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22/05/2011

France, Usa : en matière de viol, la nuit et le jour...

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

(Mode ironique "on")

On peut comprendre nos chers socialistes qui s'émeuvent à l'endroit de DSK. Oui, je les comprends. C'est vrai, voyez plutôt : En octobre 2007, un jeune burkinabé accusait un élu socialiste, Michel Cureau, d'agressions sexuelles. Trois autres plaintes étaient instruites, sur des faits commis en 1994 et 1995, et pour la corruption d'un mineur de 18 ans, entre 2002 et 2004. Beau tableau. Résultat de l'affaire après passage au tribunal : 18 mois de prison avec sursis, 10.000 euros d'amendes et interdiction de contact habituel avec les mineurs. Il n'a pas perdu ses droits civiques. Le parquet avait requis seulement 3 années de prison dont 2 avec sursis, 5 ans de privation des droits civiques et une interdiction définitive d'exercer toute activité en relation avec les enfants. Pour viols présumés. En effet, nous ne sommes pas aux USA, c'est sûr. Alors je les comprends nos chers socialistes, 25 ans de prisons en comparaison c'est parfaitement exagéré.

(Mode ironique "off")

 Quelle belle image les socialistes nous donnent !

 

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La "Victime présumée" de DSK tremblait, crachait et voulait vomir...

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

Selon Lorraine Millot, correspondante pour Libération...

La femme de chambre qui accuse Dominique Strauss-Kahn de l’avoir agressée n’a pas immédiatement alerté ses collègues : elle s’était cachée dans un couloir, où elle a attendu que DSK quitte sa chambre et où une responsable d’étage l’a trouvée peu de temps après, rapporte John Solomon, investigateur au Center for Public Integrity dans un récit très détaillé publié par le Daily Beast. La collègue, venue inspecter l’étage, a tenté de calmer la jeune femme, comprendre ce qui s’était passé et l’a ramenée dans la suite 2806, raconte John Solomon, citant des « sources proches de l’enquête » (c’est à dire la police ou le bureau du procureur). Ophelia (le nom que la femme de chambre utilisait au Sofitel) tremblait et avait des nausées, a rapporté la supérieure qui l'a interrogée la première. Ophelia s’inquiétait aussi de perdre son emploi pour être entrée dans une chambre encore occupée par un client, selon ce même récit.

La première collègue a ensuite appelé la responsable de toutes les femmes de ménage, qui a aussi interrogé Ophelia, avant d’alerter un agent de sécurité de l’hôtel. Celui-ci a mené un troisième interrogatoire, pendant lequel Ophelia « a semblé traumatisée, allant une fois aux toilettes pour essayer de vomir et crachant à plusieurs reprises sur le sol et les murs de la suite » poursuit John Solomon, citant toujours ses mêmes « sources ». L’agent a ensuite appelé le chef de la sécurité de l’hôtel, qui a tenté une quatrième fois d’interroger Ophelia, laquelle se montrait de plus en plus « traumatisée et malade », s’inquiétait du risque d’être licenciée et n’était pas sûre de pouvoir même porter plainte. Convaincu qu’il y avait bien eu agression, et que les quatre récits successifs d’Ophelia avaient été cohérents, le chef de la sécurité de l’hôtel a alors appelé la police, vers 13h30, une heure environ après les faits présumés.

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Pendant ce temps là, les féministes (pour une fois qu'elles servent vraiment à quelque chose) sont en colère...

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Le dévergondage toujours croissant de ses conversations saugrenues ou niaises

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« Tel qu'un ermite, il était mûr pour l'isolement, harassé par la vie, n'attendant plus rien d'elle; tel qu'un moine aussi il était accablé d'une lassitude immense, d'un besoin de recueillement, d'un désir de ne plus rien avoir de commun avec les profanes qui étaient, pour lui, les utilitaires et les imbéciles.
En résumé, bien qu'il n'éprouvât aucune vocation pour l'état de grâce, il se sentait une réelle sympathie pour ces gens enfermés dans des monastères, persécutés par une haineuse société qui ne leur pardonne ni le juste mépris qu'ils ont pour elle, ni la volonté qu'ils affirment de racheter, d'expier, par un long silence, le dévergondage toujours croissant de ses conversations saugrenues ou niaises. »

Joris-Karl Huysmans, À rebours

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21/05/2011

Selon Jamel Debbouze : "DSK ? Tout ça pour une femme de ménage !"

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Après Jack Lang, déclarant qu'il n'y avait pas mort d'homme...

Après Jean-François Kahn réduisant l'acte de DSK à un troussage de domestique...

Le délicieux Jamel Debbouze se comporte comme une bouse... en déclarant : "Tout ça pour une femme de ménage."

Elle est définitivement magnifique cette Gôche qui défend les petites gens, les immigrés, les travailleurs... elle est l'incarnation vibrante de la vertu.

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DSK aurait invité la réceptionniste du Sofitel dans sa chambre, selon CNN

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D'après CNN, lors de son arrivée à l'hôtel Sofitel, DSK "était à la recherche de compagnie féminine".

Selon les informations de CNN, tout de suite après avoir pris possession de sa chambre, DSK "a téléphoné à la réception pour proposer à la réceptionniste du Sofitel de le rejoindre dans sa chambre pour prendre un verre, mais celle-ci a refusé."

Quel queutard ce DSK !

 

De son côté, Jon Stewart s'en donne à coeur joie, on le comprend... merci à ILYS...

On m'indique (merci chère Crevette) que l'extrait en question n'a pas été retenu par Canal + aujourd'hui lors de la diffusion du Jon Stewart Show. Ce qui est tout de même très révélateur de l'état mental de cette chaîne et cela continue à nous foutre la honte de l'autre côté de l'Atlantique. Nos gauchiasses (comment les nommer autrement en semblables circonstances ?) n'en finissent pas de couler et de nous entraîner avec eux... Lamentable !

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L'ordre ?

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« La droite qui professe souvent une conception "organique" de la société, déploie beaucoup d'énergie à faire l'apologie de l'ordre, sans voir que c'est une notion qui, par son exigence meme, recèle une forte part de mécanicisme -de normalisation artificielle. L'organique contient toujours une part de désordre; il est certes harmonie, mais sans cette homogénéisation qu'entraine le plus souvent l'instauration volontaire, extérieure de l'ordre. Ajoutons que les plus chauds partisans de l'ordre sont en général incapables de mettre de l'ordre en eux-memes. A titre de compensation, et pour se rassurer, ils veulent voir régner autour d'eux, à l'extérieur d'eux-memes, un ordre dont ils ne sont pas capables d'etre le lieu. Un peu comme ces ménagères qui, lorsqu'elles ont des problemes d'existence, se mettent invariablement à faire du rangement. »

Alain de Benoist, Dernière année

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20/05/2011

Comment faire venir la police chez vous quand vous êtes vieux... et plus très mobile...

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J'ai volé cette histoire chez la délicieuse Crevette...

 

Denis, un homme d'un certain âge vivant à Baie-Comeau est sur le point de se coucher quand sa femme lui signale qu'il a laissé la lumière ouverte dans l'abri de jardin que l'on peut voir depuis la fenêtre de la chambre.

Il ouvre la porte arrière de sa maison pour aller éteindre, mais il voit qu'il y a des personnes dans l'abri en train de voler du matériel.

Il appelle alors la police qui lui demande :

- Quelqu'un s'est-il introduit chez vous ?
- Non, mais des gens sont en train de me voler après s'être introduits dans ma cabane de jardin.
- Toutes nos patrouilles sont occupées il faut vous enfermer chez vous, et un officier passera dès qu'il sera libre.
- OK !

Denis raccroche, attend 30 secondes et rappelle la police :

- Bonjour, je viens de vous appeler pour des voleurs dans mon abri de jardin, ne vous inquiétez plus à ce propos, je viens de les abattre.

Puis il raccroche.

Dans les cinq minutes qui suivent, 6 voitures de police, une équipe de tireurs d'élite, un hélicoptère, deux camions de pompiers, Une ambulance locale se présentent devant son domicile et les voleurs sont pris en flagrant délit.

Un policier lui sort :

- Je croyais que vous les aviez tués ?
- Et moi je croyais que vous n'aviez personne de disponible !!!

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DSK : ceux qui complotent sans cesse sont ses amis

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François Hollande, à son tour, hypocrite et menteur...

« Sur l'affaire Tristane Banon, François Hollande a déclaré ce vendredi n'avoir "jamais eu connaissance des faits de la gravité qui ont été à un moment évoqués". Pourtant à Mediapart (article payant), la mère de Tristane, également élue PS en Normandie, Anne Mansouret, explique : "Il a été formidable, d'une gentillesse... Il a téléphoné personnellement à Tristane, il a été superbe". Le bras droit du député de Corrèze, Stéphane Le Foll, confirme: "(...) Il avait appelé Tristane Banon, il n'a pas cherché à imposer quoi que ce soit, il l'a écoutée et a essayé de la rassurer. C'était lui en direct qui gérait." »

Source : L'express

Je ne sais pas vous, mais moi ça me fait songer à L'archipel du Goulag, d'Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne... lorsque son livre est sorti, qui disait la vérité de bout en bout... la large majorité de la gauche franchouillarde parlait d'invention et de manipulation de la CIA. Tout le monde était déjà dans la théorie du Complot.

Excusez-moi, mais ce sont tout de même de grosses merdes nos socialistes !

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DSK : la fortune de l'hypocrite

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Quelle est la fortune d'Anne Sinclair et de D.S.K. ? Autrement dit, quel est le montant que Nafissatou Diallo pourra demander comme dédommagement ?

En effet, le système judiciaire états-unien est le suivant : si vous plaidez non-coupable, comme le prétend, jusqu'à présent, D.S.K., vous êtes jugé. Si vous plaidez coupable, vous pouvez vous entendre avec votre victime et ainsi éviter un procès et une condamnation.

Si D.S.K. finissait par plaider coupable afin d'éviter d'être condamné à plusieurs années d'emprisonnement, combien Nafissatou Diallo pourrait demander à D.S.K. ?

Pour effectuer cette évaluation, il convient d'évaluer la fortune de D.S.K. et d'Anne Sinclair. C'est précisément l'objet d'une étude menée par le quotidien belge Le Vif. Il en résulte les chiffres suivants :

Tout d'abord, le salaire annuel de D.S.K., en tant que directeur du Fonds monétaire international, s'élève à 420.930 dollars soit 300.000 euros, c'est-à-dire 25.000 euros par mois, auxquels s'ajoute 75.350 dollars destinés à permettre au directeur du F.M.I. « dans l'intérêt du Fonds, de maintenir un train de vie approprié à [sa] fonction et à la représentation du F.M.I. », soit 4000 euros supplémentaires par mois, soit un total de 29.000 euros par mois.

Toutefois, les Strauss-Kahn ne sont pas hébergés par le F.M.I. Anne Sinclair a donc acquis, pour 4 millions de dollars, une demeure à Washington. L'endroit offre 380 mètres carrés de surface habitable (cinq chambres, six salles de bains…), une piscine et un vaste jardin.

À Paris, les Strauss-Kahn disposent de deux logements : un vaste appartement Place des Vosges et un autre dans le XVIe arrondissement. L'achat de l'appatement Place des Vosges a été conclu à plus de 4 millions d'euros, frais d'agence compris. Une somme réglée comptant par les Strauss-Kahn. Ce qui signifie qu'ils n'ont pas eu recours à un emprunt bancaire.

Dans les années 1980, Micheline, la mère de la journaliste, fille d'un marchand d'art réputé, habite au premier étage d'un immeuble construit deux décennies plus tôt, et situé le long d'une avenue huppée dans le XVIe arrondissement. Le 23 avril 1990, Anne Sinclair achète l'appartement du quatrième et dernier étage à une femme de 70 ans. Cet impressionnant appartement compte six pièces, dont trois chambres, ainsi que des boudoirs et une « roberie ». Outre l'immense balcon qui permet d'en faire le tour, son atout majeur est l'accès, par un escalier privé, à une terrasse aménagée sur le toit, avec vue imprenable sur le bois. Montant de la transaction : 17 millions de francs (2,59 millions d'euros), réglés comptant.

De plus, D.S.K. et Anne Sinclair ont acheté un petit palais du XIXe siècle à Marrakech (au Maroc) en octobre 2000 pour un peu moins de 500.000 euros. Avant d'y entreprendre d'importants travaux. Anne Sinclair précise régulièrement qu'elle a acheté ce petit bijou grâce aux indemnités de départ que TF1 lui a versées. Dans un ouvrage paru en 2006 (Majesté, je dois beaucoup à votre père, par Jean-Pierre Tuquoi. Albin Michel), Dominique Strauss-Kahn fournissait une autre explication : « Anne possédait une maison à Valbonne, dans le Midi. […] Elle l'a revendue pour acheter, il y a cinq ans, un riad au cœur de Marrakech. Tout était à refaire. Il n'y avait ni eau ni électricité. Aujourd'hui, c'est parfait. Marrakech, c'est ma base arrière. » Combien vaut une telle propriété aujourd'hui ? « Tout dépend des travaux de rénovation effectués, indique un agent immobilier français installé dans la ville. Quoi qu'il en soit, une demeure de cette dimension, dans la médina, est extrêmement difficile à trouver aujourd'hui. Même à rénover entièrement, ce genre de bien ne se négocie pas à moins de 3 millions d'euros. » Les travaux d'embellissement ont d'autant plus dopé la valeur de ce petit palais qu'ils ont été effectués dans les règles de l'art.

Anne Sinclair est la petite-fille de Paul Rosenberg (1881-1959), l'un des plus grands marchands d'art du XXe siècle. Si elle n'a jamais caché cette filiation, elle a toujours cultivé la discrétion. Mais la collection de son grand-père continue de susciter la curiosité. Depuis le décès de sa mère, Micheline (fille de Paul), Anne Sinclair est devenue l'héritière de cette fabuleuse fortune. Ces dernières années, quelques-uns des tableaux ayant appartenu à Paul Rosenberg ont été vendus. Et ce fut, à chaque fois, le jackpot. Les Nymphéas de Monet auraient été vendus, en transaction privée, il y a une dizaine d'années, pour une vingtaine de millions de dollars. Le tableau de Fernand Léger a été adjugé à New-York, en novembre 2003, par Christie's, pour 22,4 millions de dollars. En novembre 2007, un peu plus d'un an après le décès de Micheline, L'Odalisque, harmonie bleue, de Matisse, s'envolait, toujours à New-York et sous ce même marteau, pour 33,6 millions de dollars. Le jour de la vente, Anne Sinclair se trouvait aux premières loges.

Conclusion: D.S.K. et Anne Sinclair disposent d'un patrimoine de plusieurs dizaines de millions de dollars ; probablement, au moins de 50, peut-être de 80. Si j'étais Nafissatou Diallo, je demanderais donc 10 millions de dollars de dédommagement. Cela ne représenterait qu'environ 15 à 20 % de la fortune de ces deux socialistes :

 

Source : Le Post

Être riche n’est pas un crime… sauf quand on souhaite représenter un parti qui "n’aime pas l’argent" et propose dans son programme de taxer à outrance les plus gros contribuables... sauf quand DSK et Anne Sinclair ne paient pas leurs impôts en France et ont mis à l’abri leur patrimoine. 

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L'Afrique dans l'Impasse

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Et maintenant que la raison économique a tout subjugué

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« Et maintenant que la raison économique a tout subjugué ; si rien n'existe plus qu'en raison de ses objectivités, de son industrie et de ses laboratoires ; si elle a fait disparaître de la surface du globe tout ce qui ne rentrait pas au format dans ses ordinateurs et si c'est elle l'inventeur et le fabricateur de tout ce qu'on voit ; si tout ce qui existe, et même les pensées au moyen de quoi on s'efforcerait de la concevoir, et même les ouvrages avec l'explication que cela finirait comme ça, si tout lui est "interne" ; c'est elle toute entière, en conséquence, quoi qu'on veuille en considérer, qu'il faudrait élucider. Et c'est pourquoi cela s'avère inextricable presque sur le champ à essayer de la démonter sur la table pour trouver logiquement ce qui ne va pas : il n'y a rien par où commencer ni finir ; le règne universel de l'économie est semblable à une sphère infiniment close sur elle-même : la périphérie en est partout et le centre nulle part, il n'existe aucun dehors d'où la considérer. »

Baudouin de Bodinat, La vie sur terre, Réflexions sur le peu d'avenir que contient le temps où nous vivons

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19/05/2011

Exclusif ! DSK : l'explication de Gôche

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Le PS après une minutieuse enquête vient de trouver l'explication de l'affaire DSK... Soulagement ! Remercions le dévouement inconditionnel de Jack Lang.  L'érection L'élection présidentielle va pouvoir avoir lieu... la Gôche France est sauvée.


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Thanx Eric...

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Joe Bonamassa : Ballad of John Henry

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Fin de Race...

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Détendons-nous une minute...

 


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DSK : "Quel beau cul !"

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Les derniers mots du "présumé innocent/coupable" à l'attention d'une hôtesse de l'air, dans l'Avion qu'il s'apprêtait à prendre avant que la Police New Yorkaise ne l'en fasse sortir.

 

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DSK : la Valse sordide se poursuit...

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Les pulsions de DSK... sordides...

 

Dominique, déterminé à se battre, démissionne de son poste au FMI...

 

La Moquette de la suite du Sofitel est examinée...

 

Certains tentent encore de nourrir la thèse des invraisemblances. On a envie de leurs répondre que les avocats de DSK ont une excellente imagination, aussi, et qu'ils plaideraient l'effraction si ils en avaient les moyens. Il semblerait qu'ils aient décidé de plaider "la relation sexuelle consentie". Pourquoi ? Mais traces d'ADN compromettantes, griffures de défense. Elle a bonne mine l'effraction suggérée ici. 

 

Ce pauvre Demorand se sent cocufié...

 

Le communiste Jérôme Leroy, sur "CAUSEUR", aussi... Il est rigolo Jérôme Leroy, comme tous les communistes qui se cherchent des excuses, toujours, entre les lignes. Puant... 

 

 Une autre femme, encore, se manifeste...

 

 

 

 

Le New York Post confirme que la "victime présumée" habite un appartement géré par une association pour porteurs du virus HIV... On ne sait pas encore si la "victime présumée" en est porteuse... si c'est le cas, c'est chaud pour la bite de Dominique...

 

Jean-Marie Le Pen se félicite qu'un "voyou" soit sous les verrous... 

 

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Ecrire comme un cochon

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« Il me tardait d'y arriver. Cette parole d'usage fréquent est surtout recommandable par son extrême noblesse. Etre dans le commerce cela veut dire, chez les bourgeois, être assis dans de larges trônes d'or pour juger le monde. Aristocratie auprès de laquelle toutes les aristocraties sont un peu moins que de la crotte. Les prairies et les grandesses devraient s'honorer de la servir très humblement, si les choses étaient à leur place. Pour ce qui est des artistes et des derniers misérables qui font encore usage de leur faculté de penser, qui dira les bas emplois où il les faudrait colloquer? Mais patience.
Etre dans le commerce! Voilà ce qui répond à tout, voilà ce qui englobe tout les privilèges, toutes les faveurs disponibles, toutes les dispenses imaginables, toutes les amnisties. Ce qui n'est permis à personne et dans aucun cas devient licite, et même professionnel, quand on est dans le commerce. La parole fameuse du grand roi d'Esther: "La loi qui est faite pour tous n'est pas pour toi", paraît avoir été dite à l'intention des personnes qui sont dans le commerce, indistinctement.
Peu importe ce qui est vendu. Que ce soit du fromage, du vin, des chevaux, de la bijouterie, de la quincaillerie, des couronnes de mariées, de la charogne, de la raclure de n'importe quoi, il suffit que cela se vende ou même que cela soit à vendre sans aucune chance d'être vendu et qu'il y ait des livres de commerce derrière, avec un comptoir ajouré d'une petite galerie faite au tour.
Le mensonge, le vol, l'empoisonnement, le maquerellage et le putanat, la trahison, le sacrilège et l'apostasie sont honorables, quand on est dans le commerce. "A plat ventre devant le client", disait un jour devant moi une patronne de café à un de ses garçons, "toujours à plat ventre, quand on est dans le commerce." Cette recommandation, que dis-je? ce précepte qui, dans d'autres circonstances eût été le plus bas étage de l'ignominie, avait là quelque chose d'augural et ressemblait à une vaticination. J'ai vu peu de gestes aussi majestueux que celui de cette caissière gonflée d'enthousiasme et la trompe en l'air, montrant impérieusement le sol, l'index tendu, dans l'attitude picturale d'une Elisabeth Tudor désignant le billot de Marie Stuart. Ce jour-là j'entrevis, comme en un éclair, la beauté mystérieuse et irrévélable du Commerce. Suivez-moi bien. Une chose se vend ou peut se vendre, selon qu'il y a preneur ou qu'il n'y a pas immédiatement preneur. Cette chose est une salade, un médicament, un couteau à virole, une fille à soldats, peu importe. Le vendeur est toujours un homme prodigieux, un thaumaturge ayant le pouvoir de donner à Dieu le Père ce qui appartient au Saint-Esprit, c'est à dire de faire passer l'Amour dans la Foi et le Feu dans l'Eau, ce qui peut à peine être compris.
C'est pourtant bien simple. L'Argent, par quoi s'opère cette translation, est le Rédempteur ou, si on veut, l'image du Rédempteur. Mais voilà! Les commerçants, hermétiques de leur nature, se foutent également du Rédempteur, de la Rédemption, des Trois Vertus théologales et des Trois Personnes divines, et, en général, de tout ce qui peut être conçu par l'entendement humain.
Combien de fois n'ai-je pas reçu le conseil de "faire du commerce", c'est à dire d'écrire comme un cochon pour devenir riche - hélas! »

Léon BLOY, Exégèse des Lieux Communs

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18/05/2011

DSK : La merde monte...

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La merde monte des caniveaux... et personne ne semble surpris...

Une journaliste australienne affirme très sérieusement que DSK la harcelait...

Libération n'envoyait pas les femmes-journalistes interviewer DSK toutes seules...

Et chaud chaud... très chaud pour DSK... la victime présumée (c'est comme ça qu'on dit), Nafissatou Dialo, habitait dans un appartement loué par une association pour personnes séro-positives...

Et histoire de rire jusqu'au bout...

Le Club DSK croit encore à une chance pour DSK d'être notre Président de la République...


Photo outrageusement volée sur un Blog D'élite

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DSK : the real thing

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Via I Like Your Style

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Toutes ensemble avec DSK

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Via drzz

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DSK : une ancienne victime parle au milieu du bal des faux-culs

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Hypocrite, en 2005 Strauss-Kahn aimait donner des leçons de morale

 

 

Tristane Banon interviewée par AgoraVox

 

 

Eric Zemmour épingle les faux-culs

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DSK : la chute annoncée de toute la Gauche ?

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Les franchouillards sont horrifiés... Dominique avec des menottes ! Dominique abattu ! Dominique leur sauveur enfoncé dans un cauchemar et eux tous dans le même cauchemar avec lui ! Dominique surveillé de prêt dans sa prison pour qu'il ne se suicide pas. Parce qu'allez savoir, avec tout ce qui lui arrive là, à Dominique, peut-être réalise-t-il le niveau de sa psycho-pathologie. Un mec riche, puissant et complètement décalé par rapport à la réalité, hein, avec des costards à 35 000 $, des suites d'hôtels à 3000 $ et une Porsche "prêtée par un ami" qui, pour couronner le tout, violente une travailleuse immigrée au pays de la moraline à l'état brut, lui qui est sensé défendre les faibles, les laissés pour compte, les travailleurs, les immigrés (surtout... depuis 30 ans), peut-être qu'il pourrait se dire : "Bon, ça suffit, j'ai donné !"Et hop, passer l'âme à gauche (c'est le cas de le dire) pour ne pas se confronter à ses responsabilités.

N'empêche... nous sommes vraiment face à un cas d'école. Le type en dehors de tout. Comme la mère de cette pauvre Tristane Banon qui parade sur tous les écrans de télévision pour prendre la défense de sa fille qui aurait subi l'assaut libidineux de DSK en 2002 (!!!!) et qui vient 9 ans après (!!!!) donner des leçons de morale... tout en se présentant aux primaires du PS dont elle est membre. C'est magnifique ! La Gôche dans toute la splendeur de sa vacuité.

Il faut vraiment que le "peuple de gauche", s'il existe encore, réalise pour qui il allait peut-être voter. Il faut vraiment qu'il réalise que son vieux logiciel, qui ne fonctionne plus que lorsqu'on pédale, est périmé depuis belle lurette, que l'écart entre la réalité et les idées qu'il défend est gigantesque et, surtout, que cet écart est devenu gigantesque précisément à cause de ce logiciel qui piétine, quels que soient les qualités éventuelles d'un DSK.

Mais le "peuple de gauche" n'est plus constitué que de bourgeois nantis et de de bohèmes névrosés, le peuple qui pue la sueur et qui crève au travail, lui, a déserté depuis longtemps ses rangs pour se précipiter dans les bras de Marine ou s'abstenir d'aller aux urnes, ce qui nous annonce de futurs épisodes politiques des plus amusants. Parce que ce peuple-là, ce qu'il veut, c'est un retour à la réalité, il veut que l'on prenne en considération que sa sueur elle pue, et que ses valeurs sont écrasées, que son mode de vie est méprisé. Il s'en fout, en vérité, ce peuple-là, qu'il y ait des mecs qui se paient des costards à 35 000 $, en logeant dans des suites à 3000 $ et en se faisant sucer la bite pendant qu'ils conduisent de rutilantes Porsches. Ce qu'ils demandent juste c'est que ces mecs-là ne viennent pas leur cracher à la gueule en les méprisant, ce qui n'est pas compliqué à comprendre, qu'ils ne viennent pas leur donner des leçons de morale, qu'ils ne viennent pas leur dire qu'il va leur falloir se sacrifier, se serrer la ceinture et dire adieu au peu de souveraineté que leur carte d'électeur leur laissait.

Les français parlent de "complot" à l'encontre de DSK, comme je l'écrivais hier, ça n'est pas à exclure. Mais ça ne change rien, absolument rien au fait que la Gôche dans ce qu'elle a de profond... est en dehors de tout... et pour preuve... cette Gôcheprogressiste, soucieuse de notre bien commun à tous, elle savait à propos de DSK... elle savait tout... mais par déni de la réalité, comme à son habitude, elle se taisait, elle faisait l'autruche, elle se soumettait à son doux délire.

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Un proche de Dominique Strauss-Kahn révèle à France-Soir comment, depuis longtemps, il craignait le pire, en raison de son appétit sexuel.

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« Depuis plusieurs mois, j'ai demandé que Dominique ne se déplace plus sans être accompagné par deux ou trois gardes du corps. Il ne faut jamais le laisser seul. Non pas pour le défendre contre une quelconque agression, mais je choisis les mots justes, non diffamatoires, pour empêcher mon ami disons... de céder à la complexité de sa vie sexuelle. Cela, bien sûr, dans l'éventualité de sa candidature à l'élection présidentielle de 2012. »

Ce proche de Dominique Strauss-Kahn nous a fait cette déclaration alarmiste, il y a environ trois mois, lors d'un déjeuner à Paris. Curieusement, ce responsable du PS n'a pas été écouté. Les conseillers du directeur du FMI préfèrent alors ressasser de vieilles affaires politico-financières qui ont plombé son ascension politique au début des années 2000 : sa relaxe finale dans le dossier de la Mnef, le salaire de son ancienne secrétaire payé par Elf et sa curieuse détention de la fameuse cassette Méry, illustrant le financement illégal du RPR. Pourtant, cette alerte ne faisait que refléter ce que beaucoup chuchotaient, depuis une quinzaine d'années, parmi nombre de journalistes politiques parisiens et de caciques des grands partis français. Ce proche et ami de DSK ne se contentait pas de le décrire comme « un grand séducteur de femmes, flambeur et dilettante ». Ce militant socialiste n'avait qu'une idée en tête : protéger contre lui-même son ami et patron.

Risque de scandales

Son objectif restait, comme en 2006, de le voir arriver à l'Elysée et s'asseoir dans le fauteuil de président de la République. Ce qui n'était pas évident, malgré les bons sondages de son candidat, vu le risque de scandales sexuels à répétition. Comme nous l'a affirmé notre interlocuteur, il y a trois mois : « Dominique, sorte de funambule aux nerfs d'acier et à la prodigieuse intelligence, constitue en fait une bombe à retardement qui peut exploser à tout moment... »

Dimanche dernier à New York, ses « pompiers » experts en communication de crise et situation d'urgence sont arrivés trop tard, pour la première fois. Leur erreur : ils n'avaient pas prévu le pire.

Un journaliste avait eu l'intuition (ou le courage ?) de prévoir ce pire et de briser l'omerta médiatique autour de DSK et, plus généralement, sur la vie privée des politiques dans l'Hexagone. Correspondant de Libération auprès du Parlement européen à Bruxelles, Jean Quatremer écrivait sur son blog Coulisses de Bruxelles le 9 juillet 2007 : « Le seul vrai problème de Strauss-Kahn est son rapport aux femmes. Trop pressant, il frôle souvent le harcèlement. Un travers connu des médias, mais dont personne ne parle (on est en France). Or le FMI est une institution internationale où les mœurs sont anglo-saxonnes. Un geste déplacé, une allusion trop précise, et c'est la curée médiatique. [...] La France ne peut pas se permettre un nouveau scandale. »

Plutôt que de tirer les leçons de cette mise en garde, les « pompiers » de DSK ont fait pression pour que le journaliste de Libération censure son blog de toute allusion à DSK. Ce qu'il n'a pas fait.

Aujourd'hui, comme tous les autres proches du directeur du FMI, notre interlocuteur se voit obligé de tenir un discours consensuel au nom de la présomption d'innocence. C'est-à-dire de déclarer et de répéter que « le prétendu viol d'une femme de ménage, à l'hôtel Sofitel de New York, ne ressemble pas du tout à l'ancien député maire de Sarcelles ». Bien sûr, plusieurs de ses conseillers et proches n'ont cessé de mettre en garde DSK contre ses penchants particuliers. L'intéressé refusait à chaque fois de discuter du fond de « l'affaire », se contentant d'en rire ou d'en sourire, d'encaisser les critiques, sans réagir dans un sens ou dans un autre. Son intelligence, il est vrai, brillantissime, lui permettait de noyer le poisson sans avoir à s'expliquer, rendre des comptes ou même accepter de prendre quelques précautions.

Une succession d'affaires ?

Or les « affaires » se seraient succédé en France et à l'étranger. La quasi-totalité n'aurait jamais débouché sur le plan médiatique ou judiciaire à l'exception de deux d'entre elles. L'une concernait en France une journaliste et l'autre aux Etats-Unis une haut fonctionnaire du FMI. Les autres se seraient déroulées en l'absence totale de la moindre procédure de police ou judiciaire ainsi que de la moindre allusion dans la presse. Elles auraient eu pour victimes plusieurs jeunes femmes, dont des militantes du PS et des Beurettes, selon nos informations émanant de proches, pourtant bienveillants à l'égard de DSK. Toutes ces affaires se seraient réglées à l'amiable entre les parents de ces victimes et des responsables du PS. Ces derniers auraient réussi à calmer, avec beaucoup de difficultés, ces sympathisants socialistes (certains s'étaient armés d'une hache ou d'un couteau, selon notre source) les persuadant de ne pas déposer plainte.

Des éléments de vie privée « indécents »

Dans leur ouvrage de référence Sexus Politicus (éd. Albin Michel-2006), les deux journalistes Christophe Deloire et Christophe Dubois consacrent six pages au patron du FMI sous le titre « L'affaire DSK ». Ils y décrivent l'énergie déployée par les « pompiers » de Dominique Strauss-Kahn pour récupérer auprès d'eux des « blancs (documents de police, NDLR) relevant du sordide et comportant des éléments de vie privée indécents » sur leur patron. En fait, il s'agit simplement d'une visite de DSK dans une boîte échangiste très connue située dans le Ier arrondissement de Paris. Une visite tout à fait légale qui n'avait rien de répréhensible aux yeux du Code pénal français. Comme quoi, ces « pompiers » avaient décidé d'instaurer une drôle de hiérarchie dans les dangers qui menaçaient leur patron. Au point de vouloir contrôler toute publication dans la presse ou dans l'édition plutôt que de protéger leur patron « contre les penchants complexes de sa vie sexuelle », selon l'expression de ce proche qui nous a parlé sous le couvert de l'anonymat. Comme l'écrivaient mardi la plupart des journaux français, les « frasques » de DSK étaient, à Paris, un secret de polichinelle.

Même s'il est présumé innocent, les accusations de viol qui pèsent désormais contre lui aux Etats-Unis ont révélé au monde entier cette « vie sexuelle complexe ». Notre interlocuteur s'en mord les doigts : « On ne m'a pas écouté. Il ne fallait pas le laisser seul.

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Source : France Soir

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Tout le monde savait

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Tout le monde savait... on vous dit...

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Enfin une chose... et pas des moindres... "Pov' DSK" par ci... "Pov' DSK" par là... mais la "présumée" victime, ils en parlent les bons commentateurs ? Ils ont une pensée pour elle ? Ceux qui s'offusquent qu'un puissant soit traité comme un petit, toute la Gôche bien pensante qui veut nous faire changer de Civilisation de force... dixit Aubry... qui en temps normal se plaignent que les puissants s'en sortent trop facilement... tous ceux qui ont pourri la vie à Madoff ou Berlusconi, ils leur ont laissé une chance d'être un instant "présumés innocents" ? Que nenni. Deux poids, deux mesures... mais le PS en particulier a cette habitude... tout ce qui est de Droite est pourri et fascistoïde... et ce qui est de Gauche c'est la Vertu, l'Empire du Bien... rien de neuf sous le soleil. Les traces d'ADN retrouvée ? Cela n'interpelle personne ? Les traces de griffures non plus ?


Le frère de la victime a parlé...

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Docteur Strauss et Mister Kahn

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La Parade

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La passion orgiaque n’est que le revers de l’ennui quotidien. Elle ne le dépasse pas, mais le perpétue et le justifie...

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Jan Patočka

« Dans ses Essais hérétiques, le phénoménologue tchèque Patočka (mort torturé par la police communiste en 1977) écrit :

"L’une des conséquences [de la société industrielle moderne], c’est l’ennui qui s’annonce d’abord imperceptiblement, puis de façon de plus en plus pressante. L’ennui n’est pas une quantité négligeable, une simple humeur, une disposition privée, mais le statut ontologique de l’humanité qui a entièrement subordonné sa vie au quotidien et à son impersonnalité." (Essais hérétiques, p. 145).

Commentaire : Cet ennui aux "proportions gigantesque" (ibid., p. 147) ne signifie rien d’autre que l’effet nihiliste de l’infiltration de la technique au cœur de la vie quotidienne, le devenir routinier de l’existence. C’est l’humeur nihiliste par excellence, l’humeur désabusée du désintérêt pour le monde. Or, cet ennui ne se présente pas seulement "sous les formes raffinées de l’esthétique et des protestations romantiques", comme c’était encore le cas au XIXè siècle où, sous l’aspect du spleen, il exprimait le désarroi de l’aristocratie littéraire jetée dans le monde vil de la marchandise bourgeoise, mais "aussi sous les espèces de la société de consommation", c'est-à-dire pour tout un chacun en tant qu’il est devenu membre de la société industrielle du travail aliénant et du "divertissement obligatoire" (ibid., p. 145). L’ennui, c’est le fond gris de l’existence, la tonalité affective fondamentale du monde industrialisé.

Mais la société industrielle ne se contente pas de réduire la vie quotidienne à un désert mécanique, elle produit aussi son alternative factice. Avec une fureur sans pareil, elle investit également le domaine de l’orgiaque. Contre l’ennui, se dresse le délire :

"La chute sous la coupe des choses, de la préoccupation quotidienne et de l’enchainement à la vie, entraîne comme pendant nécessaire une nouvelle vague de la crue orgiaque" (ibid., p. 130).

La encore, la première action de la civilisation industrielle consiste à imposer ses règles : rationalisation et développement technique. L’orgiaque moderne n’a certainement plus grand-chose de commun avec la fête démonique des sociétés traditionnelles, avec le ravissement sacré et la perte de soi, il est passé entièrement sous le contrôle de la technique et de sa mobilisation totale de l’étant. [...] la civilisation technique fabrique son faux complément intense et extraordinaire. Elle siphonne la quotidienneté de toute vitalité pour ensuite la fétichiser dans les images orgiaques du déchainement techno-industriel. Le vécu aliéné se donne en spectacle dans les (fausses) bacchanales modernes. Faute de vivre sa vie, l’homme ordinaire la brûle intensément dans les extases momentanées. Il répond à l’aliénation subie de sa vie quotidienne par l’aliénation voulue dans le tout autre. L’ennui et le délire deviennent les deux seules expériences que l’homme contemporain peut encore éprouver. [...]

Cela n’est pas très étonnant si l’on tient compte du fait que, comme le dit Patočka, "la quotidienneté et l’orgiasme sont organisées par une seule et même main" (ibid., p. 146). A l’âge moderne, l’ennui quotidien et le défoulement démonique vont de pair ; ce sont les deux faces d’une même pièce : la domination technique. Le système qui produit l’ennui mondial est le même que celui qui fabrique les pseudo-événements orgiaques censés le surpasser. Rien d’autre n’existe désormais. Le démonique met ainsi fin à la monotonie quotidienne en reproduisant ses conditions de production. Autant dire qu’il poursuit la même mécanisation de la vie en donnant l’impression de rendre à cette dernière sa spontanéité sauvage. Car s’il transcende l’existence médiocre dans l’expérience extatique d’affects déchainés, c’est avec les moyens mêmes de son appauvrissement quotidien.

La passion orgiaque n’est que le revers de l’ennui quotidien. Elle ne le dépasse pas, mais le perpétue et le justifie. »

Bruce Bégout commentant Jan Patočka, dans Surcivilisation et nihilisme - Le philosophe et son ombre


Bruce Bégout

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17/05/2011

Un Européen d'Honneur

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Ernst Jünger, blessé 14 fois lors de la première guerre mondiale, décoré de la Croix pour le Mérite

« Jean-Louis Foncine –Vous avez abondamment évoqué dans vos Journaux Parisiens les amitiés que vous avez pu nouer avec de nombreux écrivains et artistes à Paris durant la guerre. Pouvez-vous nous fournir quelques précisions sur cette époque ?

Ernst Jünger – On a bien sur parlé de mes rencontres, soit individuelles, soit aux fameux « Jeudi » de Florence Gould, avenue Malakoff, avec Sacha Guitry, Drieu La Rochelle, Montherlant, Cocteau, Léautaud, Paul Morand. J’ai visité dans leur atelier Braque et Picasso. J’aimais aller voir Georges Poupet, chez Plon, rue Garancière, dans cette vieille maison d’édition si belle et si riche en souvenirs. Ma plus grande sympathie allait à Marcel Jouhandeau et à Elise. Nous portions la même attention aux animaux, aux insectes et aux hommes. Avec Drieu, qui avait été volontaire en 1914, comme moi-même, nous avons découvert non sans stupéfaction que nous avions entendu le même son de cloche de la même église sonner pour la veillée de Noel. Nous étions dans des secteurs de front opposés, bien entendu, et nous entendions le même appel de cloche »

Entretien avec Ernst Jünger. 17 mars 1985, La Nouvelle Revue de Paris, Paris, vol. 3, p. 14

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16/05/2011

La chute de DSK : la fin des 30 calamiteuses ?

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Cette affaire new-yorkaise de DSK annonce la fin d’un cycle qui a démarré avec l’élection de François Mitterrand, le 10 mai 1981, qui a fait pénétrer la France entière dans la pensée Magique, selon le mot de Jack Lang qui affirmait, très sérieux, solennel même, que notre pays était passé des ténèbres à la lumière, une pensée qui a passé son temps à dénier la réalité, à cacher les faits divers (comme dans les dictatures… car le fait divers est toujours révélateur de l’état d’un pays, surtout quand il se répète sans cesse), et qui prend fin au moment où les droites dites populaires, nationales ou extrêmes ont le vent en poupe et grimpent à tout va vers les sommets pour le plus grand malheur de nos chers bobos qui voudraient conserver leurs petits privilèges en dépit des soucis du peuple, le peuple, ce beauf viticole, que la Gôche a toujours méprisé, de Robespierre à Strauss-Kahn, au nom de la vertu et du progressisme. Ce beauf qui préfère voter FN que PS ou PC, parce qu’il n’est peut-être pas cultivé, le beauf en question, mais il sait réagir épidermiquement aux circonstances qui sont les siennes, il voit sa civilisation changer de gueule, alors doté de son simple bon sens populaire, ce même bon sens qui horrifie le bobo de base, il tente de mettre un coup de frein à tout ce cirque. La Gôche a toujours la tête dans le cul et mille leçons à donner, parée de sa vertu, exactement comme Robespierre en son temps qui nous les brisait avec ses longs discours fleuve de quatre plombes de long où il faisait l’éloge de la déesse de la Raison et de la Vertu Révolutionnaire, la Gôche disais-je est estomaquée, elle n’arrive pas à s’en remettre. DSK en pervers sexuel, chopé par les couilles à New York par la police qui ne rigole pas avec les affaires de viols présumés ou authentiques. Menottes et photos pour la presse, films pour les médias télévisés, images pour la postérité. DSK, Dominique the SEX KILLER, comme dirait mon épouse en se marrant, avec une gueule de possédé effaré par ce qui lui arrive. Il est beau le héros, le sauveur des masses progressistes, le social-démocrate couché devant la machine à billet, l’aplatisseur de peuples qui demande à chacun d’entre eux de se plier à la banque centrale, d’abandonner son essence aux oublis de l’Histoire et de marcher vers la gouvernance mondiale le cœur plein d’espérance. Fausse religion des lendemains qui chantent, nouvelle Internationale toujours recommencée pour la joie des doux dingues rêveurs qui mangent bio, font les brocantes et soutiennent les sans-papiers pour se faire bonne conscience.

Mon épouse, qui bosse dans l’édition, est au courant des frasques de DSK, via un ponte du domaine en question, depuis des lustres, quelqu'un qui comme DSK et son épouse, Anne Sinclair, était un habitué des milieux échangistes où il les croisait l’un et l’autre, toujours ensemble et qui y est allé de quelques "condifences" de manière espiègle il y a plus de 10 ans de cela devant des collaborateurs dont Irina qui en fut amusée. D’où la complaisance d’Anne Sinclair à propos des extravagances de la bite de Dominique-nique-nique, puisqu’elle partage certains de ses vices. Et pas seulement mon épouse, mais le tout Paris informé était au courant.

Berlusconi, de droite, en comparaison, il paye des putes… bon il s’est fait couillonner sur l’âge de certaines, c’est là un autre problème, mais à quelques mois prêt il passait au travers. Berlusconi, il a du pognon et il aime le montrer jusque dans les affaires de la chair, c’est un rital méditerranéen décomplexé du porte-monnaie et décomplexé de la quéquette, certes il est vulgaire, mais au moins il est rigolo avec ses cheveux teints, sa peau bronzée et ses dents refaites. C’est pas un socialiste, Berlu, vous me suivez ? Il cache pas sa réussite sociale. Sa réussite intérieure c’est une autre affaire, ça le regarde, il s’en expliquera avec le Seigneur un jour, on verra s’il assumera complètement.

DSK c’est autre chose, ce qui le fait bander c’est le truc illégal, en dehors des lois, la soumission de la femme. Vous suivez ? Lui qui passe son temps à vouloir faire marcher droit la terre entière… enfin, quand ça l’arrange, hein ?, parce que Sarcelles c’est pas non plus une totale réussite. Mais là, en fait, y’a plusieurs choses… toute la classe politique le défend, à mon avis, pour une seule raison : tout le monde savait. Une vidéo avec Ardisson tourne sur la toile depuis hier, un peu partout, grâce à YouTube, reprenant un extrait d’une émission qu’Ardisson tenait sur la chaine Paris Première, qui montre bien que tout le Paris branché, câblé et informé savait, c’est tellement évident, et les gens ont honte parce que s’ils ne le défendaient pas (putain ! même Boutin la Catho coincée le défend !!!) cela mettrait méchamment en doute leur propre morale, parce que tôt ou tard, vous allez voir, ça va se savoir et le fait que la classe entière le défendait ça paraitra, au moins, logique : nous savions alors c’est normal, nous sommes un peu coupables aussi, veuillez nous pardonner. Alors que si la classe politique ne le défendait pas ça ferait une autre musique : nous savions, mais comme nous sommes aussi pourris que lui, mais c’est bien fait pour sa gueule, que voulez-vous ? c’est ça la politique. Faut qu'ils assurent, qu'ils gardent quelques portes de sorties, qu'ils s'assurent un peu de pitié.

Dans la vidéo avec Ardisson, une jeune journaliste écrivain, Tristane Banon, témoigne des assauts de DSK à son encontre, alors qu’il l’avait carrément fait tomber dans un piège. L’émission date d’il y a plusieurs années déjà, le nom de DSK est « beepé » et ce qu’elle a subi depuis est proprement ahurissant : pressions diverses, complots à son égard, mise à l’écart, alors que la pauvre fille qui était toute jeune à l’époque des faits, n’avait pas porté plainte contre la crapule sur recommandation de sa mère, une grosse huile du PS, qui s’en mord les doigts à présent et qui apparaît un peu partout sur les chaines d’information télévisées pour vider son sac qui lui pèse parce que trop lourd. Ce qui est révélateur, de même, d’un certain état mental qui règne chez les socialistes. Et ce silence qui a régné sur cette affaire durant tant d’années apparaît soudain comme proprement assourdissant.

Résumons-nous : DSK est, me dit-on, économiquement talentueux, politiquement exemplaire. Certes. Il n’a jamais été ma tasse de thé, mais mettons que ceux qui disent ça aient raison. Par contre, il a un sérieux problème avec sa bite. C’est tout. Tristane Banon en 2002, la hongroise économiste du FMI en 2008, Ardisson qui dit, dans la vidéo, qu’il a 14 copines qui affirment qu’il aurait essayé sur elles (bon, 14 c’est peut-être une façon de parler, mais même si elles ne sont que 5 ou 7, ça fait beaucoup), Tristane Banon qui précise qu’aucune jeune nana à l’assemblée ne veut bosser avec lui (le mec a une réputation de droit de cuissage), mon épouse qui n’est rien du tout et qui a appris de la bouche d’un décisionnaire à son taf (en même temps que plein d’autres gens, elle n’était pas seule) lors d’une réunion de travail que DSK et Anne Sinclair fréquentaient les mêmes boites échangistes que lui sans se cacher, et y’a plus de 10 ans, hein, ça révèle tout de même une certaine tendance… et à présent cette histoire new-yorkaise. Moi je pense que ça fait vraiment beaucoup. Y’a quelques mois, tout de même, DSK a été obligé de s’excuser devant le FMI et ses employés pour garder sa place… depuis tout semblait rentré dans l’ordre… jusqu’à ce que ses instincts le rattrapent ! Bien entendu qu’il pouvait se taper des « professionnelles », mais c’est pas excitant des « professionnelles » pour un obsédé compulsif comme lui, ce qui le fait bander c’est franchir la limite, aller contre la légalité, sauter sur la première gonzesse physiquement bien achalandée qui passe pour qu’elle se soumette.

Un court instant un flash me traverse l’esprit : la première rencontre entre DSK et Anne Sinclair, un viol réussi des deux côtés car consenti par Anne, cette coquine avec ses airs de sainte nitouche et de bourgeoise pleine de fausse retenue qui faisait fantasmer tout le monde dans les années 80. Un destin scellé sur le bon coup de bite et la soumission adéquate.

Reste le coup monté… c’est pas con et, dans la politique, c’est logique. Depuis une éternité on se poignarde dans le dos. Rien de plus normal sous le soleil. Ou sous la lune. Les salauds aiment les rencontres nocturnes, discrètes.

Sarkozy ? Si c’est lui, coup de génie stratégique : je te l’envoie au FMI et j’ai rien d’autre à faire, il sera rattrapé par ses démons et il fera un pas de travers, j’ai mes bons informateurs, le type est sympathique en apparence mais c’est un vrai pervers, il a noyé le poisson dans l’eau bien des fois et aux USA ça rigole pas. S’il fait un pas de travers là-bas, c’est tout bénef pour moi. Le simple fait de faire un clin d’œil à une femme, aux USA, c’est le tribunal assuré si la femme porte plainte. Parce que c’est la LOI, c’est comme ça. Je trouve ça petit, moi,  je suis un slave orthodoxe qui a hérité, par mon éducation française, d’un tempérament libertin latin… mais aux USA, c’est la Loi. La Loi aux USA, ça rigole jamais. Je me remémore une anecdote que m’avait raconté Eric James Guillemain, mon ex-chanteur au sein de Venice, à propos d’une paire de bottes en croco qu’il avait ramenée du Mexique, en repassant la frontière en direction des USA il se les était fait confisquées : le flic aux douanes, gros et transpirant, avec ses lunettes noires en train de le fixer et de lui dire simplement : « This is the law ! » Parce que les bottes en croco c’était interdit : espèce protégée. Donc on ne rigole pas : on envoie un signal et on t’emmerde. 

Monsieur DSK, les USA sont un grand pays souverain et libre... et « This is the law ! »

Si Sarkozy, en concertation avec les ennemis de DSK au PS, a fait en sorte qu’une belle black, femme de chambre, originaire du Ghana, divorcée et mère d’une enfant (donc qui a besoin de fric pour les études de sa môme), vienne juste agiter son cul devant le pervers au bon moment, ça ne serait pas étonnant. Le mec est tombé dans le piège et la seule chose qu’a eu à faire la femme de chambre en question c’est de hurler au viol, qu’effectivement le mec a tenté par pulsion plus forte que lui et que les autres témoignages français viennent peut-être pas confirmer… mais sérieusement conforter.

Si Sarko est derrière ce coup… c’est du machiavélisme d’orfèvre… de la stratégie digne de Sun Tzu et de L’Art de la Guerre : j’agis pas… je place les pions… et par le « non agir » je laisse les choses se faire. Il a compris tout Clausewitz, là, le Sarko… Mitterrand est battu à plates coutures !

Parce que comprenez bien, ici ça n’est pas une question d’intelligence, il paraît que DSK est intelligent, mais les mecs les plus intelligents ont un point faible et DSK, son point faible, c’est le cul. Voilà. Mais ça, je vous dis, moi ça fait un moment que je le sais, au point où depuis qu’on sait ça, ma femme et moi, à chaque fois qu’on le voyait à la télévision on y allait de notre petit commentaire rabelaisien en rigolant. Mais jusqu’à présent ça restait dans le domaine privé, donc l’usage de sa bite et du cul d’Anne Sinclair, ça les regardait, moi je m’en fous, mais dès que ça passe dans le harcèlement sexuel évident ou la tentative de viol avérée… ça commence à me hérisser. La Prima Nocte c’est terminé messieurs les Seigneurs de la Haute Finance.

Bon, ce sont des mots en l’air… parce qu’il y a présomption d’innocence, mais avouez que c’est tragi-comique et que les faits ne causent pas en sa faveur. Et Sinclair qui partage certaines de ses pratiques sexuelles ne peut que le défendre. C’est son mari, je ne doute pas qu’ils s’aiment, mais là c’est très limite.

Il faut avouer, de plus, que le FMI ne fait pas grand chose pour le défendre, et ce malgré la déclaration de ses hommes de mains au FMI qui avouaient qu’ils l’auraient bien gardé avec eux tellement ils aimaient son efficacité, que ça leur brisait le cœur qu’il veuille présenter sa candidature à la Présidence de la République, le FMI ne le défend pas, simplement parce qu’une fois ça va… deux fois c’est déjà trop… et voilà les dégâts.

Ivan Rioufol, le 9 mai dernier sur son Blog avait commis un texte qui accompagne à merveille tout ce qui arrive à la Gôche depuis quelques temps et dont l’affaire DSK est la pierre d’achoppement finale, « Les trente calamiteuses » que ça s’appelle et c’est juste et précis :

« Après les Trente glorieuses (Les années cinquante, soixante, soixante-dix), voici les Trente calamiteuses. Elles débutent le 10 mai 1981 et s'achèvent actuellement, sous les yeux de Français irrités par ce qu'ils endurent, avec l'effondrement de la pensée magique. Instauré avec l'élection de François Mitterrand avant d'être repris par la droite mimétique, l'irréalisme politique est, en effet, le premier responsable de la somme des désastres qui s'accumulent et qui font grossir les rangs des déçus de la gauche et de la droite. Trente ans d'utopies, de dénis des faits, de mépris des gens et de méthodes Coué ont renforcé la méfiance des électeurs vis-à-vis de leurs représentants. Une époque s'achève, avec le trentième anniversaire de l'arrivée des socialistes au pouvoir. Cependant, le PS se réclame encore de cette période, qui ne vaut que pour la nostalgie qu'elle peut éventuellement inspirer.

Cet immobilisme du PS, incapable de briser les liens avec un mitterrandisme momifié, pourrait bien être la cause de son échec en 2012. Face aux faillites des idéologies, le bon sens commande de s'en séparer au profit de politiques pragmatiques et efficaces. Or la gauche ne semble pas prête à cette révolution des esprits, quand elle défend encore la retraite à soixante ans, les emplois aidés, le mondialisme et autres sujets qui mériteraient d'en finir avec les réponses toutes faites que propose son vieux logiciel. Même si la droite au pouvoir n'est guère vaillante, elle est en train de s'émanciper de cette glaciation intellectuelle qui donne à la gauche son côté Hibernatus. Une nouvelle manière de faire de la politique doit être imaginée, sur les champs de ruines laissé par les discours automatiques. Et, sur ce terrain, je crois Nicolas Sarkozy plus libéré et inventif que DSK ou François Hollande. »

(Ivan Rioufol) 9 mai 2011 sur son Blog

Et puis ce texte du peintre chaman Ibara, qui ne mâche pas ses mots et qui l’a appelé « Les 30 calamiteuses » également :

« Giscard au tapis, l’orgueil meurtrit, s’en est allé, contrit. La gauche accédait au pouvoir. Le juif errant était enfin arrivé. La terre était fertile, l’herbe grasse et le troupeau, docilement baba cool, ressentait l’impatience d’un désir frénétique de jouissance transgressive. Une aubaine pour la clique « humaniste » aux dents longues. La vengeance en plat froid allait rassasier plus que de raison une fringale de pouvoir si longtemps contenue. Le peuple en liesse se réjouissait dans l’espérance. Les loups entraient dans la bergerie. L’histoire allait être réécrite à la gloire des sodomites et du Dieu biblique. La France se retrouvait captive d’une pensée mortelle. La mère en NTM, le racisme en SOS, la musique en exécrables concerts, le tag en art majeur, la vulgarité en idole adulée, la féminisation en accélération, la famille en décomposition, le métissage en engrenage, la culpabilité en devoir de mémoire, la décadence en ordonnance, le sang en contamination et toutes les transgressions dansaient sans circonvolution au panthéon des inversions. 10 mai 1981, date fatidique marquée du chiffre 16. La lame de la « maison Dieu » du tarot de Marseille. Destruction, calamité, misère. Trente ans plus tard, la terre est stérile, l’herbe rare et le troupeau désespéré. Le fermier est un fou dégénéré entouré de démons hallucinés, ils ne sont que l’une des conséquences désastreuses d’une espérance trahie...»

Ibara

23:40 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (10) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook