26/05/2020
Stefan Zweig, histoire d'un européen
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25/05/2020
Armel GUERNE – Qui est-il ? (France Culture, 1984)
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Spéciale Dédicace à mon ami Larkens...
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24/05/2020
Armel Guerne
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23/05/2020
Armel Guerne parle du romantisme allemand
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22/05/2020
Les Romantiques contre les Lumières...
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21/05/2020
Philippe Jaccottet – Le Romantisme Allemand (RTS, 1977)
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20/05/2020
Paul Celan - Écrire pour rester humain
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19/05/2020
vous ressemblerez au joyeux paysan italien
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« La règle la plus raisonnable en la matière, comme beaucoup de règles raisonnables, semble être un paradoxe. Buvez parce que vous êtes heureux, mais jamais parce que vous êtes malheureux. Ne buvez jamais si vous vous sentez misérable sans alcool, ou vous ressemblerez au buveur de gin au visage blême des bas quartiers ; mais buvez si le manque d'alcool ne vous empêche pas d'être heureux, et vous ressemblerez au joyeux paysan italien. Ne buvez jamais parce que vous en avez besoin, car c'est une manière de boire rationnelle, qui vous conduira tout droit à la mort et en enfer. Mais buvez parce que vous n'en avez pas besoin, car c'est une manière de boire irrationnelle, et l'antique santé du monde. »
G. K. Chesterton, Hérétiques
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Léon Bloy : Une mystique de la douleur avec François Angelier
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Balance
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« Il déposa vertus et vices, culpabilité et innocence, qualités et défauts sur la balance, car il voulait une certitude avant de rendre son jugement sur lui-même. Mais les deux plateaux de la balance ainsi chargés restèrent à la même hauteur.
Mais comme il voulait une réponse à tout prix, il ferma les yeux et fit d'innombrables fois le tour de la balance, marchant tantôt dans un sens tantôt dans l'autre, jusqu'à ne plus savoir enfin quel plateau portait l'une ou l'autre charge. Alors il déposa sa décision de se faire juge de lui-même sur l'un des plateaux pris au hasard.
Lorsqu'il ouvrit de nouveau les yeux, l'un des plateaux s(était bien abaissé, mais impossible de savoir à présent lequel des deux : le plateau de la culpabilité ou le plateau de l'innocence.
Cela le mit en courroux, il s'interdit d'en déduire un avantage et se condamna, sans pouvoir toutefois se défendre du sentiment d'avoir peut-être tort. »
Paul Célan, "Contre-jour" in Le Méridien et autres proses
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18/05/2020
Le dernier souffle
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« Un oiseau meurt d'une flèche
A tes épaules décombres
Pend un reste de lumière
Années valent moins que jours
Et la vie moins que l'amour
Tu vaux encore un baiser
Rien que le temps d'éprouver
Ce qu'il me reste d'éveil
Tout est clair sous ce drap blanc
Qui te délivre et qui m'attend. »
Paul Eluard, "Le dernier souffle" in Derniers poèmes d'amour
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"La Société du Spectacle" de Guy Debord avec Gérard Berréby
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L'instant
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« Lorsqu'on détacha de la potence le pendu, ses yeux n'étaient pas encore morts. Vite, le bourreau les ferma. Les gens présents avaient cependant tout vu et de honte baissèrent le regard.
Le potence, elle, en cette minute, se prit pour un arbre, et comme personne n'avait les yeux ouverts, il est impossible de savoir si elle ne l'a pas réellement été. »
Paul Célan, "Contre-jour" in Le Méridien et autres proses
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17/05/2020
La Puissance de l'espoir
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« Autant parler pour avouer mon sort :
Je n'ai rien mien, on m'a dépossédé
Et les chemins où je finirai mort
Je les parcours en esclave courbé :
Seule ma peine est ma propriété :
Larmes, sueurs et le plus dur effort.
Je ne suis plus qu'un objet de pitié
Sinon de honte aux yeux d'un monde fort.
J'ai de manger et de boire l'envie
Autant qu'un autre à en perdre la tête ;
J'ai de dormir l'ardente nostalgie :
Dans la chaleur, sans fin, comme une bête.
Je dors trop peu, ne fais jamais la fête,
Jamais ne baise une femme jolie ;
Pourtant mon coeur, vide, point ne s'arrête,
Malgré la douleur mon coeur point ne dévie.
J'aurais pu rire, ivre de caprice.
L'aurore en moi pouvait creuser son nid
Er rayonner, subtile et protectrice,
Sur les semblables qui auraient fleuri.
N'ayez pitié, si vous avez choisi
D'être bornés et d'être sans justice :
Un jour viendra où je serai parmi
Les constructeurs d'un vivant édifice,
La foule immense où l'homme est un ami. »
Paul Eluard, "La Puisaance de l'espoir" in Derniers poèmes d'amour
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Michel Evdokimov : Pèlerins russes et vagabonds mystiques
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Pesanteur
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« Il enseigna les lois de la pesanteur, apporta preuve sur preuve, mais trouva des oreilles sourdes. Alors il s'élança dans les airs et enseigna ces lois tout en planant — ils le crurent cette fois, mais personne ne s'étonna de ne pas le voir redescendre. »
Paul Célan, "Contre-jour" in Le Méridien et autres proses
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16/05/2020
Tout s'écoule...
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« "Tout s'écoule" : cette pensée aussi, et ne fait-elle pas qu'à nouveau tout s'arrête ? »
Paul Célan, "Contre-jour" in Le Méridien et autres proses
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Obscurité
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« Ne te trompe pas : ce n'est pas cette dernière lampe qui donne plus de lumière — c'est l'obscurité autour qui s'est approfondie. »
Paul Célan, "Contre-jour" in Le Méridien et autres proses
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Vanité
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« Elle tournait le dos à son miroir, car elle détestait la vanité du miroir. »
Paul Célan, "Contre-jour" in Le Méridien et autres proses
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Léon Bloy, le pèlerin de l'absolu
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15/05/2020
Récits d'un pèlerin russe
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14/05/2020
Une vie, une œuvre : Georges Bernanos (1888-1948), le dernier témoin de la pitié sacrée [1987]
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13/05/2020
Alain Finkielkraut évoque Charles Péguy
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12/05/2020
Un élu qu’appelle le large
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« Il est bon aussi d’aimer ; car l’amour est difficile. L’amour d’un être humain pour un autre, c’est peut-être l’épreuve la plus difficile pour chacun de nous, c’est le plus haut témoignage de nous-même ; l’œuvre suprême dont toutes les autres ne sont que les préparations. C’est pour cela que les êtres jeunes, neufs en toutes choses, ne savent pas encore aimer ; ils doivent apprendre. De toutes les forces de leur être, concentrées dans leur cœur qui bat anxieux et solitaire, ils apprennent à aimer. Tout apprentissage est un temps de clôture. Ainsi pour celui qui aime, l’amour n’est longtemps, et jusqu’au large de la vie, que solitude, solitude toujours plus intense et plus profonde.
L’amour ce n’est pas dès l’abord se donner, s’unir à un autre. (Que serait l’union de deux êtres encore imprécis, inachevés, dépendants ?) L’amour, c’est l’occasion unique de mûrir, de prendre forme, de devenir soi-même un monde pour l’amour de l’être aimé. C’est une haute exigence, une ambition sans limite, qui fait de celui qui aime un élu qu’appelle le large. Dans l’amour, quand il se présente, ce n’est que l’obligation de travailler à eux-mêmes que les êtres jeunes devraient voir (zu horchen und zu hämmern Tag und Nacht). Se perdre dans un autre, se donner à un autre, toutes les façons de s’unir ne sont pas encore pour eux. Il leur faut d’abord thésauriser longtemps, accumuler beaucoup. Le don de soi-même est un achèvement : l’homme en est peut-être encore incapable. »
Rainer Maria Rilke, Lettre à un jeune poète
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Henri Guillemin : Charles Péguy
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