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19/05/2015

Portant bravement les contradictions du monde et les résolvants par la complexe organisation de l’esprit

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« Ce christianisme-là était mâle, compréhensif, mais affirmatif, portant bravement les contradictions du monde et les résolvants par la complexe organisation de l’esprit et de la vie qu’il offrait aux hommes. Ce Christianisme-là, qui est venu providentiellement servir notre face et notre climat, s’inscrit aux tympans des cathédrales, dans la figure vigoureuse, juvénile et puissante du Christ triomphant, aux cotés de qui est assise la Vierge Mère. Il n’a rien a céder en virilité et en santé aux dieux de l’Olympe et du Walhalla, tout en étant plus riche qu’eux en secrets subtils qui lui viennent des dieux de l’Asie. »

Pierre Drieu la Rochelle, Chronique politique, 21 juin 1938

 

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Une gigantesque coïncidence

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« Parfois il arrive de se sentir instantanément proche d'êtres dont on n'a pas vraiment fait la rencontre, mais naturellement un lien se tisse, sans effort, sans volonté, par le seul fait d'une gigantesque coïncidence. »

Serge Joncour, L'amour sans le faire

 

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Cette très haute idée qu'on se fait de l'autre sans tout en connaître

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« Ne pas pouvoir s'aimer, c'est peut-être encore plus fort que de s'aimer vraiment, peut-être vaut-il mieux s'en tenir à ça, à cette très haute idée qu'on se fait de l'autre sans tout en connaître, en rester à cette passion non encore franchie, à cet amour non réalisé mais ressenti jusqu'au plus intime, s'aimer en ne faisant que se le dire, s'en plaindre ou s'en désoler, s'aimer à cette distance où les bras ne se rejoignent pas, sinon à peine du bout des doigts pour une caresse, une tête posée sur les genoux, une distance qui permet tout de même de chuchoter, mais pas de cri, pas de souffle, pas d'éternité, on s'aime et on s'en tient là, l'amour sans y toucher, l'amour chacun le garde pour soi, comme on garde à soi sa douleur, une douleur ça ne se partage pas, une douleur ça ne se transmet pas par le corps, on n'enveloppe pas l'autre de sa douleur comme on le submerge de son ardeur. C'est profondément à soi une douleur. L'amour comme une douleur, une douleur qui ne doit pas faire mal. »

Serge Joncour, L'amour sans le faire

 

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La forme la plus édulcorée de la sincérité

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« Ne pas arriver à se dire les choses c'est peut-être la forme la plus édulcorée de la sincérité, ne pas arriver à se parler c'est une façon de retenir les mots à soi, de les penser à un point tel qu'on n'arrive même plus à s'en détacher, de la sincérité à l'état brut. »

Serge Joncour, L'amour sans le faire

 

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Dans un soupir

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« On ne refait pas sa vie, c'est juste l'ancienne sur laquelle on insiste. »

« Dans un soupir, il y a bien plus à entendre que dans une phrase. »

Serge Joncour, L'amour sans le faire

 

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17/05/2015

Le panache comme remède à l’ennui

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« J’en con­clus que la légende valait mieux que la vie, et que le style, en lit­téra­ture, sur­pas­sait le fond. L’important n’était pas la sub­stance, ce vilain mot de philosophe, la forme, la tour­nure, en un mot : l’élégance. C’est ainsi, je crois, que l’on peut définir le genre hus­sard (même si nom­bre d’entre eux rejetèrent l’appellation) : la beauté plutôt que les idées, les for­mules con­tre les dis­cours et le panache comme remède à l’ennui. Cette morale si peu morale m’enchantait. Et ce qui agaçait les uns – les phrases qui claquent, les voitures de sport, l’anti-intellectualisme – me réjouis­sait au plus haut point. Pourquoi la littéra­ture devait-elle être grave et ennuyeuse ? Bernard Frank, qui a inventé le terme de “hus­sards” dans un arti­cle des “Temps Mod­ernes” de 1952, les traita, pour aller vite, de “fas­cistes”. Mais les fas­cistes sont des gens exces­sive­ment sérieux ! Le Blondin de “Mon­sieur Jadis”, le Déon des “Gens de la Nuit” où le Nimier de l’ “Etrangère” demeurent de char­mants gar­ne­ments qui n’ont qu’un seul souci : celui de la langue. Le reste n’est que bavardages et com­men­taires. La mode était au com­mu­nisme ; ils se déclarèrent de droite : pure ques­tion de style, encore. Ils avaient le vice de la provo­ca­tion, et mirent des mili­ciens dans leurs romans ; et alors ? Un romancier et cri­tique, ancien des “Let­tres Françaises”, me con­fi­ait récem­ment : “Vous ne devriez pas les lire ; c’étaient tous des salauds, ces types.” Je suis cer­tain qu’ils auraient été heureux du com­pli­ment. »

Thibault de Mon­taigu, “Les Hus­sards ou la beauté d’avoir tort”, in Revue Bor­del n°17: Hus­sards

 

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Un animal égaré dans un monde qui lui est étranger et incompréhensible

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« De fait, si la majorité a raison, si cette musique dans les cafés, ces divertissements de masse, ces êtres américanisés aux désirs tellement vite assouvis représentent le bien, alors, je suis dans l’erreur, je suis fou, je suis vraiment un loup des steppes ; un animal égaré dans un monde qui lui est étranger et incompréhensible.

Un animal qui ne trouve plus ni foyer, ni oxygène, ni nourriture. »

Hermann Hesse, Le loup des steppes

 

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Souche

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« Le préjugé est bon, en son temps ; car il rend heureux. Il ramène les peuples à leur centre, les rattache plus solidement à leur souche, les rend plus florissants et selon leur caractère propre, plus ardents et par conséquent aussi plus heureux dans leurs penchants et leurs buts. La nation la plus ignorante, la plus remplie de préjugés est à cet égard souvent la première : le temps des désirs d’émigration et des voyages pleins d’espoir à l’étranger est déjà maladie, enflure, embonpoint, pressentiment de mort ! »

Johann Gottfried von Herder , Histoire et cultures

 

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Former l’humanité

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« Si ma voix avait vigueur et résonance, comme je crierais à tous ceux qui contribuent à cultiver l’humanité : pas de généralités sur les améliorations ! culture purement livresque ! autant que possible, des réalisations — agir ! Laissez parler et se perdre dans le vague ceux qui ont le malheur de n’être bons qu’à cela ; celui qui possède les faveurs de la fiancée n’est-il pas plus enviable que le poète qui la célèbre, ou que l’intermédiaire qui demande sa main pour un autre ?
Vois, celui qui sait le mieux chanter la philanthropie, l’amour des peuples et la fidélité paternelle, médite peut-être de lui porter coup de poignard le plus profond pour des siècles ? En apparence le plus noble législateur, et peut-être le plus intime destructeur de son siècle ! Pas question d’amélioration, d’humanité et de félicité intérieures : il a suivi le courant de son siècle, obtint par conséquent, la brève récompense de tout ceci — le laurier de la vanité, qui se fane, demain poussière et cendre. — Le grand oeuvre divin qui consiste à former l’humanité — en silence, avec vigueur, en secret, pour l’éternité, ne saurait voisiner avec une vanité mesquine. »

Johann Gottfried von Herder , Histoire et cultures

 

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Attendre, réfléchir, préparer et agir

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« Arriva l’âge d’homme des forces et des efforts de l’humanité — les Romains. Virgile les a décrits par rapports aux Grecs, laissant à ceux-ci les beaux-arts et les exercices juvéniles :
“À toi, Romain, qu’il te souvienne d’imposer aux peuples ton empire”  
et par là même aussi il a dépeint leur trait de caractère par rapport aux Nordiques, qui peut-être l’emportaient sur eux en dureté barbare, en vigueur dans l’attaque et en rude bravoure ; mais —
"À toi, d’imposer aux peuples ton empire” —
la bravoure romaine idéalisée : vertu romaine ! esprit romain ! fierté romaine ! La généreuse aptitude de l’âme à fermer les yeux  aux voluptés, à la mollesse et même aux plaisirs un peu raffinés, et à agir pour la patrie : le courage héroïque résolu à n’être jamais téméraire et ne jamais se jeter dans le danger, mais à attendre, réfléchir, préparer et agir ; sa marche inébranlable, ce fut de ne se laisser rebuter par aucune de ces choses que l’on appelle obstacles, de se montrer plus grand précisément dans le malheur, et de ne pas désespérer ; ce fut enfin le grand plan toujours suivi, de ne pas s’estimer satisfait tant que l’aigle n’aurait pas recouvert d’orbe du monde — (…). »

Johann Gottfried von Herder , Histoire et cultures

 

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Racisme banal

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Cet antiracisme Ce racisme banal dont personne ne parle...

 

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Chaque exemplaire d'un livre peut appartenir à plusieurs vies

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« Je lis des vieux livres parce que les pages tournées de nombreuses fois et marquées par les doigts ont plus de poids pour les yeux, parce que chaque exemplaire d'un livre peut appartenir à plusieurs vies. Les livres devraient rester sans surveillance dans les endroits publics pour se déplacer avec les passants qui les emporteraient un moment avec eux, puis ils devraient mourir comme eux, usés par les malheurs, contaminés, noyés en tombant d'un pont avec les suicidés, fourrés dans un poêle l'hiver, déchirés par les enfants pour en faire des petits bateaux, bref ils devraient mourir n'importe comment sauf d'ennui et de propriété privée, condamnés à vie à l'étagère. »

Erri De Luca, Trois chevaux

 

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Des créatures destinées les unes aux autres qui n'arrivent jamais à se rencontrer

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« Il y a des créatures destinées les unes aux autres qui n'arrivent jamais à se rencontrer et qui se résignent à aimer une autre personne pour raccommoder l'absence. Elles sont sages. »

« Je t'aime par amour et par dégoût des hommes, je t'aime parce que tu es intègre même si tu es le reste d'une autre vie, je t'aime parce que le bout qui subsiste vaut la totalité et je t'aime par exclusion des autres bouts perdus. »

Erri De Luca, Trois chevaux

 

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Un long trait continu

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« Je vois la mer qui râpe les rochers, et le blanc d’ongle des vagues est la ligne qui la sépare de la terre. Je vois la ligne rouge du coucher de soleil qui sépare le jour de la nuit, je pense que le monde est l’œuvre du roi du verbe diviser et j’attends la ligne qui viendra me détacher des jours.
La vie est un long trait continu et mourir, c’est aller à la ligne sans le corps. »

Erri De Luca, Trois chevaux

 

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Substance et beauté

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« Un arbre a besoin de deux choses : de substance sous terre et de beauté extérieure. Ce sont des créatures concrètes mais poussées par une force d'élégance. La beauté qui leur est nécessaire c'est du vent, de la lumière, des grillons, des fourmis et une visée d'étoiles vers lesquelles pointer la formule des branches. »

« Un arbre écoute les comètes, les planètes, les amas et les essaims. Il sent les tempêtes sur le soleil et les cigales sur lui avec une attention de veilleur. Un arbre est une alliance entre le proche et le lointain parfait. »

Erri De Luca, Trois chevaux

 

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Se savoir perdus tous les jours

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« Il y a des erreurs qui contiennent une autre vérité. »

« Je ne sais rien sur trop de choses pour en tenir compte, mais par moments mon ignorance affleure et me rend nostalgique. »

« Il est étrange de se savoir perdus tous les jours sans jamais se dire adieu. »

« Il y a des humilités qui grandissent un homme. »

Erri De Luca, Trois chevaux

 

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16/05/2015

Une contrefaçon pour vous plaire

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« Tout ce que l’on trouve de beau, de pur, de bon, chez certaines femmes, n’est jamais qu’une imitation, une contrefaçon pour vous plaire. Et celle-là que vous vous acharnez à défendre parce que, dites-vous, “elle n’est pas comme les autres”, voyez-là avec d’autres garçons : elle est pire. Elle a simplement senti — diaboliquement bien senti — ce qu’il fallait qu’elle parût pour vous plaire. Tout ce qui tend vers le paraître est féminin par essence même. Ce qui tend vers l’être est seul viril. Tout ce qui est féminin en nous est mauvais et corrompu : c’est avec nos vices que nous séduisons les femmes. »

Jean-René Huguenin, Journal

 

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Un rêve de mammifère

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« Il n'y a pas de dieux. La croyance est un rêve de mammifère. »

« Il y eu un temps, un long temps, où les hommes et les femmes ne laissaient sur la terre que des excréments, du gaz carbonique, un peu d'eau, quelques images et l'empreinte de leurs pieds. »

Pascal Quignard, Les Ombres errantes

 

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Nul ne saute par-dessus sa source

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« Nul ne saute par-dessus son ombre.
Nul ne saute par-dessus sa source.
Nul ne saute par-dessus la vulve de sa mère. »

« Je me suis dit : “Je vais aller y voir. Je vais aller voir ce que j'ignore. Mes lèvres vont trembler. Je vais souffrir. Pourquoi pas ? »

Pascal Quignard, Les Ombres errantes

 

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Lire c'est errer

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« Un morceau de la pomme originaire est resté coincé au centre de ma gorge. »

« Il y a dans lire une attente qui ne cherche pas à aboutir. Lire c'est errer. La lecture c'est l'errance. »

« Roue du paon est le monde. »

Pascal Quignard, Les Ombres errantes

 

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Me cramponner à ce qui subsiste de moi-même

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« J’essaie de me cramponner à ce qui subsiste de moi-même pour ne pas crier et déjà je crie. Je crie je ne sais quoi, avec une force insupportable. C’est mon corps, c’est ma vie tout entière qui crient et souvent me font tomber. Alors je sens la terre, je la mords, je deviens la terre et c’est son cri que je pousse. »

Henry Bauchau, Antigone

 

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L'existence farouche

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« Enfin je ne danse plus pour personne et, de toutes mes forces, je célèbre l'existence. Rien, rien d'autre que l'existence farouche, son grand corps unanime et son immense matière mortelle. »

Henry Bauchau, Antigone

 

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Ce noir ardent, qui me nie...

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« Le temps s'écoule dans la profondeur du regard et du cœur apaisé mais le soleil continue d'avancer dans le ciel et il est temps de songer au départ. »

« Les sentiments comme les dieux sont sauvages, quand ils se civilisent, ils meurent. »

« Il ne faut pas trop questionner l'espérance. »

« Ce noir ardent, qui me nie, ne cesse pas de grandir et de me consumer. »

« Est-ce qu'il ne faut pas être rejeté pour devenir soi-même ? »

Henry Bauchau, Antigone

 

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Ils ne sont pas

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« Il se trouve que les hommes oublient qu'ils ne sont pas avant d'être. »

Pascal Quignard, Les Ombres errantes

 

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15/05/2015

Resist Capitalism

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Crétinisme paradoxal... et sans autre commentaire !

 

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