Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/08/2014

Ceci n'est plus une femme...

=--=Publié dans la Catégorie "Gender..."=--=

 


Cliquez sur la photo

20:00 Publié dans Gender... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

L'individu libre

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves Libérales"=--=

 


Cliquez sur la photo

18:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

La nation préexiste au nationalisme

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Les cités humaines sont soumises à la loi du temps. Il faut des siècles de patience pour que naisse une nation. Réciproquement, s’il fut un temps où il n’y avait pas encore de France, peut-être en viendra-t-il un où il n’y aura plus, dans la mémoire de l’homme, que la trace lumineuse de son passage. C’est ce qui confère, aux yeux des nationalistes français, son tragique à la politique. Il n’est sans doute pas vrai que chaque conscience poursuit la mort de l’autre. Le spectacle de l’histoire n’est sans doute pas très édifiant, et les âmes sensibles en éprouvent de l’horreur. Devant tant de crimes et de guerres, il est des moments où l’on subit la tentation de la solitude. Si nous étions les habitants d’une île bienheureuse, comme le rêvait Fénelon, il nous serait peut-être permis, d’y céder, mais chaque peuple est environné d’ennemis, occupés à retourner contre lui ses fautes. Si le groupe humain auquel nous appartenons, la nation pour nous autres Français, s’affaiblit par notre faute, nous serons solidaires de son malheur et, sinon nous, nos enfants. Que survienne un désastre, parce que nous aurons préféré notre intérêt particulier, notre confort ou nos passions idéologiques au bien de la nation, nous serons jetés sur les routes de l’exode, réquisitionnés comme du bétail par l’occupant, frustrés de notre honneur et aussi bien des joies les plus humbles. Le nationalisme français ne veut être rien d’autre que l’art de lutter contre la mort de la nation. D’autant que tout ce qui affaiblit ou diminue la France atteint chaque Français dans son particulier, mais aussi le genre humain pris en tant que corps. Les nationalismes français sont en effet convaincus que notre nation possède une mission de caractère universel, car elle est pétrie de tradition catholique. Ce n’est pas en vain qu’elle fut nommée la fille aînée de l’Eglise. Encore faut-il qu’elle ne soit pas infidèle à son passé. Dans la mesure où elle renie les héros et les saints qui l’ont fondée, elle trahit sa vocation et, du même coup, perd son rayonnement et sa force. Ainsi l'attachement à la nation, loin d’être contradictoire avec un sentiment œcuménique, le soutient. La France est la nation croisée ou elle n’est pas.

  Non que les nationalistes français fassent de la nation un absolu, une manière d’idole. Bien au contraire, ils insistent sur son caractère contingent. Sans la volonté patiente et tenace de la dynastie capétienne, il n’y aurait pas eu de nation, car aucun impératif de la géographie ou de la race n’imposait sa constitution. Rien donc, dans une certaine mesure, de plus relatif que la nation. Rien non plus de plus nécessaire, puisqu’il ne nous appartient pas d’être autre chose que ce que l’Histoire nous a faits.

  Cette France, dont nous sommes les héritiers, s’est historiquement constituée en nation. Il aurait pu en être autrement. C’est un fait, cependant, contre lequel il n’est pas permis d’aller sans manquer à la piété envers les ancêtres.Si, demain, la France cessait d’être une nation, elle cesserait d’être. Aucun de nous n’a le droit de décider que la nation ne sera plus.

