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25/04/2014

Le système nazi était le point ultime d’évolution d’une politique d’intervention de type keynésien

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« [Les ordolibéraux considèrent] que le système nazi n’était pas la conséquence d’un État de crise extrême mais la suite logique, le point ultime d’évolution d’une politique d’intervention de type keynésien. La leçon que les ordolibéraux tirent de l’expérience du nazisme est donc que, au lieu d’accepter une liberté de marché surveillée et limitée par l’État, il faut au contraire généraliser la logique de marché et faire d’elle le régulateur de l’État. »

Jean-Yves Grenier et André Orléan, Michel Foucault, l’économie politique et le libéralisme

 

 

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On dresse une population au nom d'un dogme

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« Ainsi donc on dresse une population au nom d'un dogme, on déçoit sa curiosité, on lui interdit d'examiner les prémisses et la conclusion de la foi officielle, on ne lui permet pas d'échanger des idées, tant à l'intérieur qu'à l'étranger, puis, une fois cela fait, on veut qu'elle produise des chefs. C'est là le paradoxe le plus étonnant de la philosophie naziste. Car le "principe du chef" est hautement individualiste. Il suppose l'apparition continuelle d'hommes de génie ; mais le principe du conformisme collectif absolu, souverain de la naissance à la mort, n'est guère fait pour produire et sélectionner de tels individus. »

Walter Lippmann, La Cité libre

 

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L'ascension du fascisme et du nazisme a été non pas une réaction contre les tendances socialistes, mais un résultat inévitable de ces tendances

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« Peu de gens sont prêts à reconnaître que l'ascension du fascisme et du nazisme a été non pas une réaction contre les tendances socialistes de la période antérieure, mais un résultat inévitable de ces tendances. C'est une chose que la plupart des gens ont refusé de voir, même au moment où l'on s'est rendu compte de la ressemblance qu'offraient certains traits négatifs des régimes intérieurs de la Russie communiste et de l'Allemagne nazie. Le résultat en est que bien des gens qui se considèrent très au-dessus des aberrations du nazisme et qui en haïssent très sincèrement toutes les manifestations, travaillent en même temps pour les idéaux dont la réalisation mènerait tout droit à cette tyrannie abhorrée. Il y a aujourd'hui encore une raison plus pressante pour que nous essayions sérieusement de comprendre les forces qui ont créé le national-socialisme ; c'est que cela nous permettra de comprendre notre ennemi et l'enjeu de notre lutte. »

Friedrich August von Hayek, La Route de la Servitude

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24/04/2014

Les trains recommencèrent à rouler

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« Après la Seconde Guerre Mondiale, les trains recommencèrent à rouler. On rétablit le tortillard qui reliait notre village à la préfecture. J’en profitai pour abandonner ma femme et mes enfants qui ne parlaient pas encore. Ma femme, elle, ne parlait plus »

Antoine Blondin, L’humeur vagabonde

 

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Le Rire...

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« Le comique est un des plus clairs signes sataniques de l’homme et un des nombreux pépins contenus dans la pomme symbolique. »

Charles Baudelaire, Les épées

 

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Socialisme Brun...

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« Il n'est pas nécessaire de s'attarder sur ce que les nazis avaient réalisé en ce domaine. Ils avaient réussi à éliminer entièrement de la conduite des entreprises la recherche du profit. L'entreprise libre avait disparu dans l'Allemagne nazie. Il n'y avait plus d'entrepreneurs. Ceux qui avaient été entrepreneurs étaient réduits au rôle de Betriebsführer (directeur d'établissement). Ils ne pouvaient diriger comme ils l'entendaient ; ils étaient tenus d'obéir sans réserve aux ordres venus du Bureau Central d'Organisation de la Production, le Reichswirtschaffsministerium, et des organismes qui lui étaient rattachés pour chaque branche et pour chaque région. L’État ne se contentait pas de fixer les prix et les taux d'intérêt à verser et à réclamer, le niveau de la production et les méthodes à utiliser pour la production ; il attribuait un revenu défini à tout directeur d'établissement, le transformant ainsi pratiquement en un fonctionnaire salarié. Pareil système n'avait, à part l'emploi de quelques termes, rien de commun avec le capitalisme et l'économie de marché. C'était simplement le socialisme de type allemand, la Zwangwirtschaff. Il ne différait du modèle russe, système de nationalisation intégrale, étendue à toutes les usines, que dans le domaine technique. Et c'était, évidemment, au même titre que le système russe, un type d'organisation sociale purement autoritaire. »

Ludwig von Mises, La Bureaucratie

 

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Un radicalisme qui aurait enchanté Marx

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« Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n'ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l'expropriation de la propriété foncière et l'affectation de la rente foncière aux dépenses de l’État (point n°1 du Manifeste) et l'abolition de l'héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme. »

Ludwig von Mises, Le gouvernement omnipotent : état totalitaire et guerre totale - 1944

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Mes sentiments

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« J'ai toujours souhaité avoir mes sentiments, non pas au coeur de moi-même, mais à côté de moi, dans un être semblable à moi, que je puisse étreindre et caresser. »

Jean Giraudoux, Sodome et Gomorrhe

 

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23/04/2014

Une promesse non garantie de coït

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« Qu’est-ce que la coquetterie? On pourrait dire que c’est un comportement qui doit suggérer que le rapprochement sexuel est possible, sans que cette éventualité puisse être perçue comme une certitude. Autrement dit: la coquetterie est une promesse non garantie de coït. »

Milan Kundera, L’insoutenable légèreté de l’être

 

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Libre ?

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« Toutes les choses qu’on ferait volontiers, qu’il n’y a aucune raison apparemment pour ne pas faire et qu’on ne fait pas.
Ne serait-on pas libre ? »

Samuel Beckett, Molloy

 

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Lorsque l’homme divinise la matière il se tue

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« L’imagination matérialiste nous condamne à l’infini dans la destruction , la philosophie matérialiste, la poésie matérialiste nous mènent au suicide par la matière, dans la matière. Tous ces acharnements prosaïques ne sont qu’autant de trucs de la matière pour nous dissoudre, nous rattraper. Les hommes épris de matière sont maudits. Lorsque l’homme divinise la matière il se tue. »

Louis_Ferdinand Céline, L’Ecole des cadavres

 

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L'âme...

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« La véritable tragédie de Faust, ce n'est pas qu'il ait vendu son âme au diable. La véritable tragédie, c'est qu'il n'y a personne pour vous acheter votre âme. »

Romain Gary, La Promesse de l'aube

 

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Frère Océan

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« Parfois je lève la tête et regarde mon frère l'Océan avec amitié : il feint l'infini, mais je sais que lui aussi se heurte partout à ses limites, et voilà pourquoi, sans doute, tout ce tumulte, tout ce fracas. »

Romain Gary, La Promesse de l'aube

 

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Désert

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« Dans le désert, il y a tout et il n’y a rien (…), c’est Dieu sans les hommes. »

Honoré de Balzac, Une passion dans le désert

 

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22/04/2014

Cela va requérir de nous un embrasement spirituel...

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« Si le monde ne touche pas à sa fin, il a atteint une étape décisive dans son histoire, semblable en importance au tournant qui a conduit du Moyen-âge à la Renaissance. Cela va requérir de nous un embrasement spirituel. Il nous faudra nous hisser à une nouvelle hauteur de vue, à une nouvelle conception de la vie, où notre nature physique ne sera pas maudite, comme elle a pu l’être au Moyen-âge, mais, ce qui est bien plus important, où notre être spirituel ne sera pas non plus piétiné, comme il le fut à l’ère moderne.



Notre ascension nous mène à une nouvelle étape anthropologique. Nous n’avons pas d’autre choix que de monter… toujours plus haut. »

Alexandre Soljénitsyne, Le Déclin du courage, Harvard, 8 juin 1978

 

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La France n’est pas une nation comme les autres...

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« La France n’est pas une nation comme les autres. C’est la seule dont Dieu ait besoin, a dit de Maistre, qui fut quelquefois prophète. Il y aura toujours en elle, qui qu’on fasse, un principe de vie souveraine que rien ne saurait détruire. »

Léon Bloy, Journal, 15 août 1894

 

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Une seule forme de gouvernement a été acceptée pendant des siècles par les Français et ce fut la monarchie

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« Une seule forme de gouvernement a été acceptée pendant des siècles par les Français et ce fut la monarchie. Je crois que cette forme de gouvernement est la plus compatible ou la moins incompatible avec l'humeur ou les humeurs des Français. Inconsciemment, ils doivent rêver d'un Louis XIV, c'est-à-dire d'un souverain, ce qui est conforme au caractère individualiste et concret du Français, d'un souverain qui ne se poserait pas le problème de la légitimité de son pouvoir. Il le garderait. Ce qui rend les régimes forts, c'est justement de ne pas se poser ce problème. Par ailleurs, la monarchie, c'est une famille, et le roi un visage, une présence concrète. On peut discuter avec. Le Français aime discuter, le roi est là, il est le responsable, l'Etat, c'est lui. On finira bien par restaurer la monarchie, un jour, contre la dictature et contre l'anarchie. »

Eugène Ionesco, cité dans la Revue Autrement, "Noblesse Oblige"

 

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21/04/2014

Le cul par terre entre deux selles

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« La médiocrité humaine, immortelle aussi, a toujours cru, en se regardant et en se tâtant, comme Sosie, que le comble de l’habileté et du génie était de se tenir entre les extrêmes, elle qui n’a de force pour aller à l’extrémité de rien ! Aussi, partout, s’est-elle assise entre les partis, entre les doctrines, entre les dangers, entre tout ce qui a des extrémités et des extrémités terribles, et pour sa peine, Dieu soit béni ! elle y est restée toujours, comme on dit (les proverbes ne se gênent pas !) : le cul par terre entre deux selles. »

Jules Barbey d'Aurevilly, Le Théâtre contemporain

 

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19/04/2014

Des antichambres de l'Enfer

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« Les soins donnés, ou pour mieux dire les tortures imposées à des malades incurables, voire agonisants, revêtent des traits de grotesque macabre au sein de cette société athée, qui a peur de la mort comme nulle autre, et dans laquelle le mourir lui-même vous est gâché par les techniciens. Ce sont là des antichambres de l'Enfer. Il est des parvis plus lumineux. »

Ernst Jünger, Soixante-dix s'efface II 1971-1980

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La télévision et la lecture

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« Peut-être distinguera-t-on à la fin de ce siècle deux classes d'hommes, les uns formés par la télévision, les autres par la lecture. »

Ernst Jünger, Soixante-dix s'efface II 1971-1980

 

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A portée de la main...

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« Le destin ordinaire des hommes n’est-il pas de chercher très loin, et souvent au péril de leur vie, ce qu’ils avaient, sans le savoir à portée de la main ? »

Georges Bernanos, Les Prédestinés

 

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L’écho du rire de Dieu

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« Il me plaît de penser que l’art du roman est venu au monde comme l’écho du rire de Dieu. »

Milan Kundera, L’Art du roman

 

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Toutes les choses du Passé durent naturellement se précipiter vers lui et sur lui, comme des torrents innombrables attirés par un gouffre unique...

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« Les témoignages historiques sont assez clairs. Configurateur et Régulateur de cette Révolution qui changeait la face du monde, Napoléon eut contre lui, nécessairement, toutes les Traditions antérieures. Toutes les choses du Passé durent naturellement se précipiter vers lui et sur lui, comme des torrents innombrables attirés par un gouffre unique.
Vainement il essaya de les capter à son usage, en déplaçant toutes les frontières, en essayant de fabriquer de nouveaux rois et de nouveaux peuples, en datant de sa personne une ère nouvelle. Les choses lui obéirent moins que les hommes et c’est à confondre la pensée de se dire qu’il y eut une âme, une seule âme d’orgueil, d’amour et de souffrance comme les autres, pour porter cela, une âme excessivement démesurée, mais absolument unique par destination, en laquelle il fallut que se concentrât l’effort de la résistance continuelle à toutes les âmes, cavales perfides ou juments sauvages, qu’il était indispensable de toujours dompter. »

Léon Bloy, L’âme de Napoléon

 

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18/04/2014

Ne ressembler à personne...

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« Ne ressembler à rien. Ne ressembler à personne. Il n'existe pas d'éloge qui puisse me toucher davantage. »

Jean Cocteau, L'Aigle à deux têtes

 

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Sa foi l'oblige à l'arrogance

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« Ce mardi 22 (Octobre) - Enfin des réflexions pertinentes ! Ce Levi-Strauss est un bon juge de l'Islam. [...]
L'Islam, un des malheurs du monde, un Judaïsme pour les brutes et qui ramasse tout ce qu'Israël imagina de moins spirituel et de plus inhumain, l'Islam est l’égout de la Bible avec des relents d'hérésie chrétienne et le fatras du paganisme arabe, une coulée de boue sur le visage de l'espèce humaine et l'on préfère le néant à ce qu'il nous apporte (ou, si l'on veut, le Communisme, lequel ne lui fera pas grâce et lui ressemble trop pour l'épargner longtemps). Un musulman est toujours une brute, au moins par de certains côtés, sa foi l'oblige à l'arrogance, il mêle à la présomption l'humilité qu'il rend démonstrative et ses rigueurs l'attachent à la complaisance la moins sujette à la mesure. Religion - dit Levi-Strauss - religion de corps de garde (le règlement, les revues de détail et pas de femmes, enfin la bougrerie avec un peu de cuistrerie et l'étalage le plus sale de nos besoins les plus grossiers), vivant dans un chaos perpétuel et rétablissant l'ordre à coups de hache, sans foyer, cité ni patrie, niant le monde qu'elle déifie en ne le sachant pas. L'Islam est une foi qui n'apprenant jamais, refuse de comprendre et qui revient de tout en ne s'acheminant à rien, et ses fidèles sont des mules qui tournent dans le cercle, les yeux bandés et n'avançant d'un pas. Ses peuples ? Le fumier de l'avenir, à moins qu'ils ne se rendent communistes et n'aillent baiser le tombeau du Juif Lénine sous les icônes du Juif Marx. »

Albert Caraco, Journal d'une année, 1957

 

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