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22/11/2008

Freedom...

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Trouvé chez "Thetrum Mundi" le texte qui suit...

 

"Mangez cinq fruits et légumes par jour.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.
Respectez les limitations de vitesse.
Fumer provoque le cancer mortel du poumon.
Ne mangez ni gras ni sucré ni salé.
Dépistage du cancer du sein – plus de 50 ans, toutes concernées.
Arrêtez de fumer. Ne commencez pas.
Préservatif ou trithérapie ?
Buvez avec modération.
Faites du sport.
Devenez végétarien pour sauver la planète.
Ralentissez encore.
Tenez votre corps en forme. N’utilisez pas deux fois la même seringue.
Ralentissez le vieillissement de vos cellules.
Fumer provoque un vieillissement de la peau.
Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas.
Un jus de fruit chaque matin, c’est cinq années d’espérance de vie en plus.
Aider ses proches à partir dans la dignité, c’est difficile, mais maintenant c’est possible.
Libérez vous des soucis, vos obsèques sont assurées.
Préservez votre capital santé. Ne bronzez pas idiot : protégez-vous du soleil.
Fumer provoque l’impuissance.
Croquez la pomme en toute liberté avec l’Union Européenne.
Faire l’amour, c’est bien. En pensant au trou de la Sécu, c’est mieux. Sortez couverts. Ceci est un message de l’Assurance Maladie.
Vivez plus libre avec une meilleure prise en charge.
Si c’est viral, pas d’antibiotiques.
Dans une époque où la planète va manquer d’eau, la cellulite ne doit plus être une fatalité.
Les fibres favorisent votre transit intestinal.
Un Français sur trois souffre d’hémorroïdes. Elles pendent au nez des deux autres.
Ayez le geste qui sauve : mettez un préservatif.
Stress, cancer de la prostate, cancer colorectal, faites-vous dépister tôt.
Ne mangez ni gras ni sucré ni salé.
Faites recycler vos déchets grâce à la carte de donneur d’organes.
Pratiquer une activité physique adaptée à son âge, c’est conserver son capital santé.
Tenez votre corps en forme pour travailler jusqu’à 80 ans.
Viagra lutte pour le développement durable. Pas d’utilisation prolongée sans avis médical.
Drogue, tabac, alcool, sexe, travail : vous êtes addict, prenez contact avec nous.
Faire du sport après quarante ans nécessite un suivi médical.
Le tabac, l’alcool, la drogue, ça tue la vie.
Levez le pied, sauvez des vies.
Parce qu’un monde sans amour est impensable, la contraception, c’est important.
Ensemble, travaillons à une meilleure santé et gagnons quelques années d’espérance de vie.
Mourir en bonne santé, désormais, c’est possible.
Avortez en toute quiétude grâce au planning familial."

 

Ce qui m'a fait songer aussitôt à Radiohead...

"Fitter, happier, more productive,
comfortable,
not drinking too much,
regular exercise at the gym
(3 days a week),
getting on better with your associate employee contemporaries,
at ease,
eating well
(no more microwave dinners and saturated fats),
a patient better driver,
a safer car
(baby smiling in back seat),
sleeping well
(no bad dreams),
no paranoia,
careful to all animals
(never washing spiders down the plughole),
keep in contact with old friends
(enjoy a drink now and then),
will frequently check credit at
(moral) bank (hole in the wall),
favors for favors,
fond but not in love,
charity standing orders,
on Sundays ring road supermarket
(no killing moths or putting boiling water on the ants),
car wash
(also on Sundays),
no longer afraid of the dark or midday shadows
nothing so ridiculously teenage and desperate,
nothing so childish - at a better pace,
slower and more calculated,
no chance of escape,
now self-employed,
concerned (but powerless),
an empowered and informed member of society
(pragmatism not idealism),
will not cry in public,
less chance of illness,
tires that grip in the wet
(shot of baby strapped in back seat),
a good memory,
still cries at a good film,
still kisses with saliva,
no longer empty and frantic
like a cat
tied to a stick,
that's driven into
frozen winter shit
(the ability to laugh at weakness),
calm,
fitter,
healthier and more productive
a pig
in a cage
on antibiotics."

 

Et de fil en aiguille... j'ai songé à Daran...

"Il fait si bon dans la cuisine
J'adore l'odeur du pain grillé
Je m'amuse avec mes tartines
C'est plus gai
Mon chien fait le fou dans les fleurs
Le facteur apporte le courier
La maison respire le bonheur
Comme une publicité
Comme une publicité

Ma femme est extraordinaire
Mes enfants merveilleux
Mes amis francs et sincères
J'ai tout pour être heureux
J'ai tout pour être heureux
Il fait si bon dans ma voiture
Ma chemise est bien repassée
Rasé de près, ça me rassure
Comme une publicité

Je suis doué pour les affaires,
Mon sourire est bien accroché
Je considère ma secrétaire
Comme une publicité
Comme une publicité

Ma femme est extraordinaire
Mes enfants merveilleux
Mes amis francs et sincères
J'ai tout pour être heureux
Même le soleil est bleu
Demain sera comme hier
Comme une duplicité
Comme une duplicité

Et je fais semblant
Je fais semblant
D'y croire."

 

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21/11/2008

George Steiner, entretien avec Elisabeth Lévy

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

"-- Vous avez souvent dit que seule une élite pouvait accéder à la grande culture. Elle est donc incompatible avec la démocratie ?

Je le crois, hélas. Spinoza a dit : ce qui est excellent doit être très difficile. La lecture d’une page de Descartes, de Kant ou de Bergson demande solitude, silence, concentration extrême, renoncement à soi. Tout cela n’est pas à la portée de tous. Jusqu’à maintenant, aucune formule de scolarité de masse n’a réussi à garantir la transmission des savoirs. Pour moi, qui suis un anarchiste platonicien, notre devoir est d’identifier ce qui dans un enfant peut et veut se réveiller et d’aplanir tous les obstacles financiers, sociaux qui peuvent l’en empêcher. Un grand système éducatif donne leur chance aux doués. Or nous ne savons que niveler. Oui, il y a un don et amoindrir ce don commet un blasphème - et j’emploie à dessein un vocabulaire religieux."

Voir l'entretien en entier sur le site du Causeur.

 

 

22:22 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

David Gilmour

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Reçu un message d'Eric James Guillemain, ancien compagnon d'infortune, chanteur au sein de Venice, dont j'ai tapissé les chansons de mes guitares sulfureuses et éthérées au temps de notre gloire locale d'un quart d'heure. Rigolade gigantesque et de peu d'importance malgré un service chevaleresque de 15 années. Il me dit, enthousiaste, ceci :

"Reçu ça par la poste.... Au paradis des âmes bien trempées :

 

David Gilmour, ici, est IMMENSE. L'intégrale de son dernier album solo en Live. Le reste c'est du pur Pink Floyd joué avec ferveur. A retenir la version mordante de "Time"...

P. S. : Un des derniers concerts de Rick Wright accompagné ici de sieur Phil Manzanera.

Et surtout qu'on ne vienne pas me dire que Gilmour cachetonne sur le nom des Pink Floyd.... Quand à ce stade d'une carrière on écrit encore des trucs pareils :"

Where We Start (Live Performance)

 

On An Island

 

Pour ma part, soudain, immense mélancolie, surtout durant le magnifique solo de guitare sur "On an Island"... Tout en finesse et émotion... et sans esbrouffe. 

 

Réécoutez l'album "On an Island"...

 

 

Revisitez, ici, le classique, "Dark Side Of The Moon"...

15:07 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (5) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

15/11/2008

Léo Ferré : Il n'y a plus Rien...

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Sublime et fascinante dérive poétique...

Léo Ferré
IL N'Y A PLUS RIEN


Écoute, écoute... Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec le sable qui se remonte un peu, comme les vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.

Immobile... L'immobilité, ça dérange le siècle.
C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse, en ces temps.
Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti...
C'est vraiment con, les amants.

IL n'y a plus rien

Camarade maudit, camarade misère...
Misère, c'était le nom de ma chienne qui n'avait que trois pattes.
L'autre, le destin la lui avait mise de côté pour les olympiades de la bouffe et des culs semestriels qu'elle accrochait dans les buissons pour y aller de sa progéniture.
Elle est partie, Misère, dans des cahots, quelque part dans la nuit des chiens.
Camarade tranquille, camarade prospère,
Quand tu rentreras chez toi
Pourquoi chez toi?
Quand tu rentreras dans ta boîte, rue d'Alésia ou du Faubourg
Si tu trouves quelqu'un qui dort dans ton lit,
Si tu y trouves quelqu'un qui dort
Alors va-t-en, dans le matin clairet
Seul
Te marie pas
Si c'est ta femme qui est là, réveille-la de sa mort imagée

Fous-lui une baffe, comme à une qui aurait une syncope ou une crise de nerfs...
Tu pourras lui dire: "T'as pas honte de t'assumer comme ça dans ta liquide sénescence.
Dis, t'as pas honte? Alors qu'il y a quatre-vingt-dix mille espèces de fleurs?
Espèce de conne!
Et barre-toi!
Divorce-la
Te marie pas!
Tu peux tout faire:
T'empaqueter dans le désordre, pour l'honneur, pour la conservation du titre...

Le désordre, c'est l'ordre moins le pouvoir!

Il n'y a plus rien

Je suis un nègre blanc qui mange du cirage
Parce qu'il se fait chier à être blanc, ce nègre,
Il en a marre qu'on lui dise: " Sale blanc!"

A Marseille, la sardine qui bouche le Port
Était bourrée d'héroïne
Et les hommes-grenouilles n'en sont pas revenus...
Libérez les sardines
Et y'aura plus de mareyeurs!

Si tu savais ce que je sais
On te montrerait du doigt dans la rue
Alors il vaut mieux que tu ne saches rien
Comme ça, au moins, tu es peinard, anonyme, Citoyen!

Tu as droit, Citoyen, au minimum décent
A la publicité des enzymes et du charme
Au trafic des dollars et aux traficants d'armes
Qui traînent les journaux dans la boue et le sang
Tu as droit à ce bruit de la mer qui descend
Et si tu veux la prendre elle te fera du charme
Avec le vent au cul et des sextants d'alarme
Et la mer reviendra sans toi si tu es méchant

Les mots... toujours les mots, bien sûr!
Citoyens! Aux armes!
Aux pépées, Citoyens! A l'Amour, Citoyens!
Nous entrerons dans la carrière quand nous aurons cassé la gueule à nos ainés!
Les préfectures sont des monuments en airain... un coup d'aile d'oiseau ne les entame même pas... C'est vous dire!

Nous ne sommes même plus des juifs allemands
Nous ne sommes plus rien

Il n'y a plus rien

Des futals bien coupés sur lesquels lorgnent les gosses, certes!
Des poitrines occupées
Des ventres vacants
Arrange-toi avec ça!

Le sourire de ceux qui font chauffer leur gamelle sur les plages reconverties et démoustiquées
C'est-à-dire en enfer, là où Dieu met ses lunettes noires pour ne pas risquer d'être reconnu par ses admirateurs
Dieu est une idole, aussi!
Sous les pavés il n'y a plus la plage
Il y a l'enfer et la Sécurité
Notre vraie vie n'est pas ailleurs, elle est ici
Nous sommes au monde, on nous l'a assez dit
N'en déplaise à la littérature

Les mots, nous leur mettons des masques, un bâillon sur la tronche
A l'encyclopédie, les mots!
Et nous partons avec nos cris!
Et voilà!

Il n'y a plus rien... plus, plus rien

Je suis un chien?
Perhaps!
Je suis un rat
Rien

Avec le coeur battant jusqu'à la dernière battue

Nous arrivons avec nos accessoires pour faire le ménage dans la tête des gens:
"Apprends donc à te coucher tout nu!
"Fous en l'air tes pantoufles!
"Renverse tes chaises!
"Mange debout!
"Assois-toi sur des tonnes d'inconvenances et montre-toi à la fenêtre en gueulant des gueulantes de principe

Si jamais tu t'aperçois que ta révolte s'encroûte et devient une habituelle révolte, alors,
Sors
Marche
Crève
Baise
Aime enfin les arbres, les bêtes et détourne-toi du conforme et de l'inconforme
Lâche ces notions, si ce sont des notions
Rien ne vaut la peine de rien

Il n'y a plus rien... plus, plus rien

Invente des formules de nuit: CLN... C'est la nuit!
Même au soleil, surtout au soleil, c'est la nuit
Tu peux crever... Les gens ne retiendront même pas une de leur inspiration.
Ils canaliseront sur toi leur air vicié en des regrets éternels puant le certificat d'études et le catéchisme ombilical.
C'est vraiment dégueulasse
Ils te tairont, les gens.
Les gens taisent l'autre, toujours.
Regarde, à table, quand ils mangent...
Ils s'engouffrent dans l'innommé
Ils se dépassent eux-mêmes et s'en vont vers l'ordure et le rot ponctuel!

La ponctuation de l'absurde, c'est bien ce renversement des réacteurs abdominaux, comme à l'atterrissage: on rote et on arrête le massacre.
Sur les pistes de l'inconscient, il y a des balises baveuses toujours un peu se souvenant du frichti, de l'organe, du repu.

Mes plus beaux souvenirs sont d'une autre planète
Où les bouchers vendaient de l'homme à la criée

Moi, je suis de la race ferroviaire qui regarde passer les vaches
Si on ne mangeait pas les vaches, les moutons et les restes
Nous ne connaîtrions ni les vaches, ni les moutons, ni les restes...
Au bout du compte, on nous élève pour nous becqueter
Alors, becquetons!
Côte à l'os pour deux personnes, tu connais?

Heureusement il y a le lit: un parking!
Tu viens, mon amour?
Et puis, c'est comme à la roulette: on mise, on mise...
Si la roulette n'avait qu'un trou, on nous ferait miser quand même
D'ailleurs, c'est ce qu'on fait!
Je comprends les joueurs: ils ont trente-cinq chances de ne pas se faire mettre...
Et ils mettent, ils mettent...
Le drame, dans le couple, c'est qu'on est deux
Et qu'il n'y a qu'un trou dans la roulette...

Quand je vois un couple dans la rue, je change de trottoir

Te marie pas
Ne vote pas
Sinon t'es coincé

Elle était belle comme la révolte
Nous l'avions dans les yeux,
Dans les bras dans nos futals
Elle s'appelait l'imagination

Elle dormait comme une morte, elle était comme morte
Elle sommeillait
On l'enterra de mémoire

Dans le cocktail Molotov, il faut mettre du Martini, mon petit!

Transbahutez vos idées comme de la drogue... Tu risques rien à la frontière
Rien dans les mains
Rien dans les poches

Tout dans la tronche!

- Vous n'avez rien à déclarer?
- Non.
- Comment vous nommez-vous?
- Karl Marx.
- Allez, passez!

Nous partîmes... Nous étions une poignée...
Nous nous retrouverons bientôt démunis, seuls, avec nos projets d'imagination dans le passé
Écoutez-les... Écoutez-les...
Ça rape comme le vin nouveau
Nous partîmes... Nous étions une poignée
Bientôt ça débordera sur les trottoirs
La parlote ça n'est pas un détonateur suffisant
Le silence armé, c'est bien, mais il faut bien fermer sa gueule...
Toutes des concierges!
Écoutez-les...

Il n'y a plus rien

Si les morts se levaient?
Hein?

Nous étions combien?
Ça ira!

La tristesse, toujours la tristesse...

Ils chantaient, ils chantaient...
Dans les rues...

Te marie pas Ceux de San Francisco, de Paris, de Milan
Et ceux de Mexico
Bras dessus bras dessous
Bien accrochés au rêve

Ne vote pas

0 DC8 des Pélicans
Cigognes qui partent à l'heure
Labrador Lèvres des bisons
J'invente en bas des rennes bleus
En habit rouge du couchant
Je vais à l'Ouest de ma mémoire
Vers la Clarté vers la Clarté

Je m'éclaire la Nuit dans le noir de mes nerfs
Dans l'or de mes cheveux j'ai mis cent mille watts
Des circuits sont en panne dans le fond de ma viande
J'imagine le téléphone dans une lande
Celle où nous nous voyons moi et moi
Dans cette brume obscène au crépuscule teint
Je ne suis qu'un voyant embarrassé de signes
Mes circuits déconnectent
Je ne suis qu'un binaire

Mon fils, il faut lever le camp comme lève la pâte
Il est tôt Lève-toi Prends du vin pour la route
Dégaine-toi du rêve anxieux des biens assis
Roule Roule mon fils vers l'étoile idéale
Tu te rencontreras Tu te reconnaîtras
Ton dessin devant toi, tu rentreras dedans
La mue ça ses fait à l'envers dans ce monde inventif
Tu reprendras ta voix de fille et chanteras Demain
Retourne tes yeux au-dedans de toi
Quand tu auras passé le mur du mur
Quand tu auras autrepassé ta vision
Alors tu verras rien

Il n'y a plus rien

Que les pères et les mères
Que ceux qui t'ont fait
Que ceux qui ont fait tous les autres
Que les "monsieur"
Que les "madame"
Que les "assis" dans les velours glacés, soumis, mollasses
Que ces horribles magasins bipèdes et roulants
Qui portent tout en devanture
Tous ceux-là à qui tu pourras dire:

Monsieur!
Madame!

Laissez donc ces gens-là tranquilles
Ces courbettes imaginées que vous leur inventez
Ces désespoirs soumis
Toute cette tristesse qui se lève le matin à heure fixe pour aller gagner VOS sous,
Avec les poumons resserrés
Les mains grandies par l'outrage et les bonnes moeurs
Les yeux défaits par les veilles soucieuses...
Et vous comptez vos sous?
Pardon.... LEURS sous!

Ce qui vous déshonore
C'est la propreté administrative, écologique dont vous tirez orgueil
Dans vos salles de bains climatisées
Dans vos bidets déserts
En vos miroirs menteurs...

Vous faites mentir les miroirs
Vous êtes puissants au point de vous refléter tels que vous êtes
Cravatés
Envisonnés
Empapaoutés de morgue et d'ennui dans l'eau verte qui descend
des montagnes et que vous vous êtes arrangés pour soumettre
A un point donné
A heure fixe
Pour vos narcissiques partouzes.
Vous vous regardez et vous ne pouvez même plus vous reconnaître
Tellement vous êtes beaux
Et vous comptez vos sous
En long
En large
En marge
De ces salaires que vous lâchez avec précision
Avec parcimonie
J'allais dire "en douce" comme ces aquilons avant-coureurs et qui racontent les exploits du bol alimentaire, avec cet apparat vengeur et nivellateur qui empêche toute identification...
Je veux dire que pour exploiter votre prochain, vous êtes les champions de l'anonymat.

Les révolutions? Parlons-en!
Je veux parler des révolutions qu'on peut encore montrer
Parce qu'elles vous servent,
Parce qu'elles vous ont toujours servis,
Ces révolutions de "l'histoire",
Parce que les "histoires" ça vous amuse, avant de vous intéresser,
Et quand ça vous intéresse, il est trop tard, on vous dit qu'il s'en prépare une autre.
Lorsque quelque chose d'inédit vous choque et vous gêne,
Vous vous arrangez la veille, toujours la veille, pour retenir une place
Dans un palace d'exilés, entouré du prestige des déracinés.
Les racines profondes de ce pays, c'est Vous, paraît-il,
Et quand on vous transbahute d'un "désordre de la rue", comme vous dites, à un "ordre nouveau" comme ils disent, vous vous faites greffer au retour et on vous salue.

Depuis deux cent ans, vous prenez des billets pour les révolutions.
Vous seriez même tentés d'y apporter votre petit panier,
Pour n'en pas perdre une miette, n'est-ce-pas?
Et les "vauriens" qui vous amusent, ces "vauriens" qui vous dérangent aussi, on les enveloppe dans un fait divers pendant que vous enveloppez les "vôtres" dans un drapeau.

Vous vous croyez toujours, vous autres, dans un haras!
La race ça vous tient debout dans ce monde que vous avez assis.
Vous avez le style du pouvoir
Vous en arrivez même à vous parler à vous-mêmes
Comme si vous parliez à vos subordonnés,
De peur de quitter votre stature, vos boursouflures, de peur qu'on vous montre du doigt, dans les corridors de l'ennui, et qu'on se dise: "Tiens, il baisse, il va finir par se plier, par ramper"
Soyez tranquilles! Pour la reptation, vous êtes imbattables; seulement, vous ne vous la concédez que dans la métaphore...
Vous voulez bien vous allonger mais avec de l'allure,
Cette "allure" que vous portez, Monsieur, à votre boutonnière,
Et quand on sait ce qu'a pu vous coûter de silences aigres,
De renvois mal aiguillés
De demi-sourires séchés comme des larmes,
Ce ruban malheureux et rouge comme la honte dont vous ne vous êtes jamais décidé à empourprer votre visage,
Je me demande comment et pourquoi la Nature met
Tant d'entêtement,
Tant d'adresse
Et tant d'indifférence biologique
A faire que vos fils ressemblent à ce point à leurs pères,
Depuis les jupes de vos femmes matrimoniaires
Jusqu'aux salonnardes équivoques où vous les dressez à boire,
Dans votre grand monde,
A la coupe des bien-pensants.

Moi, je suis un bâtard.
Nous sommes tous des bâtards.
Ce qui nous sépare, aujourd'hui, c'est que votre bâtardise à vous est sanctionnée par le code civil
Sur lequel, avec votre permission, je me plais à cracher, avant de prendre congé.
Soyez tranquilles, Vous ne risquez Rien

Il n'y a plus rien

Et ce rien, on vous le laisse!
Foutez-vous en jusque-là, si vous pouvez,
Nous, on peut pas.
Un jour, dans dix mille ans,
Quand vous ne serez plus là,
Nous aurons TOUT
Rien de vous
Tout de nous
Nous aurons eu le temps d'inventer la Vie, la Beauté, la Jeunesse,
Les Larmes qui brilleront comme des émeraudes dans les yeux des filles,
Le sourire des bêtes enfin détraquées,
La priorité à Gauche, permettez!

Nous ne mourrons plus de rien
Nous vivrons de tout

Et les microbes de la connerie que nous n'aurez pas manqué de nous léguer, montant
De vos fumures
De vos livres engrangés dans vos silothèques
De vos documents publics
De vos règlements d'administration pénitentiaire
De vos décrets
De vos prières, même,
Tous ces microbes...
Soyez tranquilles,
Nous avons déjà des machines pour les révoquer

NOUS AURONS TOUT

Dans dix mille ans.

 

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13/11/2008

Mitch Mitchell - 1947-2008 - R. I. P.

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Tristesse... j'apprends, à l'instant, que Mitch Mitchell, batteur du grand Jimi Hendrix, est mort.

