19/08/2014
Fasciste !!!
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18/08/2014
Ceci n'est plus une femme...
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La mobilisation la plus optimale possible de l'ensemble des connaissances...
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Nous nous abîmons dans des zones où gîtent les racines de l'arbre de vie
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« Le combat de la vie, le fardeau de l'individualité. A l'opposé, l'indivis et ses tourbillons toujours plus profonds. Aux instants de l'étreinte, nous y plongeons, nous nous abîmons dans des zones où gîtent les racines de l'arbre de vie. Il y a aussi la volupté légère, fugitive, pareille au combustible qui flambe, et tout aussi volatile. Au-delà, au-dessus de tout cela, le mariage. "Vous serez une seule chair." Son sacrement ; le fardeau est désormais partagé. Enfin, la mort. Elle abat les murailles de la vie individuelle. Elle sera l'instant de l'accomplissement suprême. (Matthieu XXII, v. 30.) C'est par-delà la mort, et là seulement, où le temps n'est plus, que nos véritables liens ont formé le noeud mystique. Il nous sera donné de voir, quand la lumière s'éteindra. »
Ernst Jünger, Premier journal parisien
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On n'est plus un destin, mais rien qu'un numéro de plus
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« A supposer même que le néant triomphe, dans la pire de ses formes, une différence subsiste alors, aussi radicale que celle du jour et de la nuit. D'un côté, le chemin s'élève vers des royaumes, le sacrifice de la vie, ou le destin du combattant qui succombe sans lâcher ses armes ; de l'autre, il descend vers les bas-fonds des camps d'esclavage et des abattoirs où les primitifs concluent avec la technique une alliance meurtrière ; où l'on n'est plus un destin, mais rien qu'un numéro de plus. Or, avoir son destin propre, ou se laisser traiter comme un numéro : tel est le dilemne que chacun, certes, doit résoudre de nos jours, mais est seul à pouvoir trancher. »
Ernst Jünger, Le traité du Rebelle ou le recours aux forêts
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Un système de libre entreprise...
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A l'ombre des lois
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17/08/2014
Si vous êtes chrétien, vous êtes en danger !
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Ceci n'est plus une femme...
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Protéger les cartels de la drogue...
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Ni égalité ni Liberté...
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16/08/2014
Ceci n'est plus une femme...
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A shortage of sand...
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Gouvernement et consommateur...
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15/08/2014
Ceci n'est plus une femme...
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Industrialists vs Government...
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One of the great mistakes...
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14/08/2014
Ceci n'est plus une femmes...
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Ils discutent comme s'il était question de convaincre...
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Jamais un peuple ne se détache de ce qui est véritablement la liberté...
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13/08/2014
Ceci n'est plus une femme...
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L'être abstrait et les êtres réels...
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Comme une eau souterraine
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« Je t'aimais. Je t'aime. je t'aimerais. Il ne suffit pas d'une chair pour naître. il y faut aussi cette parole. Elle vient de loin. Elle vient du bleu lointain des cieux, elle s'enfonce dans le vivant, elle ruisselle sous les chairs du vivant comme une eau souterraine d'amour pur. »
Christian Bobin, Le Très-Bas
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Les gens on les aime tout de suite ou jamais
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« J’ai déjà remarqué ça : les gens on les aime tout de suite ou jamais. Elle je l’aime tout de suite. Elle est infirmière. Elle revenait d’une tournée quand elle m’a trouvée dans son jardin. Elle fait des piqûres à gauche, à droite, dans la journée, parfois la nuit en cas d’urgence. L’argent des piqûres passe en disques.
Toute la maison est équipée : on met Wagner dans le salon et l’or du Rhin inonde aussitôt les chambres, le bureau, le salon, grâce à des hauts parleurs dissimulés dans chaque pièce. Comme ça, elle dit, je marche, je mange, je dors et je bouge dans cette musique. Les autres ont bien des chats ou des maris à la maison. Moi j’ai Wagner, Ravel ou Schubert. Partout présents et légers comme des vrais chats. »
Christian Bobin, La folle allure
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Le feu qui coule dans ses veines remonte aux yeux et rien pour les lèvres
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« Mon père est comme un loup : le feu qui coule dans ses veines remonte aux yeux et rien pour les lèvres. Ma mère est comme une chatte, comme un moineau, comme du lierre, comme le sel, comme la neige, comme le pollen des fleurs. »
« Ma mère est folle, je crois. Je souhaite à tout les enfants du monde d’avoir des mères folles, les mères les mieux accordées aux coeurs fauves des enfants. »
Christian Bobin, La folle allure
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