  Le nationalisme français se veut donc uniquement de conservation. Il refuse toute volonté d’impérialisme, tout dessein agressif. Il s’agit pour lui de maintenir l’œuvre des pères. C’est qu’en effet, dans un pays comme la France, la nation préexiste au nationalisme. Il a fallu, pour la forger, plus d’un millénaire. Pas davantage, il n’est fait de mépris ou d’hostilité pour les autres peuples. Se reconnaître héritier d’une certaine Histoire, c’est admettre qu’il y a d’autres héritages et des Histoires différentes. Pas plus que nous n’admettons d’être dépossédés, nous ne concevons de déposséder. Le respect d’autrui nous conduit à admettre que les nations n’obéissent pas à la même règle de constitution. Une raison unique ne gouverne pas les empires. »

Louis Daménie, La cathédrale effondrée (Ouvrage Collectif : 5 essais par Henri Massis, Pierre Debray, Louis Daménie)

 

 

16:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

L’insurgé qui meurt pour une idée qu’il a faite sienne

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Quand dit-on qu’un homme a mis sa vie en ordre ? Il faut pour cela qu’il se soit mis d’accord avec elle et qu’il ait conformé sa conduite à ce qu’il croit vrai. L’insurgé qui, dans le désordre de sa passion, meurt pour une idée qu’il a faite sienne, est en réalité un homme d’ordre parce qu’il a ordonné toute sa conduite à un principe qui lui paraît évident. Mais on ne pourra jamais nous faire considérer comme un homme d’ordre ce privilégié qui fait ses trois repas par jour pendant toute une vie, qui a sa fortune en valeurs sûres, mais qui rentre chez lui quand il y a du bruit dans la rue. Il est seulement un homme de peur et d’épargne. Et si l’ordre français devait être celui de la prudence et de la sécheresse de cœur, nous serions tentés d’y voir le pire désordre, puisque, par indifférence, il autoriserait toutes les injustices. »

Albert Camus, article paru dans « Combat - 12 octobre 1944 »

 

12:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Reconstruire lentement un homme nouveau

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Il est clair que vainqueurs et vaincus sont désormais sur le même plan et que le seul résultat de la Deuxième Guerre mondiale a consisté à rabaisser l’Europe au rang d’objet de puissances et d’intérêts extraeuropéens. Il faut d’ailleurs reconnaître que la dévastation qui nous entoure est de caractère essentiellement moral. Nous sommes dans une atmosphère d’anesthésie morale générale, malgré tous les mots d’ordre en usage dans une société de consommation et démocratique : le fléchissement du caractère et de toute dignité vraie, le marasme idéologique, la prédominance des intérêts les plus bas, la vie au jour le jour, voilà ce qui caractérise, en général, l’homme de l’après-guerre. Reconnaître cela, signifie aussi reconnaître que le premier problème, au fondement de tous les autres, est de nature intérieure : se relever, renaître intérieurement, se donner une forme, créer en soi-même ordre et droiture. Ceux qui s’illusionnent, aujourd’hui, sur les possibilités d’une lutte purement politique et sur le pouvoir de telle ou telle formule, de tel ou tel système, qui n’auraient pas pour contrepartie précise une nouvelle qualité humaine, ceux-là n’ont rien appris des leçons du passé récent. Il est un principe qui, aujourd’hui plus que jamais, devrait être d’une évidence absolue : si un État possédait un système politique et social qui serait, en théorie, le plus parfait, mais si la substance humaine était tarée, eh bien cet État descendrait tôt ou tard au niveau des sociétés les plus basses, alors qu’un peuple, une race capable de produire de vrais hommes, des hommes à l’intuition juste et à l’instinct sûr, attendrait un haut niveau de civilisation et résisterait aux épreuves les plus calamiteuses, même si son système politique était défectueux et imparfait. Qu’on prenne donc nettement position contre le faux « réalisme politique », qui ne pense qu’en termes de programmes, de problèmes d’organisation des partis, de recettes sociales et économiques. Tout cela appartient au contingent, non à l’essentiel. La mesure de ce qui peut encore être sauvé dépend en fait de l’existence, ou non, d’hommes qui se tiennent debout devant nous non pour prêcher des formules, mais pour être des exemples, non pour aller à la rencontre de la démagogie et du matérialisme des masses, mais pour réveiller des formes différentes de sensibilité et d’intérêt. A partir de ce qui peut encore subsister parmi les ruines, reconstruire lentement un homme nouveau , l’animer grâce à un esprit et une vision de la vie bien précis, le fortifier par l’adhésion intransigeante à certains principes – tel est le vrai problème. »

Julius Evola, Orientations

 

07:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

L'utilisation de connaissances dispersées...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves Libérales"=--=

 


Cliquez sur la photo

05:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

22/08/2014

Ceci n'est plus une femme...

