Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/07/2009

PHILIPPE MURAY. TOMBEAU POUR UNE TOURISTE INNOCENTE.

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Philippe Muray nous manque. Du moins il manque aux gens intelligents, à ceux qui l'ont lu et qui ont respiré un peu mieux après une saine confrontation avec son verbe aiguisé. Car Philippe Muray décortiquait la coquille creuse de notre époque comme personne.

J'ai chopé ça chez ILYS. Excellent !

 


3min44sec

Si vous ne connaissez pas Philippe Muray, jetez, au moins, un oeil sur sa page Wikipédia. Pour les plus endurcis, une lecture de cet article et de cet entretien sera la bienvenue.

 

Site Officiel

Site non Officiel

Plein de textes de Philippe Muray chez "Le Nouveau Réactionnaire"

07:00 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (81) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

23/07/2009

Anouk

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Anouk est belle... et elle chante délicieusement bien.

 

If I Go

You've got it easy but you've got the nerve to make a face 
Although I'm strugglin' you can't tell because I keep it caged 
We are together but I feel you're pushing me aside 
Lend me a hand sometime the thought won't even cross your mind 

You need to take a good look at yourself 
'cause I'm about to close up shop 
If you need a servant go find someone else 
It's time to step up 

'Cause If I go 
I'll be taking more with me than you would care to lose 
Time is up step it up or you'll see me walk away 
Just so you know 
Nothing you can do could make me turn around again 
Your time is up step it up or you'll see me walk away 

If we're together why you're pushing me away 
You're taking chances boy we're getting closer to the day 
You need to take a good look at yourself 
'cause I'm about to close up shop

If you need a servant go find someone else 
It's time to step up 

'Cause If I go 
I'll be taking more with me than you would care to lose 
Time is up step it up or you'll see me walk away 
Just so you know 
Nothing you can do could make me turn around again 
Your time is up step it up or you'll see me walk away 


'Cause If I go 
I'll be taking more with me than you would care to lose 
Time is up step it up or you'll see me walk away 
Just so you know 
Nothing you can do could make me turn around again 
Your time is up step it up or you'll see me walk away 


It's time to step up 
I said it's time to step it up 
Yeah time to step up 
Time to step it up 
I said it's time babe to step it up 
Step it up

Jerusalem

Sir can you tell me how to get to Jerusalem
'Cause I have kinda lost my way
Sir will you help me get there as fast as I can
Tomorrow might be too late

'Cause things ain't what they used to be
My love for life is gone you see
Am I fighting things I cannot see
People always tellin' me how sweet
and simple life could be
They say you might as well live before you die

But one thing I know for sure
I am a danger to myself, how come
Yeah one thing I know for sure
I need some guidance, to get me out of this hellhole

Jerusalem, can you help me find my
way back to Jerusalem, yeah

It took me quite a while to get into Jerusalem
'Cause I had kinda lost my way
I want to save me from myself so here I am
I hope it's not too late

'Cause things ain't what they used to be
My love for life is gone you see
Am I fighting things I cannot see
I am so afraid to love
'Cause of the way I've been hurt before
I think by now it's time for me to leave

But one thing I know for sure
I am a danger to myself, how come
Yeah one thing I know for sure
I need some guidance, to get me out of this hellhole

Jerusalem, can you help me find my way back to Jerusalem
Jerusalem, can you help me find what I have lost

Things ain't what they used to be
My love for life is gone you see
Am I fighting things I cannot see
I don't wanna die this way
Wishing that I could turn back time
Wasted time, there is work to be done

But one thing I know for sure
I am a danger to myself, how come
Yeah one thing I know for sure
I need some guidance, to get me out of this hellhole

Jerusalem, can you help me find my way back to Jerusalem
Jerusalem, can you help me find
what I have lost, yeah yeah
Alright

 

20:37 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

22/07/2009

Saxon : The Eagle has landed

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Take a giant step for mankind
On a distant lunar sea
As you travel across the universe
Will you take a step,
take a step for me
Will you take a step for me
Voyage of an eagle
Blasting to the stars
You take the hopes and dreams of men
To find yourself, to find tranquillity
To find tranquillity
Traveled across the universe
And placed the lonely flag
Out there in isolation
At the final, the final frontier
At the final frontier
The world's in celebration
As we wait for your return
You took a giant leap for mankind
On another, on another world
On another world
Take it easy take it slow
Don't go fast don't let go
The eagle has landed
The eagle has landed
The eagle has landed
The eagle has landed

23:34 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

20/07/2009

Le Saule Pleureur...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=


La parole est à ma douce Irina...

 

Dans l'esprit de la chronique de Simon Leys, sachez que le lundi 29 juin 2009, on mettait à mort le célèbre saule pleureur de l'Île de la Cité, à Paris. Tout a commencé semble-t-il avec une branche tombée dans la Seine, et en peu de temps il a été décidé (sous le prétexte que cet arbre était malade) de le supprimer.
Un ami et collègue qui chaque matin et chaque soir avait l'habitude de passer à proximité et qui aimait à le contempler arrive un matin totalement anéanti et en colère et m'annonce la nouvelle, je n'en croyais pas mes oreilles. Ce saule majestueux de l'île de la Cité vous le connaissez tous, pas besoin d'être parisien pour cela, on l'a tous vu sur une carte postale ou dans un reportage télé, ou lors d'une ballade en bateau-mouche avec ses branches qui venaient caresser la Seine, il semblait protéger Notre-Dame. A la manière des Indiens de la côte Pacifique ou des Maoris, beaucoup le respectaient.
Cet acte honteux s'est bien sûr fait dans la plus grande discrétion et si on avait demandé leur avis aux parisiens, soyez sûrs que le gardien de l'île serait encore là.

 

 

Les photos ont été prises par l'auteur de ce blog (Emmanuel Delarue)

08:50 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (18) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

19/07/2009

L’empire du laid, par Simon Leys

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

Trouvé via un commentaire chez ILYS ce texte de Simon Leys qui ne manque pas de piquant...

 

 

*

Chronique de Simon Leys parue sous le titre “La chronique des antipodes” dans Le Magazine Littéraire n°440 de mars 2005.

Les Indiens de la côte du Pacifique étaient de hardis navigateurs. Ils taillaient leurs grandes pirogues de guerre dans le tronc d’un de ces cèdres géants dont les forêts couvraient tout le nord-ouest de l’Amérique. La construction commençait par une cérémonie rituelle au pied de l’arbre choisi, pour lui expliquer le besoin urgent qu’on avait de l’abattre, et lui en demander pardon. Chose remarquable, à l’autre côté du Pacifique, les Maoris de Nouvelle-Zélande creusaient des pirogues semblables dans le tronc des kauri ; et là aussi, l’abattage était précédé d’une cérémonie propitiatoire pour obtenir le pardon de l’arbre.

Des mœurs aussi exquisément civilisées devraient nous faire honte. Tel fut mon sentiment l’autre matin ; j’avais été réveillé par les hurlements d’une scie mécanique à l’œuvre dans le jardin de mon voisin, et, de ma fenêtre, je pus apercevoir ce dernier qui - apparemment sans avoir procédé à aucune cérémonie préalable - présidait à l’abattage d’un magnifique arbre qui ombrageait notre coin depuis un demi-siècle. Les grands oiseaux qui nichaient dans ses branches (une variété de corbeaux inconnue dans l’hémisphère Nord, et qui, loin de croasser, a un chant surnaturellement mélodieux), épouvantés par la destruction de leur habitat, tournoyaient en vols frénétiques, lançant de déchirants cris d’alarme. Mon voisin n’est pas un mauvais bougre, et nos relations sont parfaitement courtoises, mais j’aurais quand même bien voulu savoir la raison de son ahurissant vandalisme. Devinant sans doute ma curiosité, il m’annonça joyeusement que ses plates-bandes auraient désormais plus de soleil. Dans son Journal, Claudel rapporte une explication semblable fournie par un voisin de campagne qui venait d’abattre un orme séculaire auquel le poète était attaché : “Cet arbre donnait de l’ombre et il était infesté de rossignols.”

La beauté appelle la catastrophe aussi sûrement que les clochers attirent la foudre. Les services publics qui font passer une autoroute au milieu de Stonehenge, ou un chemin de fer à travers les ruines de Villers-la-Ville, le moine qui met le feu au Kinkakuji, la municipalité qui transforme l’abbatiale de Cluny en une carrière de pierres, l’énergumène qui lance un pot d’acrylique sur le dernier autoportrait de Rembrandt, ou celui qui attaque au marteau la madone de Michel-Ange, obéissent tous, sans le savoir, à une même pulsion.

Un jour, il y a longtemps, un minuscule incident m’en a donné l’intuition. J’étais en train d’écrire dans un café ; comme beaucoup de paresseux, j’aime sentir de l’animation autour de moi quand je suis sensé travailler - ça me donne une illusion d’activité. Aussi la rumeur des conversations ne me dérangeait pas, ni même la radio qui beuglait dans un coin - toute la matinée, elle avait déversé sans interruption des chansonnettes à la mode, les cours de la Bourse, de la “muzak”, des résultats sportifs, une causerie sur la fièvre aphteuse des bovins, encore des chansonnettes, et toute cette panade auditive coulait comme de l’eau tiédasse fuyant d’un robinet mal fermé. Et d’ailleurs, personne n’écoutait. Tout à coup - miracle ! - pour une raison inexplicable, cette vulgaire routine radiophonique fit place sans transition à une musique sublime : les premières mesures du quintette de Mozart prirent possession de notre petit espace avec une sereine autorité, transformant cette salle de café en une antichambre du Paradis.

 

Mais les autres consommateurs, occupés jusqu’alors à bavarder, à jouer aux cartes ou à lire les journaux, n’étaient pas sourds après tout : en entendant ces accents célestes, ils s’entre-regardèrent, interloqués. Leur désarroi ne dura que quelques secondes - au soulagement de tous, l’un d’entre eux se leva résolument, vint tourner le bouton de la radio et changea de station, rétablissant ainsi un flot de bruit plus familier et rassurant, qu’il fut à nouveau loisible à chacun de tranquillement ignorer.

A ce moment, je fus frappé d’une évidence qui ne m’a jamais quitté depuis : les vrais Philistins ne sont pas des gens incapables de reconnaître la beauté - ils ne la reconnaissent que trop bien, ils la détectent instantanément, et avec un flair aussi infaillible que celui de l’esthète le plus subtil, mais c’est pour pouvoir fondre immédiatement dessus de façon à l’étouffer avant qu’elle ait pu prendre pied dans leur universel empire de la laideur. Car l’ignorance, l’obscurantisme, le mauvais goût, ou la stupidité ne résultent pas de simples carences, ce sont autant de forces actives, qui s’affirment furieusement à chaque occasion, et ne tolèrent aucune dérogation à leur tyrannie. Le talent inspiré est toujours une insulte à la médiocrité. Et si cela est vrai dans l’ordre esthétique, ce l’est bien plus encore dans l’ordre moral. Plus que la beauté artistique, la beauté morale semble avoir le don d’exaspérer notre triste espèce. Le besoin de tout rabaisser à notre misérable niveau, de souiller, moquer, et dégrader tout ce qui nous domine de sa splendeur est probablement l’un des traits les plus désolants de la nature humaine.

 


Michel Leys

23:21 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (9) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

18/07/2009

Islam : a vile culture

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

KISS bass player Gene Simmons has caused an uproar among Australia's Muslim community by launching an attack on Islamic culture while in Melbourne. The lizard-tongued rock god who is touring Australia with the world's most enduring glam rock band launched an attack on Muslim extremists during an interview on Melbourne's 3AW radio - including comments which were labelled inaccurate.

"Extremism believes that it's okay to strap bombs on to your children and send them to paradise and whatever else and to behead people," he said yesterday.

The Israeli-born US musician went on to say Islam was a "vile culture" that treated women worse than dogs.

 

Muslim women had to walk behind their men and were not allowed to be educated or own houses, he said.

"Your dog, however, can walk side by side, your dog is allowed to have its own dog house... you can send your dog to school to learn tricks, sit, beg, do all that stuff - none of the women have that advantage."

He went on to say the west was under threat.

"This is a vile culture and if you think for a second that it's going to just live in the sands of God's armpit you've got another thing coming," he said.

"They want to come and live right where you live and they think that you're evil."

Simmons said the United Nations approach did not work and the west had to "speak softly and carry a big stick".

 

Source

 

Sacré Gene...

 

 

17:35 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (14) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

09/07/2009

Hommes-Femmes : Quelle identité?

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 


 

Débat entre Eric Zemmour et Chantal Delsol lors de l'émission, "Les mardis des bernardins", pour la chaîne KTO. Une fois de plus, je vous suggère de mettre en route la vidéo, puis d'appuyer sur pause dés qu'elle commence, ce afin de la laisser se charger complètement. Vaquez à vos occupations et revenez d'ici une ou deux petites heures. KTO met toujours un temps fou à charger ses émissions. Une fois la vidéo pleinement téléchargée vous pourrez être en mesure de la visionner de bout en bout sans interruption. Je dois dire que Chantal Delsol est un peu désemparée face au trublion guilleret qu'est Zemmour et qui fait mouche.

 

Voyez également cette ancienne note avec un lien vers un article dense du Grain de sable...

07:00 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (9) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

08/07/2009

I like to move it move it...

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Y'a pas que Michael Jackson qui savait danser... Les perroquets blancs aussi... et ils envoient grave, comme disent les djeuns.

 

20:08 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (5) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Abdeslam Bahiad, "Lumière de Dieu"...

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

Nous nous étions déjà bien marré avec Omar Bakri et sa fifille danseuse topless, et j'apprends par une lecture du Figaro, sur la toile, que le responsable de la mosquée d'Orange a été écroué il y a deux semaines pour... proxénétisme. Après quelques rapides recherches via Google, voici ce que j'ai trouvé :

 

Abdeslam Bahiad, trois de ses fils et une complice déférés ce matin (26 Juin 2009)


Abdeslam Bahiad, 54ans, aurait d'abord joui, à Orange, d'une aura de bon samaritain. À la fin des années 90, sa réputation grandissant au sein de la communauté musulmane, plusieurs familles maghrébines d'Orange auraient même remis le destin de leurs jeunes filles, cousines, ou amies restées au pays, entre ses mains. 


Abdeslam Bahiad, un homme craint dans la communauté musulmane d'Orange

Mais le patron de la mosquée "Lumière de dieu", depuis trois ans, ne s'est visiblement pas contenté de ce statut... non lucratif. Peu à peu, il aurait mis sur pied un vaste réseau de prostitution reposant sur de jeunes Marocaines, âgées de 14à 25 ans, à qui l'on promettait une vie meilleure et une régularisation.

Rapidement rentable, son business lui aurait permis de se bâtir un patrimoine immobilier, "au moins dix appartements à Orange et une maison de 300m², où il vit avec sa famille, confiait hier une source proche du dossier. Un patrimoine bien conséquent pour un homme arrivé en France en 68 et qui n'a travaillé que 9 ans en tant qu'ouvrier agricole!" C'est dans ces appartements que les jeunes femmes effectuaient leurs passes avec des clients contactés par téléphone ou bien rencontrés dans le bar "LeFrance", situé en face de la police municipale d'Orange et propriété de... Abdeslam Bahiad! Au coeur de ce que des proches de l'affaire n'hésitent pas à qualifier de "traite humaine", Abdeslam Bahiad aurait enrôlé trois de ses fils: Abdelgafour, 24 ans, Omar, 31 ans et Niky, 33 ans.

"Ils étaient ses hommes de main. Certaines prostituées auditionnées expliquent qu'ils les auraient frappées et violées. L'une d'elle, qui était tombée enceinte, affirme même que l'un d'eux l'a frappée à coups de poings au ventre pour qu'elle perde l'enfant", détaillait l'une de nos sources. Après une enquête longue et minutieuse, démarrée au début de l'année 2008, la Police judiciaire d'Avignon a pu identifier et faire témoigner six prostituées de Bahiad. 

"Mais il y en a eu des dizaines", déplorait un proche de l'enquête. L'une d'entre elles, Drissia, 42 ans, aurait d'ailleurs tenu le rôle de la mère maquerelle dans le "système Bahiad". "C'est elle qui allait chercher certaines des gamines au Maroc. Elle en a même ramené dans le coffre de sa voiture. Les familles de ces pauvres gamines payaient entre 7000 et 9000€ pour que leur enfant ait la chance de venir en France." Une chance qui allait rapidement tourner au cauchemar. 

"Elles étaient totalement sous pression puisqu'il avait l'intelligence de ne pas, ou très peu, leur faire payer de loyer donc elles étaient redevables. Mais le pire est qu'elles ne touchaient rien du commerce de leurs corps! L'une d'elles raconte même qu'elle touchait seulement, de temps à autres, cinq euros pour pouvoir téléphoner à ses enfants restés au Maroc", continuait l'une de nos sources. 

A. Bahiad, ses trois fils et Drissia ont été placés en garde à vue mardi et seront présentés au juge d'instruction Monteil ce matin. Ils sont soupçonnés d"aide au séjour irrégulier, de proxénétisme aggravé et de blanchiment d'argent". Les Bahiad, mutiques durant les auditions, parlent pourtant d'un "complot des prostituées".

 

Source : La Provence.com

 

Ces blaireaux, au moins, nous feront marrer jusqu'au bout... dangereux mais totalement ringards.

 

Voir aussi Le Nouvel Obs.

14:55 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (3) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

07/07/2009

Dieu est grand... y'a de l'espoir...

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

Voici le père...

Voici la mère...

ne me demandez pas pourquoi, mais je préfère de loin la fille...

Le monsieur c'est Omar Bakri, un barbu haineux et livide dont le pote Anjem Choudary vient de traiter notre charmante première dame de France de "putain" histoire d'énerver notre cher président, Nicolas Sarkozy, après ses propos trempés à propos du niqab et de la burqa. Or sa fille est danseuse topless. Voyez l'article chez Bivouac.

Et savourons un peu d'avantage les formes avantageuses de sa fifille...

Aïe aïe aïe... miskina... il y eut un temps plein de bonheur...

Dieu est grand, y'a de l'espoir... si les filles des mahométants se mettent à nous montrer leur cul et à jeter les sacs de patates dont on voudrait les recouvrir on finira peut-être par s'en sortir...

Voyez aussi cet article du SUN...

Qu'est-ce qu'on se marre !

 

"Mais vous ne triompherez pas (...). Craignez le courroux de l'homme en bermuda ! Craignez la colère du consommateur, du voyageur, du touriste, du vacancier descendant de son camping-car ! (...) Nous nous battrons. Et nous vaincrons. Bien évidemment. Parce que nous sommes les plus morts." Philippe MurayChers Djihadistes

07:00 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (11) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

06/07/2009

JIM JONES REVUE, Par The Reverend...

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Ok, vous connaissez déjà les interventions classieuses du Révérend en ces lieux. J'ai énormément de retard, le concernant, une longue, très longue tirade de délicieux morceaux à mettre en ligne, mais mes occupations me coincent et je ne suis pas tout à moi. Sans compter que j'ai également une longue, très longue chronique à finir à propos de l'ancien (et non moins excellent) groupe du Rev', mais là aussi, le temps joue contre moi et j'ai, malheureusement, d'autres priorités en ce moment. Il n'empêche, The Reverend a le coup d'oeil malin, et il sait prêter l'oreille dans les directions qui causent... J'me comprends moi, m'sieurs dames.

Le mois dernier, The Rev' a proclamé que le concert de JIM JONES REVUE à Périgueux était LE concert du mois. Je n'y étais pas, mais il a probablement bien fait, car il a, en la matière en tout cas, toute ma confiance...

 

Le concert du mois : JIM JONES REVUE, Périgueux, 06/05/2009

 

Ce soir, la Jim Jones Revue est en ville.


A Périgueux (Dordogne), précisément. Hier, c’était Rennes, demain, ce sera Bilbao. A Hard working band, comme on dit. 
L’Agent Secret, qui les a déjà repéré à Tulle (Corrèze), m’intime donc l’ordre de faire les 600 kms de déplacement, une broutille par rapport à leur infernale tournée européenne. 
L’équation est simple : 7h00 de route pour un shot de rock’n’roll pas plus long qu’une mi-temps de football, mais nettement plus intense que l’intégralité de la tournée mondiale de U2 en cours. 
On arrive donc juste à temps pour la première partie, un quarteron de suédois qui enfile péniblement les recettes éculées d’un hard rock seventies à la Humble Pie, mais sans le talent et la dimension tragique d’un Steve Marriott. Et ce n’est pas les imitations à répétition de Wayne Kramer par le second guitariste qui y changeront quelque chose… 
On s’ennuie, mais ça fait monter l’excitation. Mi-temps, pause bière au bar. 
Retour dans la salle. « You-ou, Rupert ! ». 
C’est l’Agent Secret qui s’adresse ainsi au guitariste de Jim Jones en train d’installer son matos. 
Ah, Rupert ! Vous voyez Fonzy dans Happy days ? 
Eh bien, c’est le même, mais avec 30 cm en plus (non, pas là ou vous le pensez…). 
Rupert est bien élevé, il dit bonjour.


Le pianiste arrive lui aussi. Elliot, qu’il s’appelle. Incorruptible donc, mais pas jusqu’au point de boire de l’eau. Lui passera le set entier debout devant son piano, sans pour autant évoquer un quart de seconde Michel Berger.

Tiens, voilà le bassiste. Ce cher Gavin s’est manifestement fait une couleur : noir corbeau. En plus, il s’est collé du rimmel autour des yeux. Très gothique, ce soir. Une sorte d’Elvis, sans le beurre de cacahouète sur les hanches. Nettement plus sulfureux que le couineur de Placebo, aussi. Les quelques gamines présentes ne s’y trompent pas, et n’auront d’yeux que pour lui.

Mais c’est vrai que les autres font un peu plus peur. 
A commencer par Jim Jones himself...

 

...qui en guise de bonjour, pousse un hurlement dans le micro. 
Signal du départ pour trois quarts d’heure d’électricité sensuelle, de rythmes vaudou, et de transe-sexuelle. 
Ça commence par le bien nommé « Rock’n’roll psychosis »...

... et ça finit en rappel par une reprise du « New Orleans » de Wilson Pickett
Entre temps Jim Jones (méfiant ce type : il a collé son frangin Nick à la batterie, comme ça il n’a pas à surveiller ses arrières..) aura demandé vainement plusieurs fois de monter la guitare en retour, pour finalement planter son micro chant dans l’ampli de Rupert. 
Comme ça, on l’entend, la guitare. 
Backstage, il nous dira qu’il n’était pas très en forme ce soir.

Mince, alors.

 

Note technique : le bassiste joue sur une demi-caisse qui ressemble à une Epiphone mais bon le principal c’est :

-qu’elle est belle 
-qu’il la porte bien 
-qu’il sait la maltraiter avec douceur. 

Allez en paix.
"

Philippe "The Reverend" Nicole (Bassiste-chanteur des défunts King Size et, actuellement, bassiste chez Peter Night Soul Deliverance et Margerin)

Photos originales par Secret Agent (Petite marchande d'allumettes et ex-manageuse des King Size).

-----------------------------------------------------

-----------------------------------------------------

Pour en savoir plus à propos de Jim Jones Revue :

Leur Site Officiel

Leur Page MySpace

-----------------------------------------------------

Par la même occasion découvrez ou redécouvrez King Size...

----------------------------------------------------

Ain't it sweet to get wild ? Huh ?

14:50 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (7) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

04/07/2009

Inch'Allah !

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

17:27 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (18) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook