08/03/2014
Bantoustans européens...
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« Les Français de souche européenne qui naissent aujourd’hui mourront dans une France au profil majoritairement africain et asiatique. La perspective pour l’Europe apparaît désormais de manière claire : à la fin du siècle [XXIème], les européens seront devenus minoritaires sur la partie européenne du continent eurasiatique. Comme ils ne sont pas les Etats-Unis, une nation fondée sur une idéologie puissante capable de fabriquer des américains à partir d’origines ethniques différentes, ils seront incapables d’assimiler les populations extra-européennes à leur civilisation.
Les Européens n’ont donc qu’un seul choix pour éviter à leurs enfants un avenir de minorité, semblable à celui des blancs d’Afrique du Sud, repliés sur leurs bantoustans blancs : repasser le film de l’immigration à l’envers et relancer la natalité européenne. Cela implique un changement profond des politiques menées jusqu’à présent en Europe par des générations politiques fatiguées de porter le lourd fardeau de l’Homme blanc. »
Aymeric Chauprade, La Nouvelle Revue d'Histoire, Janvier-Février 2006
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Ary Scheffer : Lénore. Les morts vont vite
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07/03/2014
Il faut bien que je vous répète la vérité autant de fois qu’ils vous ont répété le mensonge
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« Enfants de France, ils vous disent que je répète toujours la même chose. C’est qu’il faut bien que je vous répète la vérité autant de fois qu’ils vous ont répété le mensonge. »
« Enfants de France, les tartuffes du nouvel ordre prêchent l’union. Nous savons ce qu’ils entendent par là. Les hommes de la capitulation vous invitent à capituler une fois de plus avec vos idéals et vos drapeaux. Moi je vous dis : allez de l’avant, marchez droit demain vers ce qui vous semblera juste et vrai. Les homme de la déroute font semblant de pleurnicher en s’accusant de s’être combattu au nom des principes. Ils mentent. C’étaient bien plutôt les convictions qui manquaient à notre pays, mais il regorgeait d’intérêts et d’appétits, de sceptique et de cynique. allez de l’avant ! débrouillez vous ! Il est bon qu’il y ait chez nous des communistes, des anarchistes, des royalistes, des socialistes, s’ils sont sincères – pourvu qu’on en ait fini avec les conservateurs. il est bon qu’il y ait des croyants et des incroyants, des croyants pour servir le Bon Dieu, des incroyants pour faire honte à ceux qui croient le servir en méprisant leur prochain, aux bigots fanatiques, aux gens d’église ambitieux. Il est bon qu’il y ait des anarchistes pour cracher à la figure des lâches qui nourrissent l’abject espoir d’être, de la naissance à la mort, entretenu par l’état. L’union d’un grand peuple ressemble à l’équilibre d’un homme qui marche, elle se défait et se refait sans cesse. allez de l’avant ! Vous n’avez à haïr que les traitres, à mépriser que l’imposture, à condition que vous restiez loyaux et sincères, le génie français se chargera de simplifier et de réconcilier pour vous. Que vos opinions diffèrent, qu’importe, si vous restez d’accord sur l’honneur et la justice. Nous avons failli périr non de la lutte des idées, mais de la démission des consciences. »
Georges Bernanos, Le lendemain c’est vous
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Être là...
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« Le principal au point de vue de l’existence dans l’histoire n’est pas de réussir (ce qui ne dure pas) mais d’avoir été là (ce qui est ineffaçable). »
Jacques Maritain, Pour une philosophie de l'Histoire
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François Flameng : Baignade des Dames de la Cour au XVIII ème Siècle (1888)
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La charité même de Dieu ne panse point celui qui n'a pas de plaies
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« Il y a quelque chose de pire que d'avoir une mauvaise pensée. C'est d'avoir une pensée toute faite. Il y a quelque chose de pire que d'avoir une mauvaise âme et même de se faire une mauvaise âme. C'est d'avoir une âme toute faite. Il y a quelque chose de pire que d'avoir une âme même perverse. C'est d'avoir une âme habituée.
On a vu les jeux incroyables de la grâce et les grâces incroyables de la grâce pénétrer une mauvaise âme et même une âme perverse et on a vu sauver ce qui paraissait perdu. Mais on n'a jamais vu mouiller ce qui était verni, on n'a pas vu traverser ce qui était imperméable, on n'a pas vu tremper ce qui était habitué.
Les “honnêtes gens” ne mouillent pas à la grâce.
C'est que précisément les plus honnêtes gens, ou simplement les honnêtes gens, ou enfin ceux qu'on nomme tels, n'ont point de défauts eux-mêmes dans l'armure. Ils ne sont pas blessés. Leur peau de morale, constamment intacte, leur fait un cuir et une cuirasse sans faute.
Ils ne présentent pas cette ouverture que fait une affreuse blessure, une inoubliable détresse, un regret invincible, un point de suture éternellement mal joint, une mortelle inquiétude, une invincible arrière-anxiété, une amertume secrète, un effondrement perpétuellement masqué, une cicatrice éternellement mal fermée. Ils ne présentent pas cette rentrée à la grâce qu'est essentiellement le péché. Parce qu'ils ne sont pas blessés, ils ne sont pas vulnérables. Parce qu'ils ne manquent de rien, on ne leur apporte rien. Parce qu'ils ne manquent de rien, on ne leur apporte pas ce qui est tout.
La charité même de Dieu ne panse point celui qui n'a pas de plaies.
C'est parce qu'un homme était par terre que le Samaritain le ramassa. C'est parce que la face de Jésus était sale que Véronique l'essuya d'un mouchoir. Or celui qui n'est pas tombé ne sera jamais ramassé ; et celui qui n'est pas sale ne sera pas essuyé. »
Charles Péguy, Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne
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Johnny Winter : Dust My Broom
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06/03/2014
La protestation peut atteindre des paliers d'indignation proprement divine
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« Enfant, je supposais que la gaieté était une bonne chose, mais je pensais aussi que c'était lâche de ne pas protester contre des choses qui étaient réellement mauvaises. Après un interlude de sophistication intellectuelle et de stériles antithèses, j'en suis venu à pouvoir enfin penser ce qu'alors je ne faisais que ressentir. Mais, ce faisant, j'ai compris que la protestation peut atteindre des paliers d'indignation proprement divine, et que la gaieté n'était que le pâle écho d'une joie bien plus divine... »
Gilbert Keith Chesterton, L'Église catholique et la conversion
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Franz von Stuck : La Guerre
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CONVERSATION AVEC MAURICE G. DANTEC - 2/2 : AUSCHWITZ
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05/03/2014
Il ne s'agit pas d'avoir une religion qui nous accorde la liberté
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« Nous n'avons pas besoin d'une religion qui ait raison là où nous avons déjà raison. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une religion qui ait raison lorsque nous avons tort. Pour ce qui est des modes contemporains, il ne s'agit pas d'avoir une religion qui nous accorde la liberté, mais (dans le meilleur des cas) de bénéficier d'une liberté qui nous permette d'avoir une religion. »
Gilbert Keith Chesterton, L'Église catholique et la conversion
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Henri Fantin-Latour : Danaé
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CONVERSATION AVEC MAURICE G. DANTEC - 1/2 : Le Cinéma
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04/03/2014
Liberté, Egalité...
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Nous prenons le christianisme comme un risque
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« Nous sommes les fils des cathédrales et non des opulentes églises de la renaissance si dorées, si confortables, des luxueux salon de prière si propices aux examens de conscience minutieux, dirigés par des professeurs de psychologie, avec des exercices si compliqués que toute la vie se passe à tremper et retremper une volonté dont on risque de n’avoir jamais le temps de se servir pour le bien du prochain. Nous ne sommes pas fait pour ces travaux en chambre. Nos cathédrales sont si hautes et si ouvertes que nous avons appris à ne pas craindre les courants d’air. Nous prenons le christianisme comme nous prenons la vie – les deux ne font qu’un – nous le prenons comme un risque. Nous n’avons jamais souhaité être traité en nourrissons. Nous sommes de libres enfants du Bon Dieu. »
Georges Bernanos, Le lendemain c'est vous
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Gustave Moreaux : Les Voix (1867)
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Michel Onfray : MAUVAIS GENRE
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« MAUVAIS GENRE -
Je découvre avec stupéfaction les racines très concrètes de la fumeuse théorie du genre popularisée dans les années 90 aux Etats-Unis par la philosophe Judith Butler qui ne cache pas l’inscription de sa pensée dans la lignée déconstructiviste de Foucault, Deleuze-Guattari et Derrida.
En 1966, les époux Reimer consultent le docteur John Money (1921-2006), sexologue et psychologue néo-zélandais spécialiste de l’hermaphrodisme à l’université américaine Johns Hopkins. Cet homme affirme depuis 1955 que l’identité sexuelle biologique du mâle ou de la femelle ne suffit pas à constituer le genre sexuel du garçon ou de la fille – la thèse cardinale de la Théorie du Genre. Le problème des Reimer ? La circoncision de David pour des raisons médicales, un phimosis, l’un de leurs jumeaux, a raté : la cautérisation électrique a brûlé le pénis, la verge est calcinée.
Le Docteur Money saisit l’occasion pour prouver expérimentalement la validité de ses hypothèses théoriques. Il invite les parents à éduquer David comme une fille. David devient Brenda. Il subit un traitement hormonal. Quatorze mois plus tard, on lui retire les testicules. Elle est habillée en fille, traitée comme telle. A six ans, il semble devenu une fille. John Money publie des articles et des livres pour défendre la théorie du genre avec ce qui est devenu dans la littérature spécialisée « le cas John / Joan ».
Or David/Brenda grandit douloureusement. Sa voix mue à l’adolescence ; il est attiré par les filles. Le médecin veut lui imposer une vaginoplastie ; il refuse. Money contraint les deux jumeaux à simuler des relations sexuelles pour stimuler le désir de David. A treize ans, David menace de se suicider si ses parents continuent à lui imposer les visites à Money. A quinze ans, le jeune homme arrête son traitement hormonal et se fait prescrire de la testostérone. Il subit une mastectomie et deux opérations de phalloplastie. Ses problèmes identitaires le détruisent. Il boit. Il suit un traitement médical pour schizophrénie.
Devant sa détresse ses parents lui révèlent enfin la vérité. Brenda redevient ce qu’il était : David. Il épouse une femme. Mais ne trouve ni la paix, ni la sérénité. Il se suicide en 2002 par une overdose de médicaments. Son frère Brian met fin lui aussi à ses jours en 2004. Silence de Money qui avait publié Homme & Femme, Garçon & Fille en 1972 en racontant l’histoire qui prouvait selon lui la validité de ses hypothèses. Précisons qu’il défendait par ailleurs la pédophilie et stigmatisait l’hétérosexualité comme une convention à déconstruire…
En 1997, Milton Diamond, professeur d’anatomie et de biologie reproductrice de l’université de Hawaï, découvre la falsification et la dénonce. Money réplique et dénonce… une conspiration de l’extrême-droite et des mouvements anti-féministes ! Ses partisans épousent son délire : les vrais souvenirs de David sont présentés comme relevant du « syndrome des faux souvenirs »… Autrement dit : le menteur dit vrai ; l’homme qui dit vrai, ment – mais ne le sait pas ! Effet de l’inconscient… Dénégation du réel une fois de plus chez cet homme qui croyait plus juste ses délires que la réalité qui, si la raison ne l’avait pas déserté, lui prouvait pourtant la nature délirante de ses théories.
Judith Butler fait le tour du monde en défendant ces délires. La presse de la bienpensance française de gauche lui ouvre largement ses colonnes. De la même façon que le réel a montré les erreurs de Marx & de Lénine, de Freud & de Lacan, mais qu’il y a toujours des marxistes & des freudiens, le réel a montré en 2002 que la théorie du genre était une fiction dangereuse, mais quantité de gens souscrivent à cette nouvelle déraison – dont Najat Valaud-Belkacem. Un jour viendra où l’on fera le compte des ravages effectués par cette sidérante idéologie post-moderne. Quand ? Et après quels considérables dommages ? »
Michel Onfray, La chronique mensuelle de Michel Onfray | N° 106 – Mars 2014 : Mauvais Genre
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Chant Orthodoxe Roumain...
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03/03/2014
Carême...
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Que le Seigneur bénisse mes frères et soeurs dans la Quête de sa Voie et la Quête de sa Voix.
Que le Seigneur bénisse mes frères et soeurs dans la nourriture de sa Parole.
Soyons dans la Joie de la Foi, de l'Espérance et de l'Amour...
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« Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Roi céleste, Paraclet, Esprit de vérité, partout présent et remplissant tout, Trésor de tous biens et Dispensateur de vie, viens et demeure en nous, purifie-nous de toute souillure et sauve nos âmes, Toi qui es bon.
Amen.
Saint, Dieu. Saint, Fort. Saint, Immortel. Aie pitié de nous.
Saint, Dieu. Saint, Fort. Saint, Immortel. Aie pitié de nous.
Saint, Dieu. Saint, Fort. Saint, Immortel. Aie pitié de nous.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, et maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles. Amen.
Trinité toute-sainte, aie pitié de nous. Seigneur, purifie-nous de nos péchés ; Maître, pardonne nos iniquités ; Saint, visite et guéris nos infirmités, à cause de ton Nom.
Kyrie eleison
Kyrie eleison
Kyrie eleison.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, et maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Notre Père qui es aux cieux, que ton Nom soit sanctifié, que ton Règne vienne, que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de chaque jour. Remets-nous nos dettes comme nous les remettons nous aussi à nos débiteurs, et ne nous laisse pas succomber à la tentation, mais délivre-nous du Malin.
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Kyrie eleison [Doamne miluieste]
Gloire… Et maintenant…
Venez, adorons, prosternons-nous devant Dieu, notre Roi.
Venez, adorons, prosternons-nous devant le Christ notre Roi et notre Dieu.
Venez, adorons, prosternons-nous devant le Christ lui-même, notre Roi et notre Dieu.
Gloire à Toi, ô notre Dieu, gloire à Toi.
PSAUME 69 :
Ô Dieu, sois attentif à me secourir, Seigneur, hâte-toi de venir à mon aide. Qu’ils rougissent et soient confondus, ceux qui cherchent mon âme ; qu’ils retournent en arrière et soient couverts de honte, ceux qui me veulent du mal ; qu’ils retournent en arrière et rougissent soudain, ceux qui me disent : "Très bien, très bien." Qu’ils exultent et se réjouissent en toi, tous ceux qui te cherchent, ô Dieu, et qu’ils disent sans cesse : "Que le Seigneur soit magnifié" ceux qui aiment ton salut. Pour moi, je suis pauvre et indigent, ô Dieu, viens à mon secours, Tu es mon secours et mon libérateur, Seigneur, ne tarde pas. »
Extrait de "Grand Canon, Poème de Saint André de Crète"
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Mon tee-shirt de Che Guevara...
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Jacob Binck : La Mort tuant un Soldat
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Léo Ferré : Avec le Temps
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02/03/2014
Ceci n'est plus une femme...
20:00 Publié dans Gender... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Parfait Gauchiste...
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La vie est courte, mais l’ennui l’allonge
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« Il ne faudrait produire que des chefs-d'œuvre et dédaigner la gloire, comme il faudrait gagner beaucoup d'argent pour vivre pauvre.
Il faut renoncer à tout ce qu'autrui ramasse trop facilement. » (25 janvier 1906)
« Le mot le plus vrai, le plus exact, le mieux rempli de sens, c'est le mot "rien". » (26 janvier 1906)
« La vie est courte, mais l’ennui l’allonge. Aucune vie n’est assez courte pour que l’ennui n’y trouve pas sa place » (5 mars 1906)
« Ne comptez pas trop sur la société pour faire des réformes : réformez-vous vous-même. » (13 mars 1906)
« Je deviens un peu plus modeste, mais un peu plus orgueilleux de ma modestie. » (26 mars 1906)
« Je ne veux pas me mettre moi-même en avant, mais ça m’ennuie qu’on ne vienne pas me chercher par la main en disant : "Voilà l’homme qu’il nous faut". D’ailleurs, je refuserais de suivre. » (16 avril 1906)
« Il y a des choses que je m'efforce de ne pas dire, mais je souhaite qu'on les devine. » (16 avril 1906)
Jules Renard, Journal
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