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05/02/2012

Toutes les civilisations ne se valent pas, paraît-il...

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Claude Guéant a, encore, fait son cinéma. Il est rigolo. Il est rigolo mais pas tant que le camp d'en face qui est ridicule jusqu'au comique et jusqu'à la nausée. Qu'a-t-il proféré, Claude Guéant, cette fois-ci comme postulat hautement philosophique politique ? Que toutes les civilisations ne se valent pas. Bien ! Levées de boucliers en face, chez les socialistes en particulier.

Comme chacun le sait, la civilisation des papous vaut (de loin) la brillante Civilisation Perse, et la Civilisation des pygmées écrase de tout son poids celle de l'Occident. N'oublions pas la Civilisation brillante de L'Empire du Grand Zimbabwe, aussi appelé Monomotapa qui rend insignifiante la Civilisation chinoise que la Dynastie des Han consolida dés l'Antiquité. Je tiens à avoir une pensée toute particulière pour la Civilisation Aborigène d'Australie qui efface d'un revers de la main celle de la Mésopotamie à l'ère d'Uruk qui fit se développer l'écriture.

Je sais, je suis cynique... mais c'est tout ce qu'il me reste.

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27/11/2011

Quand l'histoire est tronquée !

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Jean Sévillia évoque la complexité de l’Histoire. Lecture du passé, l’Histoire ne doit pas être jugée avec les mentalités d’aujourd’hui, mais doit tenir compte de celles de l’époque en question. 

 

Si vous voulez télécharger cette intervention de Jean Sévilla en fichier vidéo mp4, cliquez ici...

 

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En histoire aussi, la vérité rend libre

Famille chrétienne- 07/11/2011

Réponses de Jean Sévillia à un entretien sur les idées reçues en matière historique.

 

Comment se définit, en Histoire, le « politiquement correct » ?

     Globalement, il s’agit d’une lecture du passé commandée par l’idéologie actuellement dominante. Quelle est cette idéologie ? Celle d’un monde sans frontières, où les enracinements sont condamnés par principe ; d’un monde multiculturel, où toutes les civilisations sont déclarées égales ; d’un monde voué au libre-échange humain et matériel, où toute référence morale et métaphysique est bannie dès lors qu’elle paraît faire obstacle au libre-arbitre individuel. Dans la pratique, en France, le politiquement correct appliqué à l’histoire se traduit par un anti-occidentalisme systématique, par l’aversion à l’égard de notre héritage national, et surtou tpar une animosité non-dissimulée envers la présence du christianisme dans notre histoire, spécifiquement envers le catholicisme.

     Sur le plan méthodologique, le phénomène se traduit par trois procédés principaux. D’abord l’anachronisme : le passé est jugé à partir des critères du présent. Analyser le Moyen Age, par exemple, époque communautaire et sacrale, au nom des droits de l’homme et d’une vision sécularisée de la société, c’est s’interdire de comprendre la civilisation médiévale. Deuxième procédé : le manichéisme. Les bons sont opposés aux méchants, mais toujours selon les canons d’aujourd’hui. Troisième procédé, enfin, la simplification. Alors que l’histoire est le lieu de la complexité, le politiquement correct interprète le passé en fonction d’un ou deux facteurs explicatifs (le racisme, l’intolérance, etc.) tirés de l’arsenal idéologique contemporain.

     Lutter contre le politiquement correct en histoire, c’est tenter de retrouver la vérité d’une époque, que cette vérité soit ou non plaisante à nos yeux.

En 2003, vous avez écrit « Historiquement correct ». En 2011, vous publiez « Historiquement incorrect ». Y a-t-il une évolution ?

     Pas vraiment, puisque l’idéologie dominante est la même. Si l’on remontait plus haut dans le temps, des différences sensibles sauteraient aux yeux. Jusqu’aux années 1970, l’explication marxiste de l’histoire guidait de nombreux chercheurs. Je ne dis pas que le marxisme a disparu, mais celui-ci ne fait plus référence dans le monde de l’histoire. Entre 2003 et 2011, on note tout juste des inflexions dans le discours imposé. Mon Historiquement correct, il y a huit ans, faisait ainsi état de la polarisation du débat historique, dans les années 1990, autour des années d’occupation. La décennie 2000-2010 a plutôt été caractérisée par les polémiques concernant le bilan de la colonisation. Un durcissement s’observe actuellement, nourri par un véritable terrorisme intellectuel, autour de tout ce qui touche à l’histoire de l’islam.

Comme tristement exemplaire, vous évoquez l'affaire Gouguenheim, polémique sur ce que l'Occident médiéval doit aux Arabes...

     Après la publication de son livre Aristote au Mont-Saint-Michel, Sylvain Gouguenheim, enseignant à l’Ecole normale supérieure de Lyon, a subi une véritable chasse aux sorcières, visant rien moins qu’à obtenir son interdiction professionnelle. Tout cela au nom de la tolérance, bien entendu… Tout cela parce que ce médiéviste remettait en cause la vulgate aujourd’hui installée selon laquelle le passage de la culture antique vers l’Occident s’est opéré grâce aux philosophes arabes. Gouguenheim n’a fait que rappeler que le Moyen Age latin a travaillé directement sur les textes grecs, que certains de ces textes lui parvenaient par le canal de Byzance, que les traducteurs arabes, dans le monde musulman, étaient souvent des chrétiens, et que, globalement, le monde islamique n’a utilisé qu’une faible part de la pensée hellénique. Ce sont des faits historiquement établis, mais comme ils contreviennent au cliché d’une civilisation musulmane ouverte aux autres cultures, il devient interdit de les rappeler.

Vous traitez aussi bien des chrétiens et des juifs que de la France et de l'islam. Le traitement n'est pas exactement symétrique...

    Le christianisme est né du judaïsme. Leur séparation s’est faite dans la douleur, affrontement qui a laissé des traces durables des deux côtés. Dans un chapitre d’Historiquement incorrect, j’ai tenté de retracer jusqu’au XXe siècle cette relation difficile, mais en balayant certaines légendes : il n’est pas niable que la société de chrétienté a été dure pour les non-chrétiens, mais voir de l’antisémitisme partout dans le passé occidental est une simplification abusive. Il reste que chrétiens et juifs, héritiers et détenteurs d’un patrimoine commun, ont partie liée, ce sur quoi Jean-Paul II et Benoît XVI n’auront cessé d’attirer notre attention. Avec l’islam, la relation est radicalement différente pour les chrétiens : les textes sacrés ne sont pas les mêmes, la conception de l’homme et de la société non plus. La rencontre de la France et de l’islam s’est faite dans le cadre colonial, en posant des problèmes qui n’ont jamais été résolus. Après la liquidation des colonies, l’islam est resté par le canal de l’immigration. Un islam de France ou un islam européen est-il possible ? Une inconnue s’ouvre devant nous.

Vous parlez beaucoup de la France. N'est-ce pas le cœur du malaise ?

     Un pays qui doute de son identité au point d’être incapable de s’accorder pour la définir, comme on l’a constaté lors du débat de 2009-2010 sur l’identité nationale, est mal armé pour regarder son passé, et partant mal armé pour aborder l’avenir : pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient.

Le Président de la République inaugure bientôt un Musée de la Grande Guerre à Meaux. Or vous affirmez que nous ne comprenons plus cette période...

     L’intérêt pour la Première Guerre mondiale va croissant, mais l’univers mental des combattants de 14-18 nous est de plus en plus incompréhensible. A l’heure de l’Europe unie, comment comprendre la haine du « Boche » (haine qui était la même dans l’autre camp) ? A l’heure du « droit à », comment comprendre l’expression « faire son devoir » ? Dans une société d’abondance et de confort matériel, comment comprendre ce que ces hommes ont enduré et ont accepté d’endurer ? Alors le cinéma, le roman ou la bande dessinée font revivre la Grande Guerre, mais en prêtant aux Poilus une mentalité d’aujourd’hui : fraternité internationale, pacifisme, révolte contre l’ordre militaire. Historiquement, cela ne correspond pas à la réalité. Si mystérieux que cela nous paraisse, les hommes de l’époque ont consenti à cette guerre. On peut le déplorer et juger que 14-18 a été une guerre civile européenne, ce n’est qu'un jugement rétrospectif.

Dans votre livre, on voit qu'on fait souvent à l'Eglise et au christianisme des procès historiques. Ne sont-ils jamais justifiés ?

     L’Eglise est d’institution divine, mais elle est composée d’hommes qui sont par nature imparfaits. Il serait par conséquent absurde de prétendre que le passé de l’Eglise est sans tache. Regardons donc l’histoire de l’Eglise en face. Mais procédons comme des historiens authentiques et non comme des idéologues : examinons les sources, faisons-leur subir un examen critique, replaçons les faits dans leur contexte, analysons-les en les rapportant aux idées et aux mentalités du temps. Les pages sombres de la légende anticléricale s’éclairent alors d’un autre jour, même si, redisons-le, des moments de grande imperfection se repèrent dans l’histoire de l’Eglise, imperfection que l’Eglise, avec la force d’une institution qui traverse les siècles, a toujours su corriger. Les dérives de la Rome de la Renaissance ont provoqué la Réforme luthérienne, qui elle-même a suscité, par contrecoup, le renouveau spirituel de la Contre-réforme.

La condamnation de Galilée témoigne-t-elle ainsi de l'obscurantisme de l'Eglise ?

     Il est difficile de résumer en quelques mots une histoire aussi complexe que l’affaire Galilée, mais il faut retenir que l’astronome n’a pas été condamné en soi parce qu’il professait l’héliocentrisme : le chanoine Copernic avait déjà affirmé que la terre tourne autour du soleil, et ce sans être inquiété par les autorités ecclésiastiques. A Galilée, il était reproché de professer un système astronomique sans avoir les moyens de le prouver et en mêlant l’Ecriture sainte à l’affaire. Des considérations politiques sont également à l’origine du procès qui lui a été intenté. Mais l’Eglise de son époque n’était pas l’ennemie de la science. Elle ne l’a d’ailleurs jamais été.

En Histoire, la vérité finit-elle toujours par triompher du mensonge ?

     J’aimerais le croire, mais je n’en suis pas certain. Des mensonges, infiniment répétés, répercutés par l’école, les médias ou l’air du temps, finissent par s’imprimer profondément dans les esprits, et le travail nécessaire pour les démasquer est sans fin. Ce n’est pas une raison pour se décourager. D’autant que des victoires peuvent être remportées. Par exemple, si les crimes du communisme sont moins rappelés que ceux du nazisme, plus personne ne nie aujourd’hui les horreurs de Katyn ou du goulag, ce qui n’était pas le cas il y a encore trente ans. En histoire aussi, seule la vérité rend libre.

Propos recueillis par Jean-Marc Bastière

 

SOURCE

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10/11/2011

Le mythe de la tolérance musulmane

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Le mythe de la tolérance musulmane en Europe tient du délire.
En Espagne, cette tolérance a souvent dépendu de la bonne volonté du sultan local d'une part, mais, surtout, d'autre part, c'est une période qui n'a duré que quelques 90 années autour de l'an 1000 lorsque le Califat vacillant a traversé une période de troubles (les différents clans qui aspiraient au Pouvoir passaient leur temps à s'égorger entre elles... notre histoire monarchique, en comparaison, est un vrai conte de fées) et que les villes espagnoles sont devenues des sortes de "cités-états" relativement indépendantes (on appelait cela des "Taïfas") et que tout le monde a dû se serrer les coudes pour éviter le chaos général.
Dans les Balkans, par contre, cette tolérance a été, pour ainsi dire, inexistante, tout étant fait pour que les chrétiens locaux se convertissent. D'où, aujourd'hui, la haine des bosniaques vis-à-vis des serbes ("Pourquoi ne se sont-ils pas convertis comme nous" ?) et la haine des serbes vis-à-vis des bosniaques ("Les lâches se sont convertis et se sont reniés pour avoir la belle vie, et pas nous qui avons résisté durant 5 siècles" !)

C'est un peu plus complexe et moins emprunt de naïveté, n'est-ce pas, que ce que la doxa veut nous faire avaler ? Sinon, si je vous dis tout ça, c'est que je suis tombé sur ces liens :

ICI

et

Là...

De son côté, Jean-François Revel écrivait dans "L'obsession antiaméricaine" ce qui suit, parlant des événements du 11 Septembre 2001 :

« Ce qui dicte la vision du monde des musulmans, c’est que l’humanité entière doit respecter les impératifs de leur religion, alors qu’ils ne doivent eux-mêmes aucun respect aux religions des autres, puisqu’ils deviendraient alors des renégats méritant l’exécution immédiate. La “tolérance” musulmane est à sens unique. Elle est celle que les musulmans exigent pour eux seuls et qu’ils ne déploient jamais envers les autres. Soucieux de se montrer tolérant, le pape a autorisé, encouragé même, l’édification d’une mosquée à Rome, ville où est enterré Saint Pierre. Mais il ne saurait être question de contruire une église à La Mecque, ni nulle part en Arabie Saoudite, sous peine de profaner la terre de Mahomet. En octobre 2001, des voix islamiques, mais aussi occidentales, ne cessèrent d’inviter l’Administration américaine à suspendre les opérations militaires en Afghanistan durant le mois du ramadan, qui allait commencer à la mi-novembre. Guerre ou pas guerre, la décence - disaient les bien-intentionnés - impose certains égards pour les fêtes religieuses de tous. Belle maxime, sauf que les musulmans s’en tiennent pour les seuls exemptés. En 1973, l’Egypte n’a pas hésité à attaquer Israël le jour même du Kippour, la plus importante fête religieuse juive, guerre qui est restée dans l’histoire précisément sous l’appellation la “guerre du Kippour”.

Le deuxième volet du mythe de l’islam tolérant consiste à soutenir hautement que le gros des populations musulmanes désapprouve le terrorisme, et au premier rang l’immense majorité des musulmans résidents ou citoyens des pays démocratiques d’Europe ou d’Amérique. Les muphtis ou recteurs des principales mosquées en Occident se sont fait une spécialité de ces assurances suaves. Après chaque déferlement d’attentats meurtriers, par exemple en France en 1986 et en 1995, ou après la fatwa ordonnant de tuer Salman Rushdie en 1989 ou Taslima Nasreen en 1993 pour “blasphème”, ils n’ont pas leurs pareils pour garantir que les communautés religieuses dont ils ont la charge spirituelle sont foncièrement modérées. Dans les milieux politiques et médiatiques, on leur emboîte avec empressement le pas, tant la crainte nous étrangle de passer pour racistes en constatant simplement les faits. Comme le dit encore Ibn Warraq, “la lâcheté des Occidentaux m’effraie autant que les islamistes.”

Ainsi, le quotidien Le Parisien-Aujourd’hui, dans son numéro du 12 septembre 2001, publie un reportage sur l’atmosphère de liesse qui a régné durant toute la soirée du 11 dans le XVIIIe arrondissement de Paris, où vit une importante communauté musulmane. “Ben Laden, il va tous vous niquer ! On a commencé par l’Amérique, après ce sera la France.” Tel était le type de propos “modérés” adressés aux passants dont le faciès semblait indiquer qu’ils n’étaient pas maghrébins. Ou encore : “Je vais faire la fête ce soir car je ne vois pas ces actes [les attentats de New York et de Washington] comme une entreprise criminelle. C’est un acte héroïque. Ca va donner une leçon aux Etats-Unis. Vous, les Français, on va tous vous faire sauter.”

Ce reportage du Parisien n’a eu d’équivalent dans aucun autre organe de la presse écrite et fut passé sous silence par la quasi-totalité des médias. En tout cas, auditeur assidu, chaque matin, des diverses revues de presse radiophoniques, je ne l’ai entendu mentionner dans aucune d’entre elles, sauf erreur, ce 12 septembre.

Malgré l’imprécision des statistiques, on considère que la population vivant en France compte entre quatre et cinq millions de musulmans. C’est la communauté musulmane la plus nombreuse d’Europe, suivie, loin derrière, par celles d’Allemagne et de Grande-Bretagne. Si “l’immense majorité” de ces musulmans était modérée, comme le prétendent les muphtis et leurs suiveurs médiatico-politiques, il me semble que cela se verrait un peu plus. Par exemple, après les bombes de 1986 puis de 1995, à Paris, qui tuèrent plusieurs dizaines de Français et en blessèrent bien davantage, il aurait bien pu se trouver, sur quatre millions et demi de musulmans, dont une bonne part avait la nationalité française, quelques milliers de “modérés” pour organiser une manifestation et défiler de la République à la Bastille ou sur la Canebière. Nul n’en a jamais vu l’ombre.

En Espagne, des manifestations rassemblant jusqu’à cent mille personnes ont souvent eu lieu en 2001 pour honnir les assassins de l’ETA militaire. Elles se sont déroulées non seulement dans l’ensemble du pays, mais au Pays basque même, où les manifestants pouvaient craindre des représailles, quoique les partisans des terroristes y fussent effectivement très minoritaires, comme l’ont encore prouvé les élections régionales de novembre 2000.

Si, au rebours, les musulmans modérés en France osent si peu se manifester, la raison n’en serait-elle pas qu’ils savent que ce sont eux les minoritaires au sein de leur communauté et non les extrémistes ? Voilà pourquoi ils sont modérés… avec modération. Il en va de même en Grande-Bretagne, où l’on vit, en 1989, les musulmans, pour la plupart d’origine pakistanaise, se déchaîner pour hurler à la mort contre Salman Rushdie, mais où l’on ne vit aucun d’entre eux protester contre ces cris barbares. Après le 11 septembre, tel porte-parole qualifié des musulmans britanniques, El Misri, définit les attentats contre les World Trade Center comme des actes de “légitime défense”. Tel autre, Omar Bakri Mohammed, lança une fatwa ordonnant de tuer le président du Pakistan, coupable d’avoir pris positionen faveur de George Bush contre Ben Laden. Chacun a eu beau tendre l’oreille, personne n’a entendu la moindre foule “modérée” islamo-britannique protester dans les rues contre ces appels au meurtre, parcqu’il n’en existe aucune, pas plus qu’il n’y a de foule “modérée” islamo-française. La notion que “l’immense majorité” des musulmans fixés en Europe serait modérée se révèle n’être qu’un rêve, ce qui fut mis spectaculairement en lumière durant les deux mois qui suivirent les attentats contre les Etats-Unis. »

Le règne du machinisme commence, d'une certaine façon, avec Mahomet, cet "Adolf Hitler" du désert (ou comme l'écrit Dantec, "Hitler, ce Mahomet du Tyrol"), avec un Livre sensé être gravé par la parole incarnée de Dieu en personne, levant quelques tribus de bédouins vivant dans le sable et des tentes dans quelques recoins d'Arabie qui vont se lancer, ni plus ni moins, à la conquête du Monde par le sabre. Il suffit de regarder, aujourd'hui, une carte du Monde Musulman pour voir la portée colonialiste de ce projet de domination et la décimation effective des civilisations qui ont précédé l'arrivée des armées du Prophète. Pour le reste, tolérance, paix, amour... le monde musulman, dans ces domaines, est un grand mythe.

