04/08/2015
Tout esprit critique, toute pensée personnelle sont détruits
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Par une propagande permanente à sens unique, à laquelle chacun est soumis dès l’enfance, le régime, sous ses multiples aspects, a progressivement intoxiqué les Français. Toutes les nations à direction démocratique en sont là. Tout esprit critique, toute pensée personnelle sont détruits. Il suffit que soient prononcés les mots-clefs pour déclencher le réflexe conditionné prévu et supprimer tout raisonnement. »
Dominique Venner, Pour une critique positive
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Les temps sont durs...
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Les temps sont durs, le pays est très endetté, tout le monde vit à crédit.
Arrive un riche touriste. Il arrête sa belle grosse voiture devant l'hôtel de la ville et entre.
Il pose un billet de 200 €uros sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d'en choisir une pour la nuit.
Pour 200 €uros, le propriétaire de l'établissement lui donne toutes les clés et lui dit de choisir celle qui lui plaira.
Dès que le touriste a disparu dans l'escalier, l'hôtelier prend le billet de 200 €uros file chez le boucher voisin et règle la dette qu'il a envers celui-ci.
Le boucher se rend immédiatement chez l'éleveur de bêtes à qui il doit 200 €uros et rembourse sa dette.
L'éleveur, à son tour, s'empresse de régler sa facture à la coopérative agricole où il se ravitaille en aliments pour le bétail.
Le directeur de la coopérative se précipite au café régler son ardoise.
Le propriétaire du café glisse le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis un moment.
La fille, qui occupe à crédit les chambres de l'hôtel avec ses clients, court acquitter sa facture chez notre hôtelier qui pose le billet sur le comptoir, là où le touriste l'avait posé auparavant.
Le touriste redescend l'escalier, annonce qu'il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet et s'en va.
Personne n'a rien produit ! personne n'a rien gagné ! mais plus personne n'a de dette...
Voilà pourquoi, en ce moment, les banques n'ont aucun intérêt à vous prêter de l'argent.
Les banques s'enrichissent tant que vous êtes endettés... Vous ou votre pays...
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03/08/2015
John John Jesse : I Pledge My Heart
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En broutant de l’herbe
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Il a fallu les chambardements du XXe siècle pour qu’on écoute quelques toquées assurant qu’on ne naît pas femme, mais qu’on le devient. Sans doute pensaient-elles aussi qu’on ne naît pas cerf ou biche mais qu’on le devient en broutant de l’herbe... »
Dominique Venner, Le Choc de l’Histoire
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02/08/2015
Le dentiste, Mugabe et Daesh...
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Un abruti de riche dentiste américain s'est offert un safari au Zimbabwe et a pu tuer un brave Lion dans sa savane (routine en Afrique, où les Safaris se monnaient à prix d'or)... or il se trouve que le Lion en question était un Symbole pour les habitants du pays.
Du coup, les réseaux sociaux se sont déchaînés contre le dentiste avec une violence inouïe (le petit bourgeois derrière son écran est un spécialiste de l'igorance crasse)... et, bien entendu, cette vieille raclure de Mugabe (91 ans... la vieillesse est un naufrage, mais lui est sur son radeau idéologique depuis l'accession du Zimbabwe à l'indépendance et il s'accroche à son poste comme une lente à un poil de cul... Google est votre ami... vous allez halluciner... mais vous y retrouverez toute la platitude de l'Afrique, qui est capable de profondeur, mais -- décidément -- en d'autres domaines que celui du Pouvoir Politique) exige l'extradition du dentiste histoire de se payer un blanc de plus (les fermiers blancs du Zimbabwe ne lui suffisent pas)... mais en même temps il vient de fêter son anniversaire avec moult plats culinaires locaux qui feraient vomir le moins fervent des défenseurs de la nature sauvage des quatre points cardinaux...
Pendant ce temps le massacre des chrétiens du Moyen-Orient se poursuit dans un assourdissant silence...
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Hommes...
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France, pays de la liberté
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Paix...
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5 minutes...
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Internet Connection
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John John Jesse : Downtown
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01/08/2015
Ceci n'est plus une femme...
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John John Jesse : My Only Friends
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31/07/2015
Une petite partie bien déterminée du vaste monde inerte
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Mon cousin semblait parfois ployer sous un poids énorme qui menaçait de le terrasser, et il lui fallait fuir, peut-être la canicule et l’incessante frénésie estivale, peut-être la migraine, le souvenir de nuits sordides ou quelque chose de plus sombre dont j’ignorais la nature. Il m’emmenait alors en montagne boire un café sur la terrasse d’un gîte d’étape, dans un ancien village de transhumance que traversait un sentier de randonnée. Nous y passions un moment, dans la fraîcheur des fougères, à l’ombre de grands pins. Mais son humeur restait maussade. Il ne m’adressait pas la parole. Nous reprenions sa voiture pour retourner en ville et soudain, sans que rien le laissât prévoir, au détour d’un virage, apparaissait la mer. Nous dominions le paysage, comme si nous étions suspendus dans l’air limpide, au-dessus de la route en lacets dévalant à pic à travers la forêt vers le golfe éblouissant qui s’étendait mille mètres en contrebas. Mon cousin ouvrait de grands yeux sur ce panorama qu’il connaissait depuis son enfance mais semblait découvrir à chaque fois comme si c’était la première. Il faisait une grimace incrédule, se mettait à sourire et me donnait des petits coups de poing sur la cuisse en disant, putain ! quand même, hein ? incapable d’exprimer avec davantage de clarté le sentiment qui le bouleversait et lui rendait aussi instantanément le goût de vivre, dans lequel il n’était pas difficile de reconnaître une curieuse forme d’amour qui aurait pris pour objet, non un autre être humain, mais une petite partie bien déterminée du vaste monde inerte, et dont, quoique je sois moi-même incapable de le ressentir, je devais cependant admettre l’incomparable puissance. »
Jérôme Ferrari, Le principe
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Ceci n'est plus une femme...
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C’était son propre de ne pas savoir choisir
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« Déjà il se sentait pris par l’envie de retourner en arrière. C’était son propre de ne pas savoir choisir. Il avait toujours un geste de retard et un désir d’avance. Il ne pouvait pas compter sur soi. Son corps ne le suivait pas. De l’âme, il en avait à revendre ; vendre son âme, l’âme de Buridan... »
Antoine Blondin, L’Europe Buissonnière
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La Cynthia que avez fait naître de la mort même, avec la violence d’un accoucheur
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« Ma nouvelle existence, celle qui me donne le bonheur de respirer dans cette chambre, de voir ce soleil rose et votre visage près du mien, c’est vous qui me l’avez donnée. La Cynthia que avez fait naître de la mort même, avec la violence d’un accoucheur, peut-être n’est-elle pas aussi belle, ni aussi désirable que celle que vous avez rencontrée à Rome, un soir, mais tant pis pour vous. Une femme, je m’en rends compte maintenant, naît deux fois. L’homme qui la révèle à elle-même, par une preuve d’amour irrécusable, est le seul qui prenne la place de son père. Et c’est pour cela qu’il est aussi le seul auquel elle puisse obéir sans discuter. »
André Fraigneau, L’amour Vagabond
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John John Jesse : Dellamorte Dellamore
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30/07/2015
On souffre tant de l’absence de ce qu’on désire
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« Il me fallut rentrer dans ma chambre. Françoise m’y suivit. Elle trouvait, comme j’étais revenu de ma soirée, qu’il était inutile que que je gardasse la rose que j’avais à la boutonnière et vint pour me l’enlever. Son geste, en me rappelant qu’Albertine pouvait ne pas venir, et en m’obligeant aussi à confesser que je désirais être élégant pour elle, me causa une irritation qui fut redoublée du fait qu’en me dégageant violemment, je froissais la fleur et que Françoise me dit : "Il aurait mieux valu me la laisser ôter plutôt que non pas la gâter ainsi."
Dans l’attente, on souffre tant de l’absence de ce qu’on désire qu’on ne peut supporter une autre présence. »
Marcel Proust, La recherche du temps perdu vol. 4 – Sodome et Gomorrhe
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Amour régna sur mon âme
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« Dès lors je dis qu'Amour régna sur mon âme ; et celle-ci fut si tôt réduite à sa dévotion, et il commença à prendre sur moi tant d'assurance et tant d'empire, par la vertu que lui donnait mon imagination, qu'il me fallait faire complètement son bon plaisir. »
« Voyez combien pour cette dame le malheureux se consume en tout son être. »
Henry David Thoreau, Vita nova
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Ceci n'est plus une femme...
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Une vie de tranquille désespoir
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« Qu'il est vain de s'asseoir pour écrire quand on ne s'est pas levé pour vivre. »
« Il n'est d'autre remède à l'amour que d'aimer davantage. »
« La majorité des hommes mènent une vie de tranquille désespoir. »
« L'amour est un critique sévère. La haine peut pardonner davantage que l'amour. Ceux qui aspirent à aimer ne font ni plus ni moins que se soumettre à une épreuve plus rude que n'importe quelle autre. »
« Les étoiles sont lointaines et discrètes, mais brillantes et impérissables, tout comme nos plus belles et nos plus mémorables expériences. »
Henry David Thoreau, La moelle de la vie
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La solitude
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« J'aime être seul. Je n'ai jamais trouvé de compagnon qui fût d'une société aussi agréable que la solitude. Pour la plupart, nous sommes plus seuls quand nous sortons parmi les hommes que quand nous restons dans notre chambre. Un homme qui pense ou travaille est toujours seul, où qu'il soit. On ne mesure pas la solitude en nombre de miles qui séparent un homme de ses semblables. »
Henry David Thoreau, La moelle de la vie
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Que faire des assistés ?
19:20 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Argumenter avec des imbéciles...
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