18/12/2010
Assises internationales sur l’islamisation de nos pays
=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=
Les français l'entendent de moins en moins de l'oreille de la bien-pensance lorsqu'on leur présente les résistants à l'islamisation de l'Occident comme des "racistes" et des "fascistes". Les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays ont bien eu lieu à Paris, malgré le caca nerveux des abrutis islamistes haineux au métro "Porte de Charenton ...
Quelques rappels salutaires sur la Gôche qui a abandonné ses valeurs premières... par le professeur de philosophie, Jacques Philarchein, marxiste de son état et pourtant...
Que les plumes brillantes de la "réacosphère" qui vomissent la République ne s'y trompent pas... comme le précise l'intervenant américain sur la vidéo qui suit : "One Team one Fight ! No Sharia in the Western World !!!!" Ca n'est pas le moment de nous désunir mais bien de nous unir, comme le font à l'occasion les militants de Riposte Laïque et les militants des Identitaires... s'ils ne sont pas du même monde idéologique... ils sont de la même Patrie et cela est suffisant. Laissez le temps à cette vidéo de se charger... elle dure presque 50 minutes...
Notez l'arrivée triomphale d'Oskar Freysinger, de l'UDC suisse qui est à l'origine des référendums dans son pays sur l'interdiction des minarets et l'expulsion des criminels étrangers hors de Suisse. Il a donné des hauts-le-coeur à toute la bien-pensance zéropéenne. C'est un sale fâââscîîîîîsteuh, bien entendu, qui salut la France de Voltaire. Je ne mets cette vidéo que pour l'anecdote vu sa piètre qualité. C'est la seule que j'ai trouvée.
Bien entendu, la Propagande, car c'en est une, parle déjà d'extrémistes ayant organisé les assises en question, alors que des tendances de gauche comme de droite y sont représentées et en provenance de tous les pays occidentaux. Comme si le Bloc Identitaire avait rassemblé tout ce monde à lui tout seul.
Cliquez sur l'image pour mieux voir les participants
Remarquez l'incapacité totale des militants de Gôche protestant contre ces assises à faire preuve d'abstraction lorsqu'il s'agit d'analyser ce qui a lieu et ce qui se passe. Les nains !
20:07 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (2) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
16/12/2010
La Gauche française et la Collaboration...
=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=
Alors que les propos de Marine Le Pen (islam = invasion) provoquent, encore une fois, le tollé dans un monde politique qui refuse de regarder la réalité en face au nom des sacros saintes valeurs humanitaristes qui font tellement bander nos "élites" mais plus vraiment le peuple français, il est bon de rappeler ce que faisait la plus grande partie de la Gauche française durant la seconde guerre mondiale. Outre que le parti communiste s'est tenu tranquille de 1939 à 1941 pour cause de traité germano-soviétique en appelant sans cesse à la paix des peuples (et reprenant par là la propagande de Hitler en personne qui, à quelques jours avant d'entrer en Pologne, parlait encore de "Paix") la gauche a contribué à nourrir par de nouveaux militants l'ordre pétainiste nouveau mais surtout, au nom du pacifisme, elle a donné son florilège de ministres ainsi que de soldats volontaires dans la SS afin, disait-on alors, de lutter contre le bolchévisme.
Savourez...
15:34 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (5) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
15/12/2010
Qui se ressemble s'assemble...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Qui se ressemble s'assemble... ici George Lincoln Rockwell, fondateur de l'American Nazi Party, assassiné en 1967 mais de son vivant il s'est rendu, comma la photo l'indique, le 25 Juin 1961 à un rassemblement de la Nation of Islam, et a ainsi pu partager la scène pour une série d'interventions avec pas moins que Elijah Muhammad et Malcolm X.
Non... aucune proximité mentale entre Nazisme et Islam... non... pas du tout... Rooooon pschiiii... Rooooon pschiiii... Rooooon pschiiii...
23:31 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (5) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Dans le Hallouf tout est bon !
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Je suis en plein Carême avant Noël depuis le 15 Novembre, mais je le dis et le redis... Tout est bon dans le cochon...
En cliquant sur les Subtitles vous pouvez choisir "French".
22:41 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
13/12/2010
"La Finlande est un pays de 5 millions d’habitants totalement homogène."
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
L'enquête PISA place la France dans le fond de ses chaussettes en matière d'apprentissage scolaire...
Ce qui n'est pas surprenant pour un pays qui, désormais, donne le BAC, le distribue afin que toutes nos têtes blondes se prennent pour des intellectuels et fuient comme la peste le travail manuel. De toute façon, même le travail manuel n'est plus pour nos jeunes, car y'a encore 60 piges, au lendemain de la seconde guerre mondiale, un syndicaliste prolétaire avait lu Le Capital de Marx et savait de quoi il causait. De nos jours, Marx comme le reste n'a aucune importance. Le Savoir et la Culture n'intéressent presque plus personne... sauf les abrutis qui considèrent qu'écouter "Les Grandes gueules" sur RMC, suivre les débats propagandistes minables sur ARTE ou regarder les "reportages animaliers" à la télévision ce serait se cultiver. Les cons. Au mieux, ça aime utiliser les symboles transformés en marchandise, comme le CHE, qui était tout de même un meurtrier d'enfant, un raciste notoire supportant à peine les noirs africains et un des plus mauvais ministres de l'histoire humaine, tous les postes qu'il a occupés ont menés essentiellement à des catastrophes... alors chers fans du communiste cubain, arborez vos tee-shirts du CHE, quand le temps aura passé et que vous lirez l'histoire de sa vie en considérant son parcours vous pourrez avoir honte de votre connerie crasse.
C'est à se demander comment le pays qui fut celui des Lumières, de Montesquieu, de Baudelaire, de Montaigne, d'Albert Camus a pu obtenir ce classement lamentable.
Nos dirigeants nous donnent des pistes... par exemple lorsque notre bon ministre Luc Chatel affirme, probablement sans faire exprès quelques vérités dérangeantes comme celle-ci : "La Finlande est souvent citée en exemple, on oublie de dire que la Finlande est un pays de 5 millions d’habitants totalement homogène.”
La preuve ici...
Même cette pauvre bille de Luc Ferry avoue que si on avait fait effectuer cette enquête dans les écoles des centres-villes (comprenez... là où l'immigration est vraiment moindre) les résultats auraient été différents... nous aurions peut-être été premiers !
Alors les immigrés ne peuvent pas apprendre ? C'est à se poser des questions... en tout cas Léopold Senghor, lui, avait accès à un enseignement élitiste, celui de la troisième République... Grec, Latin, Français de pointe. Senghor a forgé la notion de Négritude en lisant... Maurice Barrès, écrivain remarquable et homme politique Nationaliste et identitaire qui fait se révulser BHL & co de nos jours. Grande différence. L'enseignement n'était pas frileux... il était vaste... et seuls les bons s'en sortaient... les autres, qui n'étaient pas faits pour cela, allaient grossir les rangs des artisans, ouvriers, techniciens, ouvriers spécialisés... et c'est tout.
D'ailleurs le meilleur Lycée de France se trouve... en Ardèche... loin de tout, sans "chance pour la France", sans "zy-va" avec casquettes à l'envers et jogging sous les fesses.
Je sais... j'attaque fort... mais ça a le mérite d'être clair... et ça dérange, donc ça ne peut qu'être bon !
Portez-vous bien... et Keep on Rocking !
15:04 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (1) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
12/12/2010
Voyage à Moscou
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
La Parole est à ma douce Irina...
--------------------------------------
5 jours à Moscou. La Russie. Mère patrie de Dostoïevski et Boulgakov.
Voyage avant tout professionnel mais l’âme russe m’a vite gagnée et bouleversée. -25° pour mes premiers pas à Moscou. -30° le lendemain. Ce pays est rude et ces gens sont, pour une petite française que je suis, « génétiquement modifiés » pour supporter un climat pareil ! mais, étrangement, au bout de deux jours, je m’adapte, j’enfile plusieurs couches de tissus, je marche 30, 45mn et puis je rentre dans une église orthodoxe, il fait chaud, les bougies, les icônes, le silence, Dieu est presque présent. Mon corps a emmagasiné suffisamment de chaleur et de paix, je peux repartir, le froid n’est plus un obstacle.
Cette ville est étrange, pas très belle mais elle a une âme.
Cette ville est en mutation, s’y côtoient les extrêmes, une voiture de l’époque soviétique et une jaguar aux vitres fumées. L’anneau, comme les moscovites l’appellent, le centre, autour du Kremlin et de la Place Rouge, c’est le quartier de l’élite : magasins Chanel, Gucci, Dior, des voitures de luxe, des femmes belles et élégantes, des hommes d’affaire, tout cela est un peu étrange car à quelques rues de là, de l’autre côté de la Moskova, des quartiers plus populaires, avec des trolleybus, des gens simples, des petits commerçants sur les trottoirs, ce que j’ai préféré parce que ces gens-là représentent le réel, la vie à Moscou, difficile, le travail 6 jours sur 7, parfois 10h par jour pour certains. Des gens qui ne se plaignent pas parce qu’il faut vivre, se loger et se nourrir. Des gens étrangement méfiants pour une occidentale comme moi, des gens pudiques et pourtant tellement attachants. Ceux et celles avec qui j’ai pu parler étaient souriants, accueillants, fiers qu’une française soit venue jusqu’à eux. Beaucoup parlaient français, un français quasi parfait. C’est un peuple francophile, réellement. Un peuple infiniment touchant et de qui nous pourrions prendre des leçons.
Mardi, journée à l’ambassade, conférence et débats entre éditeurs russes et français.
Mercredi et jeudi, rendez-vous au Salon avec des éditeurs russes. De très riches échanges. L’édition russe se développe, à toute allure et est infiniment curieuse de ce que nous publions. Des contrats à venir, sans aucun doute.
Jeudi, fin de mes rendez-vous, après une pause à l’hôtel pour m’habiller un peu plus chaudement, je pars à l’aventure. Je traverse la Moskova pour me rendre vers le centre. J’aperçois le Kremlin. Il me faut traverser un second pont, plus long celui-là, mais la nuit commence à tomber et la température baisse rapidement, mon corps commence à s’engourdir, je renonce et fais demi tour, j’ai vraiment trop froid. Le Kremlin, ce sera pour demain.
Vendredi, visite d’une grande librairie moskovite, la direction nous reçoit et pendant presque deux heures, nous visitons la librairie et à l’aide de mon amie Anastasia (mon agent littéraire pour la Russie), nous apprenons comment tout est géré, de vrais pros, impressionnant à tous les niveaux (les vendeurs de la Fnac sont des petits joueurs !). Puis, accueil dans leur salle de réunion, thé, café, gâteaux et questions réponses sur comment ça fonctionne en France, comment ça fonctionne en Russie. Nous repartons avec des cadeaux et beaucoup d’émotion. Le groupe se sépare, je vais avec une collègue visiter la Place Rouge (défigurée hélas par une horrible patinoire), je découvre la cathédrale Saint Basile, magnifique, puis le Kremlin, nous marchons longuement dans le centre (la température était devenue plus clémente, -15°), nous passons devons le Bolchoï (en rénovation) et puis, tranquillement traversons deux fois la Moskova gelée pour rentrer nous réchauffer à l’hôtel.
Vendredi soir, soirée dans la résidence de l’ambassadeur. Des écrivains, des éditeurs, des politiques, un peu de champagne, quelques petits fours et nous nous esquivons pour finir la soirée et le séjour au célèbre Café Pouchkine. Un endroit mythique et envoûtant. Trois étages, de la pierre, du bois, des livres et une harpe. Une ambiance très feutrée, très chic et presque d’un autre temps. Il semble que se promènent là les vivants et les morts, comme si cet endroit était en permanence habité, difficile de l’exprimer avec des mots. Mais la soirée a été très joyeuse, un repas russe à la vodka, c’était divin. Une belle soirée pour terminer un beau séjour.
Samedi matin, je me réveille sous la neige, Moscou est blanche et presque silencieuse.
Un étrange sentiment lorsque l’avion quitte le sol.
Un étrange sentiment au moment de l’atterrissage à Roissy.
La Russie m’a marquée, sans aucun doute et j’y retournerai à coup sûr un jour.
21:47 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (2) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
04/12/2010
ZZ TOP : SUCK MY BLUES !
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Les bobos peuvent aller se faire foutre. Voici les républicains les plus COOLS de l'Univers. Personne, en matière de Coolitude authentique ne leur arrive à la cheville. Sachez que je suis très sérieux quand je raconte mes conneries. Et j'emmerde les démocrâtes démocrassouillards obamaniaques.
Deux morceaux, ici, à la chaîne... "She's Just Killing Me" ... et "Vincent Price Blues" . Enjoy you Mofos !
23:02 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (2) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
30/11/2010
Kosovo
=--=Publié dans la Catégorie "Serbie... Ô ma Serbie..."=--=
Documentaire italien de Riccardo Iacona diffusé le 19 septembre 2008 sur la RAI italienne. Ici, sous-titré en français...
Kosovo - 1/9
Kosovo - 2/9
Kosovo - 3/9
Kosovo - 4/9
Kosovo - 5/9
Kosovo - 6/9
Kosovo - 7/9
Kosovo - 8/9
Kosovo - 9/9
23:12 Publié dans Serbie... Ô ma Serbie... | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
14/11/2010
Fatigue et lassitude
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Grosse fatigue professionnelle et extrême lassitude blogosphérique. Je me tâte pour disparaître et réapparaître mystérieusement en d'autres lieux, sous d'autres latitudes/longitudes métaphysiques. A croire que j'ai fait le tour de la question par cet intermédiaire. A moins que je ne fasse peau neuve ? Peut-être n'est-ce, au final, qu'une question de forme ? En tout cas le fond demeure le même.
13:58 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (16) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
05/11/2010
17 ans
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
En matière de coup d'éclat, Yukio Mishima a eu un précurseur.
Le 12 octobre 1960, un jeune japonais de 17 ans, Otoya Yamaguchi, membre du parti politique ultra-nationaliste Uyoku Dantai, assassine le leader socialiste japonais Inejirō Asanuma, pendant un débat politique au Hibiya Hall de Tokyo avec un petit sabre de samouraï. Les émeutes de Tokyo qui précédèrent l'assassinat de Inejiro entraînèrent la dissolution de la Chambre des députés et donnèrent lieu à de nouvelles élections. Quelques jours plus tard Otoya Yamaguchi met fin à ses jours en prison après avoir écrit sur le mur de sa cellule en guise de testament : "Sept vies pour mon pays, dix milles années pour sa Majesté l'Empereur". Le prix Nobel de littérature Ōe Kenzaburō écrira en 1961 la nouvelle, "Ainsi mourrut l'adolescent politisé", basée sur l'acte désespéré du jeune homme.
« L’adversaire et moi habitions le même monde. Quand je regardais, l’adversaire était vu ; quand l’adversaire regardait, moi-même j’étais vu ; nous nous faisions face, qui plus est, sans imagination intermédiaire, tous deux appartenant au même monde d’action et de force - autrement dit, le monde de "ce qui est vu". »
Yukio Mishima, Le Soleil et l'Acier
07:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
04/11/2010
Référendum Immigration
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Oui, je sais... mes potes aux postures humanitaristes préfabriquées vont être horrifiés, mes amantes bobos ne répondront plus au téléphone lorsque je les appellerai, et le MRAP va encore se baver dessus s'il tombe sur ce post... mais si vous saviez ce que j'en pense et où je me cale leurs humeurs néfastes !
Dois-je préciser que j'ai des amis de toutes origines, de toutes couleurs pour mettre du miel dans les cervelles de ceux qui verraient en moi un "monstre masqué" ? Oui, je vais le faire histoire de mettre les pendules à l'heure. J'ai des amis de toutes les couleurs et de toutes origines. Mais moi je choisis mes amis, ce sont des gens honnêtes qui font pas chier leur monde avec des exigences particulières et qui sont heureux d'être en France, pays dont ils apprécient les moeurs et respectent les lois. Et puis traiter quelqu'un de "Monstre" n'est-ce pas un moyen d'évacuer le problème sans chercher à creuser un peu plus loin ? J'aurais beau dire que je méprise les mouvements de masse, que le Duce ou le Führer me hérissent les poils, qu'il ne se passe pas un jour sans que je ne me penche sur le trou béant de la Shoah pour y voir les abysses néfastes de nos échecs d'humanistes pacifistes.
Ce n'est aucunement, en ce qui me concerne du moins, un problème de "racisme" mais une question de CHOIX CIVILISATIONNEL. Choix, cela étant dit, qui est ouvert à toutes les couleurs et à toutes les origines. Comprenne qui peut.
Pour les crétins gôchistes qui voient des fascîîîsteuh partout et se sont spécialisés dans l'art et la manière, de ce fait, d'évacuer le problème majeur de notre temps, je leur conseille d'écouter ou réécouter avec attention les émissions du site La luette (Républicains de Gauche) avec comme sujet : "La France a-t-elle besoin de l'immigration ?" Ils y verront peut-être un peu plus clair avant d'émettre leurs jugements faciles du haut de leur tribunal stalinien inquisiteur. Thanx...
Envoyez valdinguer le "politiquement correct", assumez votre Liberté de penser et d'agir et signez la pétition ! C'est au moins un bras d'honneur aux résidus de fausses couches de la pensée au pays du Grand Montaigne.
Pour signer la pétition, cliquez sur l'image...
23:08 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Otto Von Habsburg
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Esprit vif, mémoire de l'Europe. Il approche de son centenaire. L'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine. Il ne perçoit pas l'Islam comme une menace, mais on le lui pardonnera en raison des autres sujets intéressants évoqués. Encore sur KTO.
Conseil : mettez la lecture en marche, dés qu'elle démarre appuyez sur "Pause", puis attendez que le film se charge avant de le regarder entièrement, sinon ça va souvent s'arrêter. Je sais, ça peut demander un peu de temps mais ça en vaut la peine.
07:00 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
03/11/2010
Le jour où Le Figaro et l'Immonde me soutiendraient, je considérerais que c'est une catastrophe nationale !
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Salon doré, 16 janvier 1963
« Le Général me répète, avec encore plus d'énergie, ce qu'il m'a dit déjà plusieurs fois au sujet des journalistes: "Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération. Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l'étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d'imaginer une pareille bassesse - et en même temps une pareille inconscience de la bassesse.
Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d'avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n'importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. Quel émerveillement ! Pétain était un grand homme. Pas besoin d'austérité ni d'effort ! Pétain avait trouvé l'arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre.
Bien sûr, cela représente 5% de la nation, mais 5% qui, jusqu'à moi, ont dominé. La Révolution française n'a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu'est la bourgeoisie. Cette classe qui s'est de plus en plus abâtardie, jusqu'à devenir traîtresse à son propre pays. Bien entendu, le populo ne partage pas du tout ce sentiment. Le populo a des réflexes sains. Le populo sent où est l'intérêt du pays. Il ne s'y trompe pas souvent. En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d'argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s'entendent pour se partager le pouvoir. Cela m'est complètement égal que vos journalistes soient contre moi. Cela m'ennuierait même qu'ils ne le soient pas. J'en serais navré, vous m'entendez ! Le jour où Le Figaro et l'Immonde me soutiendraient, je considérerais que c'est une catastrophe nationale ! »
Alain Peyrefitte : C'était de Gaulle, Editions de Fallois/Fayard, 1994
Certes... les bobos existaient avant mai 68... mais que cela ne nous empêche pas de demeurer légers...
07:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (1) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
02/11/2010
De l'origine et de la déviance idéologique du syndicalisme français
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
Bénie soit La Crevette qui me remémore ce texte de Jean-François Revel que je connaissais déjà et que je reprends ici avec plaisir...
"On reconnaît ici la théorie selon laquelle seules les « luttes », les grèves, les occupations d’usines, voire les émeutes auraient permis le progrès social, qui n’aurait été obtenu que lorsqu’il était arraché aux propriétaires des moyens de production. Or il s’agit là d’une reconstruction de l’histoire par l’imagination marxiste. Des dizaines d’années avant l’apparition des premiers partis communistes et même des premiers théoriciens socialistes, ce sont les libéraux du dix-neuvième siècle qui ont posé, avant tout le monde, ce que l’on appelait alors la « question sociale » et qui y ont répondu en élaborant plusieurs des lois fondatrices du droit social moderne. C’est le libéral François Guizot, ministre du roi Louis-Philippe qui, en 1841, fit voter la première loi destinée à limiter le travail des enfants dans les usines. C’est Frédéric Bastiat, cet économiste de génie que l’on qualifierait aujourd’hui d’ultralibéral forcené ou effréné, c’est lui qui, en 1849, député à l’Assemblée législative intervint, le premier dans notre histoire, pour énoncer et demander que l’on reconnaisse le principe du droit de grève. C’est le libéral Émile Ollivier qui, en 1864, convainquit l’empereur Napoléon III d’abolir le délit de coalition (c'est-à-dire l’interdiction de faite aux ouvriers de se regrouper pour défendre leurs intérêts), ouvrant ainsi la voie au syndicalisme futur. C’est le libéral Pierre Waldeck-Rousseau qui, en 1884, au début de la Troisième République, fit voter la loi attribuant aux syndicats la personnalité civile. Est-il permis de souligner, tout en le rappelant, que les socialistes de l’époque, de par leur logique révolutionnaire (bien antérieure à l’apparition du moindre parti communiste) manifestaient une violente hostilité à l’égard de cette loi Waldeck-Rousseau ? Car, dissertait Jules Guesde, « sous couleur d’autoriser l’organisation professionnelle de notre classe ouvrière, la nouvelle loi n’a qu’un but : empêcher son organisation politique ». La suite, démentant ce perspicace pronostic, montrera, tout au contraire, que l’une devait favoriser l’autre. Ce sont les grands syndicats ouvriers qui servirent de socle et même de source de financement pendant longtemps au parti travailliste britannique, au parti démocrate américain, au parti socialiste allemand ainsi qu’aux divers partis socialistes réformistes de l’Europe scandinave. C’est aussi dans ces pays, en l’absence presque complète de tout aiguillon communiste, que surgirent et se perpétuèrent les syndicats ouvriers les plus puissants. C’est au contraire dans les pays, et notamment en France, où les partis communistes acquirent un poids politique important qu’ils affaiblirent le syndicalisme à force de l’idéologiser. On le sait, les adhérents syndicaux représentent en France un pourcentage infime de la population active. D’autre part, le syndicalisme français, quelle que soit l’idéologie de ses diverses centrales, en vint rapidement à ne plus défendre que des intérêts catégoriels, essentiellement ceux des agents de la fonction publique et des services publics, travailleurs déjà privilégiés par rapport aux salariés du secteur marchand. Il y a plusieurs décennies que les syndicats français ne remplissent plus les critères de la représentativité définis par la loi au début des années cinquante et en particulier le critère selon lequel un syndicat n’est légitime que s’il peut vivre des cotisations de ses adhérents. Les syndicats français, depuis belle lurette, ne subsistent que grâce aux subventions, directes ou indirectes, de l’Etat, c'est-à-dire grâce à de l’argent soustrait à des contribuables dont l’immense majorité n’est pas syndiquée. Le rôle d’aiguillon du progrès qu’auraient joué les partis communistes ne semblent pas démontrable. On peut même dire que dans bien des cas la présence dans le jeu politique d’un fort parti communiste a ralenti le progrès social au lieu de l’accélérer. Par exemple, à la fin des années cinquante et au début des années soixante, le PCF se mit en tête de défendre avec acharnement la théorie stupide de la « paupérisation absolue » de la classe ouvrière. Et cela au moment même où un décollage économique sans précédent dans l’histoire de France était en train, au contraire, de permettre à la classe ouvrière d’accéder à un niveau d’aisance auquel elle n’aurait même pas osé songer au moment du Front populaire, vingt ans auparavant. En fait, la seule paupérisation absolue de la classe ouvrière que le vingtième siècle nous ait donné l’occasion de contempler, s’est produite dans les pays communistes et seulement dans ces pays."
La grande parade, Jean-François Revel, p 51-52 éditions Plon-pocket , 2000
23:15 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (1) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
La Nausée
23:03 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Bogdanov Brothers
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Je les aime bien, moi, les frères Bogdanov, parce qu'ils m'ont fait rêver avec leur émission "Temps X" à la fin des années 70 et durant les années 80. Et puis parce que ce sont deux vulgarisateurs scientifiques passionnants. Et puis ils sont diplômés, quoi qu'en disent les abrutis du CNRS ou d'ailleurs... c'est leur côté "alien" qui dérange, leur côté "en marge" qui désole, alors que ma pomme ça lui fait plaisir.
Ici ils sont reçus dans l'émission "Visages inattendus de personnalités" sur la chaîne KTO.
Spéciale Dédicace à l'ami Spendius qui, j'en suis sûr, appréciera leur approche du monde quantique par lequel ils veulent atteindre à... Dieu.
Conseil : mettez la lecture en marche, dés qu'elle démarre appuyez sur "Pause", puis attendez que le film se charge avant de le regarder entièrement, sinon ça va souvent s'arrêter. Je sais, ça peut demander un peu de temps mais ça en vaut la peine.
07:11 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (4) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
01/11/2010
L'enfer médiocre
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
"Les damnés de la Terre d'un coté, les bourgeois de l'autre, ils ont, au fond, qu'une seule idée, devenir riches et le demeurer, c'est pareil au même, l'envers vaut l'endroit, la même monnaie, la même pièce, dans les coeurs aucune différence. C'est tout tripe et compagnie. Tout pour le buffet. Seulement y en a des plus avides, des plus agiles, des plus coriaces, des plus fainéants, des plus sots, ceux qu'ont la veine, ceux qui l'ont pas. Question de hasard, de naissance. Mais c'est tout le même sentiment, la même maladie, même horreur. L'idéal "boa", des digestions de quinze jours. Tout ça roule, roule tout venin, tiédasse, dépasse pas 39°, c'est un malheur pire que tout, l'enfer médiocre, l'enfer sans flammes. Y a des guerres qu'arrivent heureusement, de plus en plus longues, c'est fatal. La Terre se réchauffe."
Louis-Ferdinand Céline
16:24 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Peinard, j'attends la fin du monde
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
Peinard, j'attends la fin du monde. Les têtes qui se détournent, qui me jugent d'avance, qui se dégoûtent de m'avoir connu, je ne les méprise même pas. Je m'efforce juste de ne plus les croiser. Pas de temps à perdre pour répéter des choses qu'ils n'ont que très bien comprises. Ils ont choisi, prétextant qu'il fallait (à l'image de l'enseigne Carrefour) positiver, le chemin de la révolte en charentaises. Grand bien leur fasse. Que leur bonheur soit à la mesure de leur naïveté. Ce qui m'affole et m'asphyxie lorsque je suis obligé de supporter leurs états d'âmes, leur rebellitude BHL-isée, c'est leur refus de voir s'effriter un mode de vie, un art de vivre même, une langue, des traditions, des moeurs. Et puis leur ignorance historique crasseuse, leur Volonté et Détermination à s'auto-flageller quotidiennement, de se sentir coupables parce que blancs et de se réhabiliter idéologiquement en prenant partie pour le n'importe quoi, pour n'importe qui, au nom du Bien-Vivre-Ensemble, au nom des Chances-Pour-La-France. Nous allons bien rire et rira bien qui rira le dernier.
Ceux qui pleurent pour leur retraites. Ceux qui veulent régulariser tous les sans-papiers et abolir les frontières. Ceux qui veulent pacifier le monde entier. Ceux qui rêvent du sécuritaire village mondial. Ceux qui pensent que ce qui est acquis l'est définitivement. Ceux qui ne conçoivent pas de vivre sans le thermomètre de la République dans leur cul. Les anarchistes inscrits à la Sécurité Sociale qui militent à la CNT ou ailleurs pour l'augmentation du SMIC. Ceux qui traitent Le Pen ou Sarkozy de "fascistes" mais qui n'ont jamais connu, génération oblige, ce que c'était que de vivre dans un pays véritablement "fasicste", ils se surprendraient eux-mêmes à espérer que Le Pen ou Sarkozy prennent le pouvoir. Ceux qui n'aiment pas qu'on leur rappelle que si Hitler a fait 6 000 000 de morts parmi les juifs de 1941 à 1945, dans le trou béant de la Shoah, Staline, rien qu'en un seul hiver (1932/1933) en a fait 7 000 000 en provoquant une famine dont les russes et les ukrainiens se souviennent encore. Ceux qui sont choqués que je lise Drieu et ne s'inquiètent pas d'avoir étudié Aragon à l'école, Aragon qui faisait emphatiquement l'éloge du Guépéou...
(J'appelle la Terreur du fond de mes poumons/Je chante le Guépéou qui se forme/en France à l'heure qu'il est/Je chante le Guépéou nécessaire de France)
Les donneurs de leçons, les faiseurs de morale, les parés de vertus qui s'époumonent devant Lilianne Bettencourt, ceux qui clament qu'avant c'était mieux, ceux qui se branlent sur la décroissance, les bobos, les punks à chiens, les travellers à dread-locks et les parasites qui rêvent d'être pris en main par Eva Joly et son fascisme vert masqué et bon teint. Ceux qui vomissent le libéralisme et ne savent même pas ce que c'est. Les concepteurs d'idées creuses. Les anti-racistes qui imposent le racisme partout où ils passent. Les hérauts du métissage aussi débiles que les séparatistes racialistes. Les défenseurs de la racaille qui n'ont jamais passé que quelques heures dans une banlieue sensible et jamais dans les pires, qui leur trouvent toujours des excuses au nom de l'humanisme. Au nom des Droits de l'Homme ils nous ont construit des cités dénuées de Droit et la seule et unique chose qu'ils savent faire c'est plâtre et ciment pour cacher les césures.
Je vous regarde, au quotidien, je suis bien obligé, votre nom est Légion et, peinard, je veille, en sirotant mon Jack Daniel's, j'attends la fin du monde qui vous prendra tous par surprise.
15:36 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (3) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
La glaise dont tu es formé a séché
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
« Vieux bureaucrate, mon camarade ici présent, nul jamais ne t'a fait évader et tu n'en es point responsable. Tu as construit ta paix à force d'aveugler de ciment, comme le font les termites, toutes les échappées vers la lumière. Tu t'es roulé en boule dans ta sécurité bourgeoise, tes routines, les rites étouffants de ta vie provinciale, tu as élevé cet humble rempart contre les vents et les marées et les étoiles. Tu ne veux point t'inquiéter des grands problèmes, tu as eu bien assez de mal à oublier ta condition d'homme. Tu n'es point l'habitant d'une planète errante, tu ne te poses point de questions sans réponse : tu es un petit bourgeois de Toulouse. Nul ne t'a saisi par les épaules quand il était temps encore. Maintenant, la glaise dont tu es formé a séché, et s'est durcie, et nul en toi ne saurait désormais réveiller le musicien endormi ou le poète, ou l'astronome qui peut-être t'habitait d'abord. »
Antoine de Saint-Exupéry, Terre des hommes
07:42 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
31/10/2010
Les orgueilleux, les hypocrites et les pharisiens
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
« La tristesse est le plus grand vice du monde moderne, le monde moderne est triste, c'est pourquoi d'ailleurs il s'agite tant. La tristesse n'est pas chrétienne. Les chrétiens tristes sont des imposteurs. Ni votre peuple [NDLR : le Brésil] ni le nôtre ne sont prisonniers de ce démon. Les fausses grandeurs qui menacent aujourd'hui l'Europe sont tristes, avides et tristes, tristes comme des bêtes affamées, tristes jusque dans les manifestations colossales de leur ivresse collective, tristes et cruelles comme Satan. Si calomnié que soit mon pays, quiconque a pris la peine de le voir de près, a parcouru en ami ses villes et ses campagnes, ne se contente pas de le juger sur le témoignage d'une certaine presse française de droite et de gauche nototoirement vendue à l'étranger, sait qu'il a gardé le secret de sa joie, de cette profonde allégresse intérieure qui a fait jadis de notre "gai royaume de France" l'ornement et comme la fleur de l'antique chrétienté. C'est pourquoi, au cours des siècles, nous avons toujours vu venir à nous, l'injure à la bouche, les orgueilleux, les hypocrites et les pharisiens, tous ceux que le Christ a maudits, et qu'il maudit encore, même s'ils prétendent s'autoriser de son nom. Qu'ils accourent aujourd'hui avec des canons, des avions, et des générateurs d'hypérite, ils n'en sont ni moins laids ni moins tristes, et - qu'ils veuillent bien me permettre de leur dire - moins impuissants. Car ce qu'ils veulent nous prendre est hors de portée. C'est l'héritage des saints et des héros de notre race, c'est cet esprit d'enfance, cette jeunesse surnaturelle que vient d'incarner notre petite sainte Thérèse, pour l'épreuve et le scandale des fanatiques de toute espèce, même de ceux qui voudraient faire de l'Eglise un cimetière austère et lugubre, alors qu'elle est un parterre fleuri. Le trésor que convoitent les ravisseurs de joie armés jusqu'aux dents, il ne leur appartient pas plus de le prendre qu'à nous de le vendre. Et qu'ils entrent demain en maîtres au palais de Versailles ou dans la cathédrale de Chartres, ils y trouveront peut-être les cadavres de nos fils mais non le secret de notre liberté. »
Georges Bernanos
18:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Un musulman réformateur met les pieds dans le plat
=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=
Merci à l'ami SPENDIUS
Dans un entretien paru le 23 avril 2009 dans le quotidien saoudien Okaz, le penseur réformiste Ibrahim Al-Buleihi fait part de son admiration pour la civilisation occidentale. L’interview a été mise en ligne le jour même sur le site progressiste arabe Elaph [1]. Al-Buleihi appelle les Arabes à reconnaître la grandeur de la civilisation occidentale et à admettre les insuffisances de leurs propres cultures. Il estime que l’autocritique est la condition de toute évolution positive. Ibrahim Al-Buleihi est membre du Conseil saoudien de la Shura. [2]
Extraits de l’entretien
Okaz : Je vais commencer par la question cruciale de ce qui distingue votre façon de penser - que vos adversaires évoquent systématiquement contre vous : votre éblouissement face à l’Occident, alors que vous dévaluez complètement la pensée arabe. C’est vraiment le caractère le plus distinctif de vos écrits. L’auto-flagellation y est présente à un point extrême. Comment l’expliquez-vous ?
Buleihi : Mon attitude face à la société occidentale se base sur des faits indéniables et ses grandes réussites. Nous sommes en présence d’une réalité aux nombreuses composantes merveilleuses et étonnantes. Cela ne signifie pas que je sois aveuglé. Mais j’ai très exactement l’attitude contraire de ceux qui nient et ignorent les lumières vives de la civilisation occidentale. Regardez donc autour de vous… Vous vous apercevrez que tout ce qui est beau dans nos vies nous vient de la civilisation occidentale. Même le stylo que vous tenez dans votre main, l’enregistreur en face de vous, la lampe de cette pièce et le journal pour lequel vous travaillez, et d’innombrables agréments supplémentaires, qui sont comme des miracles pour les civilisations anciennes… Sans tout ce que l’Occident a accompli, nos vies seraient stériles. Je ne fais que poser un regard objectif [sur la réalité], estimant à sa juste valeur ce que je vois et l’exprimant honnêtement. Ceux qui n’ont pas d’admiration pour le beau sont démunis de sensibilité, de goût et de sens de l’observation.
La civilisation occidentale a atteint le summum de la science et de la technologie. Elle a apporté la connaissance, le savoir-faire, de nouvelles découvertes, comme aucune autre civilisation avant elle. Les réalisations de la civilisation occidentale couvrent tous les domaines: la gestion, la politique, l’éthique, l’économie et les droits humains. C’est un devoir de reconnaître son étonnante excellence. C’est en effet une civilisation digne d’admiration. (…) Le retard horrible dans lequel vivent certaines nations est le résultat inévitable de leur refus de [l’apport occidental] et de leur attitude consistant à se réfugier dans le déni et l’arrogance.
Okaz : Monsieur, vous pouvez admirer cette civilisation tant que vous le voulez, mais pas aux dépens des autres, notamment de notre civilisation.
Buleihi : Mon admiration pour l’Occident ne s’exprime pas aux dépens des autres. Elle invite ces autres à admettre qu’ils se sont leurrés, à surmonter leur infériorité et à se libérer de leur retard. Ils devraient admettre leurs défauts et faire l’effort de les surmonter. Ils devraient cesser de nier les faits et de tourner le dos à la multitude des merveilleux succès [occidentaux]. Ils devraient se montrer justes à l’égard de ces nations qui ont su se rendre prospères, sans pour autant monopoliser la prospérité, faisant profiter le monde entier des résultats de leurs progrès, de sorte qu’aujourd’hui d’autres nations dans le monde en bénéficient. La civilisation occidentale a apporté au monde la connaissance et le savoir-faire qui ont permis aux nations non occidentales, de rivaliser avec sa production et de partager des marchés avec elle. Critiquer ses propres insuffisances est nécessaire pour évoluer positivement. En revanche, glorifier la léthargie revient à encourager et asseoir le retard, à resserrer les chaînes de l’apathie et à empêcher [l’expression de] la capacité à exceller. Le retard est une réalité honteuse qui devrait nous déplaire et dont nous devons nous libérer.
Okaz : C’est peut-être le cas, et je vous suis dans cette exigence, mais, Monsieur, pourriez-vous résumer pour nous les raisons de votre admiration de la culture occidentale, afin que nous ayons une base de discussion ?
Buleihi : Il n’y a pas une, mais mille raisons qui me poussent à admirer l’Occident et à souligner son excellence absolue dans tous les domaines. La civilisation occidentale est la seule qui ait su libérer l’homme de ses illusions et de ses chaînes. Elle a reconnu son individualité et lui a fourni des capacités, la possibilité de se cultiver et de réaliser ses aspirations. Elle a humanisé l’autorité politique et établi des mécanismes garantissant une égalité et une justice relatives, prévenant l’injustice et modérant l’agression. Cela ne veut pas dire que c’est une civilisation sans défaut ; elle en a même beaucoup. C’est toutefois la plus grande civilisation humaine de l’histoire. Avant elle, l’humanité était en prise avec la tyrannie, l’impuissance, la pauvreté, l’injustice, la maladie et la misère.
C’est une civilisation extraordinaire, sans être l’extension d’aucune civilisation ancienne, à l’exception de la civilisation grecque, source de la civilisation contemporaine. J’ai donné le dernier coup de plume à un ouvrage sur ce grand et extraordinaire saut de civilisation, intitulé “Changements qualitatifs dans la civilisation humaine”. La civilisation occidentale est son propre produit et ne doit rien à aucune autre civilisation, hormis la civilisation grecque (…) Elle a redonné vie aux réalisations des Grecs dans les domaines de la philosophie, la science, la littérature, la politique, la société, la dignité humaine, le culte de la raison, tout en reconnaissant ses défauts et ses leurres et en soulignant le besoin constant de critique, de réévaluation et de corrections.
Okaz : En parlant ainsi, vous effacez complètement tous les efforts créatifs des civilisations qui ont précédé, telle la civilisation islamique, car vous affirmez que l’Occident ne lui doit rien.
Buleihi : Et pour cause: elle ne lui doit rien, pas plus qu’à aucune autre civilisation avant elle. La civilisation occidentale trouve ses fondements dans la Grèce des VIème et Vème siècles avant J.C. Elle a connu un temps d’arrêt au Moyen-Âge, avant de reprendre son évolution aux Temps modernes, en profitant à toutes les nations. Elle est vraiment extraordinaire dans tous les sens du mot: en termes d’excellence, d’unicité, de nouveauté (…) Elle a des composantes et des qualités qui la distinguent de toutes les civilisations qui l’ont précédée ou suivie. Elle est le produit d’un enseignement philosophique inventé par les Grecs. Les Européens ont pris pour base ce mode de pensée, notamment le mode de la critique, qui leur a permis de développer la connaissance objective, toujours ouverte à la réévaluation, à la correction et au progrès (…).
Okaz : Certains penseurs occidentaux ont écrit que la civilisation occidentale est une extension des civilisations précédentes. Comment vous, Arabe musulman, pouvez-vous le nier ?
Buleihi : En passant en revue les noms des philosophes et savants musulmans dont la contribution à l’Occident est reconnue par les écrivains occidentaux, tels Ibn Rushd, Ibn Al-Haytham, Ibn Sina, Al-Farbi, Al-Razi, Al-Khwarizmi et leurs semblables, nous découvrons que c’étaient tous des disciples de la culture grecque et qu’ils se tenaient en marge du courant [islamique] dominant. Ils étaient et continuent d’être ignorés par notre culture. Nous avons même brûlé leurs livres, les avons harcelés, avons mis la population en garde contre eux, et nous continuons de les considérer avec suspicion et aversion. Comment pouvons-nous nous enorgueillir de personnes que nous avons écartées et dont nous avons rejeté la pensée ? (…)
Quant à la question du développement culturel, il existe deux approches: selon l’une d’entre elles, la civilisation est le produit d’un processus cumulatif. Cette approche est toutefois contredite par les faits historiques. Selon l’autre approche, un changement quantitatif ne peut jamais conduire à un changement qualitatif, sauf quand un bond extraordinaire est réalisé. C’est sans conteste la bonne approche, que j’ai adoptée. La quantité ne peut se transformer spontanément en qualité (…)
La seule civilisation qui possède les ingrédients du progrès perpétuel est la civilisation occidentale, avec ses fondements grecs et son étonnante configuration contemporaine (…) La civilisation occidentale estime que nul ne détient la vérité absolue et que la perfection est impossible à atteindre, donc l’homme doit s’efforcer de l’atteindre tout en sachant qu’il n’y arrivera pas. C’est ainsi la seule civilisation qui continue de se développer, qui se réévalue constamment, se corrige et effectue en permanence de nouvelles découvertes (…)
Okaz : Permettez-moi de vous interroger sur votre fascination totale pour la culture occidentale.
Buleihi : La lumière de cette civilisation est très forte et il faut être aveugle pour ignorer sa luminosité. Toute personne douée de vue et de discernement ne peut qu’être fasciné (…) Il faut reconnaître le mérite de ceux qui en ont. Une autre civilisation a-t-elle rêvé avant elle à ces révélations époustouflantes, ces sciences exactes et ces technologies complexes ? Les générations précédentes ont-elles imaginé la possibilité d’ouvrir le torse ou la tête pour effectuer des opérations compliquées du coeur et du cerveau ? Pouvaient-elles imaginer une [aussi] profonde compréhension de la cellule vivante et de sa genèse… Ont-elles imaginé les avions, les voitures et les innombrables inventions de cette civilisation ? Voudriez-vous que nous nous remettions à écrire sur des parchemins et des papyrus, à user des bâtons de bois à la place de stylos et à monter à dos d’âne ?
Okaz : Désolé, mais personne ne vous demande de revenir à l’époque des ânes. Il est toutefois nécessaire de prononcer ses jugements historiques de façon juste et équilibrée. Vous dites qu’il faut “reconnaître le mérite de ceux qui en ont”, mais, dans les faits, vous n’accordez aucun crédit à tout ce qui a existé avant la civilisation occidentale, et alors que tout le monde reconnaît le caractère cumulatif des accomplissements humains, vous niez cet axiome quand il s’agit des réalisations occidentales.
Buleihi : L’humanité a passé des milliers d’années à ruminer les mêmes idées et à vivre dans les mêmes conditions, en se servant des mêmes outils et instruments. Elle aurait pu s’éterniser ainsi sans l’émergence de la pensée philosophique en Grèce, aux VIème et Vème siècles avant J.C. Le niveau actuel des progrès de la civilisation ne peut être le résultat d’une [simple] accumulation: c’est plutôt le résultat de grandes réalisations dans les domaines de la pensée, de la science, de la politique, de la société et du travail. (…)
Ce qui sort l’homme de sa routine, c’est la lutte des idées, la liberté de choix et l’égalité des chances. La meilleure preuve en est qu’un grand nombre de gens aujourd’hui vivent dans une société profondément rétrograde, malgré la disponibilité de la science, de la technologie et des idées. Ils sont témoins de la prospérité et malgré cela, ces peuples rétrogrades sont incapables d’abandonner leurs tranchées et de se libérer de leurs chaînes. En d’autres termes, ils sont incapables d’imiter les peuples prospères, se trouvent dans l’incapacité totale d’inventer et d’initier.
Okaz : Il y a une question cruciale à ce débat: par “civilisation”, entendez-vous uniquement son aspect matériel ?
Buleihi : La plus grande réussite de la société occidentale est d’avoir humanisé son autorité politique, d’avoir séparé les pouvoirs, établi et maintenu un équilibre des pouvoirs. La civilisation occidentale a accordé la priorité à l’individu et subordonné ses institutions, lois et procédures à ce principe, tandis que dans la civilisation ancienne, l’individu [n’] était [qu’] une dent dans l’engrenage.
Okaz : Une dent dans l’engrenage ? Vous pensez que cela est vrai aussi de la civilisation islamique ?
Buleihi : Nous faisons clairement la distinction entre l’islam et ce que les gens font en son nom. Les grands principes de l’islam et ses doctrines sublimes qui insistent sur la valeur et la dignité humaines n’ont pas eu l’occasion de prendre forme. Depuis l’époque des califes bien guidés, l’histoire arabe a éradiqué l’individualité de l’homme et sa valeur s’est retrouvée liée à ses affiliations politiques, religieuses ou tribales (…) La seule civilisation qui reconnaît et respecte l’homme en tant qu’individu est la société occidentale (…) Le comportement [humain], dans tous les domaines, ne découle pas d’enseignements, mais de la pratique et de l’expérience sur le terrain (…)
Okaz : L’histoire arabe de bout en bout, selon vous ?
Buleihi : Oui, toute l’histoire arabe se distingue par cet aspect lugubre, mises à part la période des califes bien guidés et d’autres périodes discrètes comme celle du règne d’Omar ibn Abdel Aziz. On ne doit pas confondre les sublimes principes et doctrines de l’islam avec son histoire, remplie d’erreurs, de transgressions et de tragédies. Quand les Abbasides triomphèrent des Omeyyades, ils couvrirent les cadavres de tapis, faisant la fête sur les corps en signe de vengeance. Quand [le calife] Al-Ma’mum eut battu son frère Al-Amin, il lui ôta la peau des os comme on le fait à un agneau. Cette scène se répète tout au long de l’histoire. Le pouvoir politique est la valeur pivot de la culture arabe. A notre époque, les coups d’Etat militaires sont récurrents dans le monde arabe, pour le pouvoir, mais pas pour effectuer des réformes positives. Chaque régime est pire que le précédent.
Okaz : M. Buleihi, n’avez-vous pas ouï dire de centaines de savants dans l’histoire de votre peuple qui ont apporté du sens et eu de l’impact, dont on étudie la vie jusqu’à ce jour, bien qu’il n’aient eu ni pouvoir, ni tribu, ni affiliation religieuse, et qui sont estimés pour leur érudition ?
Buleihi : C’est là une déclaration générale qui ne repose pas sur les faits. L’histoire arabe, à l’exception de la période des califes bien guidés, a été dominée par la politique. Quand les Fatamides ont pris le contrôle de l’Egypte et de l’Afrique du Nord, ces régions sont devenues chiites, et quand Salah Al-Din Al-Ayyubi [Saladin] a mis fin au [règne des] Fatamides, il a écarté tout ce qui pouvait avoir un rapport avec le chiisme. Il en a été de même quand les Safavides ont converti l’Iran au chiisme: cela a conduit les Ottomans à agir de façon identique [en imposant le sunnisme]. L’histoire arabe, ou islamique, dans le sens large du terme, résulte des hauts et des bas de la politique.
Okaz : Permettez-moi de faire ici une petite pause. Vous réduisez l’histoire islamique à une histoire politique. Même l’histoire politique islamique, malgré toutes ses tragédies, n’est pas aussi négative que vous le dites. Vous ignorez les aspects scientifiques et culturels de l’histoire islamique, qui ont donné une grande civilisation alors même que l’Europe souffrait sous le règne de la féodalité, de l’Eglise, de l’ignorance et du retard.
Buleihi : Nous avons hérité de certains clichés concernant notre histoire et l’histoire des autres nations, ne considérant pas notre histoire d’un oeil critique et celle des autres d’un œil juste et objectif. La lumineuse civilisation grecque a émergé au VIème siècle avant J.C., atteignant le sommet de son épanouissement au Vème siècle avant J.C. En d’autres termes, la civilisation grecque a émergé plusieurs siècles avant la civilisation islamique et a été la source des philosophes musulmans. Ces individus dont nous sommes parfois fiers, tels Ibn Rushd, Ibn Al-Haytham, Al-Razi, Al-Qindi, Al-Khawarizmi et Al-Farabi, étaient tous les élèves de la pensée grecque. Quant à notre civilisation, c’est une civilisation religieuse, préoccupée de loi religieuse, complètement absorbée par les détails de ce que les musulmans doivent faire et ne pas faire dans leur rapport à Allah et aux autres. C’est une tâche immense digne d’admiration, parce que la religion est le pivot de la vie. Nous devons toutefois admettre que nos succès se limitent tous à cette grande idée. N’affirmons pas que l’Occident nous a emprunté ses lumières laïques. Notre culture a été, et continue d’être, absorbée par la question de ce qui est interdit et permis, de la croyance et de l’incroyance, parce que c’est une civilisation religieuse (…)
Okaz : Ils [les musulmans] ont appris de la civilisation grecque et ce n’est pas un défaut ; c’est ainsi que font les jeunes générations: elles apprennent des civilisations anciennes et se construisent sur ces dernières. Fallait-il attendre qu’ils abolissent les réussites des Grecs pour recommencer à zéro ?
Buleihi : Je n’ai rien contre le fait d’apprendre [des autres]. Ce que je voulais clarifier est que ces [succès] ne sont pas les nôtres et que ces individus exceptionnels ne sont pas le produit de la culture arabe, mais plutôt de la culture grecque. Ils se trouvent en dehors de notre courant culturel dominant, et nous les avons traités comme des éléments étrangers. C’est pourquoi nous ne méritons pas de nous en enorgueillir, vu que nous les avons rejetés et avons combattu leurs idées. A l’inverse, quand l’Europe eut tiré l’enseignement de ces individus, elle a su profiter d’une grande connaissance: la sienne à l’origine, vu qu’elle est une extension de la culture grecque, source de toute la civilisation occidentale.”
[1] http://www.elaph.com/Web/NewsPapers/2009/4/433121.htm
[2] Pour plus d’informations sur Al-Buleihi, voir les extraits-vidéo sur MEMRI TV: Clip No. 1174, ” Saudi Shura Council member Ibrahim Al-Buleihi: Terrorism Is the Product of a Flaw in Arab and Muslim Culture,” 23 mai 2006, http://www.memritv.org/clip/en/1174.htm, ainsi que les extraits-vidéo du Clip No. 638 de MEMRI TV: “#638 - Saudi Liberal: America’s Actions are Natural for a Country That Was Attacked. If an Islamic Country Was Attacked its Response Would Be Worse,” April 6, 2005, http://www.memritv.org/clip/en/638.htm.
Source : Memri
17:47 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (2) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
27/10/2010
France Culture : “Le multiculturalisme est- il mort ?”
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Emission Du Grain à Moudre sur France Culture du 25.10.2010
Les Verts Allemands qui ont lancé le concept de "Multikulti" ont, à présent, pour consigne de ne plus l'utiliser car il est trop dévalorisé.
Invités :
Anne Marie Le Gloannec , spécialiste de l’Allemagne Directrice de recherches au CERI
Julien Landfried, cofondateur et directeur de l’Observatoire du communautarisme
Béatrice Durand, enseignante au Lycée français et à la Freie Universität de Berlin
20:31 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
23/10/2010
Choc des Cultures
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Emission Répliques de ce matin sur France Culture – 23.10.2010
Alain Finkielkraut reçoit Jeannette Bougrab, présidente de la HALDE, Hugues Lagrange, sociologue, auteur du brûlot "Le Deni des Cultures" et directeur de recherche au CNRS, Daniel Leconte, journaliste français, producteur de films documentaires, à l'origine du reportage qui a secoué la France, "La Cité du Mâle".
Vous pouvez télécharger l'émission en cliquant sur le cercle de "Podcast".
16:40 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (2) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Appel Clair au Jihad
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Appel clair à l'amour au Jihad. Putain... y'en a qu'ont besoin d'une bonne psychanalyse... mais il y a mieux comme solution... un aller simple vers l'Arabie Saoudite ou l'Afghanistan, où ils pourront donner libre cours à leurs extases juridiques islamiques. Ca se passe à Limoges, en France, en 2010.
Merci à tonton Jean-Mi
15:06 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (1) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
17/10/2010
Ah ils sont beaux les réformateurs du monde !
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Voilà... avec le son et l'image c'est encore mieux. La France qui passe son temps à geindre contre le simple clodo qui n'appartient à personne, est plus pauvre qu'eux et salut le Monument aux soldats morts pour la France, ancienne école, qui n'a pas de leçons à recevoir de ceux qui passent leur temps à cracher dans la soupe en postillonnant des leçons de morale et en déversant leur vertu bien grise sur ceux qui ne remuent pas la queue devant leur haut tribunal de nains. Magnifique Gabin, sublime Audiard.
Thanx to Eric Guillemain
00:08 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (3) | | del.icio.us | | Digg | Facebook