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01/10/2011

SOS EDUCATION

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Les Gôgôs Gôchistes gôchiâsses se foutent de votre gueule et, surtout, de celle de nos enfants... voici quelques vérités à prendre en considération et à faire circuler autour de vous. Signez la pétition...

 

Signez la pétition...

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12/07/2011

Phase ultime d'optimisation du rendement de l'esclave

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- Prenez un esclave et enchaînez-le, cognez-le, soumettez-le de façon radicale, écrasez-le toujours de votre poing de maître : l'amortissement sera faible.

- Changez d'optique, ne le cognez plus, de même ne l'enchaînez plus, cependant rendez-le totalement dépendant de vous : l'amortissement augmente mais la recette demeure moyenne, le profit toujours négligeable malgré l'amélioration.

- Optimisez votre art de la domination, faites croire à l'esclave qu'il est libre et, mieux, faites lui choisir sa servitude de telle manière qu'il ne la soupçonne guère : rendement
massif, rouage exploitable à merci et interchangeable à volonté, rapport entre le temps alloué à une tâche et le résultat obtenu entièrement maximisé.

Bienvenu en Démocratie : phase ultime d'optimisation du rendement de l'esclave.

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03/07/2011

DSK : The Messiah is back

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Ce que l'on sait de Nafissatou Diallo, la présumée victime de DSK

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On me fait savoir que le retournement de situation dans l'affaire DSK n'est pas commenté par mes soins. Je me défilerais, voyez-vous, et je ne donnerais pas le même traitement à Georges Tron qu'à DSK, bien que je n'ai rien écrit ou posté à propos du masseur de pieds. Et patati et patata... faut que ça blah-blate sans cesse histoire de se donner bonne conscience pour demeurer accroché à ses crispations idéologiques comme une larve de pou à un poil de cul. Alors allons-y, jetons aux pieds de ces pauvres gens de quoi défaire leurs postures car, quoi qu'il advienne à l'avenir de cette affaire sinistre impliquant Dominique the Sex Killer, en ce qui me concerne le débat est clos.

D'abord Georges Tron... c'est probablement une autre petite crapule perverse qui ne mérite qu'une chose : dégager de ses fonctions et être puni pour ses actes si tout dans son affaire se révèle être vrai, car on n'use pas de son pouvoir, fut-il énorme ou modeste, pour exercer une pression sur quelqu'un afin d'en obtenir les faveurs sexuelles. Je ne puis être plus clair.
Par contre, Georges Tron n'était pas candidat à la présidentielle, jusqu'à son affaire c'était un illustre inconnu que la majeur partie des français ne connaissait pas comme ils ne connaissent pas non plus les autres pervers qui font la une des médias lorsque ceux-ci les portent sous le feu désagréable des projecteurs en raison des saloperies qu'ils commettent. Il faut tout de même savoir que 40% des prisonniers en France le sont pour des délits ou crimes à caractères sexuels, ce qui est beaucoup.
En outre, les socialistes passant leurs temps à donner des leçons de morale à la terre entière, mettant en avant sans cesse la bonne vertu de gauche sensée sauver la collectivité... et bien non, je ne trouve pas que Dominique the Sex Killer soit une appellation exagérée, comme on a pu me reprocher d'en avoir usé et abusé, au pays de la caricature et de la critique politique... au pays de Voltaire. D'ailleurs, je ne sais même pas si je l'ai déjà précisé, mais il me faut en ce cas passer aux aveux, Dominique the Sex Killer est une trouvaille de ma douce Irina qui, en tant que femme, ne se laisse pas impressionner par les porcs en cravate siégeant au sommet du monde (FMI) et exigeant un droit de cuissage comme au temps lugubre de la prima nocte. J'exagère encore ? Poursuivons de ce fait.

Ce débat est totalement clos en ce qui me concerne car les têtes qu'ont fait les socialistes se suffisent à elles-mêmes... les têtes qu'ont fait les socialistes ET la sphère médiatico-politique en général parfaitement au courant du comportement de goujat, de gougnafier de Dominique the Sex Killer...

Ce qui s'est passé l'autre matin à New York a, au final, démontré diverses petites choses que nos abrutis d'analystes franchouillards perçoivent très bien mais ne parviennent pas à exprimer car ça leur écorche les lèvres que de le formuler pleinement comme ça leur écorcherait le cul d'avoir fait des excès de tables épicés la veille.

- Après avoir crié au coup monté afin de sauver Saint Dominique the Sex Killer lui-même sensé sauver la France, tout le monde s'est précipité dans l'autre camp d'analyse en proclamant que la victime ne pouvait qu'être honnête car africaine et musulmane. Leur seconde baudruche s'est effondrée en un seul claquement de doigt, un papillonnement de cil.

- Quoi que Robert Badinter puisse dire de la détestable Justice Américaine, il faut reconnaître que son mode de fonctionnement oeuvre avec une parfaite objectivité traitant de la même manière un puissant qu'un dealer local sans envergure ou un citoyen lambda américain. Dominique the Sex Killer a été traité, jusqu'à présent, de manière totalement impartiale contrairement à l'affirmation de ses aveugles défenseurs névrosés.



- Le système de défense américain, les moyens déployés par le RICHE accusé tendaient, dés le départ, à indiquer que les avocats de Dominique the Sex Killer trouveraient de la matière à décrédibiliser l’accusatrice. Comme tout repose sur la crédibilité des parties, l’accusation ne va pas se battre pour une plaignante non crédible après connaissance des dernières informations la concernant. Même si elle a été vraiment victime de Dominique the Sex Killer, chose qu'à présent seuls eux-deux sauront à tout jamais, si il y a "non-lieu". Et avec ce "non-lieu" éventuel nous arrivons au coeur de la sortie de cette méprisable affaire.
On nomme "non-lieu" l'abandon d'une action judiciaire en cours de procédure, par le juge, qui survient lorsque les éléments rassemblés par l'enquête ne justifient pas une action plus avant, j'y reviendrai. Le "non-lieu" se distingue ainsi de l'opportunité des poursuites.


- Les amis de Dominique the Sex Killer confondent à dessein, ici, la créance, la confiance, la fiabilité de Nafissatou Diallo, sa crédibilité, ou plutôt son manque de crédibilité avec l'innocence éventuelle de l’accusé. C'est très rigolo de la part des socialistes qui vont nous asséner de grands "on vous l'avait bien dit" pour se refaire une bonne conscience. En d'autres occasions, lorsqu'un accusé de droite, par exemple, s'en sort de la même manière, les socialistes ne lâchent jamais l'affaire et passent leur temps à remuer le couteau dans la plaie, à tort ou à raison. Je ne manquerai pas, quant à moi, de le faire aussi pour Dominique the Sex Killer chaque fois que l'occasion m'en sera donnée. Cette affaire, à mes yeux, n’a fait que mettre en lumière un fait déjà connu depuis longtemps et par tout le monde : DSK est un harceleur sexuel, un malade mental qui, tout brillant qu'il est, a besoin plutôt de se faire soigner entre quatre murs que d'avoir des postes de responsabilité nationale. Qu’il y ait "non-lieu" ici par manque de crédibilité de cette pauvre Nafissatou Diallo ne changera rien à ce fait.



- Prétendre que DSK serait lavé de tout soupçon, c’est, à défaut d'être crétin ou de faire preuve de débilité profonde, être parfaitement déloyal, scélérat et félon. Et ces adjectifs qualificatifs correspondent parfaitement aux socialistes. Car, que je sache, Nafissatou Diallo ne s'est pas violenté le vagin et l'anus toute seule, ni rompu un ligament à l'épaule par elle-même. Ses hématomes ne sont pas apparus par une opération vaudou magique. Les éléments médicaux l'ont affirmé tout comme Debré a pu affirmer que le Sofitel, où DSK avait ses habitudes, a étouffé précédemment d'autres affaires. Bien entendu chacun aimerait avoir les sources de Debré, bien qu'il n'y ait pas de fumée sans feu.

Que DSK soit un "obsédé sexuel", cela ne me dérange pas du tout. Qu'il aille dans les boîtes échangistes, ça le regarde. Sa légèreté est une affaire entre lui, sa bite et son épouse. Ces choses que j'évoque indiquent une tendance mais ne sont pas, à mes yeux, condamnables, si ce n'est par Dieu. Ce que l'on attend d'un responsable politique c'est qu'il s'attelle aux dossiers dont il a la charge avec des résultats et que ceux-ci soient efficients, qu'il baise à hue et à dia ne regarde que lui. En revanche, ce qui me dérange profondément, c'est le fait qu'il ait un comportement qui le conduise au harcèlement systématique pur et simple. L'affaire New Yorkaise a surtout fait remonter à la surface et révélé les choses suivantes :

1°) L'affaire Tristane Banon


2°) L'affaire de cette journaliste australienne


3°) L'affaire de la hongroise au FMI


4°) L'affaire des jeunes filles blacks et beurs de Sarcelles qui évoluaient dans l'entourage socialiste de DSK, quand monsieur le maire avait affaire aux parents ou aux familles proches qui débarquaient armés à la Mairie pour lui faire la peau, tellement il avait une attitude de pervers avec elles et que ses "pompiers" étaient obligés de gérer sans arrêt les humeurs sexuelles de môssieur.


5°) Le fatras bordélique des amis de DSK ayant pris sa défense envers et contre tous les principes de gauche qu'ils avancent depuis 40 ans.


6°) Les féministes ringardes, tendance "chiennes de gardes" qui ont crié au scandale se proclamant toutes noires, africaines pauvres, violées par des puissants, ici un juif par dessus le marché, qui se retrouvent face à leur guimauve crasse avec leur ridicule clitoris érectile entre les jambes à réaliser qu'elles ont défendu une magouilleuse, menteuse, liée à la mafia. 


7°) Les aveux des amis proches de DSK qui redoutaient le pire.

Prions, à présent, chers soeurs et chers frères, que Dominique the Sex Killer, le Messie tant attendu par les socialistes qui ont la tête dans le cul depuis des lustres, revienne vite reprendre les affaires du PS en main afin de ridiculiser davantage son camp comme notre pays qui doit encore descendre avant un sursaut éventuel. Et qu'on ne me fasse plus chier avec ce nimbus. 

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26/06/2011

La Fouine & co... une Chance pour la France

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La fête devait être belle, enfin c’est que s’efforçaient de croire les naïfs et les ordures qui nient le réel. 10 ans de festival c’est un cap. Pour l’occasion le député-maire de Palaiseau avait mis les petits plats dans les grands : une scène rap derrière la mairie avec La Fouine en vedette, une grande scène Raphaël et Jimmy Cliff. 21 heures, la Fouine arrive sur scène. Des bandes allogènes de Massy et Longjumeau venues avec l’intention d’en découdre s’en prennent à la police dès les premières notes de musique. La police municipale coude à coude avec les fonctionnaires du commissariat ont fort à faire. Des renforts de la Bac de Massy et de la Bac départementale viennent compléter le dispositif. Mais ça ne suffit pas. Les échauffourées se multiplient, les secouristes arrivés sur place sont également pris pour cibles. Les bouteilles de bière volent, des jeunes gens venus faire la fête sont tabassés gratuitement. Des renforts détachés des compagnies départementales d’intervention aident au nettoyage. Quant à l’artiste, voyant que tout part en vrille, il s’attache à ramener le calme en entonnant : « ce soir j’égorge un flic, c’est l’aïd ».

Le concert du mustélidé marocain terminé, certains excités décident de ne pas en rester là et viennent s’incruster dans le concert de Jimmy Cliff. A peine arrivés, la bagarre éclate à nouveau. Les policiers nationaux et municipaux interviennent. Ils sont à nouveau la cible de projectiles qui pleuvent dru. Les secouristes sont à nouveau pris pour cible. Cette fois-ci les chiens sont lâchés sur les excités, ce qui permettra l’interpellation de plusieurs individus. Comme d’habitude, on a pu voir la grande cohérence des petits bobos locaux qui sont répandus en imprécations contre la police violente qui frappe injustement des « jeunes ».

Pour ma part, il me semble que les citoyens de Palaiseau devraient s’interroger sur la responsabilité du député-maire qui ne pouvant ignorer la nature de l’artiste qu’il entend programmer maintient son choix.

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Via Le Petit Conservateur Palaisien

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18/06/2011

Un document inédit de Léopold Sédar Senghor

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Des deux chantres de la Négritude j'ai toujours préféré, et de loin, Léopold Sedar Senghor à Aimé Césaire qui, en tant que poète, avait un verbe classique issu de la Grèce dans lequel il avait su insuffler les parfums et les couleurs de l'Afrique noire avec une très grande force et une volonté de sueur et de sang. Voici que je découvre via Le Monde des Livres comment l'historien Raffael Scheck a fait une découverte plus qu'intéressante, un document dans lequel Senghor évoque sa vie de prisonnier à Poitiers dans un camp tenu par l'occupant allemand où avaient été regroupés les soldats issus des colonies. Un passage de ses mémoires de captivité vient confirmer le lien étroit qui existe entre l'univers mental du Nazisme et celui de l'Islam que j'ai déjà évoqué de par le passé en ces lieux.

L'émotion de Adolf Hitler à propos de la Religion du Prophète du désert est bien connue des historiens, notamment dans cette déclaration : « Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, le monde aurait changé de face. Puisque le monde était déjà condamné à l'influence judaïque (et son sous-produit le christianisme est une chose si insipide !), il aurait mieux valu que l'Islam triomphe. Cette religion récompense l'héroïsme, promet au guerrier les joies du septième ciel… Animé d'un esprit semblable, les Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêchés par le christianisme. » Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Flammarion, 1954, 28 août 1942, p. 297

La ferveur du Mufti de Jérusalem durant les années 1940-1945 dans son soutien envers la politique de guerre du Führer est bien connue également... il aimait à visiter les troupes musulmanes européennes incorporées dans la SS, Division bosniaque Handschar ou Division albanaise Skanderberg.

Mais voici quelle fut l'expérience, durant sa captivité, de Léopold Sedar Senghor :

« (…) Solidarité assez étroite entre ceux des différentes colonies : Antillais, Malgaches, Indochinois, Sénégalais. Seuls les Arabes sèment des germes de discorde (les Marocains exceptés). Ils cherchent à s’emparer des meilleures places (secrétariat, cuisine, bonnes corvées, etc.). Pour cela, ils dénigrent les autres, en particulier les intellectuels noirs, qu’ils présentent comme des francophiles et des germanophobes. (…)

La propagande allemande était bien organisée à Poitiers. Elle dépendait du bureau de la "Gestapo" à la Kommandantur. Elle eut très peu de prise sur les Sénégalais et sur les Antillais. D’ailleurs, de bonne heure, elle porta uniquement sur les Arabes : journaux arabes édités par les Allemands, faveurs accordées au culte musulman, aux espions, etc. Les "intellectuels" arabes, je veux dire ceux qui avaient quelque instruction, étaient les meilleurs agents de l’Allemagne. Ils prêchaient leurs compatriotes et dénigraient la France devant les Allemands (chez les Noirs au contraire, chez les Antillais en particulier, les intellectuels furent les plus résistants). Quand on demanda des volontaires pour aller en Russie, il n’y eut que des Arabes à se proposer. (…)

Les espions étaient des Arabes – toujours les Marocains exceptés. (…) Ce fut l’occasion de nombreuses frictions entre Arabes et Sénégalais. (…) C’est ainsi qu’un Sénégalais, qui s’était battu avec un sergent arabe et qui refusait de courir sous l’injonction d’un Allemand, fut grièvement blessé d’un coup de pistolet. (…) »

Peut-être se trouveront quelques bonnes âmes pour traiter Léopold Sedar Senghor de raciste.

SOURCE, Le Monde

A lire impréativement, sur le Blog "A contre-courant", "Les arabes de Palestine sous la bannière nazie"...

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28/05/2011

Inégalités scolaires

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Cette pitoyable posture franchouillarde qui consiste à voir de la stigmatisation en lieu et place de chaque vérité exposée simplement. Claude Guéant y est allé de sa déclaration concernant la scolarité de nos "Chances pour la France". Il faut bien, Sarkozy est déjà en campagne et l'UMP chie dans son froc car son électorat sourit de plus en plus à Marine Le Pen, les ouvriers ne sont pas les seuls.

Pourtant il a raison le Guéant... Les résultats de l’enquête PISA 2009 menée par l'OCDE aboutissent au même constat. PISA est une enquête menée tous les trois ans auprès de jeunes de 15 ans dans les 34 pays membres de l’OCDE et dans de nombreux pays partenaires.

Ici : Le Rapport PISA 2009.PDF, voir, concernant la déclaration de Claude Guéant, la page 72 du document.

L’écart de résultat quant à la réussite entre les élèves nés en France de parents français et ceux nés en France de parents étrangers reste très important. Il est de 60 points en France contre 43 en moyenne pour les autres pays de l’OCDE. Selon les critères de l'organisme un écart de 40 points équivaut à un retard d’une année scolaire complète. Ainsi en France, les élèves issus de l’immigration accumulent en moyenne un retard d’un an et demi.
La Gôche, une fois de plus, aime à pousser des cris d'orfraie dés que l'on tente d'aborder de front les problèmes qui minent notre société. Alors poursuivons un peu... ça en vaut la peine.
Les élèves issus de la première génération ont deux fois plus de risques, si ce n'est plus, de compter parmi les élèves peu performants en France. La situation s’améliore un peu pour les élèves de la deuxième génération, mais les écarts restent très élevés puisque 35% des élèves n’atteignent pas le niveau 2 de l’enquête PISA (seulement 17 % pour les autochtones et 42 % pour les élèves de la première génération). Le niveau 2 est considéré comme le seuil de compétence, selon l’ascendance autochtone ou allochtone. C’est le niveau à partir duquel les élèves commencent à démontrer qu’ils possèdent les compétences en compréhension de l’écrit qui leur permettront de participer à la vie de la société de manière efficace et productive, selon le fichier PDF dont je vous ai mis le lien.

Faisons quelques comparaisons, voulez-vous ?

Tous les pays membres de l’OCDE font face à des phénomènes d’immigration : en Nouvelle-Zélande, au Canada et en Suisse, entre 20 % et 25 % des élèves sont issus de l’immigration, 30% au Liechtenstein, 39% à Hong-Kong et 70% à Macao (Chine), tout comme à Dubaï, 70% de même. 40% au Luxembourg et 46% au Qatar. Cependant, on s'en serait douté, sauf la Gôche qui préfère vociférer, aucun de ces pays ne connaît le même taux d’échec scolaire que la France parmi les populations issues de l’immigration. Il convient probablement de considérer les natures différentes de ces immigrations sur le plan social et économique, en tout cas c'est à ça que nous invitent les résultats de l'enquête PISA. La Grande Bretagne, Le Portugal, l'Espagne, la Finlande, la Grèce, l'Italie, l'Irlande et la France ne pratiquent pas des politiques migratoires sélectives. Au contraire, les USA, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande favorisent les plus qualifiés. Il n'est guère étonnant  que l'écart de résultat entre les élèves autochtones et ceux issus de l'immigration y soit beaucoup plus faible.

