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16/07/2011

Afghanistan et Ségolénitude

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Via Causeur...

 

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Afghanistan: Ségo en pleine déconnitude

 

Dès qu’elle endosse les habits de candidate à la présidence de la République, Ségolène Royal se met à dire des bêtises. C’est plus fort qu’elle, elle ne peut pas plus s’en empêcher que DSK de sauter supposément sur tout ce qui bouge.

Ainsi, voici son commentaire à chaud sur la mort récente de six soldats français en Afghanistan: « Cette obstination à maintenir la présence de l’armée française dans un pays dans lequel elle n’avait pas de capacité d’action et dans laquelle nos soldats étaient gravement exposés à toutes les formes d’attentats aboutit aujourd’hui à un nouveau drame qui prouve, une fois de plus, que Nicolas Sarkozy s’est fourvoyé en décidant la présence de l’armée française en Afghanistan.».

Ceux qui ont cru percevoir que l’engagement de nos troupes dans ces contrées lointaines avait été décidé d’un commun accord en 2001 par MM. Jacques Chirac et Lionel Jospin sont priés de venir soigner leur mémoire dans les stations thermales picto-charentaises.

Mme Royal estime en outre que ces soldats sont « morts pour rien », ce qui est tout à fait réconfortant pour les familles et camarades des défunts. De nouvelles victimes sont à craindre : les morts de rire à l’écoute d’une telle oraison funèbre.

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par Luc Rosenzweig 

 

Aurait-elle fumé de l'afghan ? That is the question...

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Ne point désirer l’impossible

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Le Che a dit : « Soyons réalistes, exigeons l’impossible. » et Léonard de Vinci : « Ne point désirer l’impossible. » L’un veut entrainer toute la réalité avec lui dans son rêve. L’autre ne tenant compte que de la réalité palpable (comme les corps qu’il dessine) fait descendre un peu de ses rêves dans le domaine de la réalité. La phrase du Che est pour l’impétuosité de la jeunesse, celle de Vinci est pour l’artiste plein d’assurance qui n’aura pas fini tout au long d’une vie d’explorer les champs du possible et du possible uniquement. Le premier, courant derrière ses exigences impossibles a laissé, derrière son passage, des monceaux de cadavres et le mythe vulgairement christique du révolutionnaire intransigeant et en marche. Le deuxième allait, la nuit, avec quelques complices grassement payés, déterrer les cadavres frais mais pour en étudier l’anatomie mystérieuse et parfaire ses connaissances de l’incarnation humaine. Le premier exécutait un garçon de 17 ans parce qu’il avait volé un morceau de pain dans les provisions des guerrilleros. Le deuxième séduisait les garçons de 17 ans pour des ébas tout aussi tabous que les cadavres qu’il déterrait pour son étude. Ami lecteur, choisi ton camp.

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Honneur : RIP - Lieutenant Thomas Gauvin

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La dépouille du Lieutenant français Thomas Gauvin quittera l’Afghanistan dimanche 17 juillet 2011. Elle arrivera lundi 18 juillet en France. Les honneurs militaires seront rendus à Paris, aux Invalides, mardi 19 juillet, en début d’après-midi. L’enterrement aura lieu, en principe, à Caen, à une date pas encore fixée.

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Major de promotion, le lieutenant Thomas Gauvin est aussi le premier de cette promotion à disparaître en opération et le premier cyrard à tomber en Afghanistan, sous les couleurs du 1er RCP. Marié l’été dernier, il laisse derrière lui Anaïs. Nous adressons le témoignage de notre amitié à Anaïs, à toute la famille et à toute la belle-famille.

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Le Lieutenant Thomas Gauvin est tombé pour la défense de la liberté. Il figure désormais parmi les Héros et les Justes.

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par Michel Garroté pour drzz

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Il n'est plus une juste cause en ce monde qui vaille la peine d'être servie

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« Il n'est plus une juste cause en ce monde qui vaille la peine d'être servie car il n'y a, au bout du chemin, pour les imprudents attardés qui s'y sont engagés par élan d'honneur et du coeur, que ridicule et dérision au mieux, au plus mal, haine ou indifférence, mais estime et émotion jamais. Alors, cause pour cause, si l'on en ressent le besoin à des altitudes où l'on n'est plus rejoint ni compris, autant s'en inventer une qui ne serve à rien... »

Jean Raspail, Les Hussards

 