=--=Publié dans la Catégorie "Gender..."=--=

 


Cliquez sur la photo

20:00 Publié dans Gender... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

La conception de bien commun dans une société libre

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves Libérales"=--=

 


Cliquez sur la photo

18:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Un peuple qui a besoin d’aimer et ne trouve rien pour satisfaire son amour

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« C’est une terrible pitié que de voir un peuple qui a besoin d’aimer et ne trouve rien pour satisfaire son amour. Il est permis d’interpréter les malheurs de ce pays dans un langage pompeux, en invoquant les courbes de la natalité, l’absence de pétrole ou la recherche d’un idéal. Mais j’ai le sentiment que nos ancêtres, qui faisaient pourtant d’assez grandes choses, ne se torturaient pas pour trouver un idéal : ils l’avaient dans le sang, ou, si l’on veut, à portée de main, en chair et en os, ou en bois sculpté. Le roi de France, Napoléon, le bon Dieu, étaient des êtres de tous les jours, auxquels on pouvait parler, raconter ses affaires sans s’entendre répondre comme le ferait un idéal moderne : "Monsieur, votre honorée du 10 courant nous est bien parvenu. La loi du 8 septembre 1935, modifiée par le décret du 7 Août 1946, vous donne toutes les précisions sur la question. Reportez-vous au journal officiel. Sans doute, les hommes de l’ancienne France connaissaient-ils un grand nombre de lois ; mais ils n’étaient pas perdus dans ces textes comme un écureuil dans sa cage, qui court, affolé, en croyant au progrès parce que le sol bouge sous ses pieds »

Roger Nimier, Le Grand d'Espagne

 

16:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Le néant est à la mode

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Il est temps de nous séparer. Des tâches différentes nous attendent. Où il vous est permis de mépriser, je vais tenter d’oublier. Le premier devoir est de se boucher les oreilles, l’autre est d’imaginer une civilisation.

Amusante ou non, la civilisation nous convient. Elle nous changera d’air. C’est un pari difficile. Par cette difficulté même, elle nous entraînera où nous mènent toujours les personnes sérieuses : au mariage quand nous ne songeons encore qu’au plaisir.

     Si jeunes et déjà civilisés ! Cette idée, à votre place, m’effraierait. Le néant est à la mode. Les démocraties, en tremblant d’aise, y songent comme les vieilles filles songent au séducteur. Elles le voient sous les traits d’un voyou musclé.

     Tout cela, mon père, n’est qu’à moitié votre faute. Une civilisation exige une société et une culture. Vous nous avez transmis la culture, mais il n’y a plus de société. Dire qu’à moins de vingt ans, voilà une question urgente. Quelle barbe !

     Ce problème sera religieux. N’en doutons pas, chaque journal aujourd’hui représente un sacrifice humblement comparable à la messe des chrétiens. Mais ici, c’est l’intelligence qui est crucifiée. Les fidèles, les fidèles lecteurs, s’en frottent les mains.

     Si nous ne trouvons pas cette civilisation, cet état de la grandeur durable où chacun peut aller un peu plus loin parce que les autres ont déjà fait une partie du chemin à sa place – alors nous irons au plus pressé ; pour sortir de cette angoisse, nous retournerons dans la guerre. Car les religions modernes, malgré leur emphase et leurs inquisiteurs nombreux, pèchent par un détail : elles ne sont pas révélées. Leur assurance ne les garde pas d’un doute obscur. Personne ne se fait tuer pour le cinéma, l’hygiène ou les élections cantonales. Voilà l’erreur. Sans martyrs, les religions clament leur peine et ne savent pas vivre. Leur hésitation les oppose. C’est un grand vacillement des vérités ivres mortes. Dans ce temps-là s’avance la jeune barbarie et la seule réponse à tant de questions se nomme la guerre. Dans la guerre, on se sacrifie tout à son aise. Une morale sévère, un ordre, un culte de tous les instants s’imposent aux hommes. Cette conviction est une chose d’importance, au cœur de chacun – et qui saigne pour un faux mouvement.

     Guerre ou civilisation, évidence contre évidence, une génération va choisir. Il y a dans la bassesse des choses une certitude apaisante : c’est qu’elle exige leur conclusion. Notre nature et notre horizon sont limités. Les beaux enfants de la terre n’ont pas mille façons d’expier leurs crimes. Un archange, toujours, se tient à la porte des limbes. Ne craignons rien, il parlera. Il parlera – et, quel que soit son visage, si terrible soit-il, la justice est toujours bonne à prendre. »

Roger Nimier, Le Grand d'Espagne

 

12:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Il ne lui restait en mémoire que la fatigue des bras aiguillonnés par l’orage ou les gelées prochaines

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Alors il se mit à expliquer ce qui n’allait point dans l’agriculture ; comme quoi la terre ne rapportait pas. Combien Edouard Moisan devait s’estimer plus heureux de vivre en ville, “parmi le monde”, avec tous les samedis le salaire qui arrive non pas en blé à couper, en pommes de terre à arracher, mais en bon argent qui tombe directement dans la main, infailliblement, “qu’il mouille ou qu’il vente”. Edouard ne s’en défendit pas, car il était vaniteux ; et les plaintes mi-spécieuses, mi-sincères d’Euchariste le confirmaient dans son sentiment de supériorité, lui, le Moisan de la ville, sur le Moisan de la campagne. Aussi bien, d’ailleurs, n’avait-il jamais regretté la ferme paternelle d’où il s’était évadé à vingt ans pour venir épouser une citadine contre le gré de son père ; en vérité, l’attrait de la ville n’avait pas été pour peu dans sa décision, ainsi qu’un fond de paresse insouciante auquel le travail de boutique convenait mieux que la dure corvée du labour. Jamais il ne songeait à ces satisfactions que sont la joie de soigner un bien qui est à soi, la stimulation des espaces larges, le triomphe des récoltes réussies ; tous agréments qui sont théoriquement vrais mais que, en fait, le paysan perçoit bien rarement, si jamais.

Et moins encore à la beauté claironnante des matins sur les prés humides de rosée, à toute cette poésie agreste que seuls goûtent ceux pour qui rien de tout cela n’est quotidien. Il ne lui restait en mémoire que la fatigue des bras aiguillonnés par l’orage ou les gelées prochaines ; du souci de la moisson menacée par un nuage gonflé de grêle. Certes, la nature champêtre lui paraissait grande, si grande, en vérité, qu’il se sentait annihilé par son immensité même. Il aimait mieux dépendre d’un homme. Et de tout cela il ne regrettait parfois que les longues flâneries de l’hiver. Sa boutique lui donnait un sentiment que son cousin ne pouvait connaître ; celui d’être le maîtres des choses. Non, pas un instant il n’avait regretté la terre. »

Ringuet, Trente arpents

 

07:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Le fait qu'on se serve mal de la liberté individuelle n'est pas une raison pour la restreindre

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves Libérales"=--=

 


Cliquez sur la photo

05:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

21/08/2014

Ceci n'est plus une femme...

=--=Publié dans la Catégorie "Gender..."=--=

 


Cliquez sur la photo

20:00 Publié dans Gender... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

L'économie libre donne aux gens ce qu'ils veulent avoir...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves Libérales"=--=

 


Cliquez sur la photo

18:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Je n'ai pas cru que tes édits pussent l'emporter sur les lois non écrites et immuables des dieux

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« CRÉON : Et ainsi, tu as osé violer ces lois ?
ANTIGONE : C'est que Zeus ne les a point faites, ni la Justice qui siège auprès des dieux souterrains. Et je n'ai pas cru que tes édits pussent l'emporter sur les lois non écrites et immuables des dieux, puisque tu n'es qu'un mortel. Ce n'est point d'aujourd'hui ni d'hier qu'elles sont immuables ; mais elles sont éternellement puissantes et nul ne sait depuis combien de temps elles sont nées. »

Sophocle, Antigone

 

16:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

L’inattendu

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Par la colère, plonge-les dans le désarroi, par l'humilité, dans l'orgueil. Par la fuite, épuise leurs forces, sème la division en leur sein. Prends-les au dépourvu, déplace-toi dans l'inattendu. Sois subtil, jusqu'à l'invisible ; Sois mystérieux, jusqu'à l'inaudible ; Alors tu pourras maîtriser le destin de tes adversaires. »

Sun Tzu, L'art de la guerre

 

12:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Ruse

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Tout l'art de la guerre est basé sur la ruse. Donc, si nous sommes en mesure d'attaquer, nous devons en paraître incapables ; si nous employons nos armées, nous devons paraître inactifs ; si nous sommes proches de l'ennemi, nous devons lui faire croire que nous sommes loin ; et lorsque nous sommes éloignés, nous devons lui faire croire que nous sommes près. Utilisez des appâts pour attirer l'ennemi. Feignez le désordre, et écrasez-le. »

Sun Tzu, L'art de la guerre

 

07:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Se tromper complètement sur la fonction de la liberté...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves Libérales"=--=

 


Cliquez sur la photo

05:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Afghanistan vs Brazil

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

04:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

20/08/2014

Ceci n'est plus une femme...

=--=Publié dans la Catégorie "Gender..."=--=

 


Cliquez sur la photo

20:00 Publié dans Gender... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Dés qu'on ne traite plus la liberté comme le principe suprême

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves Libérales"=--=

 


Cliquez sur la photo

18:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

C’est le jour des révoltes que la vie rentre dans l’ordre

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Il se disait que, si agréables qu’elles soient pour certains, les périodes de paix sociale ne sont pas chose naturelle ni logique, et que c’est le jour des révoltes que la vie rentre dans l’ordre. Quels que puissent être ses excès et ses injustices de détail (lamentables, certes), c’est malgré tout le jour des révoltes que la situation redevient normale et satisfaisante pour l’esprit. »

Henry de Montherlant, Les jeunes filles

 

16:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Celui qui, isolé et privé de sa patrie par la marche de l’univers, se voit enfin livré au néant

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Nous appelons ainsi celui qui, isolé et privé de sa patrie par la marche de l’univers, se voit enfin livré au néant. Tel pourrait être le destin d’un grand nombre d’hommes, et même de tous - il faut donc qu’un caractère s’y ajoute. C’est que le Rebelle est résolu à la résistance et forme le dessein d’engager la lutte, fût-elle sans espoir. Est Rebelle, par conséquent, quiconque est mis par la loi de sa nature en rapport avec la liberté, relation qui l’entraîne dans le temps à une révolte contre l’automatisme et à un refus d’en admettre la conséquence éthique, le fatalisme. A le prendre ainsi, nous serons aussitôt frappés par la place que tient le recours aux forêts, et dans la pensée, et dans la réalité de nos ans. »

Ernst Jünger, Le traité du Rebelle ou le recours aux forêts

 

12:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

38 jours fériés

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Sous l’Ancien Régime, les lois de l’Église garantissaient au travailleur 90 jours de repos (52 dimanches et 38 jours fériés) pendant lesquels il était strictement défendu de travailler. C’était le grand crime du catholicisme, la cause principale de l’irréligion de la bourgeoisie industrielle et commerçante. Sous la Révolution, dès qu’elle fut maîtresse, elle abolit les jours fériés et remplaça la semaine de sept jours par celle de dix. Elle affranchit les ouvriers du joug de l’Église pour mieux les soumettre au joug du travail. »

Paul Lafargue, Le droit à la paresse

 

07:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Tyrannie

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves Libérales"=--=

 


Cliquez sur la photo

05:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook