28/10/2015
Différent...
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27/10/2015
Ceci n'est plus une femme...
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Woman of the year...
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La vie du politicien...
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Une Classe de dhimmis...
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26/10/2015
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Ce qui peut me briser...
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Islam is not a Race...
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25/10/2015
Missives Poutiniennes...
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22/10/2015
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Password...
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Une élégance toute française...
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21/10/2015
Les troubles en Palestine - 1929
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Si vous croyez que les troubles au Moyen-Orient datent de la naissance de l'Etat d'Israël... vous vous trompez...
En 1929, déjà, la presse titrait : Les troubles en Palestine - Des Arabes fanatiques massacrent les juifs dans les divers quartiers de Jérusalem.
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Fuck the System...
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20/10/2015
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Sous le principe de la Solidarité...
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L'Origine du Monde - 2015
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19/10/2015
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La production standardisée...
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Veuillez patienter
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18/10/2015
Discrwiminé !
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Trop de lois, trop de textes...
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16/10/2015
Le Clergé Laïc
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Un peu avant la Révolution se présente un phénomène encore mal connu dont on ne voit pas clairement les causes, ni le terme, ni les derniers effets : les Sociétés.
"Les Sociétés", ce terme est employé absolument sans détermination. On dit, en octobre 1788, que les parlementaires sont vaincus d'avance parce qu'ils sont "chassés de toutes les Sociétés". On rapporte les paroles prononcées par tel homme en vue dans une "Société". On parle de "l'opinion des Sociétés". Le terme de Société est le véritable, non celui de Club, pour désigner les Sociétés révolutionnaires. On dit en 1792 : la Société de telle ville.
Cette manière de parler a sa raison. Il ne s'agit plus des salons littéraires du dix-septième siècle. Ce sont des sociétés de philosophes.
C'est au déclin du règne de Louis XV que le phénomène se répand en France. Le Grand-Orient se constitue en 1773. Les Sociétés secrètes et ordres divers, Ecossais, Illuminés, Swedenborgiens, Martinistes, Egyptiens, Amis réunis, se disputent les adeptes et les correspondances. On voit enfin de 1769 à 1780 sortir de terre des centaines de petites sociétés à demi découvertes, autonomes en principe comme des loges, mais agissant de concert, comme des loges aussi, constituées comme elles, animées du même esprit "patriote" et "philosophe", et cachant mal des visées politiques semblables, sous des prétextes officiels de science, de bienfaisance ou de plaisir : Sociétés académiques, littéraires, patriotiques, musées, lycées, sociétés d'agriculture même.
"La république des lettres", simple allégorie en 1720, est devenue vers 1770, grâce à Voltaire et aux encyclopédistes, une fort tangible réalité. Le règne des salons et du persiflage élégant est fini. Celui des Sociétés de pensée et du philosophisme commence. Les "Cacouacs" ont suivi les conseil de leur vieux maître. Ils ont formé un "corps d'initiés", une "meute", pour faire la chasse à l' "infâme" avec un acharnement qui trouble quelque peu la majesté du Parnasse français. M. Roustan, dans son livre sur Les philosophes et la Société française au dix-huitième siècle, a fort justement insisté sur la formation de la "secte" philosophique vers 1760, et ce qu'il appelle le "clergé laïc". Elle règne à l'Académie sous d'Alembert, dispose de la censure par Malesherbes, fait interdire les livres de ses adversaires, et jeter les auteurs à Vincennes et à la Bastille, répand sur l'opinion et sur le monde des lettres une sorte de terreur sèche. Les lettres de lord Chesterfield, les mésaventures du président de Brosses, de Palissot, de Gilbert, de Rousseau, de Fréron, de Linguet, pour ne citer que les plus célèbres, montrent ce que risquaient les indépendants et les héroïques.
L'objet des Académies est de susciter une opinion publique. Elles ne sont pas seulement une agence de nouvelles, mais des sociétés d'encouragement au patriotisme, des barreaux d'esprit public. Pour atteindre ce but, elles créent une république idéale en marge et à l'image de la vraie, ayant sa constitution, ses magistrats, son peuple, ses honneurs et ses luttes. On y étudie les mêmes problèmes politiques, économiques, etc., on y traite d'agriculture, d'art, de morale, de droit. On y débat les questions du jour, on y juge les hommes en place. Bref, ce petit Etat est l'image exacte du grand, à une seule différence près ; il n'est pas grand, et il n'est pas réel. Ses citoyens n'ont ni intérêt direct, ni responsabilité engagée dans les affaires dont ils parlent. Leurs arrêtés ne sont que des voeux, leurs luttes des conversations, leurs travaux des jeux. Dans cette cité des nuées, on fait de la morale loin de l'action, de la politique loin des affaires ; c'est la cité de la pensée. Voilà son caractère essentiel, celui que les initiés comme les profanes oublient d'abord, parce qu'il va de soi, et auquel il faut d'abord revenir pour apprécier la valeur et s'expliquer les lois et la pente fatale de l'association. Il n'est pas indifférent en effet qu'il s'éveille et se forme un esprit public de cette manière - socialement ; ni qu'une société se fonde - théoriquement. »
Augustin Cochin, La révolution et la libre-pensée
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