant, a tué des enfants juifs. Autres héros mentionnés dans le clip, Kadhafi évidemment, un des plus sanglants dictateurs de la planète, et Ben Laden qui programma soigneusement l’assassinat collectif de milliers de civils américains.

Le clip est disponible sur YouTube. Il a été vu des dizaines de milliers de fois. Ça plaît. En tout cas ça plaît à beaucoup, sinon 3 Zone serait depuis longtemps sur la paille. Aucune loi n’interdit sa diffusion. La France est un pays libre. Mais on est libre aussi de vomir...

Une partie de la jeunesse de banlieue se shoote avec ce genre de clips. Extase garantie, autant, sinon plus, qu’avec un joint. Mais qu’est-ce qu’ils ont dans la tête ? Juste de la haine, de la haine à l’état brut. Mais c’est peut-être la faute de la colonisation ? De la ghettoïsation ? De la ségrégation ? C’est aussi pertinent que de s’interroger sur la responsabilité du traité de Versailles dans l’accession d’Hitler au pouvoir. Des sociologues, des ethnologues, des démographes se penchent sur ces « jeunes » qu’ils considèrent comme des laissés-pour-compte et donc des victimes. Ils publient des livres, écrivent des rapports. Toujours les mêmes : il faut comprendre leur détresse. Sur leur recommandation, des milliards ont été déversés depuis des années sur les cités et leurs habitants. On attend d’autres clips que celui de 3 Zone pour juger de leurs résultats.

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SOURCE : ATLANTICO

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23/07/2015

Jared James Nichols Band : Take My Hand

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Blues, certes, mais Heavy... Heavy Blues !

 

 

 

 

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Deux poids et deux mesures... toujours...

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Transhumanisme...

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podcast

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Banques et Gouvernement...

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Athènes, il y a 20 ans déjà...

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1984 d'Orwell n'était pas censé être un manuel de philosophie

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(Damien Theillier)

 

Le libéralisme classique ne se confond ni avec l'hédonisme, ni avec une indifférence à l'égard du bien ou du mal et encore moins avec le socialisme. Par Damien Theillier, professeur de philosophie et président de l'Institut Coppet

 

Rappelez-vous les trois slogans qui régissent la dictature orwellienne :

La guerre, c'est la paix.
La liberté, c'est l'esclavage.
L'ignorance, c'est la force.

Guillaume Bernard, maître de conférences à l'ICES, vient d'en inventer un quatrième :

« Le libéralisme, c'est le socialisme » !

Comment peut-on arriver à confondre la liberté et la folle idéologie qui réglemente nos vies jusqu'aux plus petits détails ?
Notre maître de conférence a réussi ce tour de force dans un article paru dans "Valeurs Actuelles" fin mai 2015, intitulé "Malentendus courants sur le libéralisme". Tout part d'une équation par amalgame : le libéralisme serait une philosophie libertaire hédoniste et relativiste... ce que serait également le socialisme.

De là, le libéralisme, c'est le socialisme.

 

Un malentendu sur le libéralisme

L'auteur entretient un malentendu sur le libéralisme, habituellement entendu à gauche : celui-ci postulerait ou fonderait ses arguments sur l'hypothèse d'individus égoïstes, matérialistes et auto suffisants, affranchis de toute norme morale, de toute espèce d'ancrage dans une réalité morale naturelle. Cette idée répandue dans le clergé, y compris au plus haut sommet de sa hiérarchie (comme le montre encore une fois la dernière encyclique du Pape François), est une idée fausse.
À l'encontre de cette caricature, le libéralisme classique ne se confond ni avec l'hédonisme, ni avec une indifférence à l'égard du bien ou du mal et encore moins avec le socialisme.

Une philosophie du pouvoir limité

La plupart des libéraux s'accordent avec la tradition occidentale issue de la philosophie grecque pour dire qu'il existe une rationalité morale et que le bien et le mal ne sont pas des notions arbitraires, relatives à l'opinion ou à l'époque. Ainsi le vol détruit le principe de la propriété, fondée sur le travail c'est-à-dire sur le libre exercice de nos facultés.
Pour les libéraux, à la différence des socialistes, il existe donc un droit antérieur à la formation de l'État, un ensemble de principes généraux que la raison peut énoncer en étudiant la nature de l'homme.

Ce droit s'impose au pouvoir, qui doit dès lors le respecter. Les lois édictées par l'autorité politique n'ont force obligatoire que selon leur conformité au droit naturel. Et si les citoyens possèdent par nature certains droits fondamentaux, ces droits ne peuvent être ni octroyés, ni supprimés par la loi.

Le libéralisme, pas une théorie morale complète

Mais le libéralisme, contrairement au socialisme, n'a jamais eu la prétention d'être une théorie morale complète, ni une philosophie de la vie ou du bonheur. Guillaume Bernard se trompe en affirmant que « le libéralisme est un tout », c'est-à-dire une sagesse globale. Il est seulement une théorie politique, incluant une morale politique, qui traite du rôle de la violence et des limites du pouvoir. Puisque les hommes ont des penchants criminels (ce qui rejoint l'idée chrétienne de péché), il faut les empêcher de nuire.
Mais il est également nécessaire de limiter le pouvoir et d'empêcher la tyrannie. Si tous les hommes étaient bons, l'État serait superflu. Mais si, à l'inverse, comme le reconnaissent les libéraux et les conservateurs, les hommes sont souvent malveillants, alors on doit supposer que les agents de l'État eux-mêmes, qui détiennent le monopole de la violence, constituent une menace potentielle. C'est Locke contre Hobbes, Constant contre Rousseau.
Par conséquent, ce qu'un individu n'a pas le droit de faire : voler, menacer, tuer, un État n'a pas le droit non plus de le faire. Si le fait de spolier autrui est immoral pour un individu, cela vaut également pour ceux qui exercent l'autorité politique. Les libéraux pensent que le commandement biblique « Tu ne voleras pas » s'applique à tous sans exception. Il s'agit d'une éthique universelle qui s'applique également aux institutions sociales. Un vol reste un vol, même s'il est légal.

L'individu, seul agent moral

Il faut également entendre la défense libérale de l'individu en ce sens que celui-ci est le seul agent moral. Les notions de bien et de mal moral, de droits et de devoirs n'ont de sens que pour des personnes singulières, non pour des collectivités abstraites. Seul l'individu humain agit, pense, choisit, seul il est sujet de droit. Ainsi parler de « droits des homosexuels » n'a pas de sens, pas plus que de parler de « droits des catholiques ». L'égalité des droits ne peut être fondée que sur l'appartenance à l'espèce humaine et non sur l'appartenance à une communauté ou à un groupe collectif.
Enfin et surtout, il n'est pas possible de comprendre l'essence de la philosophie politique libérale, si on ne comprend pas qu'elle a toujours été historiquement définie par une rébellion authentique contre l'immoralité de la violence étatique, contre l'injustice de la spoliation légale et du monopole éducatif ou culturel.

Une anthropologie réaliste

Mais ce qui différencie les libéraux des utopistes c'est qu'ils n'ont pas pour but de remodeler la nature humaine. Le libéralisme est une philosophie politique qui affirme que, en vertu de la nature humaine, un système politique à la fois moral et efficace ne peut être fondé que sur la liberté et la responsabilité. Une société libre, ne mettant pas de moyens légaux à disposition des hommes pour commettre des exactions, décourage les tendances criminelles de la nature humaine et encourage les échanges pacifiques et volontaires. La liberté et l'économie de marché découragent le racket et encourage les bénéfices mutuels des échanges volontaires, qu'ils soient économiques, sociaux ou culturels.
Quiconque a lu un peu les libéraux, anciens ou modernes, Turgot, Say, Bastiat, Mises ou Hayek, sait en effet, que pour eux 1° l'intérêt personnel ne peut se déployer librement que dans les limites de la justice naturelle et 2° le droit ne se décide pas en vertu d'un contrat, mais se découvre dans la nature même de l'homme, animal social, doué de raison et de volonté. On est alors très loin de la caricature donnée par l'article de Guillaume Bernard.

Les entrepreneurs anticipent les besoins des consommateurs

Les libéraux, il est vrai, accordent à l'intérêt une large place dans le développement de ce monde. Mais ils voient en lui le plus puissant et le plus efficace des stimulants lorsqu'il est contenu par la justice et la responsabilité personnelle. Le fait que les entrepreneurs soient avant tout guidés par leur intérêt, loin de conduire à l'anarchie, permet de canaliser les intérêts. Cela les oblige à prendre en compte et à anticiper les besoins des consommateurs. Pour réussir il faut être à l'écoute des besoins de la société.
En revanche, l'un des objectifs principaux des socialistes est de créer (en pratique par des méthodes violentes) un homme nouveau acquis au socialisme, un individu soumis dont la fin ultime serait de travailler au service du collectif. Pour les socialistes, en effet, les hommes ne sont que des matériaux inertes qui ne portent en eux ni principe d'action, ni moyen de discernement.

Partant de là, il y aura entre le législateur et l'humanité le même rapport qu'entre le potier et l'argile. La loi devra façonner les hommes en fonction d'une idéologie imposée d'en haut. Comme le dit bien Jean-Paul II, « Là où l'intérêt individuel est supprimé par la violence, il est remplacé par un système écrasant de contrôle bureaucratique qui tarit les sources de l'initiative et de la créativité. » (Jean-Paul II, Centesimus Annus, 1991).
De fait il y a beaucoup plus d'avidité et de cupidité dans le socialisme que dans le libéralisme. Dans une économie socialiste, il n'y a que deux moyens d'obtenir ce qu'on désire : le marché noir, ou la combine politique. Dans une économie de marché libre, la façon la plus efficace pour les personnes de poursuivre leur amour de la richesse est de servir les autres en proposant des biens utiles et à bon prix.

La propriété privée c'est la protection des plus faibles

La propriété est d'abord une condition nécessaire à ce que le philosophe Robert Nozick appelle « l'espace moral » de la personne. La nature morale de l'être humain exige que la liberté de choix soit protégée pour que chacun puisse exercer pleinement son jugement et ses responsabilités. Et cet objectif de protéger cet espace moral de choix individuel, est mieux servi par une société de libre marché, qui respecte la propriété. Notre tâche principale est d'agir de façon optimale, c'est-à-dire à réaliser notre nature humaine, aussi complètement que possible dans les circonstances de notre vie. Et seule une société libre, qui protège le droit de propriété, peut permettre d'atteindre cet objectif. La propriété est aussi ce qui permet un comportement « prudent » (au sens de la vertu morale) vis-à-vis du monde naturel et social. Enfin et surtout, elle bénéficie aux pauvres car elle leur permet d'utiliser leurs dons et leurs compétences dans un marché ouvert à la concurrence.
Dans le christianisme, l'homme est appelé à servir les autres, spécialement les plus faibles. Or la meilleure façon, la plus productive et la plus juste, d'aider les pauvres est précisément la liberté pour chacun d'exercer la profession ou l'activité de son choix. Une société libre est une société dans laquelle chacun est libre d'utiliser les informations, même imparfaites, dont il dispose sur son environnement pour poursuivre ses propres fins.

Des possibilités très grandes de sortir de la pauvreté

Certes, dans une société libre, les revenus sont inégaux, mais les possibilités qu'ont les gens de se sortir de la pauvreté extrême sont très grandes parce qu'on peut gagner en servant les intérêts d'autrui et que la richesse des uns bénéficie, à terme, aux autres. Le libre marché est un formidable mécanisme naturel de redistribution des richesses car c'est un jeu à somme positive, l'échange est gagnant-gagnant quand il est consenti.
Enfin, l'économie de marché libre est un système qui permet de ce fait à la philanthropie de s'exercer mieux que dans tout autre système. Chaque être humain a une obligation morale d'assistance à l'égard de ceux qui sont atteints par le malheur. Mais on ne donne que ce qui est à soi. C'est le respect du droit de propriété qui rend possible la charité.

L'égoïsme dans la nature humaine

En conclusion, l'égoïsme n'est pas dans le libéralisme, comme semble le croire Guillaume Bernard, il est dans la nature humaine. Le libéralisme explique seulement que l'intérêt personnel, canalisé par le droit, peut servir le bien commun de façon plus efficace et plus juste que la contrainte de la loi.
En effet, le principe qui a été découvert progressivement au cours de l'histoire occidentale et qui a été mis en lumière par les penseurs libéraux classiques, c'est que la liberté individuelle est créatrice d'ordre, mieux que n'importe quelle solution bureaucratique imposée d'en haut par la coercition. Et cela est vrai, non seulement sur le plan politique mais aussi sur le plan économique. L'allocation des ressources par le libre jeu de l'offre et la demande est la réponse la plus productive et la plus efficace aux besoins humains. Mais c'est aussi le seul système économique compatible avec une vision morale et religieuse de l'homme, fondée sur le droit naturel, c'est-à-dire sur l'idée que les gens ont, par définition, du fait même de leur présence sur terre, des droits qu'il est immoral et injuste pour quiconque de violer.

L'État moderne, grand prédateur

Libre à chacun bien sûr de renvoyer dos-à-dos libéralisme et socialisme, comme le fait Guillaume Bernard. Mais encore faudrait-il ne pas tomber dans la vision caricaturale et fausse qu'il fait du libéralisme. Car il est trop facile de fabriquer un homme de paille pour mieux le rejeter ensuite comme quelque chose de vulgaire et d'immoral.
L'État moderne, qu'il soit de droite ou de gauche, est devenu « le grand prédateur », le grand confiscateur des libertés et des moyens financiers, promoteur d'un moralisme sans fondement, le tout au profit d'une mafia de rentiers de la politique. Or seuls les libéraux ont pu, dans le passé récent s'opposer à cette croissance apocalyptique. Et ce ne sont pas les chrétiens sociaux, ni les réactionnaires, tous tentés par la forme moderne de socialisme qu'est l'étatisme, qui ont pu s'opposer à cette croissance.

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SOURCE : La Tribune.fr

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Traite négrière arabo-musulmane...

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Un autre petit rappel qui a, également, son importance... et qu'il convient de dédicacer à Madame Taubira...

 

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A propos...

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Petit rappel qui a son importance...

 

 

 

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21/07/2015

John Martin : La chute de Babylone, 1 mai 1835 (Gravure Mezzotinte)

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John Martin

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18/07/2015

Avec l'argent public...

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Voici le type de sympathique personnage (oeil espiègle, regard empli d'intelligence, coeur débordant d'amour et de paix) que la chaine de télé publique, France 2, a invité hier soir pour son émission spéciale "Nuit du Ramadan", avec votre argent bien entendu. Medine est un islamiste qui prône le jihad et est contre la laïcité ! Pour s’en convaincre, il suffit de regarder son clip "Don’t laïk" sur YouTube. Medine invite par exemple à "crucifier tous les laicards" ! Je vous épargne tout autre commentaire et vous laisse à vos méditations... 

 


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L'éducation... y'a qu'ça d'vrai !

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Il faut prendre soin de l'enfance ! Une bonne éducation, c'est important ! ça prépare l'avenir ! 

 


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Marseille, Ramadan 2015

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 Tout va bien, camarades, dormez tranquilles ! 

 


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16/07/2015

Cette petite hésitation du destin, ce tremblement d’aiguille

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« — Oui, on ne peut qu’être saisi à l’idée de cette légère entaille par où passe la pointe du destin, de ce moment où ce qu’on appelle le fléau de la balance commence à pencher. Les hommes que l’on juge en ce moment, j’imagine qu’ils ont dû commencer à ressentir, assez horriblement, ce frisson-là, au cour d’un certain été, — et d’autant plus horriblement qu’il leur fallait supporter autour d’eux l’allégresse, le renouveau d’espoir de tout un peuple. c’est à partir de ce moment qu’on a pu faire la somme de leur courage. comme chaque date, comme chaque évènement résonnait au fond d’eux : le débarquement en Sicile, l’effondrement de l’Italie, Stalingrad !...
— Vous vous intéressez beaucoup à la psychologie... insinua Irène.
— Un siècle après, cela devient poésie. Je pense à ce moment précis où la "chance" tourne, où l’aiguillon commence à chatouiller la peau de ceux qui jusque-là l’avaient regardé s’enfoncer dans la peau des autres. Cela a la précision, la fatalité d’un mécanisme d’horlogerie. Rien de moins fatal, bien entendu. Je nous revois encore, Hersent et moi, écoutant l’étonnante scène de Richard III où... Ce partage entre les bons et les méchants, enfin reconnus pour ce qu’ils sont, cette alternance des voix : Vivez et fleurissez... Désespère et meurs... Oh, ce Despair and die ! Si vous aviez entendu cela comme nous !... Mais laissons le théâtre ; que cherchions nous ? La ligne de clivage entre l’ambition et la candeur. Supposons que l’homme ait réussi : le voici puissant, assis dans quelque ministère, à sa table d’acajou bordée de cuivre, devant l’inévitable vase de Sèvres qui trône au milieu de la cheminée et deux ou trois choses sur sa table, destines à impressionner, ou bien le vide complet et un tout petit bloc-notes sur lequel il laisse tomber de temps à autre un signe distrait. Il reçoit, éconduit, fait attendre, décide, change le monde, envoie d’autres hommes en prison, ou au gibet. Mais il y a eu cette petite hésitation du destin, ce tremblement d’aiguille. Le destin a tourné. L’homme n’y pouvait plus rien, dès l’instant où il avait choisi. En une nuit, il est devenu un traitre. On va le prendre, lui lier les mains, l’attacher à un poteau, fixer un bandeau sur ses yeux, — tandis qu’il pense aux petites photos d’amateur qu’il a glissées dans la poche de sa veste : tout ce qui lui reste d’une vie. »

Paul Gadenne, La Plage de Scheveningen

 

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Tout perdre, ou tout gagner...

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« — Ce qui caractérise notre temps, reprit Hersent, et notre combat, c’est précisément cette croyance au bien ou au mal; c’est que, quoi que nous fassions, nous nous rangeons forcément dans un camp…...
— Alors, tout le bien d’un côté et tout le mal de l’autre ? dit Arnoult. C’est ce que tu crois ?
— Il y a un choix qu’on n’élude pas, répliqua Hersent. Nos petits soldats de plomb, comme tu dis, dont voici les tombes, n’avaient pas à se poser la question. Le problème n’existait pas pour eux. Pour nous il est clair et il devient même banal de dire que nous sommes entrés dans le temps des guerres de religion, et tout homme est marqué d’un signe, d’après lequel il doit vivre ou périr. Il faut choisir ce signe, et tout homme sera jugé non d’après les vertus qu’il aura déployées dans son action, mais d’après le signe qu’il aura choisi.
— Alors, comme ceux-ci ont été heureux !
— Moins que nous ! Réfléchis. C’est vraiment aujourd’hui qu’on se bat pour quelque chose. Pas seulement pour prendre ou garder la terre, tu comprends, mais pour l’organiser.
— Du moins n’était-on pas déshonoré alors par le fait de mourir d’un coté plutôt que de l’autre.
— Le déshonneur, mais voyons, c’est le plus beau risque ! Tout perdre, ou tout gagner. Ce qui sera impossible désormais, ce sera de rester dans l’entre-deux, tu comprends. Ce qui est en train de mourir, mon petit, c’est la neutralité. Un homme qui reste neutre, c’est un homme qui pourrit. Jamais aucun feu ne brûlera en son souvenir. »

Paul Gadenne, La Plage de Scheveningen

 

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Les premières minutes d’une rencontre

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« On m’avait assez dit, avant, que nous ne vivions pas pour quelques minutes exceptionnelles : mes rapports toujours incomplets, toujours fulgurants, avec les êtres, m’avaient persuadé du contraire, et je savais qu’il faut édifier sa vie sur des éclairs. On m’avait dit que les êtres changent, qu’une année, que dix années les changent, les marquent, les creusent, qu’on ne retrouve jamais ceux qu’on a quittés, — mais j’avais retrouvé Stéphane enfoncé dans ses habitudes et ses cache-nez, José dans son éternel pardessus, et Irène non pas avancée dans l’épaisse matière des années, mais reculée, rajeunie, libérée : et j’avais eu tout à coup l’impression, en la conduisant à travers ce bois, vers la grande bâtisse qu’on m’avait signalée à la lisière, de vivre les premières minutes d’une rencontre. »

Paul Gadenne, La Plage de Scheveningen

 

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Il n'y a rien qui ressemble à un serment de fidélité multiple

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« La civilisation n'a pas le moindre besoin de noblesse ou d'héroïsme. Ces choses-là sont des symptômes d'incapacité politique. Dans une société convenablement organisée comme la nôtre, personne n'a l'occasion d'être noble ou héroïque. Il faut que les conditions deviennent foncièrement instables avant qu'une telle occasion puisse se présenter. Là où il y a des guerres, là où il y a des serments de fidélité multiples et divisés, là où il y a des tentations auxquelles on doit résister, des objets d'amour pour lesquels il faut combattre ou qu'il faut défendre, là, manifestement, la noblesse et l'héroïsme ont un sens. Mais il n'y a pas de guerres, de nos jours. On prend le plus grand soin de vous empêcher d'aimer exagérément qui que ce soit. Il n'y a rien qui ressemble à un serment de fidélité multiple ; vous êtes conditionné de telle sorte que vous ne pouvez vous empêcher de faire ce que vous avez à faire. Et ce que vous avez à faire est, dans l'ensemble, si agréable, on laisse leur libre jeu à un si grand nombre de vos impulsions naturelles, qu'il n'y a véritablement pas de tentations auxquelles il faille résister. Et si jamais, par quelque malchance, il se produisait d'une façon ou d'une autre quelque chose de désagréable, eh bien, il y a toujours le soma qui vous permet de prendre un congé, de vous évader de la réalité. Et il y a toujours le soma pour calmer votre colère, pour vous réconcilier avec vos ennemis, pour vous rendre patient et vous aider à supporter les ennuis. Autrefois, on ne pouvait accomplir ces choses-là qu'en faisant un gros effort et après des années d'entraînement moral pénible. A présent, on avale deux ou trois comprimés d'un demi-gramme, et voilà. Tout le monde peut être vertueux, à présent. On peut porter sur soi, en flacon, au moins la moitié de sa moralité. Le christianisme sans larmes, voilà ce qu'est le soma. »

Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes

 

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Une nouvelle forme de totalitarisme non violent

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« [...] par le moyen de méthodes toujours plus efficaces de manipulation mentale, les démocraties changeront de nature. Les vieilles formes pittoresques - élections, parlements, hautes cours de justice - demeureront mais la substance sous-jacente sera une nouvelle forme de totalitarisme non violent.

Toutes les appellations traditionnelles, tous les slogans consacrés resteront exactement ce qu’ils étaient au bon vieux temps, la démocratie et la liberté seront les thèmes de toutes les émissions radiodiffusées et de tous les éditoriaux mais […] l’oligarchie au pouvoir et son élite hautement qualifiée de soldats, de policiers, de fabricants de pensée, de manipulateurs mentaux mènera tout et tout le monde comme bon lui semblera. »

Aldous Huxley, Retour au meilleur des mondes - 1959

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14/07/2015

Le Grand Secret de l'Islam

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Fichier PDF à lire de bout en bout... et à faire circuler intensément autour de vous...

 

 

LE GRAND SECRET DE L'ISLAM.PDF

 

 

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Sorry to Interrupt...

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