27/05/2011
DSK : Envoyé Spécial – France 2 – 26/05/2011
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DSK : La Victime présumée, Nafissatou Diallo, chercherait un dédommagement
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Par les infréquentables de "François de Souche" on découvre quelques vidéos...
Glucksmann met les pieds dans le plat
Quand on vous dit que tout le monde savait...
En février 2010, lors de l'émission "La revue de presse des 2 ânes", Jean Glavany faisait de l'humour... révélateur...
DSK défendu par une actrice italienne de films X... qui affirme avoir couché avec lui... Natasha Kiss...
Crispation entre les avocats de DSK et le procureur
La Victime présumée, Nafissatou Diallo, chercherait un dédommagement
La luxueuse résidence de DSK suscite le malaise au PS ... la preuve par l'image...
Si vous voulez visitez en 3D la "prison de luxe" de DSK
Au PS, les députés strauss-kahniens ont le blues... ce qui nous fait une belle jambe.
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Jimmy Page & Robert Plant : Most High
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Who guards the truth
Oh lord most high
A frightened dove in a starless sky, oh-oh, oh oh oh
So high, most high, so high
Who hides the east from the blind man's eye
In the land of peace
Where the righteous cry, oh-oh, oh oh oh
So high, most high, so high
Where are the words? I'm the king
Who moves the stars and then the sun
To the light where my spirit was born
Bring this wanderer home
While mercy sleeps in the hearts of liars
And the olive tree is consumed by fire, oh-oh, oh oh oh
So high, most high, so high
Where are the words? I'm the king
Who moves the stars and then the sun
To the light where my spirit was born
Bring this wanderer home, come on, come on, come on
When David's seed talks
Through his paper crown
And he spits hot steel
See all the kids fall down
Ohhh yeah, mmm
So high, most high, so high, Oh oh yeah
Oh oh
Come on, come on, come on
Come on, come on, come on
Come on, come on, come on
Come on, come on, come on
Better hurry, hurry
Better hurry, hurry
Better hurry, hurry
Most high, most high high high
Most high, so high, so high
So high
"Celui qui demeure sous l'abri du Très-Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant." (Psaumes 91 : 1)
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"Toutes les consolations religieuses de la négativité sont infantiles."
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
J'ai lu ceci qui m'a remué en confirmant ce que je pense :
« Toutes les consolations religieuses de la négativité sont infantiles. L'espoir d'un "ciel" qui ne connaîtrait pas la coupure des transcendances n'est qu'une inversion imaginaire de cette négativité et en quelque sorte sa confirmation. Mais les consolations blasphématoires de cette même négativité sont également infantiles, elles ne sont que la compréhension ultra-négatives des précédentes.
On ne peut réellement sortir de la négativité qu'en y fondant consciemment une positivité non associable, et celle-ci ne peut consister qu'en l'expérimentation et la connaissance de la loi de croissance de la négativité elle-même et de la positivité associée. »
Raymond Abellio, Assomption de l'Europe, Chapitre : Déterminisme et Liberté dans l'activité ineffable du "je"
Une fois de plus on en revient à l'essentiel postulat écrit dés le premier Livre de la Bible, la Genèse, au premier Chapitre, versets 26 et 27 :
« Puis Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. »
Puisque nous sommes faits à l'image de Dieu, nous nous devons de chercher à transcender les faits et la lecture que nous en avons. Pour nous consacrer au Bien Suprême et nier le Mal dans ce qu'il a de plus abominable il nous faut bien aller par-delà Bien et Mal dans notre appréhension du monde en même temps que dans chacun de nos actes. Mais cette attitude qui organise son acte n'est pas donnée à tout le monde, puisque nous sommes porteurs de péché depuis l'Exil et la Chute, mais quelques rares "élus", pèlerins de l'indicible, peuvent comprendre et agir en conséquence, la Grand Nombre, la Triste Multitude, ne peut que se soumettre ou se caler sur le Décalogue et mener une vie simple aux perceptions littérales et binaires.
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26/05/2011
Lemmytude
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Ian Fraser "Lemmy" Kilmister, un des derniers rocker libre... 66 ans et toujours vivant.
Un p'tit morceau pour terminer avec un texte qui dit tout...
If you like to gamble, I tell you I'm your man
You win some, lose some, it's - all - the same to me
The pleasure is to play, it makes no difference what you say
I don't share your greed, the only card I need is
The Ace Of Spades
The Ace Of Spades
Playing for the high one, dancing with the devil,
Going with the flow, it's all a game to me,
Seven or Eleven, snake eyes watching you,
Double up or quit, double stakes or split,
The Ace Of Spades
The Ace Of Spades
You know I'm born to lose, and gambling's for fools,
But that's the way I like it baby,
I don't wanna live forever,
And don't forget the joker!
Pushing up the ante, I know you've got to see me,
Read 'em and weep, the dead man's hand again,
I see it in your eyes, take one look and die,
The only thing you see, you know it's gonna be,
The Ace Of Spades
The Ace Of Spades
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DSK, Agent de la CIA selon Reuters... et autres broutilles
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
L'affaire DSK se poursuit.
Barack semble embarrassé devant l'assaut de Dominique envers son épouse. Etait-il au courant, le président au prix Nobel ?
Alors que la désense de DSK, a tenté d'abord de le disculper en invoquant un déjeuner qui l'aurait empêché d'avoir croisé la femme de chambre, voilà que l'ADN semble indiquer un tout autre scénario qui frise l'humour noir...
Les loufoques de French Carcan ont regroupé les interventions des auditeurs de Daniel Mermet qui ont leur opinion à propos de la sinistre affaire...
DSK, agent de la CIA, ? selon REUTERS
La maison d'où DSK va attendre et préparer son jugement...
La Sex Crimes Unit mène l'enquête dans l'affaire DSK
Les livres sur DSK, qui devaient paraître, déprogrammés à la chaîne
"LA Défense de DSK" avancent 2 scénarios à MATCH ET à L'OBS, glauque et insultant.
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Obtenir enfin le mutisme du Bourgeois, quel rêve !
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Je commence aujourd’hui, 30 septembre, sous l’invocation de saint Jérôme, auteur de la Vulgate, appariteur de tous les Prophètes, inventoriateur plein de gloire des Lieux Communs éternels.
Est-ce là manquer de respect à cet étonnant docteur que l’Eglise honore du titre de Maximus, et que le Concile de Trente a implicitement déclaré le Notaire de l’Esprit-Saint ? Je ne le crois pas.
De quoi s’agit-il, en effet, sinon d’arracher la langue aux imbéciles, aux redoutables et définitifs idiots de ce siècle, comme saint Jérôme réduisit au silence les Pélagiens ou Lucifériens de son temps ?
Obtenir enfin le mutisme du Bourgeois, quel rêve !
L’entreprise, je le sais bien, doit paraître fort insensée. Cependant je ne désespère pas de la démontrer d’une exécution facile et même agréable.
Le vrai Bourgeois, c'est-à-dire, dans un sens moderne et aussi général que possible, l’homme qui ne fait aucun usage de sa faculté de penser et qui vit ou paraît vivre sans avoir été sollicité, un seul jour, parle besoin de comprendre quoi que ce soit, l’authentique et indiscutable Bourgeois est nécessairement borné dans son langage à un très petit nombre de formules.
Le répertoire des locutions patrimoniales qui lui suffisent est extrêmement exigu et ne va guère au-delà de quelques centaines. Ah ! si on était assez béni pour lui ravir cet humble trésor, un paradisiaque silence tomberait aussitôt sur notre globe consolé !
Quand un employé d’administration ou un fabricant de tissus fait observer, par exemple : "qu’on ne se refait pas ; qu’on ne peut pas tout avoir ; que les affaires sont les affaires ; que la médecine est un sacerdoce ; que Paris ne s’est pas bâti en un jour ; que les enfants de demandent pas à venir au monde, etc., etc., etc.", qu’arriverait-il si on lui prouvait instantanément que l’un ou l’autre de ces clichés centenaires correspond à quelque Réalité divine, a le pouvoir de faire osciller les mondes et de déchaîner des catastrophes sans merci ?
Quelle ne serait pas la terreur du patron de brasserie ou du quincaillier, de quelles affres le pharmacien et le conducteur des ponts et chaussées ne deviendraient-ils pas la proie, si tout à coup, il leur était évident qu’ils expriment, sans le vouloir, des choses absolument excessives ? que telle parole qu’ils viennent de proférer, après des centaines de millions d’autres acéphales, est réellement dérobée à la Toute-Puissance créatrice et que, si une certaine heure était arrivée, cette parole pourrait très bien faire jaillir un monde ?
Il semble d’ailleurs, qu’un instinct profond les en avertisse. Qui n’a remarqué la prudence cauteleuse, la discrétion solennelle, le morituri sumus de ces braves, léguées par les siècles et qu’ils transmettront à leurs enfants ?
Quand la sage-femme prononce que "l’argent ne fait pas le bonheur" et que le marchand de tripes lui répond avec astuces que, "néanmoins, il y contribue", ces deux augures ont le pressentiment infaillible d’échanger ainsi des secrets précieux, de se dévoiler l’un à l’autre des arcanes de vie éternelle, et leurs attitudes correspondent à l’importance inexprimable de ce négoce.
Il est trop facile de dire ce que paraît être un lieu commun. Mais ce qu’il est, en réalité, qui pourra le dire ?
Pourquoi, autrement, me serais-je recommandé à saint Jérôme ? Ce grand personnage ne fut pas seulement le consignataire pour toujours de la Parole qui ne change pas, des Lieux Communs pleins de foudres de la Très-Sainte Trinité. Il en fut surtout l’interprète, le commentateur inspiré.
Avec une autorité beaucoup plus qu’humaine, il enseigna que Dieu a toujours parlé de Lui-même exclusivement, sous les formes symboliques, paraboliques ou similitudinaires de la Révélation par l’Ecriture, et qu’il a toujours dit la même chose de milles manières.
J’espère que ce Docteur sublime daignera favoriser de son assistance un pamphlétaire de bonne volonté qui serait si heureux de mécontenter, une fois de plus, la populace de Ninive, éternellement "incapable de distinguer sa droite de sa gauche", - et de la mécontenter à un tel point que des colères inconnues se déchaînassent.
Ce résultat serait obtenu, sans doute, si la céleste douceur ne m’était pas refusée d’établir, en l’irréfutable argumentation d’une dialectique de bronze, que les plus inanes bourgeois sont, à leur insu, d’effrayants prophètes, qu’ils ne peuvent pas ouvrir la bouche sans secouer les étoiles, et que les abîmes de la Lumières sont immédiatement invoqués par les gouffres de leur Sottise. »
Léon BLOY, Exégèse des Lieux Communs, Préface, 1913
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25/05/2011
J'ai rencontré Jean-Paul Bourre
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
J'ai rencontré Jean-Paul Bourre, hier, enfin, après toutes ces années durant lesquelles j'ai écouté, certaines nuits avec une fascination évidente, ses bourlingues métaphysiques sur "Radio Ici et Maintenant", et après avoir lu ses livres avec une jubilation certaine. Nous avons bu un coup à la terrasse d'un café sur la Rue de Rennes à Paris, en compagnie d'Irina, avons évoqué Venise et par la même occasion VENICE, avant de parler de son dernier livre, "Ca' Dario".
Ce que nous savons, lui et moi, c'est qu'il est des cieux vénitiens, des rues mystiques aux dorures florentines, des silences qui s'organisent en bandes-sons magnétiques et font s'égrener le temps en méditatives missives monacales autorisant le déplacement d'un point à un autre par le chemin le plus court : celui de l'immobilité offerte, ouverte et accueillante dans l'enracinement sublime d'une terre qui respecte ses morts. Des choses nous séparent, mais pour mieux nous unir. Il m'a parlé du paganisme et je n'ai pas eu le temps de lui dire que les dieux anciens, du moins ceux dans leur positivités lumineuses, n'étaient, à mes yeux, que les préfigurations amoindries des infinis noms du Dieu Unique, de ses qualités, de ses figurations idéelles, symboliques ou réelles et, surtout, des perceptions que les humbles ont eu de lui avant la Révélation Christique. Mais peut-être en aurai-je l'occasion un jour, car mon seul Luxe, par les temps qui courent, semble bien être Dieu et lui seul.
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Darondo, un précurseur de Prince
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Mesdames... cette musique va vous mettre dans tous vos états, d'avance j'en suis désolé...
William Pulliam, dont le nom d'artiste fut Darondo a été une comète flamboyante de la Funk & Soul Music, juste le temps de... 3 modestes singles... Il est de retour.
Sa mère lui achète une guitare pour ses huit ans, et il copie d'abord le jazzman Kenny Burrell, avant de rejoindre quelques amis au sein d'un groupe de musique juste pour le fun, histoire de reprendre les tubes de la Black Music des sixties. Puis, toujours de manière désinvolte, il grave 3 singles pour des labels différents de la Bay Area. Ça n’est pas le grand succès mais il arrive quand même à faire la première partie de James Brown à San Francisco et à enregistrer une dizaine de titres dont les bandes, aujourd'hui, doivent moisir dans les caves d'une maison de disque quelconque... avant de se consacrer à son activité principale à l’époque : "Pimp"... autrement dit "maquereau". Activité que l'intéressé nie avoir menée.
Cette activité lucrative lui fait gagner le surnom de "Rolls Royce", en raison de la voiture de la même marque qu’il conduit dans les rues de San Francisco et lui fait côtoyer Sly Stone tout en menant la "grande vie" pendant une dizaine d’années.
Dans les années 70, il lâche tout pour voyager. Angleterre , îles Fidji, France, Porto Rico, Venezuela, Mexique. Il revient aux USA où il présente quelques shows TV sur le câble dans la Bay Area de San Francisco ("Darondo's Penthous", il y présente des clips ; puis une émission pour les enfants "Tapper the Rabbit") grâce auxquelles il retrouve une certaine notoriété de par sa personnalité excentrique.
Lassé par la télévision, Darondo repart quelques temps dans les îles Fidji où il rencontre sa femme puis, à son retour en Californie, prend une autre direction professionnelle et décide de faire de la musicothérapie dans les hôpitaux de la région !!! Ajourd’hui bien qu'à la retraite, il a été retrouvé en 2006 par Ubiquity Records, par l'entremise du DJ londonien Gilles peterson qui n'a cessé de jouer son single "Didn't I" lors de ses émissions sur la BBC Radio 1 program, ce qui lui a permis de terminer quelques enregistrements qui accompagnent la réédition de ces 3 premiers singles sur l’album "Let my People Go".
Mélange de stupre, de luxure et de sainteté, ce falsetto animal qui psalmodie et pleure mais n'ignore pas les joies de la chair. Du Prince avant l'heure. De la torture joyeuse, entre Rédemption et Péché, entre "Let my people go" et "Legs".
On en vient à regretter que le monsieur n'ait eu une carrière digne de ce nom, mais sa réponse est simple : "It was mostly me, just having a good time with a real good hobby,It wasn't about money but about having fun. Something I just liked to do. Maybe your dream is to be James Brown or Frank Sinatra but those were just mostly dreams to me."
A découvrir.
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Michel Onfray : La Philosophie comme construction de soi et hédonisme solaire...
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Michel Onfray, invité d'honneur du Bois Fleury- 11/09/2010
Partant de son parcours personnel et puisant dans son travail de philosophe, le créateur de l'Université Populaire de Caen met en lumière le caractère essentiel de la démarche philosophique et démontre ainsi en quoi le savoir est un pouvoir.
[Source : www.mollat.com]
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24/05/2011
DSK : Tout le monde savait, personne ne disait rien !
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
C'est, au moins, tout l'entourage immédiat de DSK qui devrait rendre des comptes dans cette affaire, plus quelques hauts pontes du Parti Socialiste, car tous se sont cloîtrés derrière un mutisme digne des pires raclures mafieuses se soumettant à la Loi du Silence.
Dans une entrevue accordée au Figaro, Christophe Dubois, l'auteur de "Sexus politicus" dénonce les pressions qu'il a subies de la part de l'entourage de DSK.
« DSK avait un besoin effréné et systématique de séduire ! »
DSK et ses proches : Ramzi Khiroun, Anne Hommel, Anne Sinclair, Gilles Finchelstein et Stéphane Fouks

En 2006, vous publiez avec votre confrère Christophe Deloire «Sexus politicus», une enquête inédite qui met en lumière l'appétit de séduction des hommes de pouvoir. Pour vous, écriviez-vous à l'époque, Dominique Strauss-Kahn est le prototype du Sexus politicus. Que vouliez-vous dire ?
CHRISTOPHE DUBOIS - Si la séduction est au cœur du système politique et si la conquête du pouvoir n'est pas sans rapport avec la conquête des femmes, il nous est apparu très vite, à mesure que nous enquêtions, que Dominique Strauss-Kahn était une version XXL du Sexus politicus. Les témoignages qu'on nous livrait, parfois même sans que nous les sollicitions, révélaient que DSK avait un besoin obsessionnel, effréné et systématique de séduire.
Dans le chapitre que vous consacrez à celui qui était alors candidat à la primaire PS de 2007, vous évoquez le rôle de Ramzi Khiroun, l'un des conseillers en communication de DSK. Que cherche-t-il à faire?
C'est suffisamment rare pour être noté. C'est même la première et unique fois dans ma carrière que cela se produit: le conseiller en communication de Dominique Strauss-Kahn devance nos sollicitations. Ramzi Khiroun a eu vent de notre projet de livre et s'en inquiète. Par qui? Comment? Je n'en sais rien. Mais de manière très claire, il veut nous rencontrer afin de savoir ce que nous savons, histoire de nous mettre une amicale pression et de jouer éventuellement les démineurs. Ce ne sera que le début d'une succession de mises en garde.
Plus tard, alors que nous achevions l'écriture de notre enquête et que le livre allait être publié, ce sont les avocats de DSK qui se sont manifestés, nous menaçant, si jamais nous attentions à la vie privée de leur client. Ce qui les inquiétait, c'est qu'ils pressentaient, à juste titre, que nous allions être les premiers à écrire noir sur blanc des faits qui se susurraient dans les rédactions, mais que personne n'avait osé écrire, que nous allions révéler l'existence de notes blanches des RG concernant Dominique Strauss-Kahn, et surtout, que nous allions évoquer le cas d'une jeune journaliste agressée sexuellement par DSK. Reste que ces pressions n'ont pas abouti, parce que nous étions certains de ce que nous avancions. D'ailleurs, en dépit des menaces répétées de l'entourage de DSK, nous n'avons pas été poursuivis.
Vous êtes en effet les premiers à révéler l'affaire Tristane Banon, du nom de cette jeune journaliste et écrivain que Dominique Strauss-Kahn aurait agressé sexuellement en 2002. Pourtant, écrivez-vous, «dans les arcanes du pouvoir, tout le monde savait». Comment expliquez-vous ce silence?
Aujourd'hui, tout le monde semble découvrir que Dominique Strauss-Kahn avait parfois, envers les femmes, des attitudes qui relevaient davantage du pénal, et que son besoin de séduction ne relevait pas seulement du caractère aphrodisiaque du pouvoir. Mais dès 2002, ses amis politiques, son entourage savaient le rapport problématique que DSK entretenait avec les femmes. D'ailleurs, Laurent Fabius et François Hollande, à tour de rôle, ont fait en sorte que cette jeune fille, dont ils connaissaient la mère, une élue socialiste, ne porte pas plainte pour tentative de viol et contribue à ce que tout se règle à l'amiable et sans bruit. Mais la presse aussi était au courant et n'a rien dit.
Dominique Strauss-Kahn, selon-vous, bénéficiait d'une certaine complaisance médiatique ?
Je le pense, oui. Ce n'est pas une appréciation subjective. De manière très factuelle, nous avons constaté, lorsque le livre est sorti, et alors que nous avons bénéficié d'une très grande couverture médiatique, des bonnes feuilles ayant été publiées, que les infos concernant Dominique Strauss-Kahn n'ont jamais fait l'objet d'une seule ligne dans les médias. Cela confinait à l'omerta. Il aura fallu attendre cinq ans pour qu'on découvre que l'on avait écrit des choses intéressantes sur le patron du FMI. Sans vouloir faire le procès en non-curiosité des journalistes, je pense que l'affaire DSK va changer la donne. Elle doit, en tout cas, nous interroger sur notre responsabilité de journalistes et sur la manière dont nous faisons notre travail. Le faire à moitié, s'en tenir aux éloges, c'est trahir notre métier.
Christophe Dubois est Journaliste, coauteur avec Christophe Deloire de Sexus politicus, Albin Michel.
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L'ADN de DSK
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Les nouvelles sont fraîches chaque jour dans cette sordide affaire.
L'ADN de DSK retrouvé sur les vêtements de la plaignante
Une nouvelle journaliste affirme avoir été agressée par DSK...
DSK sort de son silence: « Je serai blanchi. »
L'épouse de DSK, Anne Sinclair, suspend son blog
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Philippe Sollers, l'Isolé Absolu
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
Méprisez-le si ça vous chante, mais voici une occasion pour vous de le découvrir...
Filmé à l'île de Ré, à Venise et à New York, Philippe Sollers poursuit avec André S. Labarthe un dialogue inattendu où l'écrivain montre une facette très différente de sa personnalité, mieux connue comme figure du milieu littéraire parisien. Centré sur l'écriture, dans des lieux de solitude, ce portrait dégage une image insolite de l'écrivain.
Tandis que sont rappelées en voix off les oeuvres principales, au fil du dialogue, Philippe Sollers lit quelques textes et feuillette ses manuscrits. Sa prédilection pour le XVIIIème siècle est évoquée à Venise, magnifiquement filmée par le réalisateur.
« Avec Sollers, l'isolé absolu, André S. Labarthe a approché au plus juste "le plus reconnu et le plus combattu, le plus sollicité et le plus secrètement haï, le plus turbulent et le plus gênant, le plus incontrôlable et donc le plus intolérable, bref, le moins localisable des écrivains contemporains." Un Sollers inédit, délibérément filé hors les murs et à contre-courant. Loin de l'imagerie convenue, pléthorique, de la scène parisienne et spectaculaire, inépuisable terrain d'observation sociale. Peu d'éléments d'archives, hormis quelques photos et deux extraits significatifs où Philippe Sollers déploie son Paradis saisi frontalement par Jean-Paul Fargier en 1983.
L'écriture, la littérature, le style sont au centre du propos de ce film inscrit dans la fluidité d'une triade lumineuse entre Sud-Ouest, Ouest et Sud. Constante mentale où l'œuvre de Sollers prend sa respiration, géographie intime et lieux d'intimes convictions - "Nager dans l'encre... être à la mesure de l'eau ; lorsque le souffle, et le poignet, et la main, le vent et l'eau sont à égalité". L'île de Ré, ancrage familial ; New-York, fréquentée depuis plus de vingt-cinq ans, où le temps dérive "en particules accélérées" ; Venise enfin, cette cité "toute entière conversation sacrée" où Sollers a débarqué à l'automne 1963.
Une rencontre musicale, joueuse, éveillée, émargée de silences communs. Complice à bonne distance, Labarthe y campe "le type au chapeau", trimballant en fil rouge une vache contrapuntique (symbole de l'anecdotique, de l'artifice participant du spectacle). Tout au long du tournage (de juillet à décembre 1997), à l'écart du travail filmique, Patrick Messina s'est lové dans les replis de cet échange " avec une souplesse assez étrange", relèvera Sollers. "Je ne me suis jamais fait photographier comme Messina l'a fait. Avec André, avec Patrick, on s'est mis ensemble dans la situation d'une expérience clandestine et on a pris tout le temps nécessaire." Illustration de cette équipée singulière à travers son inventaire photographique ; scandé par les dialogues, extraits ou en marge du film entre l'écrivain et le cinéaste. »
Valérie Cadet in "Bataille, Sollers, Artaud" Filigranes Editions 2002
Philippe Sollers - 1/2
Philippe Sollers - 2/2
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23/05/2011
Antonio Caldara : Missa Dolorosa - Gloria
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DSK : récapitulation
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Une petite récapitulation de cette foudroyante actualité mettant en scène un Parangon de la vertu, socialiste et défenseur de la veuve et de l'orphelin, des travailleurs, des proscrits, des pauvres et des immigrés, pourfendeur des riches exploiteurs capitalistes, qui aurait pu être notre Président de la République... et qui fut, en vérité, un "maître" du monde libidineux et obsédé sexuel, sans compassion pour les faibles et méprisant envers les femmes... Dominique the Sex Killer.
Voici les liens essentiels à consulter ou à reconsulter...
DSK : DOMINIQUE the SEX KILLER
La chute de DSK : la fin des 30 calamiteuses ?
DSK : la chute annoncée de toute la Gauche ?
DSK : une ancienne victime parle au milieu du bal des faux-culs
DSK : la Valse sordide se poursuit...
DSK : les derniers mots de l'homme libre... "Quel beau cul !"
Exclusif ! DSK : l'explication de Gôche
DSK : la fortune de l'hypocrite
Spéciale dédicace aux complotistes... DSK : ceux qui complotent sans cesse sont ses amis
DSK aurait invité la réceptionniste du Sofitel dans sa chambre, selon CNN
Selon Jamel Debbouze : "DSK ? Tout ça pour une femme de ménage !"
La "Victime présumée" de DSK tremblait, crachait et voulait vomir...
France, Usa : en matière de viol, la nuit et le jour...
DSK : Pression sexuelle et ADN...
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DSK : Pression sexuelle et ADN...
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Les résultats ADN confirmeraient la présence de sperme sur les vêtements de la femme de chambre...
Et ce cher Jean-Paul Huchon, président PS de la Région Ile-de-France, qui en rajoute dans le ridicule en plein festival de Kahn Cannes... par solidarité pour son camarade socialiste en résidence surveillée à New York.
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Johann Joseph Fux : Kaiserrequiem (missa pro defunctis)
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Soleil de la Civilisation Occidentale. Sens de la Métaphysique jusque dans la Musique qui autorise de sourire même à la Mort sans crainte aucune.
Johann Joseph Fux (1660 - 1741), Kaiserrequiem (missa pro defunctis)
1/9
I. Requiem aeternam
2/9
II.Kyrie eleison
3/9
III. Dies irae
IV. Quantus tremor
V. Tuba mirum
VI. Mors stupebit
VII. Liber scriptus
VIII. Rex tremendae
IX. Recordare
X. Juste judex
4/9
XI. Preces meae
XII. Inter oves
XIII. Confutatis
XIV. Oro supplex
XV. Lacrimosa
5/9
XVI. Libera me
XVII. Largo from Canon a due
6/9
XVIII. Domine Jesu XIX. Sed signifer
XX. Hostias
7/9
XXI. Sanctus
XXII. Benedictus
XXIII. Hosanna
XXIV. Adagio from Sonata terza
8/9
XXV. Agnus dei
9/9
XXVI. Lux aeterna
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... de la merde !
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« Mais n'avez-vous pas remarqué que depuis 1930, avec quelques exeptions qui confirment la règle, tout ce qui se dit artiste est de la merde... Pensez-vous donc que ceux qui croient à quelque chose puissent seulement envisager d'être subventionnés par un État et, réciproquement, qu'un État puisse envisager sérieusement de subventionner ceux qui croient en quelque chose ? Vous croyez-vous toujours au temps de Louis II de Bavière ? N'avez-vous pas remarqué que depuis 1930 toutes les formes classiques de l'art sont usées et que c'est la seule raison de l'absence de jeunes talents là ? Que voulez-vous qu'un jeune talent aille faire là ? N'avez-vous pas remarqué que lorsque notre époque enfante une individualité indiscutable par le style, c'est un Besse ou un Mesrine... [ou de nos sombres jours un Durn ou un John Hinckley Jr] ? N'avez-vous pas remarqué qu'il y a des raisons historiques qui ressortissent à l'histoire de l'art moderne pour cela ? Ignorez-vous que vers 1930 une dizaine de jeunes hommes dans la force de l'âge en sont morts volontairement après avoir porté leur suicide à la boutonnière ? Ignorez-vous que l'on n'écrit pas impunément après Joyce, que l'on ne peint pas impunément après Malévitch, que l'on n'écrit pas impunément de musique après Schoenberg, que l'on ne peut se dire impunément artiste après Dada, à moins justement de signer un pacte avec le diable ? Croyez-vous donc que de tels artistes aient tant souffert seulement pour permettre à des petits merdeux stipendiés de faire leur petit caca littéraire ou leur petit pipi pictural ? »
Jean-Pierre Voyer, Lettre au pédé mondain Hocquenghem
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22/05/2011
France, Usa : en matière de viol, la nuit et le jour...
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(Mode ironique "on")
On peut comprendre nos chers socialistes qui s'émeuvent à l'endroit de DSK. Oui, je les comprends. C'est vrai, voyez plutôt : En octobre 2007, un jeune burkinabé accusait un élu socialiste, Michel Cureau, d'agressions sexuelles. Trois autres plaintes étaient instruites, sur des faits commis en 1994 et 1995, et pour la corruption d'un mineur de 18 ans, entre 2002 et 2004. Beau tableau. Résultat de l'affaire après passage au tribunal : 18 mois de prison avec sursis, 10.000 euros d'amendes et interdiction de contact habituel avec les mineurs. Il n'a pas perdu ses droits civiques. Le parquet avait requis seulement 3 années de prison dont 2 avec sursis, 5 ans de privation des droits civiques et une interdiction définitive d'exercer toute activité en relation avec les enfants. Pour viols présumés. En effet, nous ne sommes pas aux USA, c'est sûr. Alors je les comprends nos chers socialistes, 25 ans de prisons en comparaison c'est parfaitement exagéré.
(Mode ironique "off")
Quelle belle image les socialistes nous donnent !
22:12 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (4) | |
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La "Victime présumée" de DSK tremblait, crachait et voulait vomir...
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Selon Lorraine Millot, correspondante pour Libération...
La femme de chambre qui accuse Dominique Strauss-Kahn de l’avoir agressée n’a pas immédiatement alerté ses collègues : elle s’était cachée dans un couloir, où elle a attendu que DSK quitte sa chambre et où une responsable d’étage l’a trouvée peu de temps après, rapporte John Solomon, investigateur au Center for Public Integrity dans un récit très détaillé publié par le Daily Beast. La collègue, venue inspecter l’étage, a tenté de calmer la jeune femme, comprendre ce qui s’était passé et l’a ramenée dans la suite 2806, raconte John Solomon, citant des « sources proches de l’enquête » (c’est à dire la police ou le bureau du procureur). Ophelia (le nom que la femme de chambre utilisait au Sofitel) tremblait et avait des nausées, a rapporté la supérieure qui l'a interrogée la première. Ophelia s’inquiétait aussi de perdre son emploi pour être entrée dans une chambre encore occupée par un client, selon ce même récit.
La première collègue a ensuite appelé la responsable de toutes les femmes de ménage, qui a aussi interrogé Ophelia, avant d’alerter un agent de sécurité de l’hôtel. Celui-ci a mené un troisième interrogatoire, pendant lequel Ophelia « a semblé traumatisée, allant une fois aux toilettes pour essayer de vomir et crachant à plusieurs reprises sur le sol et les murs de la suite » poursuit John Solomon, citant toujours ses mêmes « sources ». L’agent a ensuite appelé le chef de la sécurité de l’hôtel, qui a tenté une quatrième fois d’interroger Ophelia, laquelle se montrait de plus en plus « traumatisée et malade », s’inquiétait du risque d’être licenciée et n’était pas sûre de pouvoir même porter plainte. Convaincu qu’il y avait bien eu agression, et que les quatre récits successifs d’Ophelia avaient été cohérents, le chef de la sécurité de l’hôtel a alors appelé la police, vers 13h30, une heure environ après les faits présumés.
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Le dévergondage toujours croissant de ses conversations saugrenues ou niaises
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« Tel qu'un ermite, il était mûr pour l'isolement, harassé par la vie, n'attendant plus rien d'elle; tel qu'un moine aussi il était accablé d'une lassitude immense, d'un besoin de recueillement, d'un désir de ne plus rien avoir de commun avec les profanes qui étaient, pour lui, les utilitaires et les imbéciles.
En résumé, bien qu'il n'éprouvât aucune vocation pour l'état de grâce, il se sentait une réelle sympathie pour ces gens enfermés dans des monastères, persécutés par une haineuse société qui ne leur pardonne ni le juste mépris qu'ils ont pour elle, ni la volonté qu'ils affirment de racheter, d'expier, par un long silence, le dévergondage toujours croissant de ses conversations saugrenues ou niaises. »
Joris-Karl Huysmans, À rebours
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21/05/2011
Selon Jamel Debbouze : "DSK ? Tout ça pour une femme de ménage !"
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Après Jack Lang, déclarant qu'il n'y avait pas mort d'homme...
Après Jean-François Kahn réduisant l'acte de DSK à un troussage de domestique...
Le délicieux Jamel Debbouze se comporte comme une bouse... en déclarant : "Tout ça pour une femme de ménage."
Elle est définitivement magnifique cette Gôche qui défend les petites gens, les immigrés, les travailleurs... elle est l'incarnation vibrante de la vertu.
21:04 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (7) | |
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DSK aurait invité la réceptionniste du Sofitel dans sa chambre, selon CNN
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D'après CNN, lors de son arrivée à l'hôtel Sofitel, DSK "était à la recherche de compagnie féminine".
Selon les informations de CNN, tout de suite après avoir pris possession de sa chambre, DSK "a téléphoné à la réception pour proposer à la réceptionniste du Sofitel de le rejoindre dans sa chambre pour prendre un verre, mais celle-ci a refusé."
Quel queutard ce DSK !
De son côté, Jon Stewart s'en donne à coeur joie, on le comprend... merci à ILYS...
On m'indique (merci chère Crevette) que l'extrait en question n'a pas été retenu par Canal + aujourd'hui lors de la diffusion du Jon Stewart Show. Ce qui est tout de même très révélateur de l'état mental de cette chaîne et cela continue à nous foutre la honte de l'autre côté de l'Atlantique. Nos gauchiasses (comment les nommer autrement en semblables circonstances ?) n'en finissent pas de couler et de nous entraîner avec eux... Lamentable !
17:49 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (5) | |
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L'ordre ?
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« La droite qui professe souvent une conception "organique" de la société, déploie beaucoup d'énergie à faire l'apologie de l'ordre, sans voir que c'est une notion qui, par son exigence meme, recèle une forte part de mécanicisme -de normalisation artificielle. L'organique contient toujours une part de désordre; il est certes harmonie, mais sans cette homogénéisation qu'entraine le plus souvent l'instauration volontaire, extérieure de l'ordre. Ajoutons que les plus chauds partisans de l'ordre sont en général incapables de mettre de l'ordre en eux-memes. A titre de compensation, et pour se rassurer, ils veulent voir régner autour d'eux, à l'extérieur d'eux-memes, un ordre dont ils ne sont pas capables d'etre le lieu. Un peu comme ces ménagères qui, lorsqu'elles ont des problemes d'existence, se mettent invariablement à faire du rangement. »
Alain de Benoist, Dernière année
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20/05/2011
Comment faire venir la police chez vous quand vous êtes vieux... et plus très mobile...
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J'ai volé cette histoire chez la délicieuse Crevette...
Denis, un homme d'un certain âge vivant à Baie-Comeau est sur le point de se coucher quand sa femme lui signale qu'il a laissé la lumière ouverte dans l'abri de jardin que l'on peut voir depuis la fenêtre de la chambre.
Il ouvre la porte arrière de sa maison pour aller éteindre, mais il voit qu'il y a des personnes dans l'abri en train de voler du matériel.
Il appelle alors la police qui lui demande :
- Quelqu'un s'est-il introduit chez vous ?
- Non, mais des gens sont en train de me voler après s'être introduits dans ma cabane de jardin.
- Toutes nos patrouilles sont occupées il faut vous enfermer chez vous, et un officier passera dès qu'il sera libre.
- OK !
Denis raccroche, attend 30 secondes et rappelle la police :
- Bonjour, je viens de vous appeler pour des voleurs dans mon abri de jardin, ne vous inquiétez plus à ce propos, je viens de les abattre.
Puis il raccroche.
Dans les cinq minutes qui suivent, 6 voitures de police, une équipe de tireurs d'élite, un hélicoptère, deux camions de pompiers, Une ambulance locale se présentent devant son domicile et les voleurs sont pris en flagrant délit.
Un policier lui sort :
- Je croyais que vous les aviez tués ?
- Et moi je croyais que vous n'aviez personne de disponible !!!
23:18 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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