Merci à Cougar

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Vie Plate

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« Je vais donc reprendre ma pauvre vie si plate et tranquille, où les phrases sont des aventures et où je ne recueille d'autres fleurs que des métaphores. J'écrirai comme dans le passé, pour aucune arrière-pensée d'argent ou de tapage. Apollon, sans doute, m'en tiendra compte, et j'arriverai peut-être un jour à produire une belle chose ! car tout cède, n'est-ce pas, à la continuité d'un sentiment énergique. Chaque rêve finit par trouver sa forme ; il y a des ondes pour toutes les soifs, de l'amour pour tous les cœurs. Et puis rien ne me fait mieux passer la vie que la préoccupation incessante d'une idée, qu'un idéal...Folie pour folie, prenons les plus nobles. »

Gustave Flaubert, Correspondances

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15/07/2011

Les ratés de Dieu

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« L'humanité n'est composée, au fond, que de quelques personnes. Elles se reconnaissent entre elles à des signes secrets. Le reste, c'est un déchet humain : les ratés de Dieu. »

« J'ai parcouru le monde ; j'ai connu tous les milieux. J'ai été soldat, paysan, ouvrier, bagnard, écrivain, et je suis arrivé à cette conclusion que l'homme est une sale bête avec quelques exceptions qui valent le voyage. »

Robert Poulet, La conjecture

 

Merci à Cougar

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14/07/2011

Transfiguration

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Le bien commun de l'Occident

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« Devant une Asie dont ils connaissaient à merveille la puissance, la richesse et la grandeur, fondés sur la soumission de masses humaines aux caprices d'un despote absolu, les Grecs ont défendu par les armes l'idéal juridique d'une cité composée d'hommes libres. Quand, dans la fraiche lumière d'un matin d’été, les soldats de Miltiade, ayant au bras le bouclier rond et brandissant leur longue lance, chargèrent au pas de course en direction des Perses dont la masse sombre se détachait à contre- ‐jour sur les flots éclatants de la mer, ils ne combattaient pas seulement pour eux-mêmes, mais aussi pour une conception du monde, qui devait devenir plus tard le bien commun de l'Occident. »

François Chamoux, La civilisation grecque à l'époque archaïque et classique

 

 

Merci à Cougar

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L'épouvantable salope dont la France moderne fut engendrée

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« Ce soir, 14 juillet, s'achève enfin, dans les moites clartés lunaires de la plus délicieuse des nuits, la grande fête nationale de la République des Vaincus. Ah! c'est peu de chose, maintenant, cette allégresse de calendrier, et nous voilà terriblement loin des anachroniques frénésies de la première année! Ce début, - légendaire déjà! - de la plus crapuleuse des solennités républicaines, je m'en suis, aujourd'hui, trop facilement souvenu devant l'universel effort constipé d'un patriotisme, évidemment indéfécable, et d'un enthousiasme qui se déclarait lui-même désormais incombustible! La nuit avait eu beau se faire désirable comme une prostituée, et l'entremetteuse municipalité parisienne avait eu beau multiplier ses incitations murales à la joie parfaite, on s'embêtait manifestement. Les pisseux drapeaux des précédentes commémorations flottaient lamentablement sur de rares et fuligineux lampions, dont l'afflictive lueur offensait le masque poncif des Républiques en plâtre que la goujate piété de quelques fidèles avait clairsemées sous des frondaisons postiches. Comme toujours, de nobles arbres avaient été mutilés ou détruits, pour abriter, de leurs expirants feuillages, les soulographies sans convictions ou les sauteries en plein air achalandées par les putanats ambiants. Nulle invention, nulle fantaisie, nulle tentative de nouveauté, nulle infusion d'inédite jocrisserie dans cette imbécile apothéose de la Canaille. On avait été trop sublime, la première fois! Chaque acéphale avait tenu, alors, à se faire une tête pour honorer l'épouvantable salope dont la France moderne fut engendrée. La nation entière s'était ruée au pillage du trésor commun de la stupidité universelle. Mais, à présent, c'est bien fini, tout cela. on continue de célébrer l'anniversaire de la victoire de trois cent mille hommes sur quatre-vingts invalides, parce qu'on a de l'honneur et qu'on est fidèle aux grands souvenirs, et aussi, parce que c'est une occasion de débiter de la litharge et du pissat d'âne. On y tient, surtout, pour affirmer la royauté du Voyou qui peut, au moins ce jour-là, vautrer sa croupe sur les gazons, contaminer la Ville de ses excréments et terrifier les femmes de ses insolents pétards. Mais la foi est partie avec l'espérance de ne pas crever de faim sous une République dont l'affamante ignominie décourage jusqu'aux souteneurs austères qui lui ont livré le plus bel empire du monde. »

Léon BLOY, Le désespéré

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13/07/2011

La féminisation de la société

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Eric Zemmour sur la féminisation de la société 1/3

 



Eric Zemmour sur la féminisation de la société 2/3

 



Eric Zemmour sur la féminisation de la société 3/3

 



Eric Zemmour sur la féminisation de la société, aux "Francs-Tireurs"

 

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12/07/2011

Phase ultime d'optimisation du rendement de l'esclave

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- Prenez un esclave et enchaînez-le, cognez-le, soumettez-le de façon radicale, écrasez-le toujours de votre poing de maître : l'amortissement sera faible.

- Changez d'optique, ne le cognez plus, de même ne l'enchaînez plus, cependant rendez-le totalement dépendant de vous : l'amortissement augmente mais la recette demeure moyenne, le profit toujours négligeable malgré l'amélioration.

- Optimisez votre art de la domination, faites croire à l'esclave qu'il est libre et, mieux, faites lui choisir sa servitude de telle manière qu'il ne la soupçonne guère : rendement
massif, rouage exploitable à merci et interchangeable à volonté, rapport entre le temps alloué à une tâche et le résultat obtenu entièrement maximisé.

Bienvenu en Démocratie : phase ultime d'optimisation du rendement de l'esclave.

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La traite négrière par les arabo-musulmans...

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En guise de révision... il ne faut pas hésiter à remettre les choses sur la table.

Pensez à monter le son sur l'écran...

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Crise planétaire

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« Les symptômes d'une crise planétaire qui va s 'accélérant sont manifestes. On en a de tous côtés cherché le pourquoi. J'avance pour ma part l'explication suivante la crise s'enracine dans l'échec de l'entreprise moderne, à savoir la substitution de la machine à l'homme. Le grand projet s'est métamorphosé en un implacable procès d'asservissement du producteur et d'intoxication du consommateur. La relation de l'homme à l'outil est devenue une relation de l'outil à l'homme. Ici il faut savoir reconnaître l'échec. Cela fait une centaine d'années que nous essayons de faire travailler la machine pour l'homme et d'éduquer l'homme à servir la machine. On s'aperçoit maintenant que la machine ne "marche" pas, que l'homme ne saurait se conformer à ses exigences, se faire à vie son serviteur. Durant un siècle, l'humanité s'est livrée à une expérience fondée sur l'hypothèse suivante : l'outil peut remplacer l'esclave. Or il est manifeste qu'employé à de tels desseins, c'est l'outil qui de l'homme fait son esclave. La dictature du prolétariat et la civilisation des loisirs sont deux variantes politiques de la même domination par un outillage industriel en constante expansion. L'échec de cette grande aventure fait conclure à la fausseté de l'hypothèse. La solution de la crise exige une radicale volte-face : n'est qu'en renversant la structure profonde qui règle le rapport de l'homme à l'outil que nous pourrons nous donner des outils justes. L'outil juste répond à trois exigences : il est générateur d'efficience sans dégrader l'autonomie personnelle, il ne suscite ni esclaves ni maîtres, il élargit le rayon d'action personnel. L'homme a besoin d'un outil avec lequel travailler, non d'un outillage qui travaille à sa place. Il a besoin d'une technologie qui tire le meilleur parti de l'énergie et de l'imagination personnelles, non d'une technologie qui l'asservisse et le programme. »

Ivan Illich, La convivialité

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11/07/2011

Intensification

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Volé sur le Blog d'élite ILYS...

« Les vacances ne sont pas du tout une alternative à la congestion et à la promiscuité des villes et du travail. Au contraire : on cherche l’évasion dans une intensification des conditions de vie ordinaire, dans une aggravation délibérée : plus loin de la nature, plus près de l’artifice, de l’abstraction, de la pollution totale, stress, forcing, concentration, monotonie bien supérieur à la moyenne – tel est l’idéal de la distraction populaire. Personne ne songe à se retirer de l’aliénation, mais à s’y enfoncer jusqu’à l’extase. Ça, c’est les vacances. Et le bronzage joue comme preuve surnaturelle de cette acceptation des conditions de la vie normale.

(…)

L’été on entend les chiens hurler le soir, on voit les insomniaques soigner leurs plantes verte en pleine nuit, on lit dans les yeux ternes et brûlants cette euphorie angoissée caractéristique des journées plus longues, du soleil implacable, de cette extraversion de la chaleur qui pousse à une jouissance physique pure et sans objet, et qui correspond pour beaucoup à une situation proche du suicide. Ceux qui restent dans la ville ont des airs de funambule. Ils savent qu’en l’absence des autres ils assurent l’intérim de la socialité, à peu près comme ils arrosent les géraniums de leur voisin en son absence – mais tous assument cependant un rôle historique et théâtral : les uns celui d’abandonner la cité vers on ne sait quel exode de plaisir, les autres celui de veiller sur le décor. En fait c’est un jeu de catastrophe. La ville joue son exode, elle se vide sans avoir été bombardée elle se livre à ses esclaves (les immigrés) dans une saturnale éphémère.

(…)

L’angoisse propre au loisir de la Côte. Trop de beautés naturelles artificiellement rassemblées. Trop de villas, trop de fleurs. Villegiatura, Nomenklatura : même combat. Même privilège artificiel, qu’il soit celui de la bureaucratie politique ou de la luxuriance du mode de vie. Nature pourrie par le loisir, expurgée de toute barbarie, écœurante de facilité – jour peut-être ce climat de rêve, cette canicule de luxe exploseront en un incendie de forêt définitif. »

Jean Baudrillard, Cool Memories I

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10/07/2011

Arcade Fire : Neon Bible

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A vial of hope and a vial of pain,
In the light they both looked the same.
Pourred them out on into the world,
On every boy and every girl.

It's in the Neon Bible, the Neon Bible
Not much chance for survival,
If the Neon Bible is right.

Take the poison of your age,
Don't lick your fingers when you turn the page,
What I know is what you know is right,
In the city it's the only light.

It's the Neon Bible, the Neon Bible
Not much chance for survival,
If the Neon Bible is right.

Oh God! well look at you now !
Oh! you lost it, but you don't know how !
In the light of a golden calf,
Oh God! I had to laugh !

Take the poison of your age,
Don't lick your fingers when you turn the page,
It was wrong but you said it was right,
In the future I will read at night.

In the Neon Bible, the Neon Bible
Not much chance for survival,
If the Neon Bible is true.

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L'homme ne se nourrit pas seulement de biens et de services

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« Je crois qu'il faut inverser radicalement les institutions industrielles, reconstruire la société de fond en comble. Pour être efficient et rencontrer les besoins humains qu'il détermine aussi, un nouveau système de production doit retrouver la dimension personnelle et communautaire. La personne, la cellule de base conjuguent de façon Optimale l'efficacité et l'autonomie : c'est seulement à leur échelle que se déterminera le besoin humain dont la production sociale est réalisable. Qu'il se déplace ou qu'il demeure, l'homme a besoin d'outils. Il en a besoin pour communiquer avec autrui comme pour se soigner. L'homme qui chemine et prend des simples n'est pas l'homme qui fait du cent sur l'autoroute et prend des antibiotiques. Mais chacun ne peut tout faire par soi et dépend de ce que lui fournit son milieu naturel et culturel. L'outil et donc la fourniture d'objets et de services varient d'une civilisation à l'autre.

L'homme ne se nourrit pas seulement de biens et de services, mais de la liberté de façonner les objets qui l'entourent, de leur donner forme à son goût, de s'en servir avec et pour les autres. Dans les pays riches, les prisonniers disposent souvent de plus de biens et de services que leur propre famille, mais ils n'ont pas voix au chapitre sur la façon dont les choses sont faites, ni droit de regard sur ce qu'on en fait. Dégradés au rang de consommateurs-usagers à l'état pur, ils sont privés de convivialité. J'entends par convivialité l'inverse de la productivité industrielle. Chacun de nous se définit par relation autrui et au milieu et par la structure profonde des outils qu'il utilise. Ces outils peuvent se ranger en une série continue avec, aux deux extrêmes, l'outil dominant et l'outil convivial. Le passage de la productivité à la convivialité est le passage de la répétition du manque à la spontanéité du don. La relation industrielle est réflexe conditionné, réponse stéréotypée de l'individu aux messages émis par un autre usager, qu'il ne connaîtra jamais, ou par un milieu artificiel, qu'il ne comprendra jamais. La relation conviviale, toujours neuve, est le fait de personnes qui participent à la création de la vie sociale. Passer de la productivité à la convivialité, c'est substituer à une valeur technique une valeur éthique, à une valeur matérialisée une valeur réalisée.

La convivialité est la liberté individuelle réalisée dans la relation de production au sein d'une société dotée d'outils efficaces. Lorsqu'une société, n'importe laquelle, refoule la convivialité en deçà d'un certain niveau, elle devient la proie du manque; car aucune hypertrophie de la productivité ne parviendra jamais à satisfaire les besoins créés et multipliés à l'envie. »

Ivan Illich, La Convivialité

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09/07/2011

Dans les lieux...

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« J'ai traîné bien des soirs dans les lieux. Je traîne tous les soirs de ma vie, chassé de ma chambre par la peur de mon œuvre, par le geste instinctif de retarder l'exil dans le meilleur de moi-même, par l'appétit d'ajouter encore au trésor sur lequel je croupirai plus tard comme un cadavre. Immonde humilité, faible lâcheté, probable désintéressement de moi-même en tant que bête à concours, bête mise à prix.

Autrefois, je restais dehors, je courais dans les rues pendant des heures comme sur les routes de la campagne, ne regardant même pas les hommes, n'ayant pas encore ce modeste besoin de l'amitié et de l'amour.

Ensuite, je suis allé où il y avait de la lumière, un entassement de camarades et de seins. Je m'en suis gorgé. Mais de cette éponge molle, à l'humidité profonde, je tire ma goutte. (...)

Je suis retourné aux Français pour voir les derniers rangs des familles, rongés par les divorces, les mariages d'argent, les maîtresses-dactylos, la pédérastie du cadet, la messe du dimanche, la Ruhr. Et en face d'eux les sociétaires comme des vicaires de paroisse d'embaucher à la ville, pour jouer les dernières marquises. Juifs qui peuvent être les conservateurs les mieux camphrés de tous les faux plis d'une tradition qu'on ne sait plus porter.

J'ai digéré les dîners, que je payais d'ailleurs à des amis qui n'en auguraient rien de bon, dans les petits théâtres qui sentent la truffe et le bidet parfumé. C'est là qu'on voit le mieux se mêler les putains et les honnêtes femmes et la veulerie détendre les moustaches des gardes municipaux. »

Drieu La Rochelle, L'Œil mort, in Quelques écrits "farfelus", Confessions, L'Herne 2007. Vie des Lettres (et des Arts), volume XV, 1924

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07/07/2011

La fierté d'être un homme

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« La satisfaction du devoir accompli. La fierté d'être un homme : de tous les temps, le mâle a combattu pour le tribu, la femme et l'enfant. La considération des chefs, des camarades : au combat, l'homme se montre à nu. Il n'y a plus de grande gueule, de guerrier de caserne, de salon ou d'antichambre. »

Raoul Monclar, Catéchisme du combat

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06/07/2011

Les "listes noires", l'étouffement par le silence remplacent le camp de concentration

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« Dans les régimes dits "libéraux", le conformisme, si marqué soit-il, est d'une toute autre nature. Il ne renvoie pas à une doctrine officielle appuyée sur un bras séculier ; il est insinuant et diffus. Ce conformisme constitue, lui aussi, une censure ; mais cette censure ne ferme pas les journaux, ne condamne pas les "dissidents" à la prison, à l'exil ou à l'hôpital psychiatrique. Marcuse a parlé à ce propos de "tolérance répressive". En fait, le conformisme dans les régimes "libéraux", qui ne saurait être confondu avec le conformisme totalitaire, se caractérise par trois traits.
Il s'en tient à l'implicite et préfère présenter ses dogmes comme des évidences "scientifiques", comme on le voit par l'exemple des diverses idéologies qui ont cours dans l'ordre pédagogique ou économique.
En deuxième lieu, la défense du conformisme n'est pas directement assumée par l'Etat. Les "listes noires", l'étouffement par le silence remplacent le camp de concentration.
En troisième lieu, la censure du point de vue cognitif constitue moins un mécanisme de répression qu'un mécanisme d'inhibition. Elle appauvrit le champ des possibles parmi lesquels notre esprit pourrait exercer sa capacité d'élection. Elle ne nous interdit pas telle pensée, elle nous détourne de nous y arrêter. Elle surveille plus qu'elle ne punit. Comme elle n'est pas strictement centralisée, elle procède par addition de biais cumulatifs, qui produisent un consensus sur des "croyances négatives" plutôt que sur des "croyances dogmatiques". »

Raymond Boudon et François Bourricaud, Dictionnaire critique de la sociologie

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05/07/2011

Souveraineté

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« La solitude n’est donc pas seulement un désespoir et un abandon,mais aussi une virilité, une fierté et une souveraineté. »

Emmanuel Levinas, Le Temps et l’Autre

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Toute l'île venait à moi comme une femme

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« Je t'ai dit avoir été heureux sous les Tropiques. C'est violemment vrai. Pendant deux ans en Polynésie, j'ai mal dormi de joie, j'ai eu des réveils à pleurer d'ivresse du jour qui montait. Les dieux du jouir savent seuls combien ce réveil est annonciateur du jour et révélateur du bonheur continu que ne dose pas le jour. J'ai senti de l'allégresse couler dans mes muscles ; j'ai découvert Nietzsche ; je tenais mon oeuvre ; j'étais libre, convalescent, frais et sensuellement assez bien entraîné. J'avais de petits départs, de petits déchirements, de grandes retrouvées fondantes. Toute l'île venait à moi comme une femme. Et j'avais précisément, de la femme, là-bas, des dons que les pays complets ne donnent plus. »

Victor Segalen, Lettre à Henry Manceron

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L'image médiatique...

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« L'image médiatique... est toujours une représentation de cette vie: quelqu'un en train de parler, ou le fulgurant tir du gauche de l'ailier qui propulse le ballon au fond des filets. Qu'en cet ultime contact avec la vie, le projet de celle-ci soit de se démettre de soi, c'est à tout le moins de ne rien faire, c'est ce que démontre l'existence médiatique en tant que telle, une existence par le moyen des médias, où il s'agit de vivre non pas de sa propre vie mais de celle d'un autre, qui raconte, s'agite, frappe, se dénude ou fait l'amour à votre place. Parce que les instincts subsistent chez les téléspectateurs, inélaborés, dans leur manifestation la plus fruste -la force comme violence, l'amour comme érotisme, l'érotisme comme pornographie - et parce qu'il ne s'agit même pas pour ces instincts réduits à leur plus simple expression de s'actualiser pour de bon mais seulement d'obtenir quelque dérivatif imaginaire, parce que l'existence médiatique en général est cet assouvissement imaginaire, alors la télévision trouve son achèvement et sa vérité dans le voyeurisme, dans le scoop du siècle: l'assassinat collectif, par bandes de voyous interposées, d'imbéciles spectateurs d'un match de football, assassinat sur le mode spectaculaire de l'enfoncement, de la compression, de l'écrasement, de l'étouffement, du piétinement, de l'asphyxie. Horrible spectacle que cette vie renversée, foulée aux pieds, écrabouillée, aplatie, niée! Mais cette négation de la vie n'est pas différente de celle qui préside chaque jour au rassemblement de millions d'êtres humains devant leur petit écran, l'horreur de cette négation pas différente de celle du spectacle dont il leur fut donné de se repaître ce soir-là: en lui, c'est la vérité de l'existence médiatique, c'est leur propre vérité qui brilla un instant devant leur yeux hallucinés »

Michel HenryLa Barbarie

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03/07/2011

Black Country Communion à Paris, au Bataclan, le 19 Juillet prochain...

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Le 19 Juillet au Bataclan... Glenn Hughes, le surivant revenu de tout, la Légende... The Voice of Rock comme on le surnomme, au sein de Black Country Communion, en compagnie de pas n'importe qui... Jason Bonham à la batterie -- fils de feu-John Bonham -- Jason qui a occupé le poste de son père au sein de Led Zeppelin à diverses reprises lors de re-formations diverses du groupe légendaire pour des concerts occasionnels dont le fameux concert de Décembre 2007 au London 02 Arena pour le Ahmet Ertegun Tribute Concert qui a fait le bonheur des gens présents à cet événement comme des Bootlegers, Derek Sherinian aux claviers, et Joe Bonamassa à la guitare. A ne louper sous aucun prétexte... s'il reste des places.

 


No Quarter (Led Zeppelin Cover)

 

 

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DSK : The Messiah is back

=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=

 

 

Ce que l'on sait de Nafissatou Diallo, la présumée victime de DSK

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On me fait savoir que le retournement de situation dans l'affaire DSK n'est pas commenté par mes soins. Je me défilerais, voyez-vous, et je ne donnerais pas le même traitement à Georges Tron qu'à DSK, bien que je n'ai rien écrit ou posté à propos du masseur de pieds. Et patati et patata... faut que ça blah-blate sans cesse histoire de se donner bonne conscience pour demeurer accroché à ses crispations idéologiques comme une larve de pou à un poil de cul. Alors allons-y, jetons aux pieds de ces pauvres gens de quoi défaire leurs postures car, quoi qu'il advienne à l'avenir de cette affaire sinistre impliquant Dominique the Sex Killer, en ce qui me concerne le débat est clos.

D'abord Georges Tron... c'est probablement une autre petite crapule perverse qui ne mérite qu'une chose : dégager de ses fonctions et être puni pour ses actes si tout dans son affaire se révèle être vrai, car on n'use pas de son pouvoir, fut-il énorme ou modeste, pour exercer une pression sur quelqu'un afin d'en obtenir les faveurs sexuelles. Je ne puis être plus clair.
Par contre, Georges Tron n'était pas candidat à la présidentielle, jusqu'à son affaire c'était un illustre inconnu que la majeur partie des français ne connaissait pas comme ils ne connaissent pas non plus les autres pervers qui font la une des médias lorsque ceux-ci les portent sous le feu désagréable des projecteurs en raison des saloperies qu'ils commettent. Il faut tout de même savoir que 40% des prisonniers en France le sont pour des délits ou crimes à caractères sexuels, ce qui est beaucoup.
En outre, les socialistes passant leurs temps à donner des leçons de morale à la terre entière, mettant en avant sans cesse la bonne vertu de gauche sensée sauver la collectivité... et bien non, je ne trouve pas que Dominique the Sex Killer soit une appellation exagérée, comme on a pu me reprocher d'en avoir usé et abusé, au pays de la caricature et de la critique politique... au pays de Voltaire. D'ailleurs, je ne sais même pas si je l'ai déjà précisé, mais il me faut en ce cas passer aux aveux, Dominique the Sex Killer est une trouvaille de ma douce Irina qui, en tant que femme, ne se laisse pas impressionner par les porcs en cravate siégeant au sommet du monde (FMI) et exigeant un droit de cuissage comme au temps lugubre de la prima nocte. J'exagère encore ? Poursuivons de ce fait.

Ce débat est totalement clos en ce qui me concerne car les têtes qu'ont fait les socialistes se suffisent à elles-mêmes... les têtes qu'ont fait les socialistes ET la sphère médiatico-politique en général parfaitement au courant du comportement de goujat, de gougnafier de Dominique the Sex Killer...

Ce qui s'est passé l'autre matin à New York a, au final, démontré diverses petites choses que nos abrutis d'analystes franchouillards perçoivent très bien mais ne parviennent pas à exprimer car ça leur écorche les lèvres que de le formuler pleinement comme ça leur écorcherait le cul d'avoir fait des excès de tables épicés la veille.

- Après avoir crié au coup monté afin de sauver Saint Dominique the Sex Killer lui-même sensé sauver la France, tout le monde s'est précipité dans l'autre camp d'analyse en proclamant que la victime ne pouvait qu'être honnête car africaine et musulmane. Leur seconde baudruche s'est effondrée en un seul claquement de doigt, un papillonnement de cil.

- Quoi que Robert Badinter puisse dire de la détestable Justice Américaine, il faut reconnaître que son mode de fonctionnement oeuvre avec une parfaite objectivité traitant de la même manière un puissant qu'un dealer local sans envergure ou un citoyen lambda américain. Dominique the Sex Killer a été traité, jusqu'à présent, de manière totalement impartiale contrairement à l'affirmation de ses aveugles défenseurs névrosés.



- Le système de défense américain, les moyens déployés par le RICHE accusé tendaient, dés le départ, à indiquer que les avocats de Dominique the Sex Killer trouveraient de la matière à décrédibiliser l’accusatrice. Comme tout repose sur la crédibilité des parties, l’accusation ne va pas se battre pour une plaignante non crédible après connaissance des dernières informations la concernant. Même si elle a été vraiment victime de Dominique the Sex Killer, chose qu'à présent seuls eux-deux sauront à tout jamais, si il y a "non-lieu". Et avec ce "non-lieu" éventuel nous arrivons au coeur de la sortie de cette méprisable affaire.
On nomme "non-lieu" l'abandon d'une action judiciaire en cours de procédure, par le juge, qui survient lorsque les éléments rassemblés par l'enquête ne justifient pas une action plus avant, j'y reviendrai. Le "non-lieu" se distingue ainsi de l'opportunité des poursuites.


- Les amis de Dominique the Sex Killer confondent à dessein, ici, la créance, la confiance, la fiabilité de Nafissatou Diallo, sa crédibilité, ou plutôt son manque de crédibilité avec l'innocence éventuelle de l’accusé. C'est très rigolo de la part des socialistes qui vont nous asséner de grands "on vous l'avait bien dit" pour se refaire une bonne conscience. En d'autres occasions, lorsqu'un accusé de droite, par exemple, s'en sort de la même manière, les socialistes ne lâchent jamais l'affaire et passent leur temps à remuer le couteau dans la plaie, à tort ou à raison. Je ne manquerai pas, quant à moi, de le faire aussi pour Dominique the Sex Killer chaque fois que l'occasion m'en sera donnée. Cette affaire, à mes yeux, n’a fait que mettre en lumière un fait déjà connu depuis longtemps et par tout le monde : DSK est un harceleur sexuel, un malade mental qui, tout brillant qu'il est, a besoin plutôt de se faire soigner entre quatre murs que d'avoir des postes de responsabilité nationale. Qu’il y ait "non-lieu" ici par manque de crédibilité de cette pauvre Nafissatou Diallo ne changera rien à ce fait.



- Prétendre que DSK serait lavé de tout soupçon, c’est, à défaut d'être crétin ou de faire preuve de débilité profonde, être parfaitement déloyal, scélérat et félon. Et ces adjectifs qualificatifs correspondent parfaitement aux socialistes. Car, que je sache, Nafissatou Diallo ne s'est pas violenté le vagin et l'anus toute seule, ni rompu un ligament à l'épaule par elle-même. Ses hématomes ne sont pas apparus par une opération vaudou magique. Les éléments médicaux l'ont affirmé tout comme Debré a pu affirmer que le Sofitel, où DSK avait ses habitudes, a étouffé précédemment d'autres affaires. Bien entendu chacun aimerait avoir les sources de Debré, bien qu'il n'y ait pas de fumée sans feu.

Que DSK soit un "obsédé sexuel", cela ne me dérange pas du tout. Qu'il aille dans les boîtes échangistes, ça le regarde. Sa légèreté est une affaire entre lui, sa bite et son épouse. Ces choses que j'évoque indiquent une tendance mais ne sont pas, à mes yeux, condamnables, si ce n'est par Dieu. Ce que l'on attend d'un responsable politique c'est qu'il s'attelle aux dossiers dont il a la charge avec des résultats et que ceux-ci soient efficients, qu'il baise à hue et à dia ne regarde que lui. En revanche, ce qui me dérange profondément, c'est le fait qu'il ait un comportement qui le conduise au harcèlement systématique pur et simple. L'affaire New Yorkaise a surtout fait remonter à la surface et révélé les choses suivantes :

1°) L'affaire Tristane Banon


2°) L'affaire de cette journaliste australienne


3°) L'affaire de la hongroise au FMI


4°) L'affaire des jeunes filles blacks et beurs de Sarcelles qui évoluaient dans l'entourage socialiste de DSK, quand monsieur le maire avait affaire aux parents ou aux familles proches qui débarquaient armés à la Mairie pour lui faire la peau, tellement il avait une attitude de pervers avec elles et que ses "pompiers" étaient obligés de gérer sans arrêt les humeurs sexuelles de môssieur.


5°) Le fatras bordélique des amis de DSK ayant pris sa défense envers et contre tous les principes de gauche qu'ils avancent depuis 40 ans.


6°) Les féministes ringardes, tendance "chiennes de gardes" qui ont crié au scandale se proclamant toutes noires, africaines pauvres, violées par des puissants, ici un juif par dessus le marché, qui se retrouvent face à leur guimauve crasse avec leur ridicule clitoris érectile entre les jambes à réaliser qu'elles ont défendu une magouilleuse, menteuse, liée à la mafia. 


7°) Les aveux des amis proches de DSK qui redoutaient le pire.

Prions, à présent, chers soeurs et chers frères, que Dominique the Sex Killer, le Messie tant attendu par les socialistes qui ont la tête dans le cul depuis des lustres, revienne vite reprendre les affaires du PS en main afin de ridiculiser davantage son camp comme notre pays qui doit encore descendre avant un sursaut éventuel. Et qu'on ne me fasse plus chier avec ce nimbus. 

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Aiguiser ses propres exigences

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« Ce qui importe n'est pas que nous vivions mais qu'il redevienne possible de mener dans le monde une vie de grand style et selon de grands critères.
On y contribue en aiguisant ses propres exigences. »

Ernst Jünger, Le Travailleur

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