08/03/2010
Césure
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La peur de n’être pas à la hauteur. Fragilisé et éteint.
La mue se poursuit et je me sens comme un enfant en train de se bâtir une nouvelle armure pour se protéger des agressions extérieures. Avec cependant cette connaissance nouvelle de moi-même, acquise dans cette crise et encore, c’est évident, à acquérir.
De plus, pauvre planète à l’Avenir incertain, je me meurs de te voir autant mourir, à petit feu, sur le grill du barbecue des enculés. Aux p’tits oignons. Un encas pour leur ventre qui crie sans cesse famine. « Bon appétit aux tueurs ».
Tout semble exploser d’un bout à l’autre. Et il faut, OUI, C’EST IMPéRATIF, tenir le coup, poursuivre le chemin, se durcir comme l’acier, se détacher des poids qui freinent, demeurer accessible, tendre, aimant. Conserver une ouverture.
Exaltant. Minant. Paradoxal.
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07/03/2010
Manque
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Il faut oser l’Aventure. Les lettres gravées à même le Réel de notre réalité d’homme sous la gueule et l’œil de l’Univers. Perdus. Tournant sur nous-mêmes, dessus ce pauvre cailloux bleu. Ah ! Parfois j’ai l’impression que le Soleil lui-même serait prêt à nous avaler. Les mots. La tournerie de la langue qui dans la bouche saisit une insaisissable âpreté éruptive, sonore, syntaxe de la fibre, du mystère, des liquides, des atomes. Orgasme continuel. Ivresse douloureuse et jouissive. Tout est là. Tout est, en même temps, à paraître. Les mots disant tout, s’ils existent, me manquent.
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Promesse...
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Les pages peuvent se remplir éternellement. La phrase si on la commence n’a de cesse de s’élancer souveraine à la conquête de la plénitude entourée de vide dans le maelström des poussières d’étoiles voguant dans les traînées des planètes et des supers novas brûler même le moindre point la moindre virgule pour que rien ne s’arrête dans l’explosion initiale qui se commente elle-même et se congratule d’un rire en avancée lumineuse et mortuaire vers ses syllabes étirées de plaintes de rires de larmes ondoyantes en vibrantes prières à soi-même danse chant charmes cherche la joute le conflit le combat avec l’ange la justification de Job le Rire de Sarah l’enfantement même barbare surtout barbare dans ce qui se dit sortant de soi s’accouchant sereinement comme par enchantement Scientifique dans le mystère de l’énergie de la matière et de l’esprit impliqué caché inaccessible sombre et lumineuse Divinité par-delà Bien et Mal implication dans le Réel et l’Objectif Subjectif des affres de ce qui doit être est déjà est depuis toujours avant même le dépliement des rouleaux dont le nôtre avec ses galaxies innombrables infinies dans ses eaux là séparées des autres tout se surprend soi-même par l’espiègle Jeu d’avoir été d’être et à venir sans cesse de ce mystère se dévoilant progressivement quand les « pieds de nez » des particules les font se dédoubler d’informations en informations pour le programme de la promesse…
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06/03/2010
Blind...
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Qui donc voit ce que je vois ? L’Ombre du mal. L’odeur du Bien. Et l’inverse. Une attitude se dessine et suggère un rite, le sens du détail. La veste de cuir. Les cheveux longs attachés. Les boucles d’oreilles. Se tenir droit, de noir vêtu, aux portails de l’existence. Le regard sombre, parce que profondément plongé dans la faille puante de l’Humaine incarnation. Une carapace en somme, qui hurle en silence son abandon sous l’œil de Dieu… Ô Seigneur… Si tu existes…
23:50 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Nocturne...
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Le fin sourire, que la Vie m’adresse, a aussi quelque chose de diabolique. Une puissante énergie palpite en ses veines. Spasmes effrayants, d’une remarquable force, surgissant d’un fond lointain, noir, sombre, comme l’Abysse des profondeurs que nous redoutons. Silence. Immense et sans pitié. C’est intérieur. C’est extérieur. Trou noir spatial. Gueule béante intérieure…C’est la même chose…Sa mâchoire menaçante, constance déterminée, me guette avec une sérénité de Serial Killer Métaphysique. Esprit supérieur improbable, mort-né, inachevé, en constant cours d’accomplissement. L’écrire ne dit rien. Le décrire est impossible. Je vois sa gorge avalant sa salive des limbes. L’être y a sa part. C’est une lutte dansée pour toucher un sceptre de très humble gloire. Seul le Verbe peut sauver le feu, la terre, l’eau, l’air. Seul le verbe peut tracer un chemin dans la jungle épaisse des cauchemars non encore rêvés, des probables stances quantiques en devenir éternel. Mots. Fièvres. Fumées des marécages. Décomposition. Univers démultipliés. Infini vibratoire. Vibrations infinies. L’amour est chaque jour un Christ au Désert, au Mont des Oliviers, au Chemin du Calvaire. Sueurs nocturnes.
18:28 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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05/03/2010
JIM BOGGIA : « Johnnie's going down » (2008)
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Allez, une deuxième couche,
avec en l'occurence le premier morceau de ce merveilleux album.
Maintenant, si ça vous plait (et je n'en doute pas), une seule chose à faire ;
acheter ce disque, qui, je vous le rappelle, existe en cd (stéréo) et vinyl (mono).
Pour ce faire, voici le MySpace de Jim Boggia : ICI
Et puis, le site du magasin (La Malle à Disques) qui m'a conseillé cet album, Par-là,
et fait aussi de la VPC.
Mais vous devez bien tous connaitre un bouclard dans votre coin,
alors, comme on dit: "Support your local dealer!"
Philippe "The Reverend" Nicole (Bassiste-chanteur des défunts King Size et, actuellement, bassiste chez Peter Night Soul Deliverance et chez Margerin)...
19:03 Publié dans La Chanson du Jour, par The Reverend. | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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JIM BOGGIA : « 8Track » (2008)
=--=Publié dans la Catégorie "La Chanson du Jour, par The Reverend..."=--=
Qui connaît Jim Boggia ici ?
Et pourtant ce type existe, il fait des disques depuis 10 ans.
Le dernier en date s’appelle « Misadventures In Stereo »,
et il y a un label assez barjo pour sortir une édition vinyle en plus du cd, et en Mono !
Ce qui ne manque pas d’audace, quand on aura lu le titre de l’album, déjà mentionné.
Il y a aussi quelques rares disquaires en France tout aussi barjos qui continuent à faire correctement leur métier, lisent la presse étrangère afin de savoir ce qui se fait de bien ailleurs, et font venir ces disques en import chez eux.
Tout ça pour qu'enfin au bout de la chaine d'autres barjos, les camés de la musique, se ravitaillent en produit frais et non frelatés.
Parce que ne comptez pas sur la presse rock « officielle » française (je ne parle pas des fanzines qui font leur job) pour vous informer, ni sur la Fnac ou pire encore Amazone pour trouver ce disque. Non, ces gens là sont plus occupés à vous refourguer le dernier Franz Ferdinand (« L’album de la maturité…. », beurk !) par palettes entières.
Laissez leur ces parts de marché, et reprenez plutôt une portion du gâteau que nous a cuisiné amoureusement le petit Jim, ça ne vaut pas plus cher et c’est bien meilleur !
En plus, vous aurez le plaisir de déguster des notes de pochette délicieuses, du genre : « Ceci est un album. La face 1 est terminée ?
Prenez une pause. Rassemblez vos pensées. Fumez une clope si vous en avez une sous la main ».
Passer son temps à réfléchir en se droguant ?
Un truc de barjo, quoi.
Philippe "The Reverend" Nicole (Bassiste-chanteur des défunts King Size et, actuellement, bassiste chez Peter Night Soul Deliverance et chez Margerin)...
07:00 Publié dans La Chanson du Jour, par The Reverend. | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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04/03/2010
WILCO : « I wanna be your dog » (1995)
=--=Publié dans la Catégorie "La Chanson du Jour, par The Reverend..."=--=
Le petit chien est mort...
...on débranche la guitare.
Ron Asheton 1948-2009
"May Ron Asheton's sweet, kind soul rest in peace."
Sue Rynski, photographe.
Philippe "The Reverend" Nicole (Bassiste-chanteur des défunts King Size et, actuellement, bassiste chez Peter Night Soul Deliverance et chez Margerin)...
17:00 Publié dans La Chanson du Jour, par The Reverend. | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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03/03/2010
ELVIS PRESLEY : « Any Day Now » (1969)
=--=Publié dans la Catégorie "La Chanson du Jour, par The Reverend..."=--=
« Alors comme ça maintenant, c’est 5 fruits et légumes par jour, pas trop de sucres ni de sel, éviter les aliments gras, et pour votre santé, bougez ?!? », me dit l’Agent Secret. « A ce régime là, ce sera bientôt gymnastique obligatoire tous les matins dans la rue, jus de poireaux au petit déjeuner, prise de tension au saut du lit, et puis quoi encore ? Ska festif toute la journée à la radio pour garder le rythme ? »
Hum, l’Agent à ses sources, probablement.
Et ses opinions aussi.
Mao... mais tendance Nino Ferrer: « Le quart de rouge c’est la boisson du Garde Rouge »…
OK, allumons une cigarette, décapsulons une bière, et posons nous la seule question qui vaille : qu’aurait fait Elvis dans ce monde là ?
« Une dépression… », grommelle l’Agent, en écrasant sa Lucky sans filtre.
Mais non, il commanderait des loukoums, du miel, des douceurs, et puis une chanson, bien sur ! Signée Burt Bacharach, un nom cristallin.
Ensuite, il l'assaisonnerait comme chez lui, à la mode soul, avec cascades de violons, cuivres rutilants, et roucoulades de grasses walkyries épousant les ondulations d’une basse rondelette sur une rythmique sautillante. Enfin, il poserait sa voix chaude et sucrée, sans effort. Jamais trop d’effort, pour le jeune et riche mâle américain.
Trop riche, bien trop riche ?
« Non, jamais assez ! », hurle l’Agent, « A bas la pauvreté ! Chassons le révisionisme, battons les pauvres, volons les riches, et du rab’ de frites pour tout le monde ! »
Ça y est, la révolution culturelle est en marche…
Philippe "The Reverend" Nicole (Bassiste-chanteur des défunts King Size et, actuellement, bassiste chez Peter Night Soul Deliverance et chez Margerin)...
07:14 Publié dans La Chanson du Jour, par The Reverend. | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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02/03/2010
CHUCK BERRY : « I’m a rocker » (1970)
=--=Publié dans la Catégorie "La Chanson du Jour, par The Reverend..."=--=
« Facile, de faire du rock’n’roll ? Ah bon…Moi, j’y arrive pas. »
Il me dit ça en finissant son troisième verre de cognac.
Avant, on s’est quasiment enfilé l’équivalent d’une bouteille de rhum, à coups de petits punchs. Mais ça nous empêche pas de causer.
« Tu sais, j’ai 60 ans l’année prochaine, ça fait plus de 40 piges que je bosse, et la musique m’a jamais quitté », qu’il me fait. « Surtout le rock, j’adore. Johnny, bien sur, c’est une bête, un super chanteur, mais bon, c’est rien qu’un interprète. Moi, je préfère le gros...Eddy, tu sais. Moi du rock, j’ai jamais pu en jouer, pourtant j’aurais adoré, vraiment… »
J’y crois pas, on va rejouer le match Jean-Philippe Smet/Claude Moine dans ce rade pourri, moi qui préfère la VO en plus ? OK, j’ai besoin de munitions, et avant de lui répondre faut que je retourne au comptoir pour recharger. Quoique bon, c’est simple à piger tout de même, le rock, pas besoin de sortir de centrale. Enfin, ça dépend laquelle, de centrale…
Tiens, l’intro mille fois rabâchée de Chuck Berry que le juke box crache à l’instant, y’à tout la dedans, non ? Faut pas en faire une montagne, c’est ni du Bach, ni du Miles Davis… dis ?
Mais Il dit plus rien, l’autre. Il est debout au milieu du bar, possédé, hurlant les paroles du troisième couplet : « Les faux intellectuels, journalistes étroits, s’emparent de ma musique, je reste franc-tireur ! Je suis rocker ! »
2h00 du mat’, 3 grammes dans le sang, 60 balais au compteur.
Merde, il a tout compris, lui.
Philippe "The Reverend" Nicole (Bassiste-chanteur des défunts King Size et, actuellement, bassiste chez Peter Night Soul Deliverance et chez Margerin)...
21:57 Publié dans La Chanson du Jour, par The Reverend. | Lien permanent | Commentaires (5) | |
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25/02/2010
Calme Solitude
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
Une solitude de plus en plus sublime m’ouvre à des parts de mon être ignorées jusque là. L’espace, dit-on ! Le large ! Un appel des vents intérieurs ! Vais-je oser ?
De moins en moins de choses banales m’atteignent ! Mais j’ai néanmoins les nerfs à fleur de peau ! Les larmes viennent, à première vue pour pas grand-chose, et une faculté récente de plonger dans mon « arrêt », ma suspension qui génère les larmes, me fait entrevoir des abysses assez redoutables au sein desquels, par simples recoupements, la nuit se fait jour !
Ma démarche est Spirituelle aussi. C’est une pénétration toute personnelle, un engagement (désengagé !) pour dire, formuler (dans l’exultation si possible) des liens supérieurs, la fracture intérieure vis-à-vis du monde, l’ouverture exacte et authentique, le dépassement de soi et de tout. Je suis seul face au monde et je peux m’y perdre. Je le désire probablement ! Il est vrai que c’est une errance. Bien entendu, je suis aussi structuré, bâti, étayé par ma relation au monde. Je cherche juste à pénétrer le sanctuaire d’une liturgie nouvelle. Son cœur.
C’est comme si la terre entière, autour de moi, laissait échapper un hurlement lugubre et final de sa plaie béante. Comme si le point de non-retour était atteint. Comme si absolument tout s’écroulait. La confusion est générale et telle qu’on se demande, en ce monde, s’il y a une sortie. Ca se masturbe le bulbe de tous côtés !
J’ai bien envie, le moment est propice, de retourner à Montaigne.
Montesquieu écrivait : « Dans la plupart des auteurs, je vois l’homme qui écrit. Dans Montaigne, je vois l’homme qui pense. »
Il faut hurler. Pousser un cri définitif. Un cri semblant sans fin… mais un cri eschatologique ! Quelque chose qui ferait songer aux rugissements de James Douglas Morrison. Un grognement de chienne en chaleurs provenant du ventre de Janis Joplin. Mettre un disque et en subir avec délices le cri, la balafre. Car la révolte, la transgression, la guerre, ici, sont à l’œuvre. Des manifestes voient le jour à chaque chanson. L’espace sonore est strié de fureurs dans un foisonnement d’étreintes harmoniques. Actes de création. Volutes sonores et synesthésie en tout genres.
Dans 20 ans on s’égorge en France.
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Thin Lizzy : Holy War
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
If you will adore me
Bow before me and praise my name
If you place no God before me
Then all I have is yours to claim
And if God is in the heavens
Why did God let children die
If you don't ask these questions
There is no reasons why
We are chosen
We are one
We are frightened of no one
And no one will win this war
This is the way
This is the law
All the visions shown before you
All the kingdoms and the thrones
All are yours if you bow before me and adore me
All this you can own
There are those that will go to heaven
There are those that will never win
No one knows what will happen
There are those that turn to sin
We are chosen
We are one
We are frightened of no one
And no one will win this war
This is the way
This is the law
(solo)
We are chosen
We are one
We are frightened of no one
And no one will win this war
This is the way
This is the law
We are chosen
The devil is in hell with the demons
This is the holy war
They lead us to our temptation
Lead us, take our souls
There is no evil in salvation
There is evil in us all
Just as satan tempted jesus
And jesus slips and falls
He is a station on the cross now
He is dying to save us all
We are chosen
We are one
We are frightened of no one
And no one will win this war
This is the way
This is the law
We are chosen
We are one
We are frightened of no one
And no one will win this war
This is the way
This is the law
We are chosen
We are one
We are frightened of no one
And no one will win this war
This is the way
This is the law
We are chosen
We are one
We are frightened of no one
And no one will win this war
This is the way
This is the law
If God is in heaven, won't you save me now
Oh lord forgive them for what they've done
Lost children of babylon
This is the holy war
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Guerre Sainte
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
« Je trouve ma joie dans l’observance de la parole. » (Psaumes,119-14)
La texture du réel est là. La suivre de ma main comme une superbe étoffe en une caresse ou m’affirmer comme EN procédant est ce qui m’importe le plus. L’observance de la parole n’est pas pour les chiens obéissants. C’est une prière incarnée quand suinte autant le désastre. Les prêtres masqués ainsi que leurs dévots veillent. La guerre est bien-sûr déclarée.
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24/02/2010
Ailes...
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
Une Sainte colère viendra purifier mon exil. Assez ! Je ne puis tolérer plus loin cette soumission au destin. J’affronterai l’ange en le considérant en face. Dieu s’amuse de moi car il est en vérité de mon côté.
19:15 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (1) | |
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Retrousse tes manches, camarade !
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
Heidegger a écrit : « L’origine n’est pas derrière nous, mais elle est devant nous. »
Nous guettons tous ce commencement authentique, nouveau, paradoxalement vierge et mature. Nous attendons. Mais qui y travaille ?
06:48 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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23/02/2010
Sans Importance
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
J’aurai un jour le souvenir de tous ces mots inutiles comme d’étranges fruits aux lointains nectars qui m’auront laissé une profonde aigreur dans la bouche. Que penserai-je sur mon lit de mort ? Ce journal…cette vie…tout ça que j’aurai traversé comme j’aurai pu. A l’instant de vérité qui viendra vraiment me mettre en face de l’inéluctable. Je n’échapperai à rien. Cette pensée m’aide, finalement, à vivre mieux. Car cet inéluctable confère à toute cette risible comédie très peu d’importance, passé un certain niveau d’implication, de compréhension, d’entente avec l’existence, de complicité avec la nature Humaine. Oui…il faut aimer, rire, donner, jouir, sauver ce qui peut l’être. Mais tout ça est parfaitement sans importance, finalement.
19:00 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Attente
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
Être en instance d’éclosion. Ce qui est dur à supporter à la longue car rien ne vient.
Je me sens comme un potentiel qui bouillonne de l’intérieur d’un intense Magma, mais qui ne déborde guère. Pourtant je suis de nature prolifique, exubérante et généreuse.
Il me faut évaluer et agir.
Foudroie-moi ô Seigneur…
Être en instance imminente d’éclosion. En distance d’éclosion aussi…
07:39 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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22/02/2010
Dieu doit être très très très Grand... ce sont les Bassijis qui l'affirment.
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
J'ai reçu ce lien d'un ami iranien. Il me précise dans son envoi :
Le lien ci-dessous est un film qui vient d'être diffusé sur la BBC en persan, relatant l'attaque de la cité universitaire de Téhéran par des gardes anti-émeute dans la nuit de 15 au 16 Juin 2009, c'est-à-dire trois jours après les élections volées, ce que le gouvernement et le régime de coup d'état ont toujours nié, soutenant que cela etait l'acte des "forces auto-contrôlées" comprenez "spontanées". Nous avions annoncé cinq morts et des centaines de blessés, ce qu'ils ont évidemment toujours nié. Ce film a été divulgué par un des membre des gardes et il a été tourné par ces mêmes gardes. Le plus horrible c'est que par moment l'on entend des bassijis "des forces civiles" qui sont pourtant réputés pour leur extrême cruauté, supplier les gardes pour qu'ils ne frappent plus les étudiants ! Dans ce film l'on ne voit pas les étudiantes parce qu'elles sont gardées à l'intérieur des locaux mais violentées pareillement. Il faut préciser que de part la loi en Iran il est interdit aux forces de l'ordre d'entrer dans l'enceinte des cités estudiantines sauf à la demande officielle du directeur de l'université, or le directeur de l'université de Téhéran soutient toujours qu'il n'a jamais fait cette demande. A DIFFUSER SVP !
23:13 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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21/02/2010
Robert Johnson : Me and The Devil
=--=Publié dans la Catégorie "Blues"=--=
Tout commence par-là.
Guitariste rock, on peut passer des heures sur sa guitare électrique à fantasmer sur une restructuration du monde par le son, à vouloir ressembler à Alvin Lee, Johnny Winter, Robin Trower ou Frank Marino, on n'arrivera pas à grand chose si on n'a pleinement présent à l'esprit que tout a commencé avec quelques mauvais garçons descendants d'esclaves qui se retrouvaient le soir de Juke Joint en Juke Joint pour élaborer une musique sensuelle et primitive qui inquiéterait les blancs les plus frileux tout en inspirant les blancs les plus libérés. Ce qui fera ravaler au racisme sa morve nauséabonde au moins le temps de quelques chansons. Eric Clapton ou Rory Gallagher l'avaient très bien compris. Tout a commencé avec les anciens bluesmen nègres au tout début du XXème Siècle, ceux dont les grands-parents voire les parents, recevaient encore des coups de fouets dans les champs de coton, ceux dont les doigts crevassés et desséchés par le dur labeur du jour trouvaient encore la force et l'inspiration pour chanter le soir, When the sun goes down, des mélopées faites d'espoir et de fraternité, des histoires de pacte Vaudou signé au croisement de chemins lugubres, des histoires d'abandon et de désespoir, de vide moral et spirituel, de sexe tantôt triste tantôt joyeux et d'espérance messianique. Une confusion dont les plus aguerris parvenaient à faire émerger un sens qui ferait chanter quelques décennies plus tard à James Brown, non pas la haine ou le désespoir, mais le bonheur d'être au monde tout simplement...
Les grands ont posé les bases de ce qui allaient devenir le Rock and Roll avec toutes ses ramifications diverses. Son House, Big Bill Broonzy, Memphis Slim, Blind Willie Johnson, pour n'en citer que quelques uns. Mais le plus important de tous fut, sans conteste, le légendaire Robert Johnson, mort mystérieusement à l'âge de 27 ans (et inaugurant, par là, un surprenant Cénacle, à croire que le Diable est vraiment passé par leur âme pour presser le citron jusqu'à la lie), empoisonné, dit-on, par un mari jaloux et enterré en... trois endroits différents ! Les trois différentes localités se disputent encore la primauté de faire reposer en leur terre les restes du grand homme.
Non seulement Robert Johnson fut une légende, mais il a enregistré avec une prouesse remarquable, dans des conditions techniques réduites, une série de chansons qui ont depuis été reprises par les plus grands ou eu une influence considérable sur ceux-ci... D'Aerosmith à ZZ Top, sans oublier l'immense Jimi Hendrix ou le fabuleux Eric Clapton que j'ai déjà cité mais qui fut tellement obsédé par le parcours de Robert Johnson qu'il inaugura sa carrière en reprenant ses chansons dés ses débuts avec le bluesman britannique John Mayall...
...puis tout de suite après au sein des lumineux Cream...
Tout au long de sa carrière solo, Eric Clapton a toujours trouvé le moyen de glisser une reprise de Robert Johnson dans son répertoire plutôt pop et sucré, histoire de rappeler à tout le monde d'où il venait... Cette obsession a culminé, néanmoins, en 2004 lorsqu'il a enregistré tout un album consacré à sa principale influence, "Me and Mr. Johnson" qui est à écouter avec son autre disque de blues, "From the Craddle", sorti 10 années plus tôt, et où le bien nommé Slowhand nous montre qu'il sait de quoi il cause.
Alors pour que les non initiés parmi vous crèvent moins crétins... voici les chansons que Robert Johnson en personne a enregistrées lors des 5 seules sessions d'enregistrement de sa courte et mystérieuse vie, probablement seules et uniques certitudes que l'on possède à son sujet : les 23, 26 et 27 Novembre 1936 à San Antonio, et les 19 et 20 Juin 1937 à Dallas, toutes deux au Texas, donc,celles de San Antonio furent enregistrées dans une simple chambre d'hôtel, celles de Dallas eurent lieu dans le bâtiment d'une Compagnie de Disques. Je ne connais pas les détails...
Je ne sais si Robert Johnson, comme l'affirme la légende, a vendu son âme au Diable, toujours est-il qu'il jouait de la guitare, très très mal et il était la risée de tous les bluesmen qui croisaient son chemin et l'invitaient à laisser tomber cette aventure qui risquait de lui faire mal et de retourner au champ de coton. Cependant, il disparut quelques courts mois et revint avec une maîtrise de l'instrument qui asphyxia littéralement tout le monde. Non seulement il maîtrisait les accordages des autres chanteurs, mais les spécialistes se prennent encore la tête pour savoir s'il n'a pas inclus quelques sombres accordages que le Diable en personne lui aurait inspirés tout en le faisant pénétrer dans la science du contrepoint, car on a l'impression, par moment d'entendre deux guitaristes jouer en contre-rythme, alors que Robert Johnson jouait... seul. En tout cas, personne avant lui, ne jouait de cette manière au sein de sa communauté.
Enjoy !
Ecoutez en ligne ou, en cliquant sur le "cercle noir", téléchargez directement le fichier mp3 sur votre PC ou votre Mac...
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Séparé de toute part par son incompréhensibilité comme par une ténèbre
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
"Ayant laissé toutes les apparences, non seulement ce que perçoivent les sens, mais ce que l’intelligence croit voir, il tend toujours plus vers l’intérieur, jusqu’à ce qu’il pénètre, par l’effort de l’esprit, jusqu’à l’invisible et à l’inconnaissable et que là il voie Dieu. C’est en cela que consiste la vraie connaissance de celui qu’il cherche et sa vraie vision, dans le fait de ne pas voir, parce que celui qu’il cherche transcende toute connaissance, séparé de toute part par son incompréhensibilité comme par une ténèbre."
Saint Grégoire de Nysse, La Vie de Moïse
19:01 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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19/02/2010
Liquider les peuples
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
« Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever la mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu’un d’autre leur écrit d’autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu’il est, et ce qu’il était. Et le monde autour de lui l’oublie encore plus vite. »
Milan Hübl, historien et porte-parole des intellectuels et acteur de premier ordre lors du Printemps de Prague.
19:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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18/02/2010
Je suis un artiste et non le porte-parole d’un million de voyous
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
Kerouac et Burroughs furent les précurseurs du mouvement hippie. Ouais... bien malgré eux, croyez-moi.
« Les bretons étaient contre les révolutionnaires, qui étaient des athées, qui tranchaient les têtes au nom de la fraternité, tandis que les bretons avaient des raisons paternelles de rester fidèles à leur ancien mode de vie. »
« je ne suis pas bouddhiste, je suis un catholique en pèlerinage sur cette terre ancestrale qui s’est battue pour le catholicisme, à un contre dix, et qui a pourtant fini par gagner, car certes, à l’aube, je vais entendre sonner le tocsin, les cloches vont sonner pour les morts. »
« Partout dans le monde les intellectuels des villes vivent coupés de la terre et de ceux qui la cultivent, et ne sont en fin de compte que des insensés dépourvus de racines (…) toute cette ordure superficielle des existentialistes, des hipsters et des bourgeois décadents. »
« Pour moi le mot "beat" ne signifit pas "débordement de frénésie hystérique sans objet", la "beat generation" ce n’était pas les voyous, ni la canaille, les durs, les je-m’en-foutistes, ni les déracinés. Pour moi, the "beat" désigne bien une route, mais la route de celui qui recherche la "béatitude", à l’instar de Saint François d’Assise. Je suis artiste et conteur, un écrivain dans la grande tradition narratrice française et non le porte-parole d’un million de voyous. ».
Jack Kerouac : Satori à Paris/ Vanité de Duluoz/ Entretiens
« Quand je tomberai
dans l’affre inhumain
de la mort vertigineuse
je saurai (si
assez malin pour m’rappeler)
que tous les tunnels
noirs de la haine
ou de l’amour dans lesquels
je tombe, sont,
au fait,
des éternités rayonnantes
et vraies
pour moi »
Jack Kerouac
184e Chorus
Mexico City Blues
Le 12 octobre 1965 Jack Kerouac adresse une lettre à Sterling Lord, son agent : « Continuez à envoyer SATORI A PARIS aux éditeurs. Je crois qu’ils sont tous furieux d’apprendre que je suis le descendant de nobles bretons plutôt que le bâtard anonyme né de leurs propres préjugés. »
« Pour moi le péché le plus impardonnable est le Mensonge parce que, tout comme la fausse monnaie, il dévalue la vérité. »
« Sans friction, sans conflit, n'importe quel système s'arrêtera. » William S. Burroughs, Ultimes Paroles
« Je pense que les revues d’avant-garde française de l’époque ont voulu enrôler Burroughs dans un combat politique passéiste et sans issue qui ne le concernait pas vraiment. Burroughs luttait contre tous les discours. Il est resté fidèle à lui-même jusqu’à la fin de sa vie. Des gens comme lui ou, dans un autre domaine comme Sun Ra, sont exceptionnels. Lisant récemment deux de ses derniers ouvrages "Mon éducation, un livre des rêves" et "Ultimes paroles", j’ai été frappé d’y retrouver deux fois cette assertion qui devrait paraître très réactionnaire aux beaux esprits de notre époque : "Les scientifiques ne m’inspirent qu’un profond dégoût. Je préfère de loin un prêtre averti et cultivé… à un vieil abruti pétochard, éternellement planqué dans les chiottes d’un univers condamné". » Lucien Suel
Et en guise de digression :
« Car ce n’est pas avec le langage châtié des "conservateurs" post-modernes que s’exprimaient Rabelais ou saint Irénée de Lyon, pas plus que sainte Jeanne d’Arc, Tertullien ou saint Thomas d’Aquin, et pas plus que Kerouac, Jack, qui fut en son temps traité de "réactionnaire" par la clique gauchiste, et pas plus que M. Zimmermann, dit "Bob Dylan", à qui la même mésaventure arrive depuis sa conversion au christianisme évangélique. » Maurice G. Dantec
Consultez cet excellent lien qui fera frémir le gôchiste lambda...
11:54 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (2) | |
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16/02/2010
Il est vain de vouloir rendre l'époque actuelle pareille au bon vieux temps
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
"Le climat d'une époque est inaltérable. La dégradation continue de la situation prouve que nous sommes entrés dans le dernier stade de la Loi. Or, le printemps ou l'été ne peuvent durer toujours ni le jour de luire constamment. Il est donc vain de vouloir rendre l'époque actuelle pareille au bon vieux temps d'il y a un siècle. L'important est faire en sorte que chaque époque soit aussi bonne qu'elle peut l'être compte tenu de sa nature. L'erreur de ceux qui ont toujours la nostalgie des mœurs passés tient à leur méconnaissance de cette vérité. En revanche, ceux qui n'apprécient que ce qui est au goût du jour et méprisent le démodé sont bien superficiels."
Jōchō Yamamoto, Le Hagakure
19:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (5) | |
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12/02/2010
Edom Guermania
=--=Publié dans la Catégorie "Le Salut par les Juifs"=--=
Pourquoi les juifs ont-il été de tous temps attaqués, pourchassés, tués, mis à l'écart, haïs ? Pourquoi Hitler a voulu éliminer le peuple juif ? La réponse de Rav Ron Chaya... à voir absolument et, surtout de bout en bout... subjuguant.
Tout est, déjà, indiqué dans l'Ancien Testament...
Ou téléchargez le fichier "wmv"directement d'ICI
21:24 Publié dans Le Salut par les Juifs | Lien permanent | Commentaires (3) | |
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Burqa tant de haine ?
=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=
Niqab et Burqa vont être interdits... c'est heureux...
...mais que les défenseurs des drouâââdlome qui croient vivre au pays des bisounours se rassurent, le Hijab, lui, est autorisé.
19:00 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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