 

 


 

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Les Bobamanes

=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=

 

"Le drapeau rouge flotte sur la Maison-Blanche.

Depuis le 4 novembre au soir, heure américaine, of course, le monde entier exulte, la communauté internationale se réjouit, des foules font la « teuf », des journalistes tombent en pâmoison, des hommes politiques s'agenouillent devant le miracle, des « artistes » généreusement subventionnés se trouvent des vocations subites d'égéries illuminées par la grâce ou de chauffagistes pour dithyrambes, on voit même certains abrutis « conservateurs » européens se mettre de la partie, cotillons et confettis, en route vers un nouveau monde, en route vers The Change We Need, en route vers la destruction des États-Unis.

On peut comprendre le joyeux consensus qui saisit le reste de la planète : il était temps ! - la bureaucratie onuzie aura enfin eu raison de la dernière souveraineté impériale qui menaçait son projet de gouvernement socialiste supranational. Et le plus drôle, pour elle, c'est que cela est venu du coeur même de cette entité qu'il faut absolument détruire pour imposer aux hommes de cette planète l'eugénisme totalitaire et l'anéantissement des singularités politiques.

Dans les Territoires Occupés de Zéropa-Land, de l'extrême droite à l'extrême gauche, disons tout simplement de l'extrême-nul à l'extrême-rien, on constate le même engouement satisfait, il est probable que la défaite de McCain, « représentant de l'impérialisme et du colonialisme US », entraîne quelques accointances festives entre les intellectuels mononeuronaux du gauchisme altermondialiste et, par exemple, les « penseurs » lobotomisés de la Droite Socialiste, cet oxymore fondamental des nihilistes instruits. Peu importe, ils sont à leur place, tous ensemble, ils sont à leur place avec les représentants des « minorités ethniques» qui n'ont pas peur d'avouer qu'ils ont voté, ou l'auraient fait, pour Barack Hussein Obama parce qu'il deviendrait ainsi le première président noir des USA. Au delà du fait qu'on ne voit guère en quoi son taux de mélanine va l'aider en quoi que ce soit à résoudre les problèmes de la 1ere puissance du globe, on constatera avec délices que promouvoir un homme politique par la couleur de sa peau n'est absolument pas discriminatoire, ni le moins du monde « raciste ». Serait « raciste », évidemment, une déclaration, celle d'un écrivain éminemment réactionnaire par exemple, qui oserait affirmer que tel ou tel candidat à la présidence doit parvenir au poste suprême parce qu'il appartient à la race blanche. Cela fait longtemps que, vous l'avez compris, sous l'autorité des oulémas de l'Onu, ne sont racistes que les Blancs. Un Noir qui dit voter pour un Noir parce qu'il est Noir n'est pas raciste. C'est un homme qui résiste à l'oppression de General Motors et de Kellogs Corn Flakes.

Chez les Blancs qui auront suivi la pente savonneuse de cet « humanisme multiracial », un certain nombre ont su dépasser ces simples critères chromatiques, admettons qu'ils en sont à peu près à l'ABC de la Politique-pour-les-Nuls. Noir, c'est bien, ils en conviennent aisément, la culpabilité masochiste du bobo occidental n'est plus à prouver, c'est désormais sa condition ontologique de base. Mais mieux encore, ce « noir » est en fait un « rouge ». Il incarne la preuve vivante que les idéologies démocratiques camouflent toujours une version ou une autre du matérialisme collectiviste. Rien ne pouvait mieux les contenter.

Le IVè Reich internationaliste.

Alors ainsi le monde entier fait la « teuf », de San Francisco à Tombouctou, de Montréal à Garges-les-Gonesses, du Londonistan à l'Algérie, de la Seine-Saint-Denis à la Seine-Saint-Denis.

Il croit, ce monde peuplé d'esclaves, que Barack Hussein Obama va pouvoir agir comme il le pense et comme il l'a promis au peuple américain. C'est le problème des petits gauchistes libéraux éduqués à Harvard. Ils connaissent encore quelques éléments de rhétorique - certes il aurait pu devenir un avocat hors pair - sauf qu'on ne forme pas les politiciens du 21e siècle avec des codes civils et des procédures pénales, mais avec Machiavel, Hobbes, Carl Schmitt et Clausewitz. La politique, c'est à dire le RÉEL, autant dire la GUERRE mondiale en cours, qui est une guerre globale, actualisée sur tous les champs de l'activité humaine, oui, cette guerre comme unique forme pensable du monde va très vite se rappeler à son bon souvenir.

Première ironie du sort : c'est grâce à la crise économique qui sévit depuis un an que le gauchiste sauce californienne a pu l'emporter. C'est à cet instant, peut-être, que les réjouissances vont s'arrêter, à tout le moins baisser d'un ton, pour laisser place à une sourde anxiété. Les crises financières, qui ne cesseront de s'amplifier, ou de rebondir, auxquelles s'adjoindront les crises énergétiques et alimentaires, sans parler des conflits géopolitiques, c'est à lui qu'il reviendra de les gérer, et il sera irrésistiblement conduit à appliquer les mêmes méthodes aux mêmes problèmes, c'est à dire celles qui marchent, y compris au prix du sacrifice. Les fêtards bobamanes se mettront alors probablement à rire jaune, quant à moi, c'est le moment où je déboucherai enfin ce Pomerol qui attend une telle occasion depuis des années.

En faisant tout pour détruire les États-Unis, la communauté internationale, en pleine promotion de son idéologie humaniste mortifère, ne s'est pas encore rendue compte qu'elle était en train de se détruire elle-même. Ce sera sans doute un effet inattendu, et fort plaisant, de la Très Sainte Réversibilité.Il n'y aura plus de ces connards de soldats américains pour aller jouer le rôle de tampon sanitaire entre les enturbannés sectaires ou les fanatiques génocidaires. Vous verrez qu'au bout d'un moment, dans les 4 ans de son mandat, les loges maçonniques onuzies, quelles qu'elles soient, viendront demander au gouvernement d'Obama d'intervenir pour stopper telle ou telle extermination de masse, de toute urgence, ici ou là, la France et le Lichtenstein n'étant pas vraiment disponibles. Barack Hussein Obama aura alors le choix : déplaire à l'ONU et aux défenseurs des Tibétains, incapables de tenir un lance-pierre, ou trahir les promesses faites à son électorat.

Et la même chose se répétera sur tous les segments stratégiques de cette élection : crise financière générale, économie en récession, problèmes énergétiques, dislocation sociale internationale (migrations de masse incontrôlées, piraterie maritime généralisée, microterrorisme).

La baudruche Obama est portée par cette « dissociété » de post-soixantuitards qui ne veulent pas voir dérangée leur vision du monde, telle qu'ils l'ont reçue lors d'un trip à l'acide à Big Sur, ou durant un spectacle au Festival d'Avignon.Pour ces masses de collabos du régime onuzi qui s'installe sur le globe et dans les têtes, sans les États-Unis, le monde va enfin reprendre sa route tranquille-pépère, encore plus de droits aux droits, comme aurait dit Philippe Muray, plus de droits à la fête, plus de droits au confort, plus de droits pour moi-je.Mais au risque de déplaire - je plaisante - il est intéressant de noter qu'un des rares pays à ne pas avoir succomber à la Bobamania est précisément le contre-pôle historique des USA : la RUSSIE.Et il est plus intéressant encore de noter que cela survient alors que les tensions entre ce pays et ses voisins les plus directs, comme l'Ukraine, ne cessent de s'intensifier. Ah la belle guerre européenne que Barack Hussein Obama va se taper dans les mois, au mieux dans les courtes années qui viennent.Les Russes étaient opposés à Bush, et à McCain, sur le terrain encore rationnel des débris de la guerre froide. Mais les Russes se sont toujours mieux entendus avec les Républicains qu'avec les Démocrates. Au delà de la confrontation idéologique, et désormais purement géostratégique, ce sont deux conceptions impériales de la souveraineté politique qui se respectent l'une l'autre.

Même les communistes les plus endurcis qui subsistent encore n'éprouvent que mépris pour les adolescents attardés du démocratisme post-soixantuitard, ces avortons du « gauchisme, maladie infantile du communisme », comme le disait Lénine, nourris aux « films » de Michael Moore et aux « livres » de Noam Chomsky, et qui ont formé le creuset multigroupusculaire d'où est issu Barack Hussein Obama.

La chute du communisme aura été l'occasion historique ratée entre toutes. Plutôt que de vouloir implanter des sites de missiles en Pologne ou en Tchéquie sans aucune contrepartie, de faire entrer ses anciens pays satellites dans l'OTAN, structure militaire née de la lutte contre l'idéologie soviétique, plutôt que de pousser la Georgie dans un conflit qu'elle ne pouvait gagner, l'Occident du tournant du siècle aurait pu constituer une nouvelle organisation militaire transocéanique dans laquelle la Russie aurait disposé, enfin, de toute la place qu'elle mérite.

D'une simple alliance « atlantique », on serait passé à une organisation boréale et même pan-hémisphérique (Australasie) où la domination s'exercerait sans partage sur tous les océans et les espaces aériens stratégiques du monde. Cette transmutation était non seulement nécessaire, mais elle était possible. Il aurait simplement suffi que les « Européens » aient encore la moindre ébauche de sens historique, en se plaçant au centre de cette nouvelle triple alliance. Mais il est clair que ces « Européens », et leur Commission omnipotente, sont bien trop petits pour l'Europe.

D'autre part, il faut savoir que dans ce registre, ce sont les Démocrates américains, et en particulier leur aile gauche, celle d'où provient précisément Obama, qui se sont le plus arqués contre tout projet de transformation stratégique de l'Alliance : Poutine et son « nationalisme » Grand-Russe, son attachement viscéral au concept de souveraineté politique, ses méthodes viriles pour régler le problème tchétchène, son mépris de l'ONU, rien de tout cela ne pouvait correspondre aux « valeurs » des gauchistes surfeurs et des hédonistes philosophes de boudoir qui ne veulent de l'OTAN que pour « maintenir la paix » au service de la bureaucratie onuzie. À l'heure où j'écris ces lignes Barack Hussein Obama fait déjà preuve de son « réalisme » : il milite désormais pour l'abandon du bouclier anti-missile, la pression de l'ours russe aura eu rapidement raison de son « patriotisme » de tinettes et de sa carrure d'athlète.En conséquence de quoi, la Russie post-communiste n'a d'autre choix, désormais, avec l'élection du « Noir-Rouge » de l'Illinois, que de reconfigurer d'elle-même, et pour elle-même, les grandes alliances géopolitiques. Les Occidentaux socialistes vont vite comprendre de quoi il s'agit : une union turco-slave sous l'égide de la Russie viendra disloquer l'Organisation Atlantique et déstabilisera profondément toute cette « Europe médittérranéenne » que les dhimmis de Bruxelles promeuvent à grand renfort de propagande antiraciste.Rien que pour cela, moi zossi, j'aurais voté pour le gauchiste de l'Illinois.

Big Money versus Great America.

Un constat préliminaire doit être établi : non seulement Obama a trahi la parole donnée deux années durant aux membres de son propre parti, concernant le mode de financement de sa campagne, mais il a délibérément induit McCain en erreur, s'offrant ainsi le luxe d'avoir en sa possession des fonds privés qui équivalaient à dix fois la somme dont le candidat Républicain disposait par l'entremise du système fédéral, sévèrement plafonné grâce aux lois que Mc Cain avait justement fait voter il y a quelques années. Le jour même de l'élection, il restait à Barack Hussein Obama plus de six cent millions de dollars en caisse, dont il n'avait su trouver comment les dépenser !

L'évidence s'impose d'elle-même : quel que soit le point de vue adopté, le Démocrate gauchiste n'est pas seulement le premier candidat ouvertement « racial » de l'histoire américaine, il est surtout le candidat du Gros Pognon, celui des milliardaires californiens, de Seattle, du Massachusetts ou de Floride.Un tel sens du fair-play restera je pense dans l'histoire, qu'Obama le veuille ou non, il aura commencé sa présidence sur une trahison, et un mensonge de petit joueur. De la part d'un gauchiste libéral, c'est bien le moins qu'on pouvait attendre.

Mais si l'on observe attentivement la configuration des deux électorats en lice on constate un certain nombre de faits troublants, et tout à fait enthousiasmants :- Si l'on excepte le secteur des Grands Lacs, traditionnellement ouvrier, doté d'une forte population afro-américaine, et démocrate, les États qui ont donné leur collège électoral à Obama sont les États les plus riches et les plus post-urbanisés des USA. Californie, Oregon, Washington State, Nevada, nord-est libéral, voici comme par hasard le territoire des fortunes siliconées, du silicium fortuné, des villes-casinos, des « banlieues » de la classe moyenne supérieure, des grandes écoles, des cabinets d'avocats, de l'industrie de la communication, du design, de la mode, et du « commerce équitable ». Et la Floride des baby boomers retraités-millionnaires a parfaitement choisi son camp, cette fois ci, et sans le moindre doute possible.- Si l'on analyse les résultats États par États on constate que dans bien des cas Mc Cain a vaincu avec des écarts plus importants que ceux des joutes gagnées par son rival. La bataille a donc été nettement plus serrée que ce que les experts sous hypnose sont tout juste parvenus à ânonner.- Sur le plan des « votes populaires », McCain ne se tient pas très loin d'Obama, (une marge correspondant à un peu plus de 7 millions d'électeurs, sur 152 millions, soit environ 5 %), en termes clairs : Obama a été élu sur la base d'un schisme fondamental, deux Amériques inconciliables et qui ne sont pas prêtes d'être réconciliées :

D'une part, l'Amérique qui entend se soumettre aux ordres de la « communauté internationale », perdre sa singularité historique, brader sa souveraineté politique pour l'oligarchie des Commissaires du Peuple Humain, ni élus, ni mandatés par personne, cooptés, placés, missionnés pour enrégimenter les nations dans leur « Global Ethics » néo-totalitaire , l'Amérique de Bobama et de ses fidèles.En face, l'Amérique des Founding Fathers, et même de ses origines indo-européennes plus lointaines encore, cette monarchie constitutionnelle dont la Constitution est le Monarque, cette superpuissance politique, scientifique, militaire et religieuse qui succède, à l'échelle orbitale, au Saint Empire Romain Germanique, l'Amérique second Israël, l'Amérique qui envoie des hommes sur la Lune et ruine dans le même temps le système soviétique, l'Amérique qui ose punir de mort les tueurs d'enfants et les terroristes génocidaires, l'Amérique qui fait peur aux bobos du Grand Club Med internationaliste, l'Amérique qui, lorsqu'elle se réveillera pour de bon, fera regretter le XXe siècle à tous les gauchonazis du monde entier, qui se sont unis. Pour leur malheur.

Vers une nouvelle Guerre de Sécession Américaine.

La faille qui divise aujourd'hui l'Amérique en deux camps totalement opposés ne peut en aucun cas être résorbée. Car elle agit à double sens : elle s'exporte dans le monde entier, et elle importe en elle tous les autres conflits idéologiques, religieux, ethniques, en activité ailleurs.Obama va certes entrer dans l'histoire. Je conseille à tous les jean-françois-kahn du pigisme professionnel de relire au plus vite De la Démocratie en Amérique de Tocqueville. S'ils possèdent encore quelques circonvolutions corticales en état de marche, ils se rendront compte que la comparaison n'est pas à faire sur le plan du problème racial, les années 1830/40 n'ont pas grand chose à voir avec l'époque où nous vivons, en dépit des délires comiques de la propagande afrocentriste, mais que, en revanche, les analogies pointent toutes vers le caractère insolvable du problème, par la ligne destinale, et tragique, qui devait conduire les États-Unis à la guerre civile. Cette ligne qui, aujourd'hui, les aimante irrésistiblement vers cette épreuve seule capable de les réunir pour de bon. Cette ligne qui, à la différence de celle des années 1860, aura des répercussions terribles sur l'ensemble du monde.

Il faudrait que les petits Français, et autres Zéropéens, qui s'agitent comme de pathétiques bourgeoises hystériques pour une élection qui n'est pas la leur, s'attendent au pire, le retour de flammes ne sera rien moins que la destruction de toutes leurs sociétés merdiques. Ce qui subsistera de l'Armageddon qui naîtra en Amérique, personne ne le sait, mais ça ne pourra jamais être pire que ce simulacre dans lequel l'onuzisme international veut à tout prix nous faire vivre.Ainsi le schisme intra-américain produira-t-il aussitôt l'implosion générale du reste du monde, mais cette implosion viendra en retour détoner sur les lignes de fracture en cours à l'intérieur des États Divisés d'Amérique. Ce feed-back historique est le visage du futur, disons même du présent proche, il est le visage de notre siècle. Cette guerre civile mondiale ne se cristallisera pas sur une seule problématique, comme la Guerre de Sécession nationale du 19e siècle. Au contraire, c'est dans la plus joyeuse diversité multiculturelle que les massacres et les coups d'États, les rebellions et les génocides vont se suivre, mieux : se superposer et s'influencer les uns les autres.Le Grand Mix Planétaire est prêt, il va falloir trouver un DJ à la hauteur.

Bien sûr, la variable « raciale » fera partie de l'équation, puisqu'elle s'est trouvée au centre de cette élection fatidique. Mais on pourra constater avec quelle facilité elle peut être introduite dans des computations sociales de plus en plus complexes, où l'ethnicité, l'idéologie, la religion, les modes de vie, les degrés d'urbanisation, les conceptions politiques, éthiques et économiques, voire esthétiques seront mises à contribution, au service de la mort.Cette mort par laquelle seule toute renaissance est envisageable.Si l'on observe la carte issue de cette élection on constate un fait patent : Depuis l'an 2000, et même avant, le schisme intra-américain passe aussi par une « ligne de front » territoriale : les États républicains, soit le « Heartland » des USA, contre les littoraux néo-bourgeois du Parti Démocrate. Cette ligne de front géographique ne doit cependant pas faire illusion, la fissure traversera évidemment tous les territoires constitutifs des USA et elle produira, par son emboîtement avec l'ensemble des autres forces implosives, une véritable atomisation socio-politique où milices civiles et factions gouvernementales ennemies s'entretueront, avec toute la pyrotechnie dont sont capables les arsenaux modernes.

Pour une guerre civile mondiale.

Cette guerre civile globale, dont l'épicentre américain disloquera toutes les sociétés « unies » sous la houlette de l'ONU, passera par toutes les failles fondamentales qui sont nées avec les États Unis eux-mêmes. Par exemple, la méfiance de ces « États » unis, et de nombreux pouvoirs locaux, envers le gouvernement fédéral. Sans parler de la réciproque. Les divisions ethnico-religieuses au sein des forces de police, tout comme l'infiltration planifiée des agences de sécurité ne sont pas à négliger non plus dans ce type de situation. La guerre de front bipolaire du 19e et même du 20e siècle, est un très joli artefact de musée. La guerre sera présente partout, à toutes les échelles, sur tous les territoires, en des centaines et des centaines de factions opposées, en des milliers et des milliers de micro-guerres et de méga-massacres plus ou moins assemblés les uns aux autres. Il est fort possible, lorsque surviendra l'occurrence de cette guerre de 3e type, que nous entendions résonner à nos oreilles les rires gras de quelques NegrOnazis de service, marionnettes dieudonnesques ou tribukakistes, voire celui, non moins dégoulinants de crasse servile, des kapos appartenant aux sectes juives anti-israéliennes.Ils s'interrompront aussi vite qu'ils seront apparus, lorsque l'Europe « Unie » se verra face à une catastrophe nettement plus terminale que celle que traversera l'Amérique du Nord. Lorsque la mort, sans renaissance aucune, sera alors à leurs trousses.

L'Union européenne présente un mérite incomparable : plus elle se fait, plus elle se défait. Après avoir laissé se dérouler sans réagir d'un iota la guerre yougoslave, donnant un blanc-seing aux troupiers communistes de Milosevic, elle n'a rien trouvé de mieux à faire, une fois la Serbie sortie du sous-développement socialiste, que de lui arracher un morceau entier de son territoire national, au mépris de toutes les lois de l'Organisation du Néant Universel elle-même ! À ce rythme, il y aura constamment une dizaine de « nouvelles nations » en attente d'entrer dans ce machin déjà submergé par les flux migratoires incontrôlés en provenance d'Afrique et du Moyen-Orient.La désintégration de cette pseudo-Europe sera bien plus explosive, du coup, que la dislocation civile nord-américaine, car les États-Unis (et le Canada) sont des entités politiques qui existent depuis des siècles, alors que l'Europe Unie n'est jamais qu'un paquet de dossiers qui tournent dans les mains des Commissaires de Bruxelles depuis le Traité de Maastricht.

Alors cette fois, nul doute pour que la Russie anticommuniste sache en profiter, une bonne fois pour toutes, afin d'unifier ce continent, par le fer et par le feu, tel qu'il le mérite. Le contre-pôle russe unifiera l'Europe, contre son gré, et c'est une perspective des plus réjouissantes. Ce que le communisme, évidemment, ne pouvait parvenir à accomplir, le nationalisme chrétien grand-russe en sera sans doute capable.Dans le même temps, après avoir été anéanties par la destruction de leur pire ennemi, les Nations Désunies n'auront d'autre choix que de faire allégeance à la nouvelle trinité américano-euro-russe - et son extension australe, Amérique latine, Australasie - dont la naissance tient en deux conditions nécessitant d'être réunies : la re-Constitution politique des États-Unis ne pourra parvenir à l'existence sans s'intégrer à ce condominium qui effrayait tant de Gaulle, alors qu'il n'était encore qu'un embryon dans le placenta de l'Histoire. De façon identique, la Russie ne pourra unifier l'Eurasie sans prendre parti dans la guerre entre les USA et l'ONU, c'est à dire entre un potentiel rival souverain, mais plus probablement un allié dominateur, et le programme d'annihilation de toutes les souverainetés, rivales ou non, dominatrices ou pas.

Ainsi, il se pourrait bien que, de deux manières fort différentes, pour ne pas dire inverses, mais telles deux images placées face à face, ce soit bien la Russie et les USA qui tiennent à jamais les destinées du monde entier entre leurs mains. Et jamais, probablement, leurs superpuissances respectives ne seront aussi souveraines que lorsque ces deux nations seront complètement isolées du reste du globe, et de son IVe Reich internationaliste, lorsqu'elles subsisteront comme dernières représentantes de la liberté ET du pouvoir politique qui vont de pair.

Je ne saurais dire pourquoi, mais je pressens que le monde va de moins en moins rigoler dans les années qui viennent."

Maurice G. Dantec
Le 10 novembre deux mille huit.

Trouvé ici...

 

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12/11/2008

"ISLÂÂÂM !"... à vos souhaits !

=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=

 

Les chiens remuent la queue et grognent d'aise d'être à ce point civilisés. Je me suis encore fait traiter de fasciste sur un forum pour avoir voulu nuancer les propos d'un rabougri du cerveau qui voit, de toute façon, et quoi que l'on dise, des fascistes partout. Je me demande souvent quelle enfance ces pauvres individus ont eu pour être à ce point fermés et crispés de la rondelle, eux qui se disent systématiquement "ouverts", "tolérants", "compréhensifs", et caetera... leur papa les a enculé ? Ils se sont fait battre à la maison ? Peut-être étaient-ils des têtes à claques à l'école ?

Sur un autre forum, après avoir versé quelques éléments à un débat qui se voulait, au départ, bon enfant, je me suis retrouvé cerné par la bêtise d'une foule toute décidée à en découdre avec le réac' de service. C'est la routine. La Routine de la meute qui se sent forte, groupée dans sa crasse et sa sueur, la plèbe carnassière et sans talent qui ne sait que faire du bruit, aboyer et se jeter à l'unisson sur qui ne convient pas à l'humeur de son grand Chenil. L'un entraînant l'autre par-delà soi-même, c'est sûr, c'est évident. L'intelligence brille sur chaque ligne que c'est un plaisir de tomber sur l'image affligeante des larves écrites ou copiées et collées qu'ils prennent pour du verbe avec de l'esprit et de l'humour. La masse qui est à deux doigts de lever le bras si un des leurs l'y invitait, même de façon masquée. Comme il est doux, comme il est bon, de recevoir des leçons de morale ou des leçons de tempérance et de tolérance de tels "puants la mort", abjectes, vulgaires et se tenant chauds comme des teignes. Sous ces images que je vous lance, et chez les auteurs qui en ont, il est implicitement admis que les penseurs qui s'intéressent en priorité à l'Être sont loin au-dessus des nains de la place publique qui ne savent que discutailler, rire et se rouler dans leur fange avec une délectation digne d'un Jacquouille la Fripouille... Vous avez vu ? Je connais mes classiques.

 

Mais le summum, encore une fois, c'est d'avoir été traité de "raciste" pour avoir déconstruit l'Islam, le temps d'une note "inacceptable". Typique.

D'ailleurs à ce propos, après avoir choppé l'information chez Didier Goux, et parcouru le net en quête de quelques informations sur le sujet, je peux en effet préciser que le moratoire qu'exige avec tant d'humanisme Tariq Ramadan, ce n'est pas demain la veille qu'il va être appliqué. En Somalie, que Renaud le blaireau voulait à tout prix sauver il y a 20 ans en nous tirant la larme de l'oeil, une jeune fille de 13 ans a été lapidée à la fin du mois d'octobre dernier. Son crime ? Avoir été violée par 3 hommes et avoir osé le dire. Sur cette lapidation, c'est le silence radio total. Tout le monde, en effet, n'avait d'yeux que pour le beau Obama et sa campagne électorale qui pulsait grave.

 

Une petite note sur causeur.fr a signalé l'événement morbide. Le gouvernement français, garant des Lumières et des "Drouâ-de-l'hôôômme", a ouvertement condamné l'acte ignoble. Au moins ça rassure un gouvernement avec autant de courage. l'UNICEF est scandalisé. Et certains communistes aussi.

Sinon, tout va pour le mieux. Le racisme ne passera pas. Car tenez-le vous pour dit : l'Islâââm ("à vos souhaits !") est une religion d'amour, de tolérance et de paix. J'en suis convaincu. Et vous aussi, bien-sûr...

Une vidéo iranienne insoutenable, en fichier WMV, juste histoire de rassurer les humanistes qui défendent l'indéfendable.

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11/11/2008

Jour des défunts... au Kosovo

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10/11/2008

"Das Lied der Deutschen" par Nico

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

 

"Das Lied der Deutschen" ou "Deutschlandliedpar Nico qui, provocatrice, chante les 3 couplets au lieu de se contenter du troisième qui, depuis la seconde guerre mondiale, est le seul officiel, les deux premiers ayant été interdits abolis.

"Deutschland, Deutschland über alles,
über alles in der Welt,
wenn es stets zu Schutz und Trutze
brüderlich zusammenhält.
Von der Maas bis an die Memel,
von der Etsch bis an den Belt,
Deutschland, Deutschland über alles,
über alles in der Welt !

Deutsche Frauen, deutsche Treue,
deutscher Wein und deutscher Sang
sollen in der Welt behalten
ihren alten schönen Klang,
uns zu edler Tat begeistern
unser ganzes Leben lang.
Deutsche Frauen, deutsche Treue,
deutscher Wein und deutscher Sang !

Einigkeit und Recht und Freiheit
für das deutsche Vaterland !
Danach lasst uns alle streben
brüderlich mit Herz und Hand !
Einigkeit und Recht und Freiheit
sind des Glückes Unterpfand;
blühe im Glanze dieses Glückes,
blühe, deutsches Vaterland."

Traduction :

"Allemagne, Allemagne au-dessus tout,
au-dessus de tout dans le monde,
quand sans cesse, pour sa protection et sa défense,
fraternellement elle est unie.
De la Meuse jusqu'au Niémen,
de l'Adige jusqu'au Petit Belt,
Allemagne, Allemagne au-dessus tout,
au-dessus tout au monde !

Les femmes allemandes, la fidélité allemande,
le vin allemand et le chant allemand
doivent dans le monde conserver
leur belle et ancienne sonorité,
nous enthousiasmer pour des actes nobles,
toute notre vie durant.
Femmes allemandes, fidélité allemande,
vin allemand et chant allemand !

Unité, droit et liberté
pour la patrie allemande !
Tendons tous vers cela
fraternellement, avec le cœur et la main !
Unité, droit et liberté
sont le gage du bonheur ;
Prospère dans l'éclat de ce bonheur,
Prospère, patrie allemande. (bis)"

 

 

 

 

 

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09/11/2008

Saxon : Crusader

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Saxon, groupe britannique et fier de l'être.

 

"Crusader

(Who dares battle the Saracen)

Crusader, crusader, please take me with you
The battle lies far to the east
Crusader, crusader, don't leave me alone
I want to ride out on your quest
I'm waiting, I'm waiting, to stand by your side
To fight with you over the sea
They're calling, they're calling, I have to be there
The holy land has to be free

Fight the good fight
Believe what is right
Crusader, the Lord of the Realm
Fight the good fight
With all your might
Crusader, the Lord of the Realm

We're marching, we're marching, to a land far from home
No one can say who'll return
For Christendom's sake, we'll take our revenge
On the pagans from out of the east
We Christians are coming, with swords held on high
United by faith and the cause
The Saracen heathen will soon taste our steel
Our standards will rise 'cross the land

Fight the good fight
Believe what is right
Crusader, the Lord of the Realm
Fight the good fight
With all your might
Crusader, the Lord of the Realm

To battle, to battle, the Saracen hordes
We follow the warrior king
Onward, ride onward, into the fight
We carry the sign of the cross
Warlords of England, Knights of the Realm
Spilling their blood in the sand
Crusader, crusader, the legend is born
The future will honour your deeds

Fight the good fight
Believe what is right
Crusader, the Lord of the Realm
Fight the good fight
With all your might
Crusader, the Lord of the Realm

(Come Crusader let battle commence)

Fight the good fight
Believe what is right
Crusader, the Lord of the Realm
Crusader, the Lord of the Realm

Fight the good fight
Believe what is right
Crusader, the Lord of the Realm
Crusader, the Lord of the Realm"

 

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08/11/2008

Surfaholics

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Qu'on se le dise... l'Autriche n'a pas seulement accouché d'Adolf Hitler... prenez-en d'la graine.

 

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07/11/2008

I am a Patriot

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

Composé et écrit par un second couteau de premier ordre, guitariste et pote de Bruce Springsteen en personne, Steve Van Zandt, dit Little Steven...


Little Steven

Mais interprété, ici, par Monsieur Jackson Browne


Jackson Browne

"I am a Patriot

And the river opens for the righteous
And the river opens for the righteous
And the river opens for the righteous
Someday

I was walking with my brother
And he wondered what's on my mind
I said what I believe in my soul
Aint what I see with my eyes
And we cant turn our backs this time

I am a patriot
And I love my country
Because my country is all I know
I want to be with my family
The people who understand me
Ive got nowhere else to go

And the river opens for the righteous
And the river opens for the righteous
And the river opens for the righteous
Someday

And I was talking with my sister
She looked so fine
I said, baby, what's on your mind ? 
She said, I want to run like the lion
Released from the cages
Released from the rages
Burning in my heart tonight

And I ain't no communist
And I ain't no capitalist
And I ain't no socialist
And I ain't no imperialist
And I ain't no democrat
And I ain't no republican
I only know one party
And it is freedom


I am, I am, I am
I am a patriot
And I love my country
Because my country is all I know

And the river opens for the righteous
And the river opens for the righteous
And the river opens for the righteous
Someday"


...aux bobos qui continuent à se dissoudre...


...je prends date... moi je mets ma peau sur la table...

 

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06/11/2008

Résistance à la loi islamique

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Les Occidentaux opposés à l'application de la loi islamique (la charia) observent avec consternation ses importants progrès dans leurs pays – des harems de mieux en mieux acceptés, un responsable ecclésiastique qui accepte la loi islamique, un juge qui se réfère au Coran, des tribunaux islamiques clandestins qui parcellisent la justice. Que faire pour stopper l'avancée de ce système légal médiéval si incompatible avec la vie moderne, qui oppresse les femmes et transforme les non-Musulmans en citoyens de deuxième classe?

Le premier pas, pour les Occidentaux, consiste à faire front commun contre la charia. Confrontés à une hostilité presque unanime, les islamistes reculent. La retraite effectuée la semaine passée par le Conseil des relations américano-islamiques (Council on American-Islamic Relations, CAIR) dans un litige concernant les chiens d'aveugles en offre un bon exemple.

Traditionnellement, les Musulmans considèrent les chiens comme des animaux impurs, à éviter. Or cette aversion devient problématique lorsque des commerçants ou des chauffeurs de taxi musulmans refusent leurs services à des aveugles occidentaux qui ont besoin d'un chien spécialement dressé. J'ai rassemblé 15 cas de ce type sur mon weblog, sous «Muslim Taxi Drivers vs. Seeing-Eye Dogs» (Chauffeurs de taxi musulmans contre chiens d'aveugles): cinq aux États-Unis, (New Orleans, Cincinnati, Milwaukee, Brooksville, Fl.; Everett, Wash.); quatre au Canada (Vancouver, deux à Edmonton, Fort McMurray, Alberta); trois au Royaume-Uni (Cambridge, deux à Londres); deux en Australie (Melbourne, Sydney); et un en Norvège (Oslo).

Des dépêches décrivent ainsi des chauffeurs de taxi musulmans qui apostrophent sèchement les clients aveugles, leur criant «pas de chien, pas de chien, sortez, sortez», «sortez ce chien d'ici» et «pas de chiens, pas de chiens». Les aveugles se retrouvent rejetés, humiliés, insultés, voire blessés, laissés sous la pluie, déposés au milieu de nulle part, mis en retard à leur rendez-vous ou contraints de manquer leur avion.

Des organisations islamistes réagirent d'abord en soutenant les chauffeurs anti-chiens. La Muslim Association of Canada expliqua que les Musulmans considèrent généralement la salive des chiens comme impure. Le CAIR a également émis cette affirmation, indiquant que «la salive des chiens annule la pureté rituelle nécessaire à la prière». À une autre occasion, Nihad Awad, directeur général du CAIR, déclara qu'«une sorte de peur des chiens a été inculquée (…) notamment aux gens du Moyen-Orient» et justifia le refus d'un chien d'aveugle par un chauffeur de taxi en affirmant que ce dernier «a authentiquement peur des chiens et a agi de bonne foi. Il a agi en conformité avec ses croyances religieuses.»

Cependant, lorsque la police et les tribunaux sont appelés à intervenir, les droits des aveugles à satisfaire leurs besoins fondamentaux et leur simple dignité ont pratiquement toujours prévalu sur l'aversion des Musulmans pour les chiens. Le propriétaire ou chauffeur de taxi musulman se voit à chaque fois réprimandé, mis à l'amende, rééduqué, averti, voire emprisonné. Le juge qui qualifia de «honte totale» un tel comportement de chauffeur de taxi exprimait ainsi un avis très répandu.

Le CAIR, réalisant que sa démarche ne menait à rien tant devant les tribunaux que face à l'opinion publique, retourna prestement sa veste. Par exemple, dans une manœuvre cynique, il mobilisa 300 chauffeurs de taxi à Minneapolis afin d'offrir des courses gratuites aux participants d'une conférence de la fédération nationale des aveugles. (Ce à quoi un officiel de la fédération, peu impressionné par ce stratagème grossier, répondit: «Nous sommes mal à l'aise (…) devant cette offre de courses gratuites. Nous pensons que cela ne résout rien. Nous estimons que les chauffeurs de taxi doivent comprendre que la loi leur interdit de refuser un aveugle.») Et enfin, la semaine dernière, le bureau canadien du CAIR émit une déclaration enjoignant les Musulmans d'accepter les passagers aveugles, en citant un membre du comité directeur selon lequel «l'Islam tolère l'utilisation de chiens par les malvoyants».

La capitulation du CAIR contient une leçon importante: lorsque les Occidentaux s'entendent largement sur le rejet d'une loi ou d'une tradition islamique spécifique et s'unissent contre elle, les islamistes occidentaux doivent se plier à la volonté de la majorité. Les chiens d'aveugles ne constituent qu'une question litigieuse parmi de nombreuses autres. Celles-ci tendent à concerner les femmes, avec les maris qui battent leurs femmes, la burqa et autres vêtements qui cachent le visage, l'excision et les crimes d'«honneur». L'unité occidentale peut aussi obliger les islamistes à abandonner leurs positions favorites dans des domaines tels que l'esclavage et les finances conformes à la charia.

D'autres pratiques dérivées de l'Islam mais encore inexistantes en Occident sont prépondérantes dans le monde musulman – le fait de punir une femme pour avoir été violée, l'exploitation d'enfants pour des attentats suicide et l'exécution de personnes coupables de crimes tels que la conversion à une autre religion que l'Islam, l'adultère, le fait d'avoir un enfant hors mariage ou encore la sorcellerie. La solidarité occidentale peut aussi engendrer des concessions dans ces domaines.

Si nous autres Occidentaux serrons les rangs, la charia est condamnée. Si nous n'y parvenons pas, c'est nous qui sommes condamnés."

Daniel Pipes

 


Graeme Innes, délégué australien aux droits de l'homme, et son chien d'aveugle. Innes se voit souvent refuser une course par des chauffeurs de taxi musulmans.

 

Source, Daniel Pipes

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05/11/2008

Inspiration...

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Ah ! A présent je comprends tout...

Sacrés Muppets...

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Douce Folie - VII

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04/11/2008

Révision idéologique de l'Histoire d'un département.

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Il y a quelques semaines de ça, le reportage de Yamina Benguigui consacré au département 93, "9/3 mémoires d'un territoire", et diffusé sur Canal + a été accueilli avec les honneurs, maintenant habituels, de l'approbation générale. De quoi conforter tout le monde dans le schéma des bourreaux et des victimes. Au lendemain de sa première diffusion, à la cantine de mon travail certains n'hésitaient pas à utiliser le terme d'Apartheid.

Mais tout cela est banal. De plus en plus banal. Et tout le monde, ou presque, joue le jeu de cette dialectique appauvrie qui n'est basée que sur les bons sentiments. C'est que ça a un inventage appréciable pour nos "gôchistes" basiques : ça leur évite de penser.

Mais des historiens — Emmanuel Bellanger (CNRS-Paris I), auteur d'une thèse : "Aux origines de la "banlieue municipale" : activité municipale, intercommunalité, pouvoir mayoral, personnel communal et tutelle préfectorale en Seine banlieue des années 1880 aux années 1950.", Alain Faure (Paris X), Annie Fourcaut (Paris-I) et Natacha Lillo (Paris-VII), dénoncent son documentaire comme étant révisionniste et orienté idéologiquement. Rien de surprenant, me diront les quelques clairvoyants passant dans les parrages.

"9-3, Mémoire d'un territoire, le film de Yamina Benguigui a bénéficié d'une couverture médiatique exceptionnelle. Présenté comme le documentaire historique que la Seine-Saint-Denis attendait, il a été célébré par toute la presse comme une œuvre salutaire. La Seine-Saint-Denis — qui n'existe que depuis 1964 —, n'aurait été qu'une terre de misère et de désenchantement, une terre toujours «sacrifiée», «abandonnée», aujourd'hui «sans issue».
L'orchestration musicale et les images en boucle des émeutes de 2005 donnent au film un ton mélodramatique qui offre une vision du passé reconstruite de façon partisane. Alors que ce film prétend rendre hommage aux femmes et aux hommes qui y ont vécu et y vivent, il les enferme dans les pires poncifs sur la peur des faubourgs. Depuis la monarchie de Juillet, l'exclusion frapperait ce territoire ! Qu'on permette à des historiens, censurés par l'auteure lorsque leur témoignage n'allait pas dans le sens voulu, de redresser un certain nombre d'erreurs, voire d'énormités historiques, contenues dans ce film.

Non, les usines et les ateliers n'ont jamais été expulsés de Paris. Pour cette simple raison d'abord qu'il n'existait pas au 19e siècle de réglementation générale qui aurait pu fonder un tel transfert. Les patrons qui sont partis aux marges de l'agglomération pour installer des établissements fonctionnant à l'aide d'une main d'œuvre déqualifiée et sacrifiée l'ont fait volontairement, et surtout ce mouvement n'a pas été présenté par l'historien interrogé comme le moteur de tout le développement industriel. C'est l'habileté du montage qui lui fait dire cela.
Les usines ne sont pas parties de Paris pour cette simple raison aussi qu'elles y sont restées. La capitale demeure, jusqu'au milieu du XXe siècle, une grande ville industrielle, avec, entre autres, de grandes unités de production, tout aussi polluantes que celles de Saint-Denis. N'importe quel Parisien ou Parisienne âgé et né dans un arrondissement à deux chiffres — sauf le XVIe et le XVIIe, et encore ! — vous dira que son enfance a baigné dans les fumées et les odeurs industrielles. Un exemple entre cent : jusqu'à l'exposition de 1937, une grande gare à charbons subsiste, quai d'Orsay, quasiment au pied de la tour Eiffel, pour l'approvisionnement des usines installées dans le XVe arrondissement. En 1906, la capitale compte 550 000 emplois dans l'industrie, la banlieue, en son ensemble, à peine 190 000.

En effet, les communes industrielles du futur 93 eurent de nombreuses sœurs en banlieue proche, et notamment à l'ouest. La ligne des Moulineaux — le tramway T2 aujourd'hui — a été prolongée jusqu'à Puteaux dans les années 1870 pour amener le charbon aux nombreuses usines installées dans les parages. L'histoire détaillée des beaux quartiers de Paris est aussi pleine de surprises : les propriétaires de la plaine Monceau ont eu à subir la présence d'une usine à gaz installée boulevard de Courcelles jusqu'en 1891 ; sur l'emplacement actuel de la maison de la Radio, l'usine à gaz de Passy, elle, fonctionna jusqu'en 1926. Les Ternes, dans le XVIIe, furent longtemps un quartier spécialisé dans la carrosserie et la construction des voitures à chevaux : l'industrie automobile s'est développée dans la banlieue ouest en continuité géographique avec cette industrie parisienne. Bref, le rôle des vents dominants, qui expliquerait ce soi disant monopole de l'est ou du nord-est pour l'industrie émettrice de fumée, est une idée fausse : pourquoi aurait-on cherché à préserver une zone d'un fléau qu'elle subissait déjà ?

Mais à qui veut-on faire croire que la misère ouvrière et l'exploitation des migrants ont été l'apanage de ces communes ? Les Bretons par exemple étaient nombreux à Saint-Denis, mais ils étaient plus nombreux encore à trimer dans les usines et les chantiers de Paris. Et les domestiques, ces demi esclaves au service des ménages parisiens ? Les raisons de l'installation dans le futur 93 de nombreuses vagues d'immigration tant européennes qu'africaines sont à peine évoquées : on passe de la présence espagnole, dès la Première Guerre mondiale, à l'arrivée des rapatriés d'Algérie et des Antillais, sans jamais évoquer les Italiens, installés depuis la fin du XIXe siècle et longtemps majoritaires, l'arrivée des premiers Kabyles dans l'entre-deux-guerres et l'immigration portugaise des années 1960.
Tous ces hommes et ces femmes n'ont pas été «relégués» en banlieue ; ils ont choisi d'y venir car ils savaient qu'ils y trouveraient un emploi qui, bien que souvent très dur, leur permettrait d'accéder à un niveau de vie nettement supérieur à ce qui les attendait dans leur pays.
Dans un espace marqué avant tout par une forte solidarité ouvrière, les mariages mixtes sont présentés à tort comme marginaux, et cela pour mieux étayer la thèse de la «ghettoïsation». Rappelons que les filles et fils d'Espagnols et d'Italiens de la banlieue nord-est ont épousé à plus de 75 % des «Français de souche». Les unions entre enfants d'Algériens, de Marocains ou d'Antillais et de «Français blancs» sont également très fréquentes.

Le film caricature à l'excès l'histoire du logement social. Les architectes et urbanistes ne seraient que d'avides bâtisseurs sous influence, si ce n'est corrompus. La construction des grands ensembles, dans le 93 comme partout ailleurs, répond d'abord à la volonté de sortir les familles françaises des taudis où elles croupissent, de résoudre, au plus vite, avec les moyens de la France ruinée de l'après guerre, la terrible crise du logement. Les «logements Million», vilipendés dans le film, sont le produit du contexte des années 1950, que le film ignore. Les logements neufs et confortables, construits par les Offices HLM dans les années 1960, constituèrent un progrès immense pour ceux qui y accédèrent. A partir de la création du département en 1964, l'État et les collectivités locales ont poursuivi une politique continue d'équipement : du logement social digne, deux universités, des services publics pionniers, le premier tramway francilien...

La Seine-Saint-Denis résidentielle et coquette de l'ancienne Seine-et-Oise n'a pas droit de cité. Le film n'accorde non plus aucune place à une banlieue populaire, choisie et aimée, celle des promenades du dimanche et surtout celle des lotissements. Acheter un terrain pour avoir un jour une maison à soi, ce fut le rêve réalisé de foules d'employés, de petits commerçants et d'ouvriers pour qui cette banlieue encore verte apparaissait infiniment désirable. Où est ici l'exclusion?

Aussi contestable est la marginalisation de la banlieue rouge, du socialisme et du communisme municipal. La dimension collective et intégratrice de l'engagement militant dans les partis, les syndicats, les associations, est sciemment minorée. Les temps forts (le Front populaire, mai 1968...) et les lieux de sociabilité festive (les processions religieuses, la fête de l'Huma au parc de La Courneuve, les fêtes de quartiers...) sont écartés, car ils contrarient la vision misérabiliste du documentaire. Alors que les élus locaux communistes ont joué un rôle déterminant dans la cohésion sociale du 93, aucun n'est interrogé.

Ce film invente le passé du 93 ou n'en veut retenir que le plus sombre, pour faire de ce département un territoire martyrisé depuis deux siècles. Œuvre de mauvaise fiction, il verse dans le plus classique misérabilisme en usage à propos des banlieues. Mais à quoi sert de tordre ainsi l'histoire d'un département dont la crise actuelle, elle, est bien réelle?"

Emmanuel Bellanger est chargé de recherche CNRS, CHS Université Paris 1
Alain Faure est chercheur IDHE à l'Université de Paris X-Nanterre
Annie Fourcaut est professeur d'histoire contemporaine, directrice du CHS, Université Paris 1
Natacha Lillo est maître de conférences ICT Université Paris 7

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03/11/2008

Venus in Furs

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Venus in Furs(Words & Music : Lou Reed)

Shiny, shiny, shiny boots of leather
Whiplash girlchild in the dark
Clubs and bells, your servant, don't forsake him
Strike, dear mistress, and cure his heart

Downy sins of streetlight fancies
Chase the costumes she shall wear
Ermine furs adorn the imperious
Severin, severin awaits you there

I am tired, I am weary
I could sleep for a thousand years
A thousand dreams that would awake me
Different colors made of tears

Kiss the boot of shiny, shiny leather
Shiny leather in the dark
Tongue of thongs, the belt that does await you
Strike, dear mistress, and cure his heart

Severin, severin, speak so slightly
Severin, down on your bended knee
Taste the whip, in love not given lightly
Taste the whip, now plead for me

I am tired, I am weary
I could sleep for a thousand years
A thousand dreams that would awake me
Different colors made of tears

Shiny, shiny, shiny boots of leather
Whiplash girlchild in the dark
Severin, your servant comes in bells, please dont forsake him
Strike, dear mistress, and cure his heart"

"La vie ne vaut que par la jouissance ; qui jouit quitte la vie avec peine ; qui souffre et manque de tout, salue la mort comme une amie. Mais qui veut jouir doit prendre la vie purement au sens antique : il ne doit pas s’effaroucher de se plonger dans la débauche, fût-ce aux dépens d’autrui ; il doit toujours être impitoyable ; il doit atteler autrui à son char ou à sa charrue, comme une bête de somme. Aux hommes qui, comme celui-ci — elle me désigna — éprouvent de la volupté, de la jouissance à se faire les esclaves de leur semblable, qui, loin de regretter leur servitude, en sont heureux et partagent les joies qu’ils causent, ne demandez pas d’aller librement à la mort. Quant au maître, il doit toujours se dire : "S’ils m’avaient en main, comme je les ai, ils agiraient de même envers moi et je devrais payer leurs jouissances de ma sueur, de mon sang, voire de mon âme !" Tel était le monde antique : jouissance et cruauté, liberté et esclavage, ont, de tout temps, marché de conserve ; les hommes qui veulent vivre comme les dieux de l’Olympe, doivent avoir des esclaves qu’ils jettent dans les viviers, des gladiateurs qu’ils font combattre à leurs somptueux festins et qui ne font rien d’autre que de se tirer un peu de sang !" (Leopold von Sacher-Masoch, La Vénus à la fourrure).


Leopold von Sacher-Masoch

 

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02/11/2008

RATP : Religion d'Amour, de Tolérance et de Paix... - II

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Certains me disent, "Dis, tu ne crois pas exagérer avec ton obsession à propos de l'Islam ?" Moi, exagérer ? Aucunement. Je suis bien conscient que la majorité des musulmans désire vivre en paix, dans un monde moderne, en ayant accès aux biens de consommation. Il suffit de jeter un oeil aux chaînes arabes par câble ou par satellite pour en être convaincu. Des ersatz de nos chaînes occidentales. Cependant le terreau culturel de l'Islam est tellement fort et hypnotique que je serais curieux de voir quel camp les musulmans choisiraient si il y avait un conflit conséquent entre Orient et Occident demain. Un conflit avec comme enjeu un choix civilisationnel. La Charia ou la démocratie, pour faire simple. Je ne suis sûr de rien, je m'interroge. En Bosnie, par exemple, les Musulmans les plus démocrates, sont passés rapidement côté Alija Izetbegovic, ce grand démocrate. Et ils ont eu le soutien de nos chers peroquets démocrassouillards franchouillards qui ne connaissent rien à l'Histoire et ne savent pas s'armer de rélexion.

Ce que j'apprécie par dessus tout, c'est lorsque j'ai affaire à des idéalistes naïfs qui défendent l'Islam alors qu'ils n'ont jamais ouvert le Coran par eux-mêmes. Et surtout lorsqu'ils mélangent tout. Si on attaque la Catholicité, par exemple, c'est normal. Si on attaque l'Islam, c'est du racisme. C'est à se demander si ils réalisent qu'on peut être italien et devenir bouddhiste sans pour autant changer de "race". Oui, je mets le mot "race" entre guillemets... je prends quelque précaution par les temps qui courent... les nains ont l'accusation facile. Je le répète, critiquer l'Islam n'a rien à voir avec le racisme, à part peut-être pour quelques dégarnis du bulbe, bas du plafond, frontistes ou skinheads moyens qui ne savent pas qu'il y a des arabes chrétiens et d'autres athées... et que d'ailleurs la majorité des musulmans dans le monde ne sont pas arabes, mais indonésiens, pakistanais, indiens, noirs africains, oïghours chinois, etc... L'Islam est une religion, pas une race, bande de sinistres crétins !

En tout cas, je ne suis jamais tombé, à ce jour, sur des musulmans ayant lu le Coran et étant capables de me donner une contextualisation efficiente des passages que je vais vous citer. Je sais qu'il est des soufis qui intériorisent tout et parviennent à donner, même des passages en question, des exégèses spirituelles et des herméneutiques dignes d'intérêt. Mais les soufis sont considérés comme hérétiques par les tenants de l'Islam orthodoxe, et ils ne sont qu'une infime minorité dans le monde musulman, même si leurs confréries sont tolérées dans de nombreux pays.

A l'occasion, jetez ou re-jetez un oeil sur l'échange musclé entre l'ami Restif et moi-même contre quelques énervés qui refusent de sortir de leur coquille, chez Isabelle des Charbinières, à propos de l'ésotérisme Chiite.

 

Nous pouvons lire, donc, dans les Hadîths :

"Je suis envoyé à ceux-là pour l’égorgement, et Allah va nous donner en butin leur richesses et va nous faire posséder leurs demeures." (hadîth)

D'après Ikrima :
"Le prophète a dit: "celui qui quitte sa religion, tuez-le !" Sahîh Bukhari : 6411

D'après `Abd-Allah ibn Mas`ûd (qu'Allah soit satisfait de lui) :
L'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit: "Il n'est pas permis de verser le sang d'un musulman qui témoigne qu'il n'y a d'autre divinité qu'Allah et que je suis l'Envoyé d'Allah, sauf dans ces trois cas: l'époux adultère, le coupable d’un meurtre et l'apostat qui abandonne la communauté musulmane." Sahîh de Muslim: 3175

Sahih Bukhari Volume 6, livre 61, Numéro 577 :
"J’ai entendu le prophète dire, “à la fin des temps, apparaîtront de jeunes gens aux idées folles. Ils parleront bien, mais ils sortiront de l’islam comme une flèche sort de son jeu, leur foi ne dépassera pas leur gorge. Ainsi, partout où vous les trouvez, tuez les, il y’aura une récompense, pour ceux qui les tueront, au jour de la résurrection."

Et dans le CORAN :

Sourate IV verset 89 : "... Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez... "

"Ô prophète ! Incite les croyants à la guerre !" (Cor 8,65)

"Il n’a pas été donné à un prophète de faire des captifs avant de se livrer à de grands massacres sur terre." (Cor 8,65)

Après la bataille dite « Bataille du fossé », Mahomet fait massacrer une tribu juive, les Banu Qurayza, décapitant six cent hommes et jetant leur corps dans une fosse commune, violant enfants et femmes puis les vendant comme esclaves. Il fait tuer le mari d’une jeune femme et se l’approprie. Le soir, après des heures durant lesquels elle assista, parmi les hurlements, les flots de sang, à l’assassinat de ses père, oncles, frères, neveux et amis d’enfance, elle est entraînée dans la tente de Mahomet, probablement pour parler d'amour. Le CORAN dit :

" La belle Rayhana, l’une des femmes du prophète, une Juive convertie à l’islam ".

 

Sourate V, 51 : "O vous qui croyez! Ne prenez pas pour amis les Juifs et les Chrétiens ; ils sont amis les uns des autres. Celui qui, parmi vous, les prend pour amis, est des leurs. Dieu ne dirige pas le peuple injuste."

Sourate II, 191 : "Tuez les partout où vous les rencontrerez ; chassez-les d'où ils vous auront chassés. La sédition est pire que le meurtre. Ne les combattez pas auprès de la Mosquée sacrée, à moins qu'ils ne luttent contre vous en ce lieu-même. S'ils vous combattent, tuez-les: telle est la rétribution des incrédules."

Sourate IX, 29 : "Combattez ceux qui ne croient pas en Dieu et au Jour dernier ; ceux qui ne déclarent pas illicite ce que Dieu et son prophète ont déclaré illicite; ceux qui, parmi les gens du Livre ne pratiquent pas la vraie Religion. Combattez-les jusqu'à ce qu'ils payent directement le tribut après s'être humiliés."

Le tribut en question est l'impôt que doivent payer les "gens du Livre", Juifs et Chrétiens, dans tout pays où la Charia est appliquée, afin de pouvoir demeurer Juifs et Chrétiens. Ce tribut se paye en plus des impôts normaux. Dans les Balkans ou en Espagne, que ce soit sous règne turc ou règne arabe, les juifs et chrétiens payaient cette "Jizya" (nom du tribut en question) et elle pouvait monter jusqu'à 25% des revenus. Le but de ce tribut est la soumission totale, mais aussi une incitation à la conversion.
Autre traduction de ce passage : "Combattez ceux qui ne croient ni en Dieu, ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce que Dieu et son messager ont interdit, et ceux des gens du Livre qui ne se donnent pas comme religion la religion de vérité, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation sur le revenu des mains ; et qu'ils se fassent petits."

Sourate IV, 84 : "Combats donc dans le sentier d'Allah, tu n'es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat) Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition."

Sourate IV, 89 : "Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur."

Sourate IV, 95 : "Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux - sauf ceux qui ont quelques infirmités - et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d'Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d'excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense; et Allah a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense."

Sourate VIII, 39 : "Et combattez-les jusqu'à ce qu'il ne subsiste plus d'association, et que la religion soit entièrement à Allah . Puis, s'ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu'ils oeuvrent."

Sourate IX, 123 : "Ô vous qui croyez ! Combattez ceux des mécréants qui sont près de vous ; et qu'ils trouvent de la dureté en vous. Et sachez qu'Allah est avec les pieux."

Sourate XXXVII, 4 : "Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les jusqu'à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits."

Sourate VIII, 17 : "Ce n'est pas vous qui les avez tués : mais c'est Allah qui les a tués . Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n'est pas toi qui lançais : mais c'est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d'une belle épreuve de Sa part !"

Sourate III, 56 : "Quant à ceux qui n'ont pas cru, Je les châtierai d'un dur châtiment , ici-bas tout comme dans l'au-delà; et pour eux pas de secoureurs."

Sourate II, 85 : "Quiconque cherche une autre religion que l'Islam ne sera pas accepté."

Sourate III, 151 : "Nous jetterons l'effroi dans le cœur des incroyants."

Sourate VIII, 55 : "Les pires bêtes, aux yeux d'Allah , sont les incroyants qui s'entêtent à ne pas croire."

Sourate XX, 16 : "Les incroyants qui nient nos signes et la rencontre de l'autre vie seront dans le tourment."

Qui a dit que l'Islam n'était pas Amour, Paix et Tolérance ? De ce livre Saint ne coulent que Lait et Miel.

Sourate II, versets 186 & 187 : "Et combattez dans le chemin de Dieu ceux qui vous combattent ,et ne transgressez pas. Dieu n'aime pas les transgresseurs. et tuez ceux-là, où que vous les rencontriez ; chassez-les d'où ils vous ont chassé : la persécution est plus grave que le meurtre ... Donc, s'ils vous combattent, tuez-les. Telle est la récompense des mécréants"

A partir de son exil à Médine, Mahomet utilise le terme "qital", la guerre où l'on tue, la tuerie. Plusieurs préceptes méritent d'être médités, en particulier dans la Sourate 47 :

-verset 4 : "Lors donc que vous rencontrez ceux qui mécroient, alors, frappez aux cols. Puis quand vous les avez dominés, alors serrez le garrot."

-verset 35 : "ne faiblissez pas, donc, appelez à la paix quand vous avez le dessus. Dieu est avec vous".

Dans la Sourate 5, verset 33 : "Rien d'autre : le paiement de ceux qui font la guerre contre Dieu et son messager et qui s'efforcent au désordre sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que leur soit coupée la main et la jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés de la terre : voilà pour eux l'ignominie ici bas ; et au delà il y a pour eux un énorme châtiment".

Sourate IV, v34 : "Les hommes sont les directeurs pour les femmes, à cause de l'excellence qu'entre eux Dieu accorde aux uns sur les autres, ainsi que de la dépense qu'ils font de leur bien... Et quant à celles dont vous craignez l'infidélité, exhortez-les, abandonnez-les dans leurs lits et battez-les".
Au verset 12 de la même Sourate, à propos de l'héritage : "Voici ce que Dieu vous enjoint au sujet de vos enfants : au garçon, une part comme celle de deux filles."

"Que le croyant ne prenne pour amis aucun des incroyants plutôt que les siens ; celui qui ne s’y conforme pas, Allah ne lui sera d’aucun secours." CORAN 3.28

"J’installerai la terreur dans le cœur des incroyants ; frappez-les au cou et arrachez leurs les ongles." CORAN 8.12

"Ces deux antagonistes se disputent à propos de leur Seigneur respectif ; mais pour ceux qui nient leur Seigneur, pour eux sera confectionné un vêtement de feu ; sur leurs têtes sera versé de l’eau bouillante. Ainsi sera brûlé l’intérieur de leurs corps tout comme leurs peaux. S’ajouteront des gourdins de fer pour les punir. Chaque fois qu’ils voudront s’échapper de leurs angoisses, ils seront forcés d’y revenir et il leur sera dit : Goûtez à la Pénalité du Feu." CORAN 22.19-22

Le CORAN promet le paradis aux musulmans qui meurent au combat (Sourate 4,verset 74) : "Qu'ils combattent donc dans le chemin de Dieu, ceux qui vendent la vie présente contre l'ultime. Et quiconque combat dans le chemin de Dieu, tué ou vainqueur, nous lui donnerons bientôt un énorme salaire."

Tout au long de l'Histoire, cette affirmation est reprise par les commentateurs musulmans.

Ainsi Mohammed al-Boukhari (810-870) : "Lorsque vous rencontrez l'ennemi, soyez endurants et sachez que le paradis est à l'ombre des sabres."

Muhammad ben Jarîr ben Yazîd al-Imâm abû Ja`far at-Tabarî (838-923), historien qui cite la lettre de Khalil ibn al-Walid (584-642), envoyée en 633 aux chefs perses, responsables de la surveillance des frontières : "Devenez musulmans et soyez sauvés. Sinon, acceptez notre protection et payez la Jizya. Sinon, je viendrai contre vous avec des hommes qui aiment la mort autant que vous le vin."

Al Muttaki (1477-1567) : "Le paradis est à l'ombre des épées… Un jour et une nuit de combat à la frontière valent mieux qu'un mois de jeûne et de prière... Les épées sont les clés du paradis... Chasse les juifs et les chrétiens de la péninsule arabique..."

 

 

 

Et histoire de nous réjouir jusqu'au bout :

 

"Le CORAN fait interdiction absolue à un Musulman d'accepter la souveraineté d'un non-Musulman en terre d'Islam. Il n'y a, à ce principe, aucune exception, ni à Jérusalem, ni au Caire, ni à Beyrouth, et pas même à Madrid ou peut-être demain à Paris." (Cheikh Samir Bou Assad, les Cahiers de l'Ouest, n° 7, 3° trimestre 1987, Paris)

"[Mein Kampf] le livre qui, répandu en Allemagne à plus d'un million d'exemplaires, a eu sur l'orientation soudaine de tout un peuple une influence telle, qu'il faut, pour en trouver l'analogie, remonter au CORAN."
(Extrait de l'Avertissement dans l'édition française de Mein Kampf publiée avant la seconde guerre mondiale.)

"La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée."
(1936, C.G. Jung à propos d'Hitler, "Entretiens et Interview")

"Je n'ai rien contre l'islam, parce que cette religion se charge elle-même d'instruire les hommes, en leur promettant le ciel s'ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c'est une religion très pratique et séduisante pour un soldat."
(1943, le Nazi Heinrich Himmler)

D'ailleurs "Mein Kampf", écrit par Adolf Hitler, est un best-seller dans le monde arabe. Yasser Arafat, qui fut disciple d'Amin Al Husseini à l'age de 17ans, en a autorisé la publication en Palestine au nom de l'autorité Palestinienne. Le symbole est tout simplement terrifiant.

J'aimerais savoir, ce que les idéalistes sentimentaux pensent de tout ça. J'aimerais savoir si s'attaquer à ça c'est faire preuve de racisme ou de bon sens critique. J'aimerais savoir si ils ne croient pas que les populations arabes, entre autres, sont bel et bien les premières victimes de ce totalitarisme spirituel, politique et mental incroyable.

 

 

 

 

Ces photos prisent à Londres lors de manifestations pour raison d'humour mal avalé de caricatures offensantes ne représentent pas une exception dans notre monde occidental.

Le Cancer se propage progressivement même aux USA. Les anti-américains primaires doivent jubiler de concert avec les barbus haineux, tous ceux qui rêvent que l'Amérique aille mordre la poussière.

Voici qu'à présent existe le Muslim Day Parade, comme à New York le 12 octobre dernier. Le 12 octobre ou jour anniversaire de l’attentat contre le USS Cole. Coïncidence ? C'est ce qu'affirmeront les crétins mielleux déjà tout disposés à présenter leur cul aux futurs maîtres. Les musulmans n'ont pas osés le faire le 11 septembre, mais je suppute qu'ils y ont pensé très fort. En Grande Bretagne des manifestations islamistes ont déjà eu lieu le 11 septembre sans que cela ne choque personne. Mais bon, après tout si les tarlouzes ont leur défilé Gay Pride, pourquoi les musulmans n'auraient pas le leur ?


Drapeau des USA quelque peu modifié et objectif politique clairement affiché


Madison Avenue

 

 

 

 

Notez le flic en prière


Un autre flic

 

 

 


Sur ces deux photos, en fond, le drapeau noir du Jihad

 

 

 


Refus de toute sécularisation


Refus de la constitution américaine et préférence du Coran

 

Tout ceci est clairement affiché, avec une fiereté évidente, mais les bisounours persistent à affirmer que l'Islam est une Religion d'Amour de Tolérance et de Paix.


Le panneau dit : "C’est une guerre contre l’islam. De quel côté êtes-vous ? « Les croyants combattent dans le sentier d’allah, et les incroyants combattent dans le sentier de satan. Eh bien, combattez les alliés du diable, car la ruse du diable est faible ». (coran 4 :76)"


Quelques timides protestations

Source : "Point de Bascule", un site canadien dont je vous conseille la visite.

 

 

Il ne faut pas croire que les américains prennent ce phénomène à la légère, puisqu'il existe un projet de loi anti-jihad visant carrément à déporter toute personne susceptible d'en faire la promotion. Ce n'est pas demain la veille que nous aurons en France ce genre de projet de loi, puisqu'ici la moindre expulsion d'imam en appelant à taper les épouses pour les soumettre et déclarant que la République mérite la Charia se trouve automatiquement défendu par toutes les associations "gôchistes" que ce pays comporte et tous les avocats véreux que l'on peut imaginer, au nom des Droits de l'Homme, bien-sûr, Droits de l'Homme que les islamistes se feraient un devoir de supprimer si ils prenaient le pouvoir en nos régions. Mais je ne peux m'empêcher de croire que les occidentaux se compliquent considérablement l'existence puisqu'ils excellent dans la posture idéologique "droit-de-l'hommiste"...


Ne vous inquiétez pas, disent les blaireaux qui se parfument quotidiennement de pseudo-antiracisme...

 


... alors que les solutions pourraient être simples... et efficientes.

 

 

 

Dans le monde arabo-musulman,des personnalités importantes, comme un ancien ministre jordanien par exemple, tiennent des propos à notre encontre d'une telle violence, avec l'arrogance qui va avec et cela passe inaperçu. S'il n'y avait INTERNET nous ne le saurions même pas tellement nos médias sont à la dérive.

Le FBI considère de plus en plus, depuis le 11 Septembre 2001, que l'ennemi est bien implanté à l'intérieur. Des documents authentifiés par le FBI viennent, semble-t-il, confirmer tout cela. Cet article du Washington Times est édifiant, ça vous fera bosser votre anglais : Inside the Ring

 

 

 

Bon... le dégoût est total... et pour terminer...

Rien n'est plus émouvant que l'amour d'une mère pour son jeune enfant...


...ou d'un père pour son fils...

Dormez bien les valeureux...

 

 

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01/11/2008

Maurras par Nimier

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

Je vole cette citation chez "Baroque et Fatigué", émanant de Nimier à propos de Maurras et que je fais également mienne.

 

« Il lui est arrivé de raisonner en philosophe grec, aveugle et sourd aux cris de l’époque, quand ses hypothèses, maniées par des fous et transformés en vérités d’État, servaient à tuer. Pendant l’occupation, il continuait à manier ses balances, sans savoir que les poids étaient truqués et que son antisémitisme littéraire, félibre, imbécile et d’ailleurs modéré, s’appelait ailleurs Auschwitz ou Dachau. Il est grave pour un politique d’ignorer son temps. Il est vrai que si l’époque avait compris sa politique, les choses auraient peut-être connu un cours différent. »

Roger Nimier, Journées de lecture, « Charles Maurras », p. 200

 

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