14/10/2025
Génocides oubliés
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Le racisme est notre vieil ennemi intellectuel
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Nous ne pouvions manquer, ici d’être particulièrement sensibles : le racisme est notre vieil ennemi intellectuel ; dès 1900, ses maîtres français et anglais, Gobineau, Vacher de Lapouge, Houston Chamberlain, avaient été fortement signalés par nous à la défiance des esprits sérieux et des nationalistes sincères[..].
J'ai, pour mon compte, toujours pris garde de séparer les réflexions sur l'hérédité politique et économique d'avec les généralisations vagues, aventureuses et captieuses sur la stricte hérédité physiologique.
Nous sommes des nationalistes. Nous ne sommes pas des nationalistes allemands. Nous n'avons aucune doctrine qui nous soit commune avec eux. Toutes les falsifications, tous les abus de textes peuvent être tentés : on ne fera pas de nous des racistes ou des gobinistes ; l’entreprise raciste est certainement une folie pure et sans issue »
Charles Maurras, L'Action française, 4 août 1939
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La véritable éducation...
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Diplomatie française...
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Apéro
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Egyptologie...
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Des nouvelles fraîches de notre élite... on arrive plus à suivre...
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Anagramme...
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Des nouvelles fraîches de notre élite...
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Bordel !
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Des nouvelles fraîches de notre élite...
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Banzaï !
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Des nouvelles fraîches de notre élite...
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13/10/2025
Il veut pas !
19:20 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Des nouvelles fraîches de notre élite...
17:53 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Ça n'existe pas !!! Non...
16:39 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Je vous refuse
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Ah ! Vous ne tenez compte que des ensembles ! Cent mille hommes, voilà qui devient intéressant. C’est une statistique et les statistiques sont muettes ! On en fait des courbes et des graphiques, hein ! On travaille sur les générations, c’est plus facile ! Et le travail peut se faire dans le silence et dans l’odeur tranquille de l’encre. Mais je vous en préviens, un homme seul, c’est plus gênant, ça crie sa joie ou son agonie. Et moi vivant, je continuerai à déranger votre bel ordre par le hasard des cris. Je vous refuse, je vous refuse de tout mon être ! »
Albert Camus, L'Etat de Siège
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Devoirs...
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Des nouvelles fraîches de notre élite...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
On l'essaye, en France, depuis 1981... et, dans le monde, depuis 1917...
02:54 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (1) |
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12/10/2025
Nouvelle saignée...
21:00 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Des nouvelles fraîches de notre élite...
17:52 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Les heures les plus sombres sont de retour !!!
15:43 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (1) |
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Ce langage que je cherche de livre en livre
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Compagnons inconnus, vieux frères, nous arriverons ensemble, un jour, aux portes de Royaume de Dieu. Troupe fourbue, troupe harassée, blanche de la poussière de nos routes, chers visages durs dont je n’ai pas su essuyer la sueur, regards qui ont vu le bien et le mal, rempli leur tâche, assumé la vie et la mort, ô regards qui ne se sont jamais rendus ! Ainsi vous retrouverai-je, vieux frères. Tels que mon enfance vous a rêvés. Car j’étais parti à votre rencontre, j’accourais vers vous. Au premier détour, j’aurais vu rougir les feux de vos éternels bivouacs. Mon enfance n’appartenait qu’à vous. Peut-être, un certain jour, un jour que je sais, ai-je été digne de prendre la tête de votre troupe inflexible. Dieu veuille que je ne revoie jamais les chemins où j’ai perdu vos traces, à l’heure où l’adolescence étend ses ombres, où le suc de la mort, le long des veines, vient se mêler au sang du coeur ! Chemins du pays d’Artois, à l’extrême automne, fauves et odorants comme des bêtes, sentiers pourrissants sous la pluie de novembre, grandes chevauchées des nuages, rumeurs du ciel, eaux mortes… J’arrivais, je poussais la grille, j’approchais du feu mes bottes rougies par l’averse. L’aube venait bien avant que fussent rentrés dans le silence de l’âme, dans ses profonds repaires, les personnages fabuleux encore à peine formés, embryons sans membres, Mouchette et Donissan, Cénabre, Chantal, et vous, vous seul de mes créatures dont j’ai cru parfois distinguer le visage, mais à qui je n’ai pas osé donner de nom — cher curé d’un Ambricourt imaginaire. Etiez-vous alors mes maîtres ? Aujourd’hui même, l’êtes-vous ? Oh ! je sais bien ce qu’a de vain ce retour vers le passé. Certes, ma vie est déjà pleine de morts. Mais le plus mort des morts est le petit garçon que je fus. Et pourtant, l’heure venue, c’est lui qui prendra sa place à la tête de ma vie, rassemblera mes pauvres années jusqu’à la dernière, et comme un jeune chef ses vétérans, ralliant la troupe en désordre entrera le premier dans la Maison du Père. Après tout, j’aurais le droit de parler en son nom. Mais justement, on ne parle pas au nom de l’enfance, il faudrait parler son langage. Et c’est ce langage oublié ; ce langage que je cherche de livre en livre, imbécile !comme si un tel langage louvait s’écrire, s’était jamais écrit. N’importe !Il m’arrive parfois d’en retrouver quelque accent… et c’est cela qui vous fait prêter l’oreille, compagnons dispersés à travers le monde, qui par hasard ou par ennui avez ouvert un jour mes livres. Singulière idée que d’écrire pour ceux qui dédaignent l’écriture ! Amère ironie de prétendre persuader et convaincre alors que ma certitude profonde est que la part du monde encore susceptible de rachat n’appartient qu’aux enfants, aux héros et aux martyrs.
Palma de Majorque
Janvier 1937 »
Georges Bernanos, Préface pour "Les Grands Cimetières sous la lune"
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Choupette
06:35 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) |
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En accord avec tes principes...
05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) |
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