02/01/2020
Désolé pour ce retard...
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La faune...
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« Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l'étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d'imaginer une pareille bassesse — et en même temps, une pareille inconscience de la bassesse. »
Le Général de Gaulle, cité par Alain Peyrefitte dans "C'était de Gaulle"
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La paix intérieur... mon cul sur la commode !
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Le dessert...
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01/01/2020
Chacun montre sa belle âme, raconte ses secrets
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« Le principe qui règne aujourd'hui est une curiosité universelle : chacun montre sa belle âme, raconte ses secrets. Qui a le malheur de ne pas s'y intéresser est un monstre. L'humanité, ça ne transige pas. »
Roger Nimier, Le grand d'Espagne
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Envahis...
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« La terre ne leur dit plus rien. Ils ne sentent plus la terre, ils ne l’aiment plus. Ils seront envahis. Ils sont déjà envahis. Des Polonais, des Tchécoslovaques, des bicots. Mais leur vice dévore tout de suite l’envahisseur. Il y a une puissance de syphilis dans la France. »
Pierre Drieu la Rochelle, Gilles
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L'honneur
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« La notion qui fonde toute coutume vivante, c’est l’honneur. Tout le reste, fidélité, humilité, bravoure, esprit chevaleresque, maîtrise de soi, résolution, en découle. Et l’honneur est une question de sang, non de raison. On ne réfléchit pas – sinon, on a déjà perdu l’honneur. »
Oswald Spengler, Ecrits historiques et philosphiques - Pensées
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L'année 2020 s'annonce merveilleuse... réjouissons-nous !
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Bonne Année...
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Petit Rappel... pour l'année qui s'en vient comme pour les années précédentes...
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31/12/2019
La sommation vitale d’un petit peuple
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« Alors, jaillit du sillon, sortie des entrailles de la terre, la sommation vitale d’un petit peuple. On a quitté le pignon de la ferme parce que les nouvelles autorités ont touché la maison en son cœur, là où repose en paix, sous la poutre maîtresse, cette petite demeure invisible, immémoriale, inviolable, qui noue la coutume, la parole et les visages oubliés. Là où se loge un trésor plus sacré encore que la vie. Cette demeure invisible abrite les croyances ancestrales, aujourd’hui bousculées, culbutées, souillées.”Plutôt la mort que la souillure” comme disent les bretons. Alors jeune ou vieux, on a tout quitté. »
Philippe de Villiers, Le roman de Charette
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Avant...
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« La vallée avait bien changé depuis sa jeunesse ; il avait vu les petits commerces et les cafés fermer, les artisans cesser leur activités, les distilleries faire faillite, les paysans se mettre au maïs, les fermiers transformer leur ferme en restaurant, les musées ouvrir et les touristes débarquer. Il avait connu des fromageries au chapellerie même ! et des tanneurs, des cordonniers, des bourreliers, un tonnelier, un ferblantier, un forgeron et un cordier... Il avait connu l'époque où il y avait cinq bierstubs au bourg ! Toutes remplies comme des œufs ! Aujourd'hui, il restait deux boulangeries, une épiceries et une pizzeria, et un horrible hypermarché à l'entrée de la vallée, moloch de tôle qui avait sucé toute la vie du pays. Mais le pire de tout c'est que, quand il expliquait que c'était mieux avant, il y avait toujours un jeune con de sociologue pour lui expliquer que c'était une illusion de vieux. Or le vieux Marcel n'en démordait pas : putain de merde, oui, c'était mieux avant ! Et sacrément mieux encore ! La vie était rude et laborieuse mais elle avait une convivialité, une saveur et un sens qui avait disparu. »
Olivier Maulin, La fête est finie
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Tout service a un prix...
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30/12/2019
Car nous avions été élevés par des gens qui croyaient à la réalité du sang
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« La campagne s‘était trouvée de nouveaux chefs, des types qui la réorganisaient dans leurs bureaux. De Londres, de Bristol, ils sont venus nous convaincre que l’avenir était dans la production en batterie. Ils disaient qu’aujourd’hui un éleveur doit nourrir des centaines, des milliers de gens entassés dans les villes. La planète n’a plus la place pour le bétail, les hommes n’ont plus le temps de les mener au pré. Sur la même surface, désormais, la technique permettait d’augmenter le rendement ! Il suffisait de ne plus exiger de la terre qu’elle fournisse sa force aux bêtes, mais de leur apporter l’énergie nous-mêmes, sur un plateau !
C’était une révolution. Car nous avions été élevés par des gens qui croyaient à la réalité du sang. Jusqu’ici, les bêtes que nous mangions se nourrissaient d’une herbe engraissée dans le terreau du Dorset, chauffée au soleil du Dorset, battue par les vents du Dorset. L’énergie puisée dans le sol, pulsée dans les fibres de l’herbe, diffusée dans les tissus musculaires des bêtes irriguaient nos propres corps. L’énergie se transférait verticalement, des profondeurs vers l’homme, via l’herbe puis la bête. C’était cela être de quelque part : porter dans ses veines les principes chimiques d’un sol. Et voilà qu’on nous annonçait que le sol était devenu inutile. »
Sylvain Tesson, Une vie à coucher dehors
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Responsabilités
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« Le système de santé français a ceci de merveilleux qu'il ne vous place jamais devant vos responsabilités. »
Sylvain Tesson, Sur les chemins noirs
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Le frein à main...
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29/12/2019
L'universel
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« Mon vieux, la ruralité que tu rabâches est un principe de vie fondé sur l'immobilité. On est rural parce que l'on reste fixé dans une unité de lieu d'où l'on accueille le monde. On ne bouge pas de son domaine. Le cadre de sa vie se parcourt à pied, s'embrasse de l'oeil. On se nourrit de ce qui pousse dans son rayon d'action. On ne sait rien du cinéma coréen, on se contrefout des primaires américaines mais on comprend pourquoi les champignons poussent au pied de cette souche. D'une connaissance parcellaire on accède à l'universel. »
Sylvain Tesson, Sur les chemins noirs
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Raymond a un problème...
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Le pays pour lequel il souffrait
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« Tout autour de lui, dans l'immensité et le désordre, s'étendait le pays pour lequel il souffrait. Il allait lui donner sa vie. Mais ce grand pays, qu'il était prêt à contester au point de se détruire lui-même, ferait-il seulement attention à sa mort ? Il n'en savait rien ; et tant pis. Il mourrait sur un champ de bataille sans gloire, un champ de bataille où on ne pouvait s'accompagner d'aucun fait d'armes : le lieu d'un combat spirituel. »
Yukio Mishima, Patriotisme
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28/12/2019
Facebook... Leftbook...
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27/12/2019
Le Droit d'Exister...
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26/12/2019
Greta & Boyan
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Vivre ensemble
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25/12/2019
Enrichissement... Joyeux Noël...
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Objectif Gare du Nord
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Y'a des priorités...
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