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11/08/2009

La Bibliothèque

=--=Publié dans la Catégorie "Friedrich Nietzsche"=--=

Nietzsche, cette pauvre idole crépusculaire selon certains, traînait avec lui une malle, lors de ces errances, avec quelques 1000 livres dedans.

 

De quoi en effet élaborer une philosophie de malade mental.

15:24 Publié dans Friedrich Nietzsche | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

In Memoriam

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Ah ! Mon frère des mille et une guerre psychiques traversées ensemble, Bro' Vince, me fait remarquer, par un mail, qu'hier était le Milo's Day. Milo, frangin d'la night aurait dit Léo Ferré. Compagnon de nos dérives adolescentes. Nous aurions pu y rester, Bro' Vince et moi-même, c'est Milo qui y est resté pour nous. Comme s'il avait pris sur ses épaules ce que nous, pourtant loin d'être timides en matière d'autodestruction dans nos jeunes années, n'avions pas osé prendre.


Milo

A l'hôpital, où il se laissait aller face au HIV, ayant déposé les armes depuis longtemps, Milo a demandé à l'infirmière s'il pouvait avoir des pâtes. C'était la seule chose qu'il parvenait à manger depuis des années. Pâtes et laitue. Laitue et Pâtes. Elle est partie lui en chercher et à son retour il était sans vie avec un léger sourire de farceur sur le visage. Une sorte de moue qui disait :"C'est une blague, je t'ai bien eue avec mes pâtes."

Bro' Vince m'a signalé cette chanson de Mike Ness, de son album "Cheating At Solitaire"... cette douleur comme le souffle sanglant d'une aiguille... cette chanson qui va bien à Milo qui est mort il y a longtemps... et qui ne nous quitte pas. D'ailleurs, nous ne voulons pas qu'il nous quitte. Nos souvenirs sont nombreux, notre mémoire a encore un sens. Mais si Dieu existe, j'espère juste qu'il l'a mis, enfin, à l'abri de l'Enfer que fut sa vie.

Bro' Vince : "Une que j'ai oublié, c'était hier, 9 Août 1998, Milo's Day, j'étais aux ménhuires, ce jour là je lui écrivais une carte postale, je l'avais vu quelques semaines avant. Et j'ai appris son décès, à mon retour… No comment…


Alors voilà j'écoutais cet album cet après midi et ce titre m'a sauté à la gueule… Sans prévenir.

Love Brother… Take care.

Vince"

podcast

Dope Fiend Blues

In a police car I feel so very small
I see my lover's face and I watch her teardrops fall
And I try to figure out where I'd fallen off the track
I sold my soul to the devil and then I stole it back

And in the end, you know a dope fiend ain't got no friends
And a junkie is a junkie to the bitter end
Hope to die now, cuz you know I'm better off dead
Hey brother, won't you lend me a helpin' hand?

I tie myself off, shoot it in my veins
I feel like Marlon Brando and I've hid another day's pain
I'm goin' back where it's safe, goin' back to the womb
I find my mother's comfort, here in a needle and spoon

Chorus
And Christmas for a dope fiend ain't no fun
Waitin' for good times that seem to never come
Goin' out now, gonna get myself a gun
Please stop me, don't you know I'm on a run?

Aren't you tired of the detox and the places in the mind?
Aren't you tired of the misery, aren't you tired of doin' time?
And I try to figure out where I'd fallen off the track
You know I sold my soul to the devil and then I stole it back

Chorus
I'm a dope fiend, I'm a liar, a cheat and a thief
At my funeral, won't you bring me a red rose wreath?
Dress in black now, show everyone your grief
Well, I'm gone now, you can all feel relief!

 

En fait, arrive simplement un moment dans la vie où l'on devient quelqu'un connaissant le prix des choses.


Mike Ness

00:59 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

10/08/2009

"Conjecturant une Venise nôtre parmi ces rares lumières"...

=--=Publié dans la Catégorie "Musique : Rêve Vénitien..."=--=

« Lequel de nos mérites passés
oublié bientôt
nous valait le don de Venise
de sa merveille ?
De quelle grande douleur
qui toujours nous attend
nous dédommageait d’avance
avec ce qu’elle était Venise ?

A ces questions ne répondent plus
le dieu des eaux le dieu de la nuit.
Ils sombrent avec les villes
sous notre horizon.

Avec le mal d’une question non posée
d’une réponse non parvenue on va
sur des eaux perpétuellement troublées :
sur des eaux noires qui s’éloignent, une nuit,
conjecturant une Venise nôtre parmi ces rares lumières. (…) »

A Venise avec Biasion, (Etoile Variable), Vittorio Sereni

C’est bien là l’histoire de VENICE. Un appel resté sans réponse. Une possibilité demeurée en suspend. Une torche brulante jetée dans un précipice sans fond en pâture aux forces de l’oubli.

Cellophane.mp3 (Paroles : Boris Bergman/Musique : Franck Schaack-Nebojsa CIRIC-Eric JAMES Guillemain)

 


De gauche à droite : Franck Schaack, Frédéric Laforêt, Eric James, Nebo

07:00 Publié dans Musique : Rêve Vénitien... | Lien permanent | Commentaires (5) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

09/08/2009

Singularité quantique

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

« Dieu n'est pas un "être", personnel ou non. Nietzsche savait que cette notion, pervertie par deux mille ans de platonisme et de rationalisme, n'était plus qu'une vapeur, une volute d'homme moderne. Les juifs, les chrétiens grecs des premiers temps, et même les musulmans (si l'on considère Allah comme la contraction du mot d'origine sémitique signifiant Dieu, Elohim, et l'article al), ont toujours dit "le Dieu", ils ne s'adressaient pas à Dieu, comme à une sorte d'être singulier, mais au Dieu, comme figure intemporelle et aspatiale de l'Unique, de l'Irreprésentable.

Dieu, c'est l'être. En tant que force toujours active et constamment créatrice, et surtout autocréatrice. C'est donc l'être comme fonction ontologique du devenir, et surtout des surpassements atemporels, quand le Temps tout entier devient unité de conscience, quantum de l'Esprit ainsi éveillé à Sa Présence.

Autant dire qu'Il est partout, et nulle part, ce qui revient au même pour une "singularité quantique" qui a tenté de créer un processus cosmobiologique capable de faire émerger la conscience, au sens noble, c'est-à-dire cet être, précisément, je ne parle pas d'un "Être" suprême et suprêmement rationnel - Sa Royauté trône bien au-delà de toutes ces conceptions vulgaires -, mais cet être comme moment de singularité quantique, à la fois destructrice et créatrice, surpassant la conscience, au coeur de ce petit organe encore bien rudimentaire qui tient lieu à certains d'entre nous de cerveau. » Le théâtre des opérations II, Laboratoire de catastrophe générale, Maurice G. Dantec

"Sa Royauté trône bien au-delà de toutes ces conceptions vulgaires." J'ai aussitôt envie d'ajouter : "Par-delà Bien et Mal !"

23:23 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (15) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

"Le premier de la classe disparu, ne restent que les cancres."

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

Les pauvres illuminés de La Question se déchaînent contre Nietzsche avec leur suffisance sûre d'elle-même.

Il leur faut leur dose de haineuses lourdeurs déversées sur Fredo les bacantes (comme l'appelle l'ami Restif) histoire de laver l'affront que le penseur a fait à leur semblant de religion sombre, poussiéreuse et doloriste. Ils opposent Heidegger à Nietzsche. Ou défendent Wagner contre le moustachu qu'ils considèrent comme un nihiliste. Nietzsche, nihiliste. C'est l'hôpital qui se fout de la charité.

Wagner, passées ses très belles introductions : LOURDEUR, NEVROSES, HYSTERIES, BRUME GERMANIQUE GRATUITE, paganisme christianisé pour le bonheur des croyants de peu de FOI. Je sais, je suis méchant, mais je le pense. Vive Mozart et Bach, définitivement.

 

 

 

Rimbaud : « Je suis un inventeur bien autrement méritant que tous ceux qui m'ont précédé ; un musicien même, qui ai trouvé quelque chose comme la clef de l'amour. »

« Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité du monde. » Martin Heidegger, "Shelling" (Semestre d'été 1936)

Dans un texte daté de 1974, sur le tard donc, Heidegger posait la question essentielle : « Entendons-nous avec suffisante clarté, dans le Dit de la poésie d'Arthur Rimbaud, ce qu'il a tu ? Et voyons-nous là, déjà, l'horizon où il est arrivé ? »

Mais on peut s'amuser. Oui oui oui. Trois fois "oui" comme la Trinité :

-- Rimbaud : « Ô le plus violent Paradis »

--Hölderlin :

« C'est cela qu'il nous faut comprendre
Tout d'abord. Car les noms depuis le Christ sont pareils
Au souffle du matin. Ils se font rêves. Ils tombent comme l'erreur
Sur notre coeur et tuent, s'il n'est personne
Pour scruter leur nature et les comprendre. »

-- Nietzsche : « Il nous faut être nous-mêmes, comme l'est Dieu, justes, gracieux, solaires envers toutes choses et les créer toujours nouvelles telles que nous les avons créées. »

-- Heidegger, enfin : « Que Dieu et le divin nous manquent, c'est là une absence. » Et le souabe poursuit comme un Kabbaliste juif, je ne blague pas : « Seulement l'absence n'est pas rien, elle est la présence -- qu'il faut précisément s'approprier d'abord -- de la plénitude cachée de ce qui a été et qui, ainsi rassemblé, est : du divin chez les grecs, chez les prophètes juifs, dans la prédication de Jésus. Ce "ne plus..." est en lui-même un "ne... pas encore", celui de la venue voilée de son être inépuisable »

Sollers, espiègle : « Car enfin, Dieu est-Il mort ? A demi vivant ? A naître ?
Et si ces trois questions n'en formaient qu'une ? »

A nouveau, Heidegger en 1946, au lendemain de la guerre, l'Allemagne n'est que champs de ruines, l'Allemagne et l'Europe : « C'est seulement dans le cercle plus vaste de ce qui est sauf, que peut apparaître le sacré. Parce qu'ils appréhendent la perdition en tant que telle, les poètes du genre de ces plus risquants sont en chemin vers la trace du sacré. Leur chant au-dessus de la terre sauve ; leur chant consacre l'intact de la sphère de l'être. » Voilà qui, personnellement, m'illumine plus que toutes les formalités théologiques chez Zak, Radek & co. Heidegger poursuit : « La détresse en tant que détresse nous montre la trace du salut. Le salut évoque le sacré. Le sacré relie le divin. Le divin approche le Dieu. Ceux qui risquent le plus appréhendent, dans l'absence de salut, l'être sans abri. Ils apportent aux mortels la trace des dieux enfuis dans l'opacité de la nuit du monde. »

Il y a une telle charge de Vérité dans cela, que je le répète pour le plaisir des intelligents et le malheur des imbéciles : « Ceux qui risquent le plus appréhendent, dans l'absence de salut, l'être sans abri. Ils apportent aux mortels la trace des dieux enfuis dans l'opacité de la nuit du monde. » Et Nietzsche a risqué beaucoup, bien plus, même, que Heidegger.

Il est curieux que Claudel après sa découverte des "Illuminations" de Rimbaud, dira avoir découvert l'innocence enfantine de Dieu.

L'innocence enfantine de Dieu ? Ainsi Hallâj, le mystique arabe, condamné à mort, fouetté, mis en charpie, crucifié puis décapité par les barbus de son temps pour "hérésie" qui eut ses extases charnelles, spirituelles et sémantiques : « Celui qui me convie, et qui ne peut passer pour me léser, m'a fait boire à la coupe dont Il but tel l'hôte traitant son convive. Puis, la coupe ayant circulé, il a fait apporter le cuir du supplice et le glaive. Ainsi advient de qui boit le vin, avec le Lion, en plein été. »

Ou lorsque Hallâj se promène avec l'un de ses disciples le long d'un mur derrière lequel une musique surgit. Le disciple demande : « Qu'est ce que ceci, Maître ? » en extase d'entendre la flûte délicate dériver et le rejoindre dans sa dérive. Et Hallâj lui répond : « C'est Satan qui pleure sur la beauté du monde. »

C'est un curieux cénacle, parallèle, unique et toujours recommencé qui se créé par-delà les clivages raciaux et culturels, pour embraser et embrasser des âmes qui disent l'essentielle ardeur qui va par-delà les retenues de rigueur chez les grenouilles et les crapauds de bénitiers. Ô misère, je crois que si Dieu est, il trouve déjà bien des bontés chez tous ces dépravés de la quête qui ont tous posé le doigt sur quelque chose de primordial qui les dépasse et les pousse loin devant, loin au-dessus.

Heidegger : « Seulement à partir de la vérité de l'être se laisse penser le déploiement du sacré. Seulement à partir du déploiement du sacré peut se penser le déploiement de la divinité. Seulement dans l'illumination du déploiement de la divinité peut être pensé et dit ce que la parole "Dieu" doit nommer. »

Et je finirais par Jean Cocteau : « Mille neuf cent est l'année terrible. Nietzsche meurt. Le premier de la classe disparu, ne restent que les cancres. »

 

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Autre temps, même moeurs

=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=

Le 24 août 1770, à Londres, se donnait la mort le poète Thomas Chatterton. Il avait 17 ans.

« Ô mon âme, exerce ton pouvoir, adore ;
Envole-toi sur les ailes de la dévotion
Pour célébrer la journée :
Le Dieu qui créa le ciel et la terre
Animera ma langue reconnaissante ;
Et grâce à lui j’attraperai le profane. »

Changeons les géographies internes, les topographies mentales et c’est la même histoire sans fin qui se répète : un cœur absolu veut s’embraser d’être simplement là où il est et célébrer humblement le jour qui commence comme un chant surgissant du lieu même où se jette impétueusement le fleuve dans l’océan. Le bonheur d’une singularité non entendu par la meute de la foule, ou pire, trop bien entendu.

07:00 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (2) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

08/08/2009

John Rhys-Davies, un honnête homme.

=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=

 

Un acteur de la trilogie du Seigneur des anneaux se lâche.

 

John Rhys-Davies : "There is a demographic catastrophe happening in Europe that nobody wants to talk about, that we daren’t bring up because we are so cagey about not offending people racially. And rightly we should be. But there is a cultural thing as well… By 2020, fifty percent of the children in the Netherlands under the age of 18 will be of Muslim descent… And don’t forget, coupled with this there is this collapse of numbers. Western Europeans are not having any babies. The population of Germany at the end of the century is going to be 56% of what it is now. The populations of France, 52% of what it is now. The population of Italy is going to be down 7 million people."

Source

 

Il a précisé : "When I look at contemporary Islam, I see homophobia, forced conversion, genital mutilation, slavery, two million people being put to death in Sudan because of their religion".

"Fundamental Islamism is a particularly brutish and unpleasant form of fascism."

Source

 

 

Voyez aussi ce lien en français : "J’enterre tellement ma carrière avec ces interviews que c’en est douloureux. Mais je pense qu’il y a certaines questions qui demandent des réponses sincères.

Je pense que ce que dit Tolkien, c’est que certaines générations seront confrontées à des défis. Et que si elles ne se redressent pas pour faire face à ces défis, elles perdront leur civilisation. C’est quelque chose qui a une réelle résonance en moi.

J’ai eu le passé idéal pour devenir acteur. J’ai toujours été un étranger. J’ai grandi en Afrique au temps des colonies. Et je me souviens qu’en 1955, quelque part entre la fin juillet, quand les vacances scolaires commençaient, et la mi-septembre, quand elles se terminaient, mon père m’a emmené sur les quais du port de Dar-Es-Salam. Il m’a montré du doigt un dhow (Petit bateau arabe à une voile) dans le port et m’a dit, « Tu vois ce dhow là ? Il vient d’Aden deux fois par an. Il fait escale ici puis poursuit vers le sud. En descendant la côte, il contient des machines et du fret. En remontant, il transporte deux ou trois gamins noirs. Vois-tu, ces enfants sont des esclaves. Et les Nations Unies ne me laissent rien faire à leur sujet. »

La conversation se poursuivit. « Vois, mon garçon. Il n’y aura pas de guerre mondiale entre la Russie et l’Ouest. La prochaine guerre mondiale se fera entre l’Islam et l’Occident. »

C’était en 1955 ! Je lui ai dit, « Papa, tu es fou ! Les croisades sont finies depuis des siècles ! »

Et il m’a répondu « Oui, je sais ; mais l’Islam militant se lève à nouveau. Et tu le verras durant ta vie. »

Ca fait maintenant quelques années qu’il est mort. Mais il n’y a pas un jour qui passe sans que je pense à lui et que je me dise, « Bon Dieu, je voudrais que tu sois encore là, juste pour pouvoir te dire que tu avais raison. »

Ce qui est extraordinaire, c’est qu’un trop grand nombre de vos collègues journalistes ne comprennent pas à quel point la civilisation occidentale est précaire et à quel point elle est précieuse.

Comment sommes-nous parvenus à ce genre de vraie démocratie, comment avons-nous atteint ce niveau de tolérance qui fait que je peux dire quelque chose qui puisse être totalement à l’opposé de ce que vous pensez, vous qui êtes à cette table, mais que vous supporterez néanmoins, et examinerez, et auquel vous répondrez « non, vous avez tort parce que ci et ça » ; et qui fait que je vous écouterai et dirai, « et bien, en fait, peut-être que j’ai tort parce que ci et ça ».

[Il se tourne vers une journaliste et adopte une voix autoritaire, comme pour jouer le personnage d’un islamiste radical :] « Vous ne devriez pas être dans cette pièce, puisque votre mari ou votre père ne sont pas ici pour vous accompagner. Vous ne pouvez donc être dans cette pièce avec ces inconnus qu’à des fins immorales. »

Ce que je veux dire… L’abolition de l’esclavage est issue de la démocratie occidentale ; de cette vraie démocratie qui vient de notre expérience gréco-judéo-christiano-occidentale. Si nous perdons ces choses, c’est une catastrophe pour le monde."

16:53 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (10) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Mort d'un dandy

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=


Willy Deville (27 août 1953-6 août 2009)

Mort d'un dandy...

 

 

Rest in Peace...

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04/08/2009

Devin Townsend

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Vous connaissez Devin Townsend ? Et bien c'est le moment de le découvrir. Non content d'avoir enregistré avec le grandiose Steve Vai, Devin mène en même temps, et de main de maître, à la fois un projet solo et un groupe, Strapping Young Lad...

 

 

Et un peu de brutalité pour terminer...

Et quand il tourne dans des petites salles intimistes, seul en acoustique, cela donne ça...

 

Et ne vous fiez pas à sa tronche de maniaco-dépressif bi-polaire et écoutez jusqu'au bout...

Cheers...

"Ce type, Devin Townsend, est un génie !" (Steve Vai)

Pour écouter l'album que Devin a enregistré avec Steve Vai...

23:23 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

03/08/2009

Inédits de Mozart

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Deux partitions inédites de Mozart retrouvées 2 siècles après la mort du compositeur. Deux pièces que Mozart aurait composées alors qu'il avait 7 ou 8 ans.

Morceau de piano en sol (NMA n°50)

Mouvement de concerto en sol (NMA n°51)

Source : Figaro

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02/08/2009

Coming out réac'

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

La question me revient souvent. "Quelle est ta plus grande influence réactionnaire, Nebo ?" Le temps est venu pour moi de faire mon coming out, car j'ai trop longtemps traîné ce lourd secret comme un boulet qui me torturait l'âme plus que de raison. Ma plus grande influence réactionnaire peut être attribuée à... (roulements de tambours)...


Statler & Waldorf

A présent me voilà soulagé. Ouf...

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