L’échec des enfants en question n’est pas systématiquement une fatalité, mais encore faudrait-il avoir le courage d’en faire le constat afin de pouvoir y apporter des solutions. En pratiquant la politique de l’autruche, les partis politiques, les syndicats et les associations de Gôche qui excellent dans ce sport ne contribuent qu'à se donner bonne conscience, mais ne viennent aucunement en aide aux élèves concernés.

Pour faire face à ce défi des solutions sont à chercher, à la fois, à travers une politique migratoire mieux encadrée (il faudrait diminuer les flux migratoires de manière drastique, voire les supprimer pour un temps donné), dans une politique d’assimilation radicale dans ses principes (mais ce pays devrait cesser de se renier), ainsi que dans un accompagnement éducatif renforcé sans qu'il sombre non plus dans l'Assistanat scolarisé à outrance. Si les enfants n'apprennent pas dés l'école qu'il leur faut fournir un effort individuel pour y arriver comment parviendront-ils à s'orienter, par la suite, dans la vie ?

Demeurent, ensuite, d'autres problèmes qui sont tellement délicats que le simple fait de les chuchoter provoque le hérissement de toutes les pensées en kits qui s'en retrouvent toutes chamboulées dans leurs protocoles de cogitations, si on peut parler ainsi. Mais personnellement je ne me gène pas pour les aborder dans la mesure où l'Europe est loin de remporter la Palme d'Or en matière de QI et, au sein de l'Europe, moi qui suis d'origine serbe encore moins. Vous verrez qu'un coup d'oeil sur la carte vous donnera l'explication de ces propos que je viens de tenir, avec une réelle ironie mais néanmoins très sérieusement.


Cliquez sur l'image : Répartition de l'échelle des Quotients Intellectuels sur notre jolie planète...

Le scientifique James Dewey Watson provoqua un scandale, en 2007, lorsqu'il publia un ouvrage dans lequel il argumente l’inégalité des races qui composent l’espèce humaine, mais peut-être devrais-je dire "ethnies" en lieu et place du mot "races" sinon on va se jeter sur moi et procéder à la lapidation qui convient. Mais je persiste, je ne vais pas baisser la tête devant nos dégarnis du bulbe sous prétexte qu'ils deviennent hystériques, mais que voulez-vous, je suis de sang serbe, j'ai donc un QI dans les chaussettes (dans les 85, selon l'étude) en comparaison à nos gauchistes franchouillards intelligents qui doivent atteindre les 100. Voyez la carte, surtout si vous êtes français, vous devriez être capables de situer la Serbie sans aller enquêter sur Wikipédia.

Car voilà, James Dewey Watson n'est pas n'importe quel scientifique. Biochimiste et généticien, il est le co-découvreur de la structure de l'ADN, pas moins, il a obtenu le prix Nobel de médecine en 1962 pour sa contribution à cette découverte fondamentale en compagnie de Maurice Wilkins et Francis Crick. Et entre 1962 et 2007 il a eu le temps d'approfondir la question, n'est-ce pas ? Ses travaux prolongent ceux de John Philippe Rushton, de Richard Lynn, ou ceux, communs, de Richard J. Herrnstein et Charles Murray dont ils ont publié les conclusions dans leur ouvrage controversé "The bell curve". Il faut comprendre que les controverses en question tiennent plus de l'idéologie que du constat scientifique. Pour vous donner une idée de la chose, je me souviens avoir entendu un jour Caroline Fourest dire, de mémoire, que "même s'il était prouvé scientifiquement que les races existaient, elle préférerait ne pas y souscrire par posture idéologique, ce afin d'oeuvrer à l'unité du genre humain plutôt qu'à sa division." Voilà qui est louable. Remercions-la. En comparaison, James Dewey Watson tient des propos tout autres, de ce genre : « Il n'y a aucune raison de s'attendre à ce que les capacités intellectuelles de peuples séparés géographiquement dans leur évolution aient évolué de manière identique. Notre volonté de distribuer des pouvoirs intellectuels égaux, comme une sorte de dotation universelle, cette volonté ne sera pas suffisante pour qu'il en soit ainsi. » ("Évitez les gens ennuyeux", 2007). Ce qui a plutôt tendance à l'inquiéter, James Dewey Watson, car l'idée selon laquelle nous nous vaudrions tous sur tous les plans, par la grâce de ce relativisme culturel qui s'est installé depuis les barbaries nazis de la seconde guerre mondiale afin de ne faire aucune vague, histoire de bien enfouir La Bête Immonde au lieu de lui faire face (et en oubliant, au passage, qu'elle peut réellement resurgir lorsqu'on s'y attend le moins... je suis yougoslave, que voulez-vous ?, j'ai un nez pour ces saloperies, ça n'est pas le Général Mladic qui me contredira), nous empêche de trouver des solutions pour venir véritablement en aide aux pays sous développés. James Dewey Watson a déclaré au "Sunday Times" qu'il était « fondamentalement pessimiste quant à l'avenir de l'Afrique » car « toutes nos politiques d'aide sont fondées sur le fait que l'intelligence des Africains est la même que la nôtre alors que tous les tests disent que ce n'est pas vraiment le cas ». Inutile de vous décrire la levée de bouclier générale ! Une armada de mielleux en colère, la bien-pensance sous cocaïne !

Par-delà les provocations salutaires de James Dewey Watson, quelques 52 grands scientifiques de très haut niveau ont défendu sur le plan scientifique l'ouvrage "The Bell Curve" qui rejoint les conclusions du Prix Nobel en publiant une tribune dans le Wall Street Journal.

Je vous propose donc quelques pistes de réflexion pour vous faire votre propre opinion et comprendre qu'il ne s'agit aucunement, ici, de faire de la stigmatisation envers qui que ce soit, mais bien plutôt de prendre en compte ce que nous dit la science qui, chacun devrait le savoir, est en constante évolution et en perpétuel déplacement. Si ontologiquement il y a une égalité parfaite entre tous les hommes, quelle que soit leurs origines raciales ou autres, il est évident qu'ils sont également conditionnés sur des générations et des générations par leurs lignées (Freud et Jung nous l'ont assez rappelé), leurs environnements, leurs Cultures, leurs milieux sociaux, leurs valeurs religieuses et éthiques, leurs gènes porteurs d'une profonde mémoire. Au lieu d'y voir de la discrimination haineuse, il faudrait plutôt y voir une possibilité de complémentarité hiérarchisée, car s'il n'y a pas de hiérarchisation (même relative), je propose à nos chers bobos gôchistes tellement assurés de leurs convictions de partir vivre auprès des papous, des aborigènes d'Australie, des indiens d'Amazonie ou des touaregs du désert histoire de mettre en pratique leurs conceptions égalitaristes. Je leur garantie quelques rires jaunes et beaucoup de désagréables surprises.

Mais je le répète, je fais de mon mieux, je n'ai qu'un petit QI de serbe. Voyez la carte, bon Dieu !

Consultez sur Scribd le livre RACE, ÉVOLUTION ET COMPORTEMENT, Une perspective sur l'histoire de vie par le Professeur J. Philippe Rushton

L'article de John Philip Rushton et Arthur Robert Jensen intitulé "La très dérangeante vérité de James Watson : réalisme racial et illusion moraliste".

En anglais, "RACE DIFFERENCES IN INTELLIGENCE" par Richard Lynn

En fichier PDF, à télécharger directement sur votre disque dur, la tribune dans le Wall Street Journal des 52 scientifiques de renom international qui ont pris la défense du livre, controversé par nos bisounours hystériques, "The Bell Curve"

 

Enfin... pour une autre piste... Un reportage qui est passé sur ARTE il y a un certain temps...



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18/05/2011

DSK : la chute annoncée de toute la Gauche ?

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Les franchouillards sont horrifiés... Dominique avec des menottes ! Dominique abattu ! Dominique leur sauveur enfoncé dans un cauchemar et eux tous dans le même cauchemar avec lui ! Dominique surveillé de prêt dans sa prison pour qu'il ne se suicide pas. Parce qu'allez savoir, avec tout ce qui lui arrive là, à Dominique, peut-être réalise-t-il le niveau de sa psycho-pathologie. Un mec riche, puissant et complètement décalé par rapport à la réalité, hein, avec des costards à 35 000 $, des suites d'hôtels à 3000 $ et une Porsche "prêtée par un ami" qui, pour couronner le tout, violente une travailleuse immigrée au pays de la moraline à l'état brut, lui qui est sensé défendre les faibles, les laissés pour compte, les travailleurs, les immigrés (surtout... depuis 30 ans), peut-être qu'il pourrait se dire : "Bon, ça suffit, j'ai donné !"Et hop, passer l'âme à gauche (c'est le cas de le dire) pour ne pas se confronter à ses responsabilités.

N'empêche... nous sommes vraiment face à un cas d'école. Le type en dehors de tout. Comme la mère de cette pauvre Tristane Banon qui parade sur tous les écrans de télévision pour prendre la défense de sa fille qui aurait subi l'assaut libidineux de DSK en 2002 (!!!!) et qui vient 9 ans après (!!!!) donner des leçons de morale... tout en se présentant aux primaires du PS dont elle est membre. C'est magnifique ! La Gôche dans toute la splendeur de sa vacuité.

Il faut vraiment que le "peuple de gauche", s'il existe encore, réalise pour qui il allait peut-être voter. Il faut vraiment qu'il réalise que son vieux logiciel, qui ne fonctionne plus que lorsqu'on pédale, est périmé depuis belle lurette, que l'écart entre la réalité et les idées qu'il défend est gigantesque et, surtout, que cet écart est devenu gigantesque précisément à cause de ce logiciel qui piétine, quels que soient les qualités éventuelles d'un DSK.

Mais le "peuple de gauche" n'est plus constitué que de bourgeois nantis et de de bohèmes névrosés, le peuple qui pue la sueur et qui crève au travail, lui, a déserté depuis longtemps ses rangs pour se précipiter dans les bras de Marine ou s'abstenir d'aller aux urnes, ce qui nous annonce de futurs épisodes politiques des plus amusants. Parce que ce peuple-là, ce qu'il veut, c'est un retour à la réalité, il veut que l'on prenne en considération que sa sueur elle pue, et que ses valeurs sont écrasées, que son mode de vie est méprisé. Il s'en fout, en vérité, ce peuple-là, qu'il y ait des mecs qui se paient des costards à 35 000 $, en logeant dans des suites à 3000 $ et en se faisant sucer la bite pendant qu'ils conduisent de rutilantes Porsches. Ce qu'ils demandent juste c'est que ces mecs-là ne viennent pas leur cracher à la gueule en les méprisant, ce qui n'est pas compliqué à comprendre, qu'ils ne viennent pas leur donner des leçons de morale, qu'ils ne viennent pas leur dire qu'il va leur falloir se sacrifier, se serrer la ceinture et dire adieu au peu de souveraineté que leur carte d'électeur leur laissait.

Les français parlent de "complot" à l'encontre de DSK, comme je l'écrivais hier, ça n'est pas à exclure. Mais ça ne change rien, absolument rien au fait que la Gôche dans ce qu'elle a de profond... est en dehors de tout... et pour preuve... cette Gôcheprogressiste, soucieuse de notre bien commun à tous, elle savait à propos de DSK... elle savait tout... mais par déni de la réalité, comme à son habitude, elle se taisait, elle faisait l'autruche, elle se soumettait à son doux délire.

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Un proche de Dominique Strauss-Kahn révèle à France-Soir comment, depuis longtemps, il craignait le pire, en raison de son appétit sexuel.

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« Depuis plusieurs mois, j'ai demandé que Dominique ne se déplace plus sans être accompagné par deux ou trois gardes du corps. Il ne faut jamais le laisser seul. Non pas pour le défendre contre une quelconque agression, mais je choisis les mots justes, non diffamatoires, pour empêcher mon ami disons... de céder à la complexité de sa vie sexuelle. Cela, bien sûr, dans l'éventualité de sa candidature à l'élection présidentielle de 2012. »

Ce proche de Dominique Strauss-Kahn nous a fait cette déclaration alarmiste, il y a environ trois mois, lors d'un déjeuner à Paris. Curieusement, ce responsable du PS n'a pas été écouté. Les conseillers du directeur du FMI préfèrent alors ressasser de vieilles affaires politico-financières qui ont plombé son ascension politique au début des années 2000 : sa relaxe finale dans le dossier de la Mnef, le salaire de son ancienne secrétaire payé par Elf et sa curieuse détention de la fameuse cassette Méry, illustrant le financement illégal du RPR. Pourtant, cette alerte ne faisait que refléter ce que beaucoup chuchotaient, depuis une quinzaine d'années, parmi nombre de journalistes politiques parisiens et de caciques des grands partis français. Ce proche et ami de DSK ne se contentait pas de le décrire comme « un grand séducteur de femmes, flambeur et dilettante ». Ce militant socialiste n'avait qu'une idée en tête : protéger contre lui-même son ami et patron.

Risque de scandales

Son objectif restait, comme en 2006, de le voir arriver à l'Elysée et s'asseoir dans le fauteuil de président de la République. Ce qui n'était pas évident, malgré les bons sondages de son candidat, vu le risque de scandales sexuels à répétition. Comme nous l'a affirmé notre interlocuteur, il y a trois mois : « Dominique, sorte de funambule aux nerfs d'acier et à la prodigieuse intelligence, constitue en fait une bombe à retardement qui peut exploser à tout moment... »

Dimanche dernier à New York, ses « pompiers » experts en communication de crise et situation d'urgence sont arrivés trop tard, pour la première fois. Leur erreur : ils n'avaient pas prévu le pire.

Un journaliste avait eu l'intuition (ou le courage ?) de prévoir ce pire et de briser l'omerta médiatique autour de DSK et, plus généralement, sur la vie privée des politiques dans l'Hexagone. Correspondant de Libération auprès du Parlement européen à Bruxelles, Jean Quatremer écrivait sur son blog Coulisses de Bruxelles le 9 juillet 2007 : « Le seul vrai problème de Strauss-Kahn est son rapport aux femmes. Trop pressant, il frôle souvent le harcèlement. Un travers connu des médias, mais dont personne ne parle (on est en France). Or le FMI est une institution internationale où les mœurs sont anglo-saxonnes. Un geste déplacé, une allusion trop précise, et c'est la curée médiatique. [...] La France ne peut pas se permettre un nouveau scandale. »

Plutôt que de tirer les leçons de cette mise en garde, les « pompiers » de DSK ont fait pression pour que le journaliste de Libération censure son blog de toute allusion à DSK. Ce qu'il n'a pas fait.

Aujourd'hui, comme tous les autres proches du directeur du FMI, notre interlocuteur se voit obligé de tenir un discours consensuel au nom de la présomption d'innocence. C'est-à-dire de déclarer et de répéter que « le prétendu viol d'une femme de ménage, à l'hôtel Sofitel de New York, ne ressemble pas du tout à l'ancien député maire de Sarcelles ». Bien sûr, plusieurs de ses conseillers et proches n'ont cessé de mettre en garde DSK contre ses penchants particuliers. L'intéressé refusait à chaque fois de discuter du fond de « l'affaire », se contentant d'en rire ou d'en sourire, d'encaisser les critiques, sans réagir dans un sens ou dans un autre. Son intelligence, il est vrai, brillantissime, lui permettait de noyer le poisson sans avoir à s'expliquer, rendre des comptes ou même accepter de prendre quelques précautions.

Une succession d'affaires ?

Or les « affaires » se seraient succédé en France et à l'étranger. La quasi-totalité n'aurait jamais débouché sur le plan médiatique ou judiciaire à l'exception de deux d'entre elles. L'une concernait en France une journaliste et l'autre aux Etats-Unis une haut fonctionnaire du FMI. Les autres se seraient déroulées en l'absence totale de la moindre procédure de police ou judiciaire ainsi que de la moindre allusion dans la presse. Elles auraient eu pour victimes plusieurs jeunes femmes, dont des militantes du PS et des Beurettes, selon nos informations émanant de proches, pourtant bienveillants à l'égard de DSK. Toutes ces affaires se seraient réglées à l'amiable entre les parents de ces victimes et des responsables du PS. Ces derniers auraient réussi à calmer, avec beaucoup de difficultés, ces sympathisants socialistes (certains s'étaient armés d'une hache ou d'un couteau, selon notre source) les persuadant de ne pas déposer plainte.

Des éléments de vie privée « indécents »

Dans leur ouvrage de référence Sexus Politicus (éd. Albin Michel-2006), les deux journalistes Christophe Deloire et Christophe Dubois consacrent six pages au patron du FMI sous le titre « L'affaire DSK ». Ils y décrivent l'énergie déployée par les « pompiers » de Dominique Strauss-Kahn pour récupérer auprès d'eux des « blancs (documents de police, NDLR) relevant du sordide et comportant des éléments de vie privée indécents » sur leur patron. En fait, il s'agit simplement d'une visite de DSK dans une boîte échangiste très connue située dans le Ier arrondissement de Paris. Une visite tout à fait légale qui n'avait rien de répréhensible aux yeux du Code pénal français. Comme quoi, ces « pompiers » avaient décidé d'instaurer une drôle de hiérarchie dans les dangers qui menaçaient leur patron. Au point de vouloir contrôler toute publication dans la presse ou dans l'édition plutôt que de protéger leur patron « contre les penchants complexes de sa vie sexuelle », selon l'expression de ce proche qui nous a parlé sous le couvert de l'anonymat. Comme l'écrivaient mardi la plupart des journaux français, les « frasques » de DSK étaient, à Paris, un secret de polichinelle.

Même s'il est présumé innocent, les accusations de viol qui pèsent désormais contre lui aux Etats-Unis ont révélé au monde entier cette « vie sexuelle complexe ». Notre interlocuteur s'en mord les doigts : « On ne m'a pas écouté. Il ne fallait pas le laisser seul.

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Source : France Soir

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Tout le monde savait

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Tout le monde savait... on vous dit...

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Enfin une chose... et pas des moindres... "Pov' DSK" par ci... "Pov' DSK" par là... mais la "présumée" victime, ils en parlent les bons commentateurs ? Ils ont une pensée pour elle ? Ceux qui s'offusquent qu'un puissant soit traité comme un petit, toute la Gôche bien pensante qui veut nous faire changer de Civilisation de force... dixit Aubry... qui en temps normal se plaignent que les puissants s'en sortent trop facilement... tous ceux qui ont pourri la vie à Madoff ou Berlusconi, ils leur ont laissé une chance d'être un instant "présumés innocents" ? Que nenni. Deux poids, deux mesures... mais le PS en particulier a cette habitude... tout ce qui est de Droite est pourri et fascistoïde... et ce qui est de Gauche c'est la Vertu, l'Empire du Bien... rien de neuf sous le soleil. Les traces d'ADN retrouvée ? Cela n'interpelle personne ? Les traces de griffures non plus ?


Le frère de la victime a parlé...

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Docteur Strauss et Mister Kahn

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La Parade

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16/05/2011

La chute de DSK : la fin des 30 calamiteuses ?

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Cette affaire new-yorkaise de DSK annonce la fin d’un cycle qui a démarré avec l’élection de François Mitterrand, le 10 mai 1981, qui a fait pénétrer la France entière dans la pensée Magique, selon le mot de Jack Lang qui affirmait, très sérieux, solennel même, que notre pays était passé des ténèbres à la lumière, une pensée qui a passé son temps à dénier la réalité, à cacher les faits divers (comme dans les dictatures… car le fait divers est toujours révélateur de l’état d’un pays, surtout quand il se répète sans cesse), et qui prend fin au moment où les droites dites populaires, nationales ou extrêmes ont le vent en poupe et grimpent à tout va vers les sommets pour le plus grand malheur de nos chers bobos qui voudraient conserver leurs petits privilèges en dépit des soucis du peuple, le peuple, ce beauf viticole, que la Gôche a toujours méprisé, de Robespierre à Strauss-Kahn, au nom de la vertu et du progressisme. Ce beauf qui préfère voter FN que PS ou PC, parce qu’il n’est peut-être pas cultivé, le beauf en question, mais il sait réagir épidermiquement aux circonstances qui sont les siennes, il voit sa civilisation changer de gueule, alors doté de son simple bon sens populaire, ce même bon sens qui horrifie le bobo de base, il tente de mettre un coup de frein à tout ce cirque. La Gôche a toujours la tête dans le cul et mille leçons à donner, parée de sa vertu, exactement comme Robespierre en son temps qui nous les brisait avec ses longs discours fleuve de quatre plombes de long où il faisait l’éloge de la déesse de la Raison et de la Vertu Révolutionnaire, la Gôche disais-je est estomaquée, elle n’arrive pas à s’en remettre. DSK en pervers sexuel, chopé par les couilles à New York par la police qui ne rigole pas avec les affaires de viols présumés ou authentiques. Menottes et photos pour la presse, films pour les médias télévisés, images pour la postérité. DSK, Dominique the SEX KILLER, comme dirait mon épouse en se marrant, avec une gueule de possédé effaré par ce qui lui arrive. Il est beau le héros, le sauveur des masses progressistes, le social-démocrate couché devant la machine à billet, l’aplatisseur de peuples qui demande à chacun d’entre eux de se plier à la banque centrale, d’abandonner son essence aux oublis de l’Histoire et de marcher vers la gouvernance mondiale le cœur plein d’espérance. Fausse religion des lendemains qui chantent, nouvelle Internationale toujours recommencée pour la joie des doux dingues rêveurs qui mangent bio, font les brocantes et soutiennent les sans-papiers pour se faire bonne conscience.

Mon épouse, qui bosse dans l’édition, est au courant des frasques de DSK, via un ponte du domaine en question, depuis des lustres, quelqu'un qui comme DSK et son épouse, Anne Sinclair, était un habitué des milieux échangistes où il les croisait l’un et l’autre, toujours ensemble et qui y est allé de quelques "condifences" de manière espiègle il y a plus de 10 ans de cela devant des collaborateurs dont Irina qui en fut amusée. D’où la complaisance d’Anne Sinclair à propos des extravagances de la bite de Dominique-nique-nique, puisqu’elle partage certains de ses vices. Et pas seulement mon épouse, mais le tout Paris informé était au courant.

Berlusconi, de droite, en comparaison, il paye des putes… bon il s’est fait couillonner sur l’âge de certaines, c’est là un autre problème, mais à quelques mois prêt il passait au travers. Berlusconi, il a du pognon et il aime le montrer jusque dans les affaires de la chair, c’est un rital méditerranéen décomplexé du porte-monnaie et décomplexé de la quéquette, certes il est vulgaire, mais au moins il est rigolo avec ses cheveux teints, sa peau bronzée et ses dents refaites. C’est pas un socialiste, Berlu, vous me suivez ? Il cache pas sa réussite sociale. Sa réussite intérieure c’est une autre affaire, ça le regarde, il s’en expliquera avec le Seigneur un jour, on verra s’il assumera complètement.

DSK c’est autre chose, ce qui le fait bander c’est le truc illégal, en dehors des lois, la soumission de la femme. Vous suivez ? Lui qui passe son temps à vouloir faire marcher droit la terre entière… enfin, quand ça l’arrange, hein ?, parce que Sarcelles c’est pas non plus une totale réussite. Mais là, en fait, y’a plusieurs choses… toute la classe politique le défend, à mon avis, pour une seule raison : tout le monde savait. Une vidéo avec Ardisson tourne sur la toile depuis hier, un peu partout, grâce à YouTube, reprenant un extrait d’une émission qu’Ardisson tenait sur la chaine Paris Première, qui montre bien que tout le Paris branché, câblé et informé savait, c’est tellement évident, et les gens ont honte parce que s’ils ne le défendaient pas (putain ! même Boutin la Catho coincée le défend !!!) cela mettrait méchamment en doute leur propre morale, parce que tôt ou tard, vous allez voir, ça va se savoir et le fait que la classe entière le défendait ça paraitra, au moins, logique : nous savions alors c’est normal, nous sommes un peu coupables aussi, veuillez nous pardonner. Alors que si la classe politique ne le défendait pas ça ferait une autre musique : nous savions, mais comme nous sommes aussi pourris que lui, mais c’est bien fait pour sa gueule, que voulez-vous ? c’est ça la politique. Faut qu'ils assurent, qu'ils gardent quelques portes de sorties, qu'ils s'assurent un peu de pitié.

Dans la vidéo avec Ardisson, une jeune journaliste écrivain, Tristane Banon, témoigne des assauts de DSK à son encontre, alors qu’il l’avait carrément fait tomber dans un piège. L’émission date d’il y a plusieurs années déjà, le nom de DSK est « beepé » et ce qu’elle a subi depuis est proprement ahurissant : pressions diverses, complots à son égard, mise à l’écart, alors que la pauvre fille qui était toute jeune à l’époque des faits, n’avait pas porté plainte contre la crapule sur recommandation de sa mère, une grosse huile du PS, qui s’en mord les doigts à présent et qui apparaît un peu partout sur les chaines d’information télévisées pour vider son sac qui lui pèse parce que trop lourd. Ce qui est révélateur, de même, d’un certain état mental qui règne chez les socialistes. Et ce silence qui a régné sur cette affaire durant tant d’années apparaît soudain comme proprement assourdissant.

Résumons-nous : DSK est, me dit-on, économiquement talentueux, politiquement exemplaire. Certes. Il n’a jamais été ma tasse de thé, mais mettons que ceux qui disent ça aient raison. Par contre, il a un sérieux problème avec sa bite. C’est tout. Tristane Banon en 2002, la hongroise économiste du FMI en 2008, Ardisson qui dit, dans la vidéo, qu’il a 14 copines qui affirment qu’il aurait essayé sur elles (bon, 14 c’est peut-être une façon de parler, mais même si elles ne sont que 5 ou 7, ça fait beaucoup), Tristane Banon qui précise qu’aucune jeune nana à l’assemblée ne veut bosser avec lui (le mec a une réputation de droit de cuissage), mon épouse qui n’est rien du tout et qui a appris de la bouche d’un décisionnaire à son taf (en même temps que plein d’autres gens, elle n’était pas seule) lors d’une réunion de travail que DSK et Anne Sinclair fréquentaient les mêmes boites échangistes que lui sans se cacher, et y’a plus de 10 ans, hein, ça révèle tout de même une certaine tendance… et à présent cette histoire new-yorkaise. Moi je pense que ça fait vraiment beaucoup. Y’a quelques mois, tout de même, DSK a été obligé de s’excuser devant le FMI et ses employés pour garder sa place… depuis tout semblait rentré dans l’ordre… jusqu’à ce que ses instincts le rattrapent ! Bien entendu qu’il pouvait se taper des « professionnelles », mais c’est pas excitant des « professionnelles » pour un obsédé compulsif comme lui, ce qui le fait bander c’est franchir la limite, aller contre la légalité, sauter sur la première gonzesse physiquement bien achalandée qui passe pour qu’elle se soumette.

Un court instant un flash me traverse l’esprit : la première rencontre entre DSK et Anne Sinclair, un viol réussi des deux côtés car consenti par Anne, cette coquine avec ses airs de sainte nitouche et de bourgeoise pleine de fausse retenue qui faisait fantasmer tout le monde dans les années 80. Un destin scellé sur le bon coup de bite et la soumission adéquate.

Reste le coup monté… c’est pas con et, dans la politique, c’est logique. Depuis une éternité on se poignarde dans le dos. Rien de plus normal sous le soleil. Ou sous la lune. Les salauds aiment les rencontres nocturnes, discrètes.

Sarkozy ? Si c’est lui, coup de génie stratégique : je te l’envoie au FMI et j’ai rien d’autre à faire, il sera rattrapé par ses démons et il fera un pas de travers, j’ai mes bons informateurs, le type est sympathique en apparence mais c’est un vrai pervers, il a noyé le poisson dans l’eau bien des fois et aux USA ça rigole pas. S’il fait un pas de travers là-bas, c’est tout bénef pour moi. Le simple fait de faire un clin d’œil à une femme, aux USA, c’est le tribunal assuré si la femme porte plainte. Parce que c’est la LOI, c’est comme ça. Je trouve ça petit, moi,  je suis un slave orthodoxe qui a hérité, par mon éducation française, d’un tempérament libertin latin… mais aux USA, c’est la Loi. La Loi aux USA, ça rigole jamais. Je me remémore une anecdote que m’avait raconté Eric James Guillemain, mon ex-chanteur au sein de Venice, à propos d’une paire de bottes en croco qu’il avait ramenée du Mexique, en repassant la frontière en direction des USA il se les était fait confisquées : le flic aux douanes, gros et transpirant, avec ses lunettes noires en train de le fixer et de lui dire simplement : « This is the law ! » Parce que les bottes en croco c’était interdit : espèce protégée. Donc on ne rigole pas : on envoie un signal et on t’emmerde. 

Monsieur DSK, les USA sont un grand pays souverain et libre... et « This is the law ! »

Si Sarkozy, en concertation avec les ennemis de DSK au PS, a fait en sorte qu’une belle black, femme de chambre, originaire du Ghana, divorcée et mère d’une enfant (donc qui a besoin de fric pour les études de sa môme), vienne juste agiter son cul devant le pervers au bon moment, ça ne serait pas étonnant. Le mec est tombé dans le piège et la seule chose qu’a eu à faire la femme de chambre en question c’est de hurler au viol, qu’effectivement le mec a tenté par pulsion plus forte que lui et que les autres témoignages français viennent peut-être pas confirmer… mais sérieusement conforter.

Si Sarko est derrière ce coup… c’est du machiavélisme d’orfèvre… de la stratégie digne de Sun Tzu et de L’Art de la Guerre : j’agis pas… je place les pions… et par le « non agir » je laisse les choses se faire. Il a compris tout Clausewitz, là, le Sarko… Mitterrand est battu à plates coutures !

Parce que comprenez bien, ici ça n’est pas une question d’intelligence, il paraît que DSK est intelligent, mais les mecs les plus intelligents ont un point faible et DSK, son point faible, c’est le cul. Voilà. Mais ça, je vous dis, moi ça fait un moment que je le sais, au point où depuis qu’on sait ça, ma femme et moi, à chaque fois qu’on le voyait à la télévision on y allait de notre petit commentaire rabelaisien en rigolant. Mais jusqu’à présent ça restait dans le domaine privé, donc l’usage de sa bite et du cul d’Anne Sinclair, ça les regardait, moi je m’en fous, mais dès que ça passe dans le harcèlement sexuel évident ou la tentative de viol avérée… ça commence à me hérisser. La Prima Nocte c’est terminé messieurs les Seigneurs de la Haute Finance.

Bon, ce sont des mots en l’air… parce qu’il y a présomption d’innocence, mais avouez que c’est tragi-comique et que les faits ne causent pas en sa faveur. Et Sinclair qui partage certaines de ses pratiques sexuelles ne peut que le défendre. C’est son mari, je ne doute pas qu’ils s’aiment, mais là c’est très limite.

Il faut avouer, de plus, que le FMI ne fait pas grand chose pour le défendre, et ce malgré la déclaration de ses hommes de mains au FMI qui avouaient qu’ils l’auraient bien gardé avec eux tellement ils aimaient son efficacité, que ça leur brisait le cœur qu’il veuille présenter sa candidature à la Présidence de la République, le FMI ne le défend pas, simplement parce qu’une fois ça va… deux fois c’est déjà trop… et voilà les dégâts.

Ivan Rioufol, le 9 mai dernier sur son Blog avait commis un texte qui accompagne à merveille tout ce qui arrive à la Gôche depuis quelques temps et dont l’affaire DSK est la pierre d’achoppement finale, « Les trente calamiteuses » que ça s’appelle et c’est juste et précis :

« Après les Trente glorieuses (Les années cinquante, soixante, soixante-dix), voici les Trente calamiteuses. Elles débutent le 10 mai 1981 et s'achèvent actuellement, sous les yeux de Français irrités par ce qu'ils endurent, avec l'effondrement de la pensée magique. Instauré avec l'élection de François Mitterrand avant d'être repris par la droite mimétique, l'irréalisme politique est, en effet, le premier responsable de la somme des désastres qui s'accumulent et qui font grossir les rangs des déçus de la gauche et de la droite. Trente ans d'utopies, de dénis des faits, de mépris des gens et de méthodes Coué ont renforcé la méfiance des électeurs vis-à-vis de leurs représentants. Une époque s'achève, avec le trentième anniversaire de l'arrivée des socialistes au pouvoir. Cependant, le PS se réclame encore de cette période, qui ne vaut que pour la nostalgie qu'elle peut éventuellement inspirer.

Cet immobilisme du PS, incapable de briser les liens avec un mitterrandisme momifié, pourrait bien être la cause de son échec en 2012. Face aux faillites des idéologies, le bon sens commande de s'en séparer au profit de politiques pragmatiques et efficaces. Or la gauche ne semble pas prête à cette révolution des esprits, quand elle défend encore la retraite à soixante ans, les emplois aidés, le mondialisme et autres sujets qui mériteraient d'en finir avec les réponses toutes faites que propose son vieux logiciel. Même si la droite au pouvoir n'est guère vaillante, elle est en train de s'émanciper de cette glaciation intellectuelle qui donne à la gauche son côté Hibernatus. Une nouvelle manière de faire de la politique doit être imaginée, sur les champs de ruines laissé par les discours automatiques. Et, sur ce terrain, je crois Nicolas Sarkozy plus libéré et inventif que DSK ou François Hollande. »

(Ivan Rioufol) 9 mai 2011 sur son Blog

Et puis ce texte du peintre chaman Ibara, qui ne mâche pas ses mots et qui l’a appelé « Les 30 calamiteuses » également :

« Giscard au tapis, l’orgueil meurtrit, s’en est allé, contrit. La gauche accédait au pouvoir. Le juif errant était enfin arrivé. La terre était fertile, l’herbe grasse et le troupeau, docilement baba cool, ressentait l’impatience d’un désir frénétique de jouissance transgressive. Une aubaine pour la clique « humaniste » aux dents longues. La vengeance en plat froid allait rassasier plus que de raison une fringale de pouvoir si longtemps contenue. Le peuple en liesse se réjouissait dans l’espérance. Les loups entraient dans la bergerie. L’histoire allait être réécrite à la gloire des sodomites et du Dieu biblique. La France se retrouvait captive d’une pensée mortelle. La mère en NTM, le racisme en SOS, la musique en exécrables concerts, le tag en art majeur, la vulgarité en idole adulée, la féminisation en accélération, la famille en décomposition, le métissage en engrenage, la culpabilité en devoir de mémoire, la décadence en ordonnance, le sang en contamination et toutes les transgressions dansaient sans circonvolution au panthéon des inversions. 10 mai 1981, date fatidique marquée du chiffre 16. La lame de la « maison Dieu » du tarot de Marseille. Destruction, calamité, misère. Trente ans plus tard, la terre est stérile, l’herbe rare et le troupeau désespéré. Le fermier est un fou dégénéré entouré de démons hallucinés, ils ne sont que l’une des conséquences désastreuses d’une espérance trahie...»

Ibara

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02/05/2011

C'est Culturel, cherchez pas à comprendre.

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Comme Ben Laden qui, pendant que les soldats du commando américain tentaient de l'appréhender, s'était "lâchement caché derrière une femme", les sans-papiers tunisiens qui débarquent à Lampedusa balancent par-dessus bord 12 femmes par ci, selon les témoignages, 17 femmes par là. Ne cherchez pas à comprendre, ce rapport au beau sexe sexe faible que tous ces abrutis entretiennent et affirment est de l'ordre du Culturel. Les pères courage.

Ensuite, lorsqu'ils arrivent dans nos contrées, nos vaillants Gôchistes les enrôlent pour manifester pour le 1er mai, sans état d'âme particulier, pour qu'ils puissent participer à la digne expression démocratique qui est la nôtre... en criant : "Sarkozy dégage !" Sans doute ont-ils eu droit, après la manif, à un sandwich pour bons et loyaux services rendus à la lutte des classes.

Pendant ce temps-là, la Mairie de Paris débloque 100 à 200 places d'hôtel pour accueillir ces braves gens pendant que le reste de l'année nos SDF crèvent la gueule ouverte dans la rue, particulièrement en hiver.

Ah elle est belle la Gôche de Delanoë et sa clique ! Le bon maire de Paname doit probablement garder de doux souvenirs érotiques tunisiens pour être aussi généreux. Il est vrai que le SDF de souche puant la pisse et la vinasse ne doit pas être son fantasme sensuel premier. Il faut croire que c'est Culturel ça aussi.

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Quotas

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Camarades, le principe des Quotas se doit d'être appliqué afin de nous assurer une cohésion sociale digne de ce nom.

J'ai trouvé ce petit film assez audacieux...

La France entière est fébrile avec l'affaire des "quotas" qui secoue le monde du football, révélée par les vertueux de Médiapart.

En tout cas... chez Médiapart, c'est pas la diversité qui règne... C'est normal... les donneurs de leçons ont tous cette particularité. Ils ne pratiquent jamais ce qu'ils prêchent. Ils défendent la "diversité" mais ne vivent pas dans les quartiers difficiles ; ils défendent la "mixité" mais ne se mélangent pas ou très peu ; ils défendent l'école publique mais mettent leurs enfants dans le Privé ou dans des écoles publiques sélectives, loin des racailles et des fouteurs de merde ; ils défendent les "sans-papiers" mais n'en accueilleraient pas un seul chez eux. Ce sont les dignes héritiers de Robespierre et de Saint Just.  

« Ô vertu ! es tu moins nécessaire pour fonder une République que pour la gouverner dans la paix ? » Robespierre

Et il trancha des têtes... au nom de la Vertu.

Or, l'affaire des quotas à la FFF est pourtant simple à comprendre.

Les français jouent "musclé" plutôt que tactique et technique.

Les bi-nationaux une fois formés se barrent ailleurs et certains préfèrent même, après l'argent de la formation qui a été investi sur eux, partir jouer dans leurs pays d'origine qui, du coup, n'a pas besoin de les former mais juste les entretenir. Cela ne passerait nulle part ailleurs ! Mais les franchouillards sont des cons, ils aiment se faire enculer.

Cela indique (Rokhaya Diallo va s'arracher le peu de cheveux qu'elle a) que les "races" existeraient ??!!!!?? Notez le conditionnel ! Tapez pas sur ma tête ! Puisque les blancs ont un jeu technique et tactique, d'après les spécialistes, à défaut d'être dans le "musclé" et la force comme les "noirs" ou les "arabes". "Oui mais Zizou alors ?" qu'on m'a dit au boulot ! "Il est bien maghrébin !" Oui... mais c'est un Kabyle et non un arabe sanguin ! Et Samir Nasri aussi. Hu hu hu hu ! Enervez-vous !

Le niveau technique du football français est, paraît-il, la risée de tous les sélectionneurs européens.

En Hollande, m'a dit un dingue de foot, ils avaient tenté de faire dans le multiculurel à un moment... et ça c'est tellement mal passé qu'ils ont fait très vite machine arrière toute.

Enfin... faut pas oublier la jolie image de marque que nos "noirs" et nos "arabes" (puisque c'est comme ça que les responsables de la FFF y causent) ont donné de la France l'été dernier en Afrique du Sud. C'était beau... beau... comme un lavabo !

Le français qui suit les matchs de l'équipe de France au troquet "Chez Lucette", à "Pétaouchnok les Greugnolles", dans la Région du "Sauciflard viticole", accoudé au zinc en train de siroter son jaune... putain, quand il voit son équipe nationale se déployer sur le terrain... c'est con, mais il se reconnaît pas dedans. Il cherche désespérément le "Francis", le "Laurent", le "Henri"... qui chanteraient "La Marseillaise" en se tenant droit comme un "I" et qui feraient le signe de croix en rentrant sur le terrain, au lieu de communier avec Allah.

Le populo de la France profonde il a droit au respect, non ? En tout cas je doute que les donneurs de leçons de Médiapart puissent changer à eux-seuls La France Moisie.

Je dis ça... je dis rien... je suis du poil à gratter à moi tout seul !

Pourtant, il fut un temps où "La Garde Noire", au sein de l'équipe de France, faisait trembler les attaquants adverses.

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25/04/2011

Pour ne pas changer de Civilisation... Renaud Camus face à Manuel Valls.

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Pour faire suite à ce que je disais ici, voici un résumé de l'émission "Répliques" du 16 Avril dernier, animée par Alain Finkielkraut sur France Culture, émission à l'occasion de laquelle Finky recevait l'écrivain controversé Renaud Camus et le député maire socialiste Manuel Valls. Renaud Camus envoie du bois, il en fait des brochettes du Valls. Il n'y a pas un argument du socialiste qui tienne. A écouter de bout en bout.

Ceux qui sont plus patients peuvent entendre l'émission intégrale ici...

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Un grand sens de l'analyse par un indigène de la République !

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L'inculture crasse est telle chez ces gens, ou la manipulation des concepts et des faits est une science afin d'embrouiller les incultes qui, dans notre pays, sont Légion. Ainsi affirment-ils ce qui suit :

Oui à la burqa de souche, non à la burqa qui menace la République

par Youssef Boussoumah, membre du PIR

Non rassurez-vous, ces porteurs et porteuses de burqa françaises, là, ne risquent rien, ils ne seront pas verbalisés. Comme les bonnes sœurs chrétiennes et autres moniales, porteuses de voiles, n’ont bien sûr rien à voir avec les femmes musulmanes porteuses de hijab.

La loi française anti burqas a prévu leur cas. On appelle ça des manifestations religieuses traditionnelles. Elles n’ont rien à voir avec les manifestations religieuses non traditionnelles, elles, expression d’une religion étrangère indument installée, mais plus pour longtemps, heureusement, sur le sol de notre belle France, fille aînée de l’Eglise pour l’éternité.

Des assurances ont été données dès le début aux élus des régions de France concernées pour que ces situations soient disjointes et que l’on sépare bien le bon grain de l’ivraie ou si l’on préfère cette autre parabole végétale, le blé froment du blé sarrasin. Ce vendredi (vendredi saint) comme chaque année, auront lieu les processions traditionnelles de pénitents, rejouant la Passion du Christ, dans plusieurs villes du sud de la France dont Perpignan, Collioure, Villefranche, Nice etc. elles susciteront sympathie et joie. Pendant ce temps on criera haro sur Ibtissame ou Fatoumata, coupables elles de ne pas avoir la bonne religion. Religion traditionnelle, oui, religion de noirs et d’arabes, jamais, pensent-ils tout bas.

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Source

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Alors expliquons deux ou trois choses à môssieur Youssef Boussoumah, ce triste manipulateur...

1°) Les nonnes, la plus grande partie de leurs temps elles le passent au sein de leurs organisations, entre les quatre murs de leurs couvents et elles n'emmerdent assurément personne. Les bonnes soeurs se consacrent à leurs communautés, à des oeuvres de charités et on les croise de moins en moins souvent dans nos villes et campagnes. Mais le plus important, môssieur Youssef Boussoumah, nos bonnes soeurs et nos nonnes ne cachent pas leurs visages et ne portent, de ce fait, aucune Burqa.
Autrement dit, lorsqu'on les croise on a affaire à un être humain, avec des yeux, un nez, une bouche. Un regard joyeux ou triste, une expression... et non pas un fantôme. Et encore moins à une femme soumise à son mari ou à des codes culturels issus du Moyen-âge et originaires du Désert arabe de l'ère de Mahomet.

2°) Les confréries de pénitents sortent leurs masques en place publique lors de processions religieuses bien spécifiques et bien définies qu'un nombre réduit de fois dans l'année, la plupart du temps une seule fois l'an, ce qui participe, de nos jours, non pas uniquement à un acte CULTUEL mais à un phénomène CULTUREL LOCAL.

3°) Il va bien falloir que nos chers Indigènes de la République réalisent que la France, toute laïque qu'elle est, est issue de la Catholicité et plus généralement du Christianisme et que l'Islam, importation due à l'immigration récente, vient bouleverser l'équilibre "organique" qui maintenait la France debout depuis le Baptême de Clovis et ce malgré bien des bouleversements et des épisodes sanglants qui ont tissé l'Histoire de cette terre, des guerres de religions fratricides à la sanglante Révolution Française.

Les Confréries de Pénitents existent depuis des Siècles au sein de ce pays, alors que les porteuses de Burqa depuis à peine une trentaine d'années et, paraît-il, en nombre réduit.
Mais mon idée est que les Indigène de la République ne le savent que trop et que cela n'est pas, bien entendu, à leur avantage.

4°) Pour conclure, il faut comprendre que le terme Indigènes de la République et malgré toutes les explications oiseuses et vaseuses que ces derniers fournissent, ne leur convient aucunement... puisque les vrais Indigènes de la République, ce sont les indigènes locaux, selon la définition commune, "les français de souche" ou les personnes d'origines étrangères, nées ici, mais qui se sont enracinées dans les codes, les valeurs et les traditions de ce pays et qui ne cherchent pas à en changer l'aspect ou à en bouleverser l'unité, Un indigène est une personne qui est anciennement originaire d'un pays et qui en possède la langue, les coutumes et les usages, avec une connotation qui n'est pas raciale mais culturelle... ce que ne semble aucunement vouloir accepter l'organisation qui pond de semblables articles et qui a le culot de s'appeller Indigènes de la République.

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Le PIR : Parti des Indigènes de la République. Politiquement, tout un programme.

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12/04/2011

France : deux poids, deux mesures...

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La France est spécialiste, depuis un bon moment, du deux poids deux mesures, on peut accueillir une exposition qui plonge le Christ dans de la Pisse au nom de l'Art Contemporain, quelques catholiques vont s'indigner et puis ça va en rester là...

... par contre on n'a pas le droit, dans le pays de Voltaire, de brûler et de pisser sur le Coran, car c'est du racisme et ça finit au tribunal. Les bonnes consciences sont magnifiques.

Servir de la viande halal à la cantine c'est faire preuve de "respect vis-à-vis de la diversité", mais refuser de servir du poisson dans la même cantine chaque vendredi c'est "afficher une laïcité Républicaine".

Avec notre fric on construit des mosquées... mais nos mêmes élus interdisent les processions chrétiennes dans certains recoins du pays par, vous l'aurez deviné, principe de laïcité.

Alors que les tunisiens viennent d'interdire les prières dans la rue dans leur pays, les français, eux, trouvent des excuses aux musulmans priant dans les rues de Paris. "Donnez-nous de l'espace" disent-ils ...tandis que la Mosquée de Paris demeure désespérément vide.

Et après le FN grimpe ? Ah bon ? Mais faut pas être surpris... notre classe politique se ridiculise, méprise le peuple (surtout la Gauche, qui est sensée le défendre) et le peuple va bien le lui rendre.

 

Cela m'inspire quoi tout ce bordel ?

"En attendant, le Christ est indubitablement traîné au dépotoir. Cette Face sanglante de Crucifié qui avait dardé dix-neuf siècles, ils L'ont rebaignée dans une si nauséabonde ignominie, que les âmes les plus fangeuses s'épouvantent de Son contact et sont forcées de s'en détourner en poussant des cris.

Il avait jeté le défi à l'opprobre humain, ce Fils de l'homme, et l'opprobre humain L'a vaincu !

Vainement, Il triomphait des abominations du Prétoire et du Golgotha, et du sempiternel recommencement de ces abominations du Mépris. Maintenant, Il succombe sous l'abomination du RESPECT !

Ses ministres et Ses croyants, éperdus de zèle pour l'Idole fétide montée de leurs cœurs sur Son autel, L'ont éclaboussé d'un ridicule tellement destructeur, nous ne disons pas de l'adoration, mais de la plus embryonnaire velléité d'attendrissement religieux, que le miracle des miracles serait, à cette heure, de Lui ressusciter un culte.

Le songe tragique de Jean-Paul n'est plus de saison. Ce n'est plus le Christ pleurant qui dirait aux hommes sortis des tombeaux :

- Je vous avais promis un Père dans les cieux et Je ne sais où Il est. Me souvenant de ma promesse, Je L'ai cherché deux mille ans par tous les univers, et Je ne L'ai pas trouvé et voici, maintenant, que Je suis orphelin comme vous.

C'est le Père qui répondrait à ces âmes dolentes et sans asile :

- J'avais permis à Mon Verbe, engendré de Moi, de Se rendre semblable à vous, pour vous délivrer en souffrant. Vous autres, Mes adorateurs fidèles, qu'ils a cautionnés par Son Sacrifice, vous venez Me demander ce Rédempteur dont vous avez contemné la fournaise de tortures et que vous avez tellement défiguré de votre amour qu'aujourd'hui, Moi-même, Son Consubstantiel et Son Père, Je ne pourrais plus Le reconnaître...

Je suppose qu'Il habite le tabernacle que Lui ont fait ses derniers disciples, mille fois plus lâches et plus atroces que les bourreaux qui L'avaient couvert d'outrages et mis en sang.

SI VOUS AVEZ BESOIN DE MON FILS, CHERCHEZ-LE DANS LES ORDURES."

Léon Bloy, Le désespéré

Et aussi...

"Looking for to save my save my soul
Looking in the places where no flowers grow
Looking for to fill that God shaped hole
Mother... mother sucking rock and roll, mother...

Holy dunc, spacejunk coming in for the splash
(Been around back... been around front)
Wh-wh-white dopes on punk s-staring into the flash
(Been around back... been around front)
Looking for the baby Jesus under the trash
(Been around back... been around front)"

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23/12/2010

Assises internationales sur l’islamisation de nos pays - III

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Encore trois interventions brillantes lors des "Assises sur l'islamisation de nos pays".

Christine Tasin lisant la lettre d'Halim Akli, personnalité algérienne qui résiste au pouvoir corrompu de son pays. De petites vérités bien senties.

 

 

Jean-Paul Gourevitch, expert international sur l'immigration qui donne une brillante intervention sur le coût de celle-ci.

 

 

L'intervention d'Anne-Marie Delcambre...

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Les braves gens

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les révélations de Wikileaks continuent à se déployer... elles sont jolies les choses que nos dirigeants nous cachent. Par exemple ceci : en Grande-Bretagne, 40% des étudiants musulmans veulent l'établissement de la Sharia ! 40 % ! A part ça tout va bien. L'islam ça n'est pas l'Islamisme et 40 %, ouais c'est sûr, on peut toujours dire que c'est une minorité, n'est-ce pas ?

Tenez... lisez cet article du Dailymail

Les braves gens...

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21/12/2010

Ivan Rioufol, Assises sur l'islamisation

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"Je suis venu observer ce rassemblement, une partie de l’après-midi, avec de nombreux autres confrères. Je n’y ai vu ni excités, ni intolérants, ni fachos, ni racistes, mais des gens s’inquiétant des abandons de la République sur la laïcité."


podcast

 

 

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19/12/2010

Assises internationales sur l’islamisation de nos pays - II

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Les Assises internationales sur l'islamisation  ont eu lieu hier à Paris. Instant historique. Des gens de Gauche et des gens de Droite, côte à côte, pour dire "Non". Comme au temps du CNR  du Général de Gaulle. Je n'ai pas été en mesure de m'y rendre, malheureusement, et je le regrette. Cependant, grâce à INTERNET, nous pouvons avoir accès aux brillantes interventions des uns et des autres et je vous invite à les écouter sans hésitation aucune. Faites cet effort, si vous vous estimez libres. Si vous vous estimez libres, soyez le effectivement.

Interview de Christine Tasin, le 18 décembre 2010 à Paris, lors des "Assises internationales sur l'islamisation de nos pays" qui se sont tenues à l'Espace Charenton.

Les questions posées à Christine Tasin lors de cette interview :

- Pensez-vous que Allah ne soit pas un dieu mais juste une fiction grammaticale ?

- Wafa Sultan a déclaré dans une interview faite le 2 mai 2010 qu'il n'existe pas d'Islam radical ou d'Islam modéré mais simplement l'Islam. Souscrivez-vous à cela ?

- En Europe, de nombreux politiciens qui ont fait de l'hypocrisie leur instrument de travail prétendent que cela relève du mensonge et de la xénophobie que de dire que des Musulmans occupent les rues pour prier. Assistons-nous à une guerre déclarée contre la réalité et les fonctions cognitives ?

En arriveront-ils un jour à créer un jour un Ministère de lutte contre la réalité ?

- Croyez-vous à l'inégalité des cultures ?

- Pensez-vous que les cultures européennes sont supérieures à la culture musulmanes, et si oui pourquoi ?

- L'Islam a-t-il quelque chose à voir avec la culture européenne ?

- Estimez-vous que les Européens attachés à leur patrie et à leur culture devraient considérer l'Islam comme une force militaire destinée à une invasion planifiée de l'Europe ?

- Pensez-vous que la population musulmane en Europe pourrait constituer un vaste réservoir de soldats mobilisables localement pour la subversion ou le renversement politique et militaire des démocraties ?

- La laïcité a-t-elle plus ou moins de puissance que Jésus-Christ dans le combat des Européens contre le Prophète Mohamed/Mahomet ?

- Pensez-vous que l'islamisation de la France et de l'Europe est orchestrée et aussi financée par des puissances étrangères, et si oui lesquelles ?

- Ces puissances étrangères ont-elles des complices, des agents, au sein même des gouvernements européens ? Si oui, pouvez-vous les nommer ?

- Estimez-vous que dans le combat contre l'islamisation, Israël et les patriotes Juifs dans le monde sont des alliés expérimentés, opportunistes, authentiques, indispensables ou inappropriés ?



Christine Tasin, pour Résistance Républicaine 

 

 

 

Excellente intervention intervention du journaliste René Marchand.


René Marchand, Journaliste et écrivain 

 

 

 

Intervention de Fabrice Robert, représentant du Bloc Identitaire, qui explique le sens de la démarche de ces Assises...


Fabrice Robert, Bloc Identitaire 

 

 

 

Excellente intervention de l'écrivain Renaud Camus. La vidéo souffre de quelques "couacs" sonores mais vaut la peine d'être écoutée de bout en bout...


Renaud Camus, écrivain

 

 

 

 

Et pour terminer, la cerise sur le gâteau : Arrivée et discours d’Oskar Freysinger cet affreux "fâââscîîîîsteuh"  qui Fait l'éloge de la France de Voltaire, cite Pink Floyd, Asterix, Tintin, Nietzsche, prône la Démocratie Directe, refuse de se plier à l'Etat partant du principe que c'est au peuple de prendre les décisions et que c'est au gouvernement d'écouter et d'exécuter ce que le peuple décide. Et on vient nous le présenter comme un "fâââscîîîîsteuh" , alors qu'il n'est qu'un conservateur libéral (libéral au sens "classique" du terme). Je ne conseillerais que trop, à ses détracteurs en particulier, d'écouter son discours de bout en bout, entre autre parce qu'il démontre le lien mental entre le communisme et l'Islam.

En d'autres lieux, il fait l'éloge de Roman Polanski en tant que réalisateur et dit son admiration du film "Le Pianiste" qui, pour ceux qui l'ignoreraient, raconte la survie d'un musicien juif dans le Ghetto de Varsovie. Un affreux "fâââscîîîîsteuh"  vous dis-je...


Oskar Freysinger, UDC 

 

 

 

 

Enfin, un petit lien vers le Journal Le Monde  où le prix Nobel de Littérature 2010, l'écrivain péruvien Mario Vargas Llosa, affirme sans crainte que "le fondamentalisme islamique est le principal ennemi de la démocratie".

Réveillez-vous les dormeurs... sinon vous prendrez le train en marche... ou vous vous ferez écraser par lui.

"One Team, One Fight ! No Sharia in the Western World" 

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18/12/2010

Assises internationales sur l’islamisation de nos pays

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Les français l'entendent de moins en moins de l'oreille de la bien-pensance lorsqu'on leur présente les résistants à l'islamisation de l'Occident comme des "racistes" et des "fascistes". Les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays  ont bien eu lieu à Paris, malgré le caca nerveux des abrutis islamistes haineux au métro "Porte de Charenton ...

 

Quelques rappels salutaires sur la Gôche  qui a abandonné ses valeurs premières... par le professeur de philosophie, Jacques Philarchein, marxiste de son état et pourtant...

 

Que les plumes brillantes de la "réacosphère" qui vomissent la République ne s'y trompent pas... comme le précise l'intervenant américain sur la vidéo qui suit : "One Team one Fight ! No Sharia in the Western World !!!!" Ca n'est pas le moment de nous désunir mais bien de nous unir, comme le font à l'occasion les militants de Riposte Laïque  et les militants des Identitaires... s'ils ne sont pas du même monde idéologique... ils sont de la même Patrie et cela est suffisant. Laissez le temps à cette vidéo de se charger... elle dure presque 50 minutes... 

 

Notez l'arrivée triomphale d'Oskar Freysinger, de l'UDC suisse qui est à l'origine des référendums dans son pays sur l'interdiction des minarets et l'expulsion des criminels étrangers hors de Suisse. Il a donné des hauts-le-coeur à toute la bien-pensance zéropéenne. C'est un sale fâââscîîîîîsteuh, bien entendu, qui salut la France de Voltaire. Je ne mets cette vidéo que pour l'anecdote vu sa piètre qualité. C'est la seule que j'ai trouvée.

Bien entendu, la Propagande, car c'en est une, parle déjà d'extrémistes ayant organisé les assises en question, alors que des tendances de gauche comme de droite y sont représentées et en provenance de tous les pays occidentaux. Comme si le Bloc Identitaire avait rassemblé tout ce monde à lui tout seul.


Cliquez sur l'image pour mieux voir les participants


Remarquez l'incapacité totale des militants de Gôche protestant contre ces assises à faire preuve d'abstraction lorsqu'il s'agit d'analyser ce qui a lieu et ce qui se passe. Les nains !

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16/12/2010

La Gauche française et la Collaboration...

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Alors que les propos de Marine Le Pen (islam = invasion) provoquent, encore une fois, le tollé dans un monde politique qui refuse de regarder la réalité en face au nom des sacros saintes valeurs humanitaristes qui font tellement bander nos "élites" mais plus vraiment le peuple français, il est bon de rappeler ce que faisait la plus grande partie de la Gauche française durant la seconde guerre mondiale. Outre que le parti communiste s'est tenu tranquille de 1939 à 1941 pour cause de traité germano-soviétique en appelant sans cesse à la paix des peuples (et reprenant par là la propagande de Hitler en personne qui, à quelques jours avant d'entrer en Pologne, parlait encore de "Paix") la gauche a contribué à nourrir par de nouveaux militants l'ordre pétainiste nouveau mais surtout, au nom du pacifisme, elle a donné son florilège de ministres ainsi que de soldats volontaires dans la SS afin, disait-on alors, de lutter contre le bolchévisme.

Savourez...

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31/10/2010

Un musulman réformateur met les pieds dans le plat

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Merci à l'ami SPENDIUS


 

Ibrahim Al-BuleihiDans un entretien paru le 23 avril 2009 dans le quotidien saoudien Okaz, le penseur réformiste Ibrahim Al-Buleihi fait part de son admiration pour la civilisation occidentale. L’interview a été mise en ligne le jour même sur le site progressiste arabe Elaph [1]. Al-Buleihi appelle les Arabes à reconnaître la grandeur de la civilisation occidentale et à admettre les insuffisances de leurs propres cultures. Il estime que l’autocritique est la condition de toute évolution positive. Ibrahim Al-Buleihi est membre du Conseil saoudien de la Shura. [2]

 

 

Extraits de l’entretien

 

 

Okaz : Je vais commencer par la question cruciale de ce qui distingue votre façon de penser - que vos adversaires évoquent systématiquement contre vous : votre éblouissement face à l’Occident, alors que vous dévaluez complètement la pensée arabe. C’est vraiment le caractère le plus distinctif de vos écrits. L’auto-flagellation y est présente à un point extrême. Comment l’expliquez-vous ?

Buleihi : Mon attitude face à la société occidentale se base sur des faits indéniables et ses grandes réussites. Nous sommes en présence d’une réalité aux nombreuses composantes merveilleuses et étonnantes. Cela ne signifie pas que je sois aveuglé. Mais j’ai très exactement l’attitude contraire de ceux qui nient et ignorent les lumières vives de la civilisation occidentale. Regardez donc autour de vous… Vous vous apercevrez que tout ce qui est beau dans nos vies nous vient de la civilisation occidentale. Même le stylo que vous tenez dans votre main, l’enregistreur en face de vous, la lampe de cette pièce et le journal pour lequel vous travaillez, et d’innombrables agréments supplémentaires, qui sont comme des miracles pour les civilisations anciennes… Sans tout ce que l’Occident a accompli, nos vies seraient stériles. Je ne fais que poser un regard objectif [sur la réalité], estimant à sa juste valeur ce que je vois et l’exprimant honnêtement. Ceux qui n’ont pas d’admiration pour le beau sont démunis de sensibilité, de goût et de sens de l’observation.

La civilisation occidentale a atteint le summum de la science et de la technologie. Elle a apporté la connaissance, le savoir-faire, de nouvelles découvertes, comme aucune autre civilisation avant elle. Les réalisations de la civilisation occidentale couvrent tous les domaines: la gestion, la politique, l’éthique, l’économie et les droits humains. C’est un devoir de reconnaître son étonnante excellence. C’est en effet une civilisation digne d’admiration. (…) Le retard horrible dans lequel vivent certaines nations est le résultat inévitable de leur refus de [l’apport occidental] et de leur attitude consistant à se réfugier dans le déni et l’arrogance.

Okaz : Monsieur, vous pouvez admirer cette civilisation tant que vous le voulez, mais pas aux dépens des autres, notamment de notre civilisation.

Buleihi : Mon admiration pour l’Occident ne s’exprime pas aux dépens des autres. Elle invite ces autres à admettre qu’ils se sont leurrés, à surmonter leur infériorité et à se libérer de leur retard. Ils devraient admettre leurs défauts et faire l’effort de les surmonter. Ils devraient cesser de nier les faits et de tourner le dos à la multitude des merveilleux succès [occidentaux]. Ils devraient se montrer justes à l’égard de ces nations qui ont su se rendre prospères, sans pour autant monopoliser la prospérité, faisant profiter le monde entier des résultats de leurs progrès, de sorte qu’aujourd’hui d’autres nations dans le monde en bénéficient. La civilisation occidentale a apporté au monde la connaissance et le savoir-faire qui ont permis aux nations non occidentales, de rivaliser avec sa production et de partager des marchés avec elle. Critiquer ses propres insuffisances est nécessaire pour évoluer positivement. En revanche, glorifier la léthargie revient à encourager et asseoir le retard, à resserrer les chaînes de l’apathie et à empêcher [l’expression de] la capacité à exceller. Le retard est une réalité honteuse qui devrait nous déplaire et dont nous devons nous libérer.

Okaz : C’est peut-être le cas, et je vous suis dans cette exigence, mais, Monsieur, pourriez-vous résumer pour nous les raisons de votre admiration de la culture occidentale, afin que nous ayons une base de discussion ?

Buleihi : Il n’y a pas une, mais mille raisons qui me poussent à admirer l’Occident et à souligner son excellence absolue dans tous les domaines. La civilisation occidentale est la seule qui ait su libérer l’homme de ses illusions et de ses chaînes. Elle a reconnu son individualité et lui a fourni des capacités, la possibilité de se cultiver et de réaliser ses aspirations. Elle a humanisé l’autorité politique et établi des mécanismes garantissant une égalité et une justice relatives, prévenant l’injustice et modérant l’agression. Cela ne veut pas dire que c’est une civilisation sans défaut ; elle en a même beaucoup. C’est toutefois la plus grande civilisation humaine de l’histoire. Avant elle, l’humanité était en prise avec la tyrannie, l’impuissance, la pauvreté, l’injustice, la maladie et la misère.

C’est une civilisation extraordinaire, sans être l’extension d’aucune civilisation ancienne, à l’exception de la civilisation grecque, source de la civilisation contemporaine. J’ai donné le dernier coup de plume à un ouvrage sur ce grand et extraordinaire saut de civilisation, intitulé “Changements qualitatifs dans la civilisation humaine”. La civilisation occidentale est son propre produit et ne doit rien à aucune autre civilisation, hormis la civilisation grecque (…) Elle a redonné vie aux réalisations des Grecs dans les domaines de la philosophie, la science, la littérature, la politique, la société, la dignité humaine, le culte de la raison, tout en reconnaissant ses défauts et ses leurres et en soulignant le besoin constant de critique, de réévaluation et de corrections.

Okaz : En parlant ainsi, vous effacez complètement tous les efforts créatifs des civilisations qui ont précédé, telle la civilisation islamique, car vous affirmez que l’Occident ne lui doit rien.

Buleihi : Et pour cause: elle ne lui doit rien, pas plus qu’à aucune autre civilisation avant elle. La civilisation occidentale trouve ses fondements dans la Grèce des VIème et Vème siècles avant J.C. Elle a connu un temps d’arrêt au Moyen-Âge, avant de reprendre son évolution aux Temps modernes, en profitant à toutes les nations. Elle est vraiment extraordinaire dans tous les sens du mot: en termes d’excellence, d’unicité, de nouveauté (…) Elle a des composantes et des qualités qui la distinguent de toutes les civilisations qui l’ont précédée ou suivie. Elle est le produit d’un enseignement philosophique inventé par les Grecs. Les Européens ont pris pour base ce mode de pensée, notamment le mode de la critique, qui leur a permis de développer la connaissance objective, toujours ouverte à la réévaluation, à la correction et au progrès (…).

Okaz : Certains penseurs occidentaux ont écrit que la civilisation occidentale est une extension des civilisations précédentes. Comment vous, Arabe musulman, pouvez-vous le nier ?

Buleihi : En passant en revue les noms des philosophes et savants musulmans dont la contribution à l’Occident est reconnue par les écrivains occidentaux, tels Ibn Rushd, Ibn Al-Haytham, Ibn Sina, Al-Farbi, Al-Razi, Al-Khwarizmi et leurs semblables, nous découvrons que c’étaient tous des disciples de la culture grecque et qu’ils se tenaient en marge du courant [islamique] dominant. Ils étaient et continuent d’être ignorés par notre culture. Nous avons même brûlé leurs livres, les avons harcelés, avons mis la population en garde contre eux, et nous continuons de les considérer avec suspicion et aversion. Comment pouvons-nous nous enorgueillir de personnes que nous avons écartées et dont nous avons rejeté la pensée ? (…)

Quant à la question du développement culturel, il existe deux approches: selon l’une d’entre elles, la civilisation est le produit d’un processus cumulatif. Cette approche est toutefois contredite par les faits historiques. Selon l’autre approche, un changement quantitatif ne peut jamais conduire à un changement qualitatif, sauf quand un bond extraordinaire est réalisé. C’est sans conteste la bonne approche, que j’ai adoptée. La quantité ne peut se transformer spontanément en qualité (…)

La seule civilisation qui possède les ingrédients du progrès perpétuel est la civilisation occidentale, avec ses fondements grecs et son étonnante configuration contemporaine (…) La civilisation occidentale estime que nul ne détient la vérité absolue et que la perfection est impossible à atteindre, donc l’homme doit s’efforcer de l’atteindre tout en sachant qu’il n’y arrivera pas. C’est ainsi la seule civilisation qui continue de se développer, qui se réévalue constamment, se corrige et effectue en permanence de nouvelles découvertes (…)

Okaz : Permettez-moi de vous interroger sur votre fascination totale pour la culture occidentale.

Buleihi : La lumière de cette civilisation est très forte et il faut être aveugle pour ignorer sa luminosité. Toute personne douée de vue et de discernement ne peut qu’être fasciné (…) Il faut reconnaître le mérite de ceux qui en ont. Une autre civilisation a-t-elle rêvé avant elle à ces révélations époustouflantes, ces sciences exactes et ces technologies complexes ? Les générations précédentes ont-elles imaginé la possibilité d’ouvrir le torse ou la tête pour effectuer des opérations compliquées du coeur et du cerveau ? Pouvaient-elles imaginer une [aussi] profonde compréhension de la cellule vivante et de sa genèse… Ont-elles imaginé les avions, les voitures et les innombrables inventions de cette civilisation ? Voudriez-vous que nous nous remettions à écrire sur des parchemins et des papyrus, à user des bâtons de bois à la place de stylos et à monter à dos d’âne ?

Okaz : Désolé, mais personne ne vous demande de revenir à l’époque des ânes. Il est toutefois nécessaire de prononcer ses jugements historiques de façon juste et équilibrée. Vous dites qu’il faut “reconnaître le mérite de ceux qui en ont”, mais, dans les faits, vous n’accordez aucun crédit à tout ce qui a existé avant la civilisation occidentale, et alors que tout le monde reconnaît le caractère cumulatif des accomplissements humains, vous niez cet axiome quand il s’agit des réalisations occidentales.

Buleihi : L’humanité a passé des milliers d’années à ruminer les mêmes idées et à vivre dans les mêmes conditions, en se servant des mêmes outils et instruments. Elle aurait pu s’éterniser ainsi sans l’émergence de la pensée philosophique en Grèce, aux VIème et Vème siècles avant J.C. Le niveau actuel des progrès de la civilisation ne peut être le résultat d’une [simple] accumulation: c’est plutôt le résultat de grandes réalisations dans les domaines de la pensée, de la science, de la politique, de la société et du travail. (…)

Ce qui sort l’homme de sa routine, c’est la lutte des idées, la liberté de choix et l’égalité des chances. La meilleure preuve en est qu’un grand nombre de gens aujourd’hui vivent dans une société profondément rétrograde, malgré la disponibilité de la science, de la technologie et des idées. Ils sont témoins de la prospérité et malgré cela, ces peuples rétrogrades sont incapables d’abandonner leurs tranchées et de se libérer de leurs chaînes. En d’autres termes, ils sont incapables d’imiter les peuples prospères, se trouvent dans l’incapacité totale d’inventer et d’initier.

Okaz : Il y a une question cruciale à ce débat: par “civilisation”, entendez-vous uniquement son aspect matériel ?

Buleihi : La plus grande réussite de la société occidentale est d’avoir humanisé son autorité politique, d’avoir séparé les pouvoirs, établi et maintenu un équilibre des pouvoirs. La civilisation occidentale a accordé la priorité à l’individu et subordonné ses institutions, lois et procédures à ce principe, tandis que dans la civilisation ancienne, l’individu [n’] était [qu’] une dent dans l’engrenage.

Okaz : Une dent dans l’engrenage ? Vous pensez que cela est vrai aussi de la civilisation islamique ?

Buleihi : Nous faisons clairement la distinction entre l’islam et ce que les gens font en son nom. Les grands principes de l’islam et ses doctrines sublimes qui insistent sur la valeur et la dignité humaines n’ont pas eu l’occasion de prendre forme. Depuis l’époque des califes bien guidés, l’histoire arabe a éradiqué l’individualité de l’homme et sa valeur s’est retrouvée liée à ses affiliations politiques, religieuses ou tribales (…) La seule civilisation qui reconnaît et respecte l’homme en tant qu’individu est la société occidentale (…) Le comportement [humain], dans tous les domaines, ne découle pas d’enseignements, mais de la pratique et de l’expérience sur le terrain (…)

Okaz : L’histoire arabe de bout en bout, selon vous ?

Buleihi : Oui, toute l’histoire arabe se distingue par cet aspect lugubre, mises à part la période des califes bien guidés et d’autres périodes discrètes comme celle du règne d’Omar ibn Abdel Aziz. On ne doit pas confondre les sublimes principes et doctrines de l’islam avec son histoire, remplie d’erreurs, de transgressions et de tragédies. Quand les Abbasides triomphèrent des Omeyyades, ils couvrirent les cadavres de tapis, faisant la fête sur les corps en signe de vengeance. Quand [le calife] Al-Ma’mum eut battu son frère Al-Amin, il lui ôta la peau des os comme on le fait à un agneau. Cette scène se répète tout au long de l’histoire. Le pouvoir politique est la valeur pivot de la culture arabe. A notre époque, les coups d’Etat militaires sont récurrents dans le monde arabe, pour le pouvoir, mais pas pour effectuer des réformes positives. Chaque régime est pire que le précédent.

Okaz : M. Buleihi, n’avez-vous pas ouï dire de centaines de savants dans l’histoire de votre peuple qui ont apporté du sens et eu de l’impact, dont on étudie la vie jusqu’à ce jour, bien qu’il n’aient eu ni pouvoir, ni tribu, ni affiliation religieuse, et qui sont estimés pour leur érudition ?

Buleihi : C’est là une déclaration générale qui ne repose pas sur les faits. L’histoire arabe, à l’exception de la période des califes bien guidés, a été dominée par la politique. Quand les Fatamides ont pris le contrôle de l’Egypte et de l’Afrique du Nord, ces régions sont devenues chiites, et quand Salah Al-Din Al-Ayyubi [Saladin] a mis fin au [règne des] Fatamides, il a écarté tout ce qui pouvait avoir un rapport avec le chiisme. Il en a été de même quand les Safavides ont converti l’Iran au chiisme: cela a conduit les Ottomans à agir de façon identique [en imposant le sunnisme]. L’histoire arabe, ou islamique, dans le sens large du terme, résulte des hauts et des bas de la politique.

Okaz : Permettez-moi de faire ici une petite pause. Vous réduisez l’histoire islamique à une histoire politique. Même l’histoire politique islamique, malgré toutes ses tragédies, n’est pas aussi négative que vous le dites. Vous ignorez les aspects scientifiques et culturels de l’histoire islamique, qui ont donné une grande civilisation alors même que l’Europe souffrait sous le règne de la féodalité, de l’Eglise, de l’ignorance et du retard.

Buleihi : Nous avons hérité de certains clichés concernant notre histoire et l’histoire des autres nations, ne considérant pas notre histoire d’un oeil critique et celle des autres d’un œil juste et objectif. La lumineuse civilisation grecque a émergé au VIème siècle avant J.C., atteignant le sommet de son épanouissement au Vème siècle avant J.C. En d’autres termes, la civilisation grecque a émergé plusieurs siècles avant la civilisation islamique et a été la source des philosophes musulmans. Ces individus dont nous sommes parfois fiers, tels Ibn Rushd, Ibn Al-Haytham, Al-Razi, Al-Qindi, Al-Khawarizmi et Al-Farabi, étaient tous les élèves de la pensée grecque. Quant à notre civilisation, c’est une civilisation religieuse, préoccupée de loi religieuse, complètement absorbée par les détails de ce que les musulmans doivent faire et ne pas faire dans leur rapport à Allah et aux autres. C’est une tâche immense digne d’admiration, parce que la religion est le pivot de la vie. Nous devons toutefois admettre que nos succès se limitent tous à cette grande idée. N’affirmons pas que l’Occident nous a emprunté ses lumières laïques. Notre culture a été, et continue d’être, absorbée par la question de ce qui est interdit et permis, de la croyance et de l’incroyance, parce que c’est une civilisation religieuse (…)

Okaz : Ils [les musulmans] ont appris de la civilisation grecque et ce n’est pas un défaut ; c’est ainsi que font les jeunes générations: elles apprennent des civilisations anciennes et se construisent sur ces dernières. Fallait-il attendre qu’ils abolissent les réussites des Grecs pour recommencer à zéro ?

Buleihi : Je n’ai rien contre le fait d’apprendre [des autres]. Ce que je voulais clarifier est que ces [succès] ne sont pas les nôtres et que ces individus exceptionnels ne sont pas le produit de la culture arabe, mais plutôt de la culture grecque. Ils se trouvent en dehors de notre courant culturel dominant, et nous les avons traités comme des éléments étrangers. C’est pourquoi nous ne méritons pas de nous en enorgueillir, vu que nous les avons rejetés et avons combattu leurs idées. A l’inverse, quand l’Europe eut tiré l’enseignement de ces individus, elle a su profiter d’une grande connaissance: la sienne à l’origine, vu qu’elle est une extension de la culture grecque, source de toute la civilisation occidentale.”

 


 

[1] http://www.elaph.com/Web/NewsPapers/2009/4/433121.htm

[2] Pour plus d’informations sur Al-Buleihi, voir les extraits-vidéo sur MEMRI TV: Clip No. 1174, ” Saudi Shura Council member Ibrahim Al-Buleihi: Terrorism Is the Product of a Flaw in Arab and Muslim Culture,” 23 mai 2006, http://www.memritv.org/clip/en/1174.htm, ainsi que les extraits-vidéo du Clip No. 638 de MEMRI TV: “#638 - Saudi Liberal: America’s Actions are Natural for a Country That Was Attacked. If an Islamic Country Was Attacked its Response Would Be Worse,” April 6, 2005, http://www.memritv.org/clip/en/638.htm.

 


 

Source : Memri

 

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06/10/2010

Geert Wilders, un homme libre

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Voici le discours intégral de Geert Wilders, à Berlin, le 2 octobre dernier à propos de son jugement, de la victoire de son parti lors des dernières élections aux Pays-Bas et, surtout, à propos de l'islamisation générale en cours en Europe. Geert Wilders était à Berlin afin de rendre visite à René Stadtkewitz et de nouer des contacts. Ce dernier est devenu le mouton noir au sein des démocrates chrétiens allemands et a, ainsi, été exclu de la CDU pour ses positions radicales à propos de l'immigration et de l'islam en particulier. Il vient de fonder le parti "La liberté" et tente désormais de s'installer dans le paysage politique allemand au grand désarroi des gôchistes allemands.

Comme il fallait s'y attendre, Geert Wilders est accusé d'être un dangereux extrémiste de droite, tout comme René Stadtkewitz, alors qu'il défend Israël et a déclaré des choses comme celle-ci :

« Je n'ai rien contre les individus, mais nous avons un problème avec l'idéologie islamique. Je ne veux pas renvoyer ceux qui sont ici et veulent s'assimiler, mais je leur dis de se débarrasser de cette idéologie, que je qualifie de fasciste. »

Ou encore ceci :

« Je le dis de manière plus claire : ma culture est meilleure que la culture islamique. Nous ne traitons pas les femmes, les homosexuels, les relations politiques au sein de la société, comme cette culture attardée. Les individus sont égaux. »

Voyez Le Figaro du 7 mars 2008


Geert Wilders, Berlin, 2 Octobre 2010 - Part 1/4



Geert Wilders, Berlin, 2 Octobre 2010 - Part 2/4



Geert Wilders, Berlin, 2 Octobre 2010 - Part 3/4



Geert Wilders, Berlin, 2 Octobre 2010 - Part 4/4


Pour ceux qui ne maîtrisent ni l'allemand ni le sous-titrage en anglais, voici via Riposte Laïque la traduction intégrale du discours en français, par Sylvia Bourdon, à lire de bout en bout avant d'agiter les fantômes des zeuléplussombres deuh'not'histwwoouuuaâââr !

"Chers Amis, je suis heureux d’être aujourd’hui à Berlin. Comme vous le savez, cette invitation de mon ami René Stadtkewitz, lui a coûté son statut de membre de la CDU de Berlin. Cependant, René ne s’est pas laissé intimider. Il n’a pas trahi ses convictions. Son éviction fut pour René l’occasion de fonder son propre parti politique. René, je te remercie pour cette invitation et te souhaite le succès que tu mérites avec ton nouveau parti.

Mes amis, comme vous le savez peut-être, ces dernières semaines furent pour moi épuisantes. En début de semaine nous avons pu former avec succès un gouvernement minoritaire avec les libéraux et les chrétiens démocrates, soutenus par mon parti. Cela est un événement historique pour les Pays Bas. Je suis fier d’avoir pu y contribuer. En ce moment même, dans le cadre d’une conférence, les chrétiens démocrates doivent décider leur entrée dans cette coalition.

S’ils le font, nous serons en mesure de reconstruire notre pays, de garder notre identité nationale et d’offrir à nos enfants un futur meilleur. Malgré mon agenda chargé, c’était pour moi une obligation de venir à Berlin, car, l’Allemagne aussi a besoin de défendre son identité allemande et de résister à l’islamisation de l’Allemagne.

La Chancelière Angela Merkel déclare que l’islamisation de l’Allemagne est inévitable. Elle appelle les citoyens à s’adapter aux changements provoqués par l’immigration. Elle souhaite que vous vous adaptiez à cette situation.

Le Président de la CDU déclare – je cite : « Les mosquées deviendront plus qu’avant une partie du paysage de nos villes. » fin de la citation. Mes amis, nous ne devons pas accepter l’inacceptable, sans essayer de tourner cette page. Il est notre devoir de politique, de préserver notre nation pour nos enfants.

J’espère que le mouvement de René sera autant couronné de succès que mon propre parti Partij voor de Vrijheid, comme celui de Oskar Freysinger, la Schweizerische Volkspartei en Suisse, ou celui de Pia Kjaersgaards, le Dansk Folkeparti au Danemark et autres mouvements du genre. Ma très chère amie, Pia, déclarait récemment à l’invitation de la Sverigedemokraterna : « Je ne suis pas venue, afin de me mêler de la politique intérieure suédoise. Cela est l’affaire des Suédois. Non, je suis venue car, malgré des différences certaines, le débat Suédois me fait penser au débat que nous avons déjà mené depuis 15 ans au Danemark. Et, je suis venue en Suède, car cela concerne aussi le Danemark. Nous ne pouvons pas rester assis là, les bras tombants et être des témoins muets du développement politique de la Suède. »

Ceci est valable pour moi en tant que Néerlandais concernant l’Allemagne. Je suis ici, parce que l’Allemagne est pour les Pays Bas et le reste du monde de grande importance parce que, sans un partenaire allemand fort, le « International Freedom Alliance » « Alliance Internationale pour la Liberté » ne pourra jamais être portée sur les fonds baptismaux. Mes chers amis, demain est le jour de l’unification allemande. Demain, depuis exactement vingt ans, votre grande nation se réunifiait, suite à la faillite de l’idéologie communiste. Le jour de la réunification de l’Allemagne est un jour important pour toute l’Europe.

L’Allemagne est la plus grande démocratie d’Europe. L’Allemagne est le moteur économique de l’Europe. La prospérité et le progrès de l’Allemagne sont nécessaires pour nous tous car, la prospérité et le progrès de l’Allemagne est une condition pour la prospérité et le progrès de l’Europe. Cependant, si je suis aujourd’hui devant vous, c’est pour vous mettre en garde d’un danger de séparation. L’identité nationale de l’Allemagne, sa démocratie, sa prospérité économique sont menacées par l’idéologie politique de l’islam.

En 1848, Karl Marx inaugurait son manifeste avec cette phrase désormais célèbre : « Un fantôme entoure Europe, le fantôme du communisme. » De nos jours, c’est un autre fantôme qui entoure l’Europe. C’est le fantôme de l’islam. Ce danger est également politique. L’islam n’est pas seulement une religion, comme beaucoup le pensent : l’islam est avant tout et surtout une idéologie politique.

Cette constatation n’est pas nouvelle. Je voudrais citer à partir de ce bestseller et la série télévisée de la BBC ; The Triumph of the West, (Le Triomphe de l’Occident) ce qu’écrivait le très réputé historien d’Oxford, J.M. Roberts en 1985 :

« Alors que nous parlons sans précaution de l’islam, comme d’une ‘religion’, ce mot véhicule beaucoup de significations intermédiaires, en particulier dans l’histoire de l’Europe de l’ouest. Le musulman est d’abord et avant tout le membre d’une communauté, le disciple d’un chemin bien précis. Le partisan d’un système de droit bien précis et qui revendique une opinion théologique bien précise. » Fin de la citation.

Le professeur Flamand, Urbain Vermeulen, qui fut le président du European Union of Arabists and Islamicists, souligne également que « l’islam est d’abord un système juridique, une loi » avant d’être une religion. Fin de la citation.

L’historien politique Américain, Mark Alexander écrit, je cite : « L’erreur majeure est de considérer l’islam comme une autre des grandes religions mondiales. Ce n’est pas ainsi que nous devons réfléchir. L’islam est politique, sinon, il n’est rien. Cependant, bien évidemment qu’il est politique avec une dimension spirituelle …, qui rien n’arrêtera, jusqu’à ce que l’occident disparaisse, jusqu’à ce que l’occident soit réellement, totalement islamisé. » fin de citation.

Cela ne sont pas uniquement des déclarations des adversaires de l’islam. Des intellectuels musulmans disent aussi la même chose. Pour ceux qui ont lu le coran, la sira et les hadithes, il n’y a aucun doute sur la nature de l’islam. Abdul Ala Maududi, un influent penseur pakistanais du 20ème siècle a écrit, je le cite tout en soulignant que ce ne sont pas mes mots, mais ceux d’un savant influent islamique : « L’islam n’est pas seulement une conviction religieuse, ‘mais’ une idéologie révolutionnaire et le Jihad se rapporte à ce combat révolutionnaire, partout, autour de cette terre, à détruire tous les Etats et gouvernements qui s’opposeront à l’idéologie et au programme de l’islam. » fin de citation.

Ali Sina, un apostat Iranien, qui vit au Canada, mentionne qu’il y a une règle d’or au cœur de chaque religion – que nous devons traiter les autres, comme nous aimerions qu’ils nous traitent. En islam, cette règle ne vaut que pour les frères de croyance, pas pour les infidèles.

Ali Sina déclare – je cite – « Les raisons pour lesquelles je suis contre l’islam, ne sont pas parce que c’est une religion, mais parce que c’est une idéologie politique impérialiste, que c’est une domination déguisée en religion. Parce que l’islam ne suit pas la règle d’or, il attire des individus violents. » fin de citation.

Une étude sans aucune passion sur le début de l’histoire de l’islam montre de façon incontestable que c’était le but de Mohammed, de conquérir son propre peuple, les Arabes, de les unifier sous sa domination pour ensuite conquérir le monde et le dominer.

Cela était l’idée à l’origine, qui était ostensiblement politique et qui fut soutenue par le pouvoir militaire. « Je fus convaincu de combattre tous les hommes, jusqu’à ce qu’ils déclarent : ‘Il n’y a pas de Dieu hors d’Allah’ lançait Mohammed dans son dernier discours. Il réalisa cela en total accord avec la loi coranique dans la sourate : 8 :39 : « Combattez les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’incroyants et jusqu’à ce que tous croient en Allah. »

Selon la mythologie, Mohammed fondait l’islam à la Mecque, après que l’ange Gabriel en l’an 610 lui apparut pour la première fois. Les douze premières années, l’islam, plutôt religieux que politique, ne fut pas un grand succès. En 622, Mohammed se dirigea avec son petit groupe de 150 partisans pour Yatrib, une oasis majoritairement juive. C’est là qu’il fit ériger la première mosquée de l’histoire, prit le pouvoir politique, intitula Yatrib du nom de Medine, ce qui signifie « la ville du prophète » et débuta sa carrière en tant que maître militaire et politique qui conquit toute l’Arabie. Ce qui, par cette migration, marqua le calendrier islamique de hidschra, et transforma l’islam en mouvement politique. A la mort de Mohammed, l’islam se transforma concrètement, se basant sur ses paroles en charia, un système législatif qui légitime une domination répressive basée sur le divin, y compris les règles du Jihad et pour le contrôle absolu des fidèles et infidèles. La charia est la loi de l’Arabie Saoudite, de l’Iran et d’autres Etats musulmans. Elle est aussi d’une importance centrale pour ‘Organization of the Islamic Conference’, qui stipule dans l’article 24 de sa ‘déclaration des droits de l’homme’ au Caire, qu’en islam ‘tous les droits et les libertés sont soumis à la charia islamique’. L’OIC n’est pas une institution religieuse, mais une représentation politique.

C’est la force électorale la plus importante au sein des Nations Unis qui rédige des rapports sur la soi-disant ‘islamophobie’ des pays occidentaux et nous reproche de porter atteinte aux droits de l’homme. Afin d’exprimer cela en langage biblique : Ils cherchent l’éclat de verre dans notre œil et ignorent la poutre dans le leur.

Avant de continuer et afin d’éviter tout malentendu, je voudrais souligner que je parle de l’islam et non des musulmans. Je fais toujours une différence entre les hommes et l’idéologie, entre musulmans et l’islam. Il existe un grand nombre de musulmans modérés, cependant l’idéologie de l’islam n’est pas modérée et possède des ambitions globales. Ses intentions sont d’imposer au monde la loi islamique, la charia. Cela doit être obtenu par le Jihad.

La bonne nouvelle est que des millions de musulmans dans le monde, parmi eux, un grand nombre en Allemagne et dans les Pays-Bas, ne suivent pas la charia, encore moins le Jihad. La mauvaise nouvelle est que, ceux qui passeront à l’acte, sont prêt à utiliser tous les moyens afin d’atteindre leur but idéologique et révolutionnaire. En 1954, l’historien anglo-britannique, le professeur Bernard Lewis écrivit dans son essai : Communisme et islam, sur, je cite « le totalitarisme dans la tradition politique islamique », fin de citation. Le professeur Lewis continu, je cite : « que la répartition du monde dans la maison islam et la maison de la guerre, montrent des parallèles avec la vision du monde communiste. Le fanatisme agressif du croyant est du même ressort. » fin de citation. Mark Alexander lui, estime que, la nature de l’islam se différencie très peu des visions idéologiques totalitaires du national socialisme et du communisme. Il énumère les caractéristiques suivantes sur ces trois idéologies :

• Premièrement : Ils procèdent à l’épuration politique, afin de nettoyer la société de ce qu’ils estiment non désirable.

• Deuxièmement : Ils ne tolèrent qu’un seul parti politique. Là, où l’islam tolère d’autres partis, il exige cependant que tous les partis soient islamiques.

• Troisièmement : ils obligent le peuple de se diriger vers le chemin qu’ils imposent.

• Quatrièmement : ils gomment les différences libérales entre le domaine du privé et du public.

• Cinquièmement : Ils transforment le système éducatif en un appareil d’endoctrinement général.

• Sixièmement : Ils établissent les règles pour l’art, la littérature, les sciences et la religion.

• Septièmement : ils oppriment les êtres, auxquels est assigné un statut de seconde classe.

• Huitièmement : ils créent une sorte d’état émotionnel prèt du fanatisme ou l’ajustement s’identifie par le combat et la dominance.

• Neuvièmement : Ils se comportent de manière provocatrice face à leurs adversaires et méprisent de leur côté, toutes concessions alors qu’ils considèrent comme une faiblesse la complaisance de leurs rivaux.

• Dixièmement : Ils considèrent la politique comme l’expression du pouvoir.

• Et enfin, ils sont antisémites.

Il existe un autre parallèle remarquable, mais celui-là n’est pas une caractéristique de ces trois idéologies politiques, mais une caractéristique de l’occident. C’est apparemment, l’incapacité de l’occident à reconnaître le danger. La condition à comprendre le danger politique est l’empressement de voir la réalité, même si cette dernière est désagréable. Hélas, il semblerait que les politiques modernes aient perdu cet empressement.

Notre incompétence nous mène à nier les faits logiques et historiques, malgré notre expérience. Qu’est ce qui ne va pas chez l’homme occidental, moderne, que nous répétions toujours et toujours les mêmes erreurs ? Il n’y a pas meilleur endroit afin de réfléchir à cette question, qu’ici à Berlin, l’ancienne capitale du Reich du mal, d’une Allemagne nazi et, cette même ville qui ensuite fut prisonnière durant 40 ans de cette soi-disant ‘democratie’ de la République ‘Démocratique’ Allemande. Lorsque les citoyens de l’Europe de l’Est se détournèrent en 1989 du communisme, ils furent inspirés par des dissidents comme Alexandre Soljenitsine, Vaclav Havel, Vladimir Bukowski et d’autres, qui leur disaient que les hommes ont des droits, mais aussi des devoirs de vivre ‘dans la vérité’. La liberté exige une veille constante. Cela vaut aussi pour la vérité. Seulement, Soljenitsine ajoutait que ‘la vérité est rarement agréable ; elle est presque sans exception amère’.

Regardons ensemble cette amère vérité. Nous avons perdu notre capacité à reconnaître le danger et à comprendre la vérité, car nous ne savons plus évaluer la liberté. Les politiques de pratiquement tous les partis établis promeuvent l’islamisation. Ils applaudissent chaque nouvelle école islamique, banque islamique et chaque nouvelle cour islamique. Ils considèrent que l’islam vaut notre culture. Islam ou liberté . Cela ne leur signifie rien. Mais cela signifie beaucoup pour nous. L’estabishment en son intégralité, les élites, les universités, les églises, les syndicats, les médias, les politiques, mettent en jeu nos libertés si chèrement acquises. Ils évoquent l’égalité, mais curieusement, refusent de voir qu’en islam, les femmes ont moins de droits que les hommes et que les incroyants ont également moins de droits que les partisans de l’islam.

Allons nous répéter les événements tragiques de la République de Weimar ? Allons nous nous soumettre à l’islam, car notre dévotion à la liberté est morte ? Non, cela ne se passera pas ainsi. Nous ne sommes pas comme Madame Merkel. Nous n’acceptons pas que l’islamisation soit devenu un fait établi. Nous devons préserver la liberté. Même si nous l’avons déjà partiellement perdue, nous devons la retrouver dans le cadre des élections démocratiques. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin de nouveaux partis qui défendent ce que signifie la liberté. Afin de soutenir ces partis, j’ai tenu à créer l’International Freedom Alliance. (Alliance Internationale de la Liberté).

Comme vous le savez, je suis poursuivi aux Pays-Bas. Lundi, je dois me présenter devant le tribunal et durant tout le mois qui va suivre, je devrais le consacrer à cette procédure. Cette procédure fut instruite contre moi, parce que j’ai exprimé mon avis sur l’islam et parce que j’ai tenu des conférences, écris des chroniques et montré mon film Fitna sur ce sujet. Je vis sous protection policière constante, car des extrémistes islamistes veulent m’assassiner. Et, c’est moi que l’on instruit devant les tribunaux, dont l’establishment néerlandais se compose pour la plus grande partie de non musulmans. C’est ceux là même qui veulent me contraindre au silence.

Je suis traîné devant les tribunaux, car mon pays ne peut plus exercer son droit exclusif à la liberté. Hélas, nous ne disposons pas, comme aux Etats Unis d’un droit à la liberté de parole, inscrit dans la constitution, qui garantie aux hommes la liberté d’expression et rend ainsi possible avec leurs paroles, d’initier ouvertement des débats. Contrairement aux Etats Unis, les Etats nationaux et de plus en plus l’Union Européenne, nous prescrivent, à nous citoyens, même aux politiques démocratiquement élus, comment, je dois penser et ce que je peux dire. Ce qu’il nous est désormais interdit de dire est que notre culture, en comparaison d’autres cultures est supérieure. De telles déclarations sont désormais considérées comme discriminantes, même haineuses.

A travers les écoles, les médias, nous sommes quotidiennement endoctrinés par le message que toutes les cultures se valent et que si une culture est pire que les autres, c’est la nôtre. Un torrent de sentiments de culpabilité et de honte concernant notre identité, à laquelle nous tenons, se déverse sur nous. On nous recommande de bien vouloir respecter tout le monde, sauf nous-même. Cela est le message de la gauche et de l’establishment du politiquement correct. Ils veulent éveiller en nous, le sentiment de honte envers notre propre identité, afin que nous nous écartions de toute action de la défendre. Cette obsession destructrice de nos élites politiques et culturelles, envahies par le sentiment occidental de culpabilité, obstrue la vérité sur les vues que l’islam a sur nous. Le coran qualifie les non-croyants de kouffar, ce qui signifie littéralement « ceux qui refusent » ou les « ingrats ». En conséquence, les incroyants sont « coupables ».

L’islam enseigne que nous sommes tous nés croyants. L’islam enseigne que, si nous ne sommes pas des croyants aujourd’hui, cela est de notre faute ou la faute de nos ancêtres. Ce qui signifie que nous sommes considérés comme kafir « coupables », car nous-même ou nos ancêtres sommes des apostats. Et que, selon l’avis de certain, nous méritons d’être soumis. Nos intellectuels d’aujourd’hui sont totalement aveugles face aux dangers de l’islam. Le dissident soviétique, Vladimir Bukovsky déclarait que l’occident a omit lors de la chute du communisme, de dénoncer ceux qui jouaient le jeu des communistes en prêchant pour la détente politique, pour la réduction des tensions internationales et pour une coexistence pacifique. Il souligne que la guerre froide – je cite – « était une guerre que nous n’avons jamais gagnée. Nous n’avons même pas lutté. La plupart du temps, l’occident s’adonnait à la politique de l’apaisement face au bloc soviétique et, les pacifistes ne gagnent jamais les guerres. » fin de citation.

L’islam est le communisme contemporain. Cependant, en raison de notre incapacité d’avoir su solder le communisme, nous démontrons notre impuissance à maîtriser, tant nous sommes prisonniers de la vieille banalité communiste de la dissimulation et de la tromperie verbale, qui jadis envahissaient les nations de l’est et viennent désormais nous envahir tous. Comme ils se posaient déjà en aveugles face au communisme, de même, cette même gauche, par sa défaillance passée, ferme les yeux devant l’islam. Ils servent aujourd’hui les mêmes arguments qu’hier, de la détente, des meilleures relations, de l’apaisement. Ils prétendent, que notre ennemi est aussi amoureux de la paix que nous, que, si nous faisions un pas vers lui, il fera de même, qu’il ne demande que du respect et que, si nous le respectons, il nous respectera aussi. Nous entendons les énièmes répétitions de ce vieux moralisme égalitariste. Ils s’évertuent à déclarer que « l’impérialisme » occidental est aussi destructeur que l’impérialisme soviétique. Aujourd’hui, ils lancent que « l’impérialisme » occidental est aussi mauvais que le terrorisme islamiste.

Dans mon discours prêt de Ground Zero, le 11 septembre dernier à New York, je soulignais qu’il fallait désormais arrêter ce petit jeu de la culpabilisation de l’occident, de l’Amérique, que les prêcheurs islamistes jouent avec nous. Nous mêmes, nous devons arrêter de jouer ce jeu. A ceux là, j’adresse le même message. C’est une offense de nous raconter que nous sommes coupables et que nous méritons ce qui nous arrive. Nous méritons encore moins de devenir des étrangers dans nos propres pays. Nous ne devons pas accepter ces offenses. Parce que premièrement, la civilisation occidentale est la plus libre et la plus florissante de la terre. C’est bien pour cela qu’autant d’immigrants veulent venir chez nous.

Deuxièmement, nous ne connaissons pas de culpabilité collective. Des individus libres sont des acteurs moraux libres, qui sont exclusivement responsables de leurs faits et gestes. Je suis très heureux d’être ce jour à Berlin afin de lancer ce message, qui est particulièrement important en Allemagne. Ce qui pu se passer dans le passé dans votre pays, pour cela la génération actuelle n’est pas coupable. Ce qui pu encore se passer dans le passé, ce n’est pas une excuse pour punir les Allemands d’aujourd’hui. Cependant, vous n’avez aucune excuse de vous retirer du combat pour votre propre identité. Il est de votre responsabilité d’éviter les erreurs du passé. Il est également de votre responsabilité d’être aux côtés de ceux qui sont menacés par l’islam. Comme l’Etat d’Israël et de ses citoyens juifs.

La République de Weimar rejetait le combat pour la liberté et fut écrasée par une idéologie totalitaire avec des conséquences catastrophiques pour l’Allemagne, le reste de l’Europe et le monde. Ne laissez pas passer l’occasion de combattre pour votre liberté. Je suis très heureux d’être parmi vous aujourd’hui, car il semble, que, 20 ans après la réunification, cette nouvelle génération ne ressent plus de sentiment de culpabilité d’être allemand. L’actuel débat qui fait rage sur le livre récemment publié de Thilo Sarrazin est un signe que l’Allemagne s’apaise avec elle même. Je n’ai pas encore lu le livre du Dr. Sarrazin, mais je constate que, pendant que les élites du politiquement correct s’insurgent contre ses thèses et intervinrent en faveur de sa démission de dirigeant de la Bundesbank, la grande majorité des Allemands approuvent et estiment que le Dr. Sarrazin a mis l’accent sur un sujet urgent et brûlant. « L’Allemagne capitule » alerte Sarrazin et appelle les Allemands à contrecarrer ce process. L’énorme succès du livre prouve qu’un grand nombre d’Allemands sont du même avis.

Les Allemands ne veulent pas voir leur pays disparaître, malgré l’endoctrinement politique qu’on leur fait subir. L’Allemagne n’a plus honte de retrouver sa fierté nationale. En ces temps difficiles, qui menacent nos identités nationales, nous devons nous défaire de ce sentiment de culpabilité, nous ne devons plus nous sentir coupable d’être ce que nous sommes. Nous ne sommes pas « kafir » nous ne sommes pas coupables. Comme les autres peuples aussi, les Allemands ont le droit de rester ce qu’ils sont. Les Allemands ne doivent pas devenir Français, ni Hollandais, ni Américains, ni Turcs. Ils doivent rester Allemands.

Lorsque le Premier Ministre Erdogan visitait l’Allemagne en 2008, ce dernier recommandait fermement aux Turcs qui vivent en Allemagne de rester Turcs. Il déclarait mot pour mot : « l’assimilation est un crime contre l’humanité ». Erdogan aurait pu avoir raison, s’il s’était adressé aux Turcs en Turquie. Seulement voilà, l’Allemagne est le pays des Allemands. En conséquence, les Allemands ont le droit de demander que ceux qui viennent sur leur territoire afin d’y vivre, s’adaptent aux usages du pays. Ils ont le droit – non – ils ont le devoir envers leurs enfants d’exiger que les nouveaux arrivants respectent l’identité Allemande et son droit à la garder.

Nous devons réaliser que l’islam se propage de deux manières. Comme ce n’est pas une religion, la conversion n’est qu’un phénomène marginal. Historiquement, l’islam se propageait soit par la force militaire ou par l’arme de l’hirjra, l’immigration. Mohammed conquit Medine par l’immigration. Hirjra signifie ce que nous observons aujourd’hui. L’islamisation de l’Europe avance continuellement. Cependant, l’occident n’a pas de stratégie pour gérer l’idéologie islamiste, étant donné que nos élites déclarent que nous devons nous adapter, au lieu du contraire. Dans ces circonstances, nous pouvons nous inspirer de l’Amérique, la nation la plus libre du monde. Les Américains sont fiers de leur nation, de leurs acquits, de leur drapeau.

Nous devons également être fiers de notre nation. Les Etats Unis furent depuis toujours une terre d’immigration. Le Président Theodore Roosevelt avait une vision claire des devoirs des immigrants. Voici ce qu’il déclarait à ce sujet, je cite : « Nous devons exiger que l’immigrant, qui arrive avec de bonnes intentions, devienne Américain et s’assimile. Il doit être traité comme tous les autres en totale égalité. Cela est valable uniquement si le sujet devient un Américain et rien qu’un Américain. Il ne peut exister deux appartenances. Nous avons de l’espace que pour une seule loyauté et cela est la loyauté au peuple Américains. » fin de citation. Ce n’est pas mon devoir de définir ce qu’est l’identité nationale allemande. Cela est de votre responsabilité. Seulement, ce que je sais est que la culture allemande, ainsi que celle de ses voisins et donc, de mon pays, prend ses racines dans les fondements humanistes du judéo-christianisme.

Chaque politique responsable a l’obligation de garder ces valeurs face aux idéologies qui les menacent. Une Allemagne couverte de mosquées et envahie de femmes voilées n’est plus l’Allemagne de Goethe, Schiller, Heine, Bach et Mendelssohns. Ce serait pour nous tous une grand perte. Il est de la plus haute importance que vous, en tant que nation, soigniez et gardiez ces racines. Autrement, il ne vous sera plus possible de garder votre identité. Vous disparaîtriez en tant que peuple. Vous perdriez votre liberté. Et, avec vous, toute l’Europe perdrait sa liberté. Mes amis, lorsque Ronald Reagan visitait Berlin encore séparé, il y a 23 ans, non loin d’ici, près de la porte de Brandenburg, ce dernier déclarait au Secrétaire Général Soviétique : « Monsieur Gorbachev, détruisez ce mur ! » Monsieur Reagan n’était pas un pacifiste, mais un homme qui disait la vérité et qui aimait la liberté. Nous aussi, nous devons aujourd’hui détruire un mur. Ce n’est pas un mur de béton, mais un mur du mensonge, sur la vraie nature de l’islam.

La International Freedom Alliance (Alliance Internationale pour la Liberté) a l’intention de coordonner tous les efforts nécessaires. Parce que nous disons la vérité, les électeurs de mon parti Partij voor de Vrijheid et d’autres partis comme le Dansk Fokeparti, la Schweizerische Volkspartei, nous a permis de nous positionner pour influencer le processus décisionnaire de la politique. A partir de l’opposition ou avec le soutien d’un gouvernement minoritaire, comme nous souhaitons le mettre en œuvre aux Pays Bas. Le Président Reagan a démontré qu’en disant la vérité, on peut changer le cours de l’histoire. Il a montré qu’il n’y a jamais de raison de désespérer. Jamais ! Réalisez naturellement votre devoir. N’ayez pas peur. Dites la vérité. Ensemble nous pouvons préserver la liberté et, mes amis, nous allons la garder notre liberté.

Merci "

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05/10/2010

Admonestez-les, frappez-les, Dieu est Grand.

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Que font les musulmans, aux quatre coins du monde, pour nous montrer le haut degré d'Amour, de Tolérance et de Paix que leur Religion comporte, lorsque des humoristes danois y vont de leurs caricatures à l'égard de leur prophète ? Ils brûlent des drapeaux occidentaux, quand ce ne sont pas des ambassades, organisent des manifestations partout où ils le peuvent pour vociférer leur mécontentement.

Que font-ils, à nouveau, quand la France refuse d'autoriser la burqa dans nos rues ? Ils kidnappent de vieux philanthropes qui partent chez eux user leurs dernières forces afin de les aider dans leur pitoyable misère et ils les exécutent. Ils ont l'habitude, un vieux de plus ou de moins : broutilles.

Que font-ils, encore, lorsqu'un philosophe, calmement, déclare que s'il y a de la violence dans la Bible et s'il y en a dans le Coran, elle n'est pas de même nature, celle de la Bible étant descriptive et celle du Coran étant préscriptive ? Ils émettent une Fatwa condamnant le philosophe en question à mort, tout comme le fut Salman Rushdie en son temps. Ainsi, Robert Redeker vit caché et sous protection policière depuis depuis quatre ans. Il n'a pas seulement signalé que la violence du Coran était préscriptive, il a été précis dans ce que nos bobos gôchistes considèrent comme des élucubrations haineuses :

« L'islam essaie d'imposer à l'Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d'un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l'école, accusation d'islamophobie contre les esprits libres. Comment expliquer l'interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? » ;

« Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran » ;

 

« Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran. »

Toutes ces jolies choses clairement exprimées dans leur Saint Livre, voilà que nos barbus offusqués se refusent à ce que des non-musulmans osent en parler, car selon leur mode de pensée, les mécréants que nous sommes ne devraient faire qu'une seule chose : se soumettre à leur bon vouloir... au lieu de chercher à afficher leur mode opératoire qui, à la vue de l'Europe qui va comme elle va, contient bel et bien un agenda pour les 30 prochaines années à venir.
Songez-y si vous avez des enfants et petits-enfants.

Récemment, un chrétien quelque peu illuminé aux USA a souhaité brûler le Coran en signe d'insoumission. Comme je le comprends. Bien entendu, nous avons eu droit à une sévère levée de boucliers de la part de toute la bien-pensance en place qui fait la pluie et le beau temps. Mais nos barbus, quant à eux, ont depuis un moment déjà lancé une Fatwa qui autorise le bon musulman à se torcher le cul, après avoir déféqué, avec la Torah ou les Evangiles... mais là, nos bons censeurs : SILENCE RADIO ! Vous en êtes surpris ? Lisez cet article très précis de Daniel Pipes.

Et à présent, lorsqu'une chaîne de télévision, Arte, a le toupet de diffuser un reportage édifiant, La Cité du Mâle, au sein duquel le téléspectateur a pu mesurer toute l'étendue de la Chance pour la France que représentent les enfants d'immigrés pour notre douce République démocrassouillarde, avec leur machisme crasseux, leur pensée archaïque de néandertalien et leur violence difficilement retenue, outre le fait que le reportage soulève, comme on pouvait s'y attendre, son lot de pets de censeurs scandalisés de voir la vérité venir secouer leur soporifique boîte à images, voilà nos chers lascars qui débarquent directement à la maison de production qui a supervisé le tournage du reportage en question et les menacent clairement : « On va vous brûler. On reviendra et on vous brûlera tous ! » Ce qui, pardonnez-moi du peu, tend encore à montrer le très haut niveau de conscience universaliste que ces misérables raclures possèdent.

Voyez ce lien...

Une bande de skinheads blancs, saouls et violents, tenant des propos semblables se serait aussitôt retrouvée pointée du doigt, accusée des pires crimes, sujets à l'ostracisme le plus logique. Là... nos chers lascars, les sociologues, les partenaires associatifs et autres criminels en puissance qui s'ignorent leurs trouvent 1000 et 1 excuses. Ne cherchez pas l'erreur, ça n'est, à présent, que la routine dans ce pays qui ressemble de plus en plus à une Union Soviétique miniature. Et ex-yougoslave, je sais, en la matière, de quoi je parle.

Pour ceux qui ont loupé l'affaire... à regarder jusqu'au bout.


La Cité du Mâle - 1/4



La Cité du Mâle - 2/4



La Cité du Mâle - 3/4



La Cité du Mâle - 4/4


« Les hommes ont autorité sur les femmes, en vertu de la préférence que Dieu leur a accordé sur elles, et à cause des dépenses qu’il font pour assurer leur entretien. Les femmes vertueuses sont pieuses : elles préservent dans le secret ce que Dieu préserve. Admonestez celles dont vous craignez l’infidélité ; reléguez-les dans des chambres à part et frappez-les. Mais ne leur cherchez plus querelle, si elles vous obéissent. Dieu est élevé et grand. »
Coran, Sourate 4, versets 34/38 - Traduction Denise Masson

Dieu est, en effet, élevé et très grand.

Et si il se trouve quelque musulman chipoteur qui trouverait à y redire, concernant cette traduction faite par (ô mon Dieu !) une femme, voici un flot de traductions diverses de la même Sourate faites par des hommes... ça leur permettra de choisir.

Mouhammad Hamidullah : « Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! »

Jacques Berque, Albin Michel, 1995 : « Les hommes assument les femmes à raison de ce dont Dieu les avantage sur elles et de ce dont ils font dépense sur leurs propres biens. Réciproquement, les bonnes épouses sont dévotieuses et gardent dans l’absence ce que Dieu sauvegarde. Celles de qui vous craignez l’insoumission, faites-leur la morale, désertez leur couche, corrigez-les. Mais une fois ramenées à l’obéissance, ne leur cherchez pas prétexte. Dieu est Auguste et Grand. »

Kazimirski, GF-Flammarion, 1970 : « Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises ; elles conservent soigneusement pendant l’absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous avez à craindre l’inobéissance ; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez ; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. »

André Chouraqui : « Les hommes ont autorité sur les femmes, du fait qu’Allah fait grâce à certains plus qu’à d’autres, et du fait qu’ils dépensent leurs biens. Les vertueuses adorent, et gardent le mystère de ce qu’Allah garde. Admonestez celles dont vous craignez la rébellion, reléguez-les dans des dortoirs, battez-les. Si elles vous obéissent, ne cherchez pas contre elles de querelle. Voici, Allah, le Sublime, le Grand. »

Si Hamza Boubakeur, ancien recteur de l’Institut musulman de la mosquée de Paris, Maisonneuve et Larose, 1995 : « Les hommes ont autorité sur les femmes en raison (des qualités) par lesquelles Dieu vous a élevés les uns au-dessus des autres et en raison des dépenses qu’ils prélèvent sur leurs biens (au profit de leurs femmes). Les (femmes) vertueuses sont sobres et maintiennent intact en l’absence de leur mari ce que Dieu a prescrit de conserver (ainsi). Exhortez celles dont vous redoutez l’insubordination. Reléguez-les dans des lits à part et sévissez contre elles. Si elles vous obéissent, ne leur cherchez plus querelle. En vérité Dieu est très haut et très grand. »

Jean Grosjean, Éditions Philippe Lebeau, 1988 : « Les hommes ont autorité sur les femmes à cause des préférences de Dieu et à cause des dépenses des hommes. Les vertueuses sont dociles, elles protègent ce qui doit l’être selon la consigne de Dieu. Celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, reléguez-les dans leur chambre, frappez-les, mais si elles vous écoutent ne les querellez plus, car Dieu est sublime et grand. »

René R. Khawam, Maisonneuve et Larose, 1990 : « Les hommes ont le pas sur leurs femmes, à cause de la préférence que Dieu a manifestée pour les uns sur les autres, à cause de ce que dépensent les hommes pour la subsistance des femmes. Les femmes Justes sont assidues aux offices de prières, gardant au sujet de l’Invisible le secret que Dieu a gardé. Celles dont vous craignez la rébellion, exhortez-les, reléguez-les dans les chambres où elles couchent, frappez-les. Si elles vous obéissent, ne cherchez contre elles aucune voie de coercition. Dieu s’est montré Elevé et Grand. »

 

Ceux qui se sont spécialisés dans l'art de faire bouffer à leurs peuples du sable en leur faisant sucer des cailloux et qui n'ont que leur fierté pour se tenir debout ne sont blessés que par la vérité... qui devrait pourtant leur ouvrir les yeux s'ils étaient normalement constitués.

22